Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

veillée de prière

  • Veillée de prière mariale place Saint-Pierre

    Livret de la célébration

    Le Pape François était présent place Saint-Pierre ce samedi soir 8 octobre pour participer au jubilé marial, un jubilé qui s'est ouvert la veille au soir par une Messe solennelle en la Basilique Sainte-Marie Majeure. Avant cette veillée en compagnie du Saint-Père, un temps d’animation était proposé aux pèlerins avec des chants et des prières mariales, durant lequel s'est tenue une procession des délégations provenant des communautés nationales présentes en Italie et des sanctuaires mariaux du monde entier. Une procession qui s'est achevée par la présentation de l’icône de la Vierge « Salus Populi Romani ».

    Dans son intervention, le Pape est revenu sur l'histoire de la miséricorde de Dieu qui se manifeste dans la vie de Jésus, des évènements où la Vierge Marie a toujours été présente. Le Saint-Père est aussi revenu sur le sens de la prière du Rosaire, qui nous permet de nous incarner dans l'histoire.

    La prière du Rosaire est, par de nombreux aspects, la synthèse de l’histoire de la miséricorde de Dieu qui se transforme en histoire de salut pour tous ceux se laissent façonner par la grâce a expliqué le Pape.

    Compte-rendu d'Olivier Bonnel à lire / écouter sur Radio Vatican.

    Texte intégral des paroles du Pape François traduites en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Jubilé marial du 7 au 9 octobre 2016 à Rome

    C’est ce vendredi 7 octobre, en la fête de Notre Dame du Rosaire, que débuteront les célébrations du Jubilé marial dans le cadre de l’Année de la Miséricorde. À cette occasion, le Pape François présidera samedi en fin d’après-midi une veillée mariale place Saint-Pierre puis la messe dimanche 9 octobre au matin.

    Le Jubilé marial qui se tiendra du 7 au 9 octobre s’ouvrira à 18h00 ce vendredi lors d’une messe solennelle en l’honneur de la Vierge dans la Basilique romaine de Sainte-Marie-Majeure. Les fidèles sont ensuite invités à se rendre, de 20h00 à minuit, dans les églises jubilaires (Santa Maria in Valicella et San Salvatore in Lauro) pour célébrer le sacrement de la réconciliation et participer à un temps d’adoration eucharistique. Dans chaque église seront présents des confesseurs de différentes langues.

    Samedi après-midi, tous les pèlerins sont invités à se retrouver place Saint-Pierre pour un temps de prière. Un temps d’animation avec des chants et des prières mariales est prévu durant lequel aura lieu une procession des délégations provenant des communautés nationales présentes en Italie et des sanctuaires mariaux. L’icône de la Vierge « Salus Populi Romani » fermera la procession. La journée s’achèvera par une veillée de prière en présence du Saint-Père qui débutera à 17h30. Le lendemain, dans la matinée, le Pape François présidera à 10h30 une messe solennelle place Saint-Pierre clôturant ainsi ce jubilé marial.

    Source : Radio Vatican (HD-SB).

  • Voyage du Pape - Veillée de prière avec les jeunes

    Veillée de prière avec les jeunes
    sur le Campus Misericordiae

    Le Pape François a présidé ce samedi soir, au « Campus Misericordiae » aménagé près de Cracovie, à la veillée des JMJ de Cracovie, sur le thème « Le chemin vers Jésus ». La Saint-Père a centré son discours sur un appel à la jeunesse à ne pas vivre repliée et passive mais au contraire à ouvrir son cœur à la miséricorde de Dieu.

    Un scénographie a été déployée autour de cinq notions, reliées à la Miséricorde : la foi pour ceux qui doutent, l’espérance pour ceux qui se découragent, l’amour pour les indifférents, le pardon pour ceux qui ont fait du mal, et la joie pour les personnes tristes. Danse et théâtre ont rythmé cette première partie, autour d’une comédienne jouant le rôle de sainte Faustine. La spiritualité de la Divine Miséricorde était centrale dans cette Veillée, avec des chants inspirés de la prière de sainte Faustine.

    Trois jeunes ont délivré leur témoignages sur leurs parcours de foi, dans trois expériences de vie très différentes :

    Une Polonaise de Lódz, Natalia, ancienne rédactrice en chef d’une revue de mode, a évoqué la façon dont elle avait renoué avec le sacrement de la confession un Dimanche de la Divine Miséricorde, en 2012, après avoir passé 20 années loin de l’Eglise.

    Une jeune Syrienne d’Alep a délivré un témoignage particulièrement émouvant, évoquant la mort dans certains de ses amis dans les combats de la guerre qui ravage son pays et particulièrement sa ville. Bénévole auprès de la communauté salésienne d’Alep, Rand, cette jeune fille de 26 ans a appelé les jeunes présents à « prier sérieusement » pour la paix dans son pays.

    Un jeune Paraguayen d’Asuncion, Miguel, a lui délivré un témoignage sur sa délivrance de la toxicomanie et de la délinquance, qui lui a valu plusieurs années de prison. Il a évoqué sa réinsertion grâce à la "ferme de l’Espérance", un organisme qui a pour but de permettre à d’anciens prisonniers de renouer la vie normale, grâce à l’expérience du pardon, et dont il a fini par prendre la responsabilité.

    Le Pape François s’est ensuite longuement exprimé, avec beaucoup d’énergie, en interpellant directement les jeunes sur l’exemple qu’ils peuvent donner aux adultes en mettant en action leur « liberté », et en résistant aux drogues, y compris les « drogues socialement acceptées », comme la consommation frénétique des jeux vidéo et des réseaux sociaux, une addiction qui avait d’ailleurs été l’objet du tableau sur "l’amour pour les indifférents" au début de la veillée.

    Prenant appui sur le témoignage donné par la jeune Syrienne, le Pape a rappelé que les jeunes participant aux JMJ viennent « de diverses parties du monde, de continents, de pays, langues, cultures, peuples différents ». « Nous sommes ‘‘fils’’ de nations qui peut-être sont en train de discuter à cause de divers conflits, ou même sont en guerre. Pour d’autres, nous venons de pays qui peuvent être en ‘‘paix’’, qui n’ont pas de conflits belliqueux, où beaucoup des choses douloureuses qui arrivent dans le monde font seulement partie des nouvelles et de la presse. Mais nous sommes conscients d’une réalité : pour nous, aujourd’hui et ici, provenant de diverses parties du monde, la douleur, la guerre que vivent de nombreux jeunes, ne sont plus une chose anonyme, elles ne sont plus une nouvelle de la presse, elles ont un nom, un visage, une histoire, une proximité. »

    « Il y a des situations qui peuvent nous paraître lointaines jusqu’à ce que, de quelque manière, nous les touchions. Il y a des réalités que nous ne comprenons pas parce nous ne les voyons qu’à travers un écran (du téléphone portable ou de l’ordinateur). Mais lorsque nous entrons en contact avec la vie, avec ces vies concrètes non plus médiatisées par les écrans, alors il nous arrive quelque chose de fort », a lancé le Pape, qui a appelé fermement à dépasser toute logique de vengeance.

    « Nous nous ne mettrons pas à crier contre quelqu’un, nous ne mettrons pas à nous quereller, nous ne voulons pas détruire, a lancé le Pape François. Nous, nous ne voulons pas vaincre la haine par davantage de haine, vaincre la violence par davantage de violence, vaincre la terreur par davantage de terreur. Et notre réponse à ce monde en guerre a un nom : elle s’appelle fraternité, elle s’appelle lien fraternel, elle s’appelle communion, elle s’appelle famille. »

    Le Pape a évoqué l’expérience des apôtres lors de la Pentecôte, qui avaient su dépasser leur peur pour recevoir l’Esprit Saint. « Lorsque la peur se terre dans la fermeture, elle est toujours accompagnée de sa ‘‘sœur jumelle’’, la paralysie ; nous sentir paralysés. Sentir qu’en ce monde, dans nos villes, dans nos communautés, il n’y a plus d’espace pour grandir, pour rêver, pour créer, pour regarder des horizons, en définitive pour vivre, est l’un des pires maux qui puissent nous affecter dans la vie. La paralysie nous fait perdre le goût de savourer la rencontre, de l’amitié, le goût de rêver ensemble, de cheminer avec les autres ».

    Le Pape a notamment invité à ne pas confondre le bonheur avec un confortable « divan », car « quand nous choisissons le confort, en confondant bonheur et consumérisme, alors le prix que nous payons est très mais très élevé : nous perdons la liberté. » Il a rappelé que « Jésus est le Seigneur du risque, du toujours ‘‘au-delà’’. Jésus n’est pas le Seigneur du confort, de la sécurité et de la commodité ». Il faut donc « aller par les routes en suivant la ‘‘folie’’ de notre Dieu qui nous enseigne à le rencontrer en celui qui a faim, en celui qui a soif, en celui qui est nu, dans le malade, dans l’ami qui a mal tourné, dans le détenu, dans le réfugié et dans le migrant, dans le voisin qui est seul. Aller par les routes de notre Dieu qui nous invite à être des acteurs politiques, des personnes qui pensent, des animateurs sociaux. Il nous incite à penser à une économie plus solidaire. Dans les milieux où vous vous trouvez, l’amour de Dieu nous invite à porter la Bonne Nouvelle, en faisant de notre propre vie un don fait à lui et aux autres », a insisté le Pape. « Lui, qui est la Vérité, t’invite à abandonner les routes de la séparation, de la division, du non-sens », a-t-il martelé, semblant s'adresser individuellement à chacun des jeunes présents.

    Enfin, la veillée s’est poursuivie avec le temps de l’adoration du Saint-Sacrement, dans un silence très respecté par les centaines de milliers de jeunes présents, portant des lumignons.

    Source : Radio Vatican (CV).

    Texte intégral du discours du Pape traduit en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Voyage apostolique du Pape François en Pologne - 4ème jour

    Programme du Voyage apostolique du Pape François en Pologne
    à l'occasion de la XXXIe Journée Mondiale de la Jeunesse

    Samedi 30 juillet 2016

    08h30 : Visite du Sanctuaire de la Divine Miséricorde à Cracovie
    10h30 : Messe avec les prêtres, religieux, consacrés et séminaristes au sanctuaire St-Jean-Paul II à Cracovie
           Missel pour le Voyage apostolique en Pologne
    19h00 : Veillée de prière avec les jeunes sur le Campus Misericordiae

    Vidéos KTO mises en ligne dès que disponibles

    voyage,pape,François,pologne

    JMJ 2016 à Cracovie : Site officiel - Site officiel France

    Programme des JMJ de Cracovie 2016

    Journal des JMJ - Émissions - Reportages - Direct - Replay

  • Veillée de prière pour « essuyer les larmes », présidée par le Pape François

    Pendant cette veillée de prière en la Basilique vaticane, le reliquaire de Notre-Dame des larmes de Syracuse a été exposé à la vénération des fidèles. Il est lié au phénomène prodigieux qui est arrivé entre le 29 août et 1er septembre 1953, quand un bas-relief de plâtre peint, représentant le Cœur immaculé de la Vierge Marie à la tête du lit des jeunes époux Lannuso, a laissé couler des larmes. Le reliquaire contient quelques-unes des larmes jaillies miraculeusement de l'image de la Vierge, signe de l'amour maternel.

    veillée de prière,essuyer les larmes,pape,François,reliquaire,Notre-Dame des larmes,Syracuse

     
     
    Dans son homélie, le Pape François a souligné la transformation qu’opère l’amour du Christ dans la vie des baptisés : « La force de l’amour transforme la souffrance dans la certitude de la victoire du Christ, et la nôtre avec lui, et dans l’espérance que nous serons un jour de nouveau ensemble et nous contemplerons pour toujours le visage de la Sainte Trinité, source éternelle de la vie et de l’amour. »

    Il a invité à se confier à la prière de la Vierge Marie : « Près de toute croix il y a toujours la Mère de Jésus. De son manteau elle essuie nos larmes. De sa main elle nous fait relever et nous accompagne sur le chemin de l’espérance. »

    Texte intégral de l'homélie traduite en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Le Pape François en République Centrafricaine : Veillée de prière sur l'esplanade devant la cathédrale

    Lancement de la veillée de prière et confession de quelques jeunes

    A l’issue de la célébration eucharistique, le Pape François s’est arrêté quelques minutes sur le parvis de la cathédrale illuminée de Bangui, Notre-Dame-de-l’Immaculée-Conception. Debout, derrière des barrières colorées, des milliers de jeunes l’attendaient pour pouvoir entendre son message au début d’une veillée de prière organisée ce dimanche 29 septembre 2015 sur place. Avant de confesser plusieurs jeunes, le Pape les a appelés à devenir des artisans de paix, en priant, en pardonnant et en aimant. Il les a invités à « résister face aux difficultés, car fuir n’est pas la solution ».

    Le bananier, un symbole de résistance

    Le Pape a d’abord écouté avec attention un jeune homme prendre la parole pour lui souhaiter la bienvenue et dire quelques mots au nom des jeunes de République centrafricaine. Des jeunes qui ont choisi le bananier comme symbole, un fruit « cultivé uniquement pour ses fruits qui ont une grande valeur alimentaire » ; un fruit qui « a besoin d’avoir de bonnes racines et d’être bien entretenu », et qui « meurt après maturité des fruits, et reproduction de rejets ou drageons qui assurent le remplacement ».

    « Dans toutes les crises dans notre pays, nous avons toujours payé de lourds tributs. N’ayant pas de “bonnes racines”, nous nous laissons facilement emporter par le vent de la violence, de la vengeance, du pillage, de la destruction… Aujourd’hui, les défis auxquels nous sommes confrontés sont nombreux : la réconciliation, la formation adéquate, le chômage, la précarité. Beaucoup d’entre nous sont tentés de quitter notre pays pour aller chercher un avenir meilleur ailleurs ». Concluant son intervention, Evans Demba a demandé au Pape comment les jeunes pouvaient devenir des artisans de paix.

    La prière vainc le mal et rapproche de Dieu

    Le Pape François lui a répondu de manière improvisée, en italien. Un prêtre traduisait simultanément en Sango, la langue du pays. Reprenant l’exemple du bananier, le Saint-Père a expliqué comment ce « symbole de vie, mais aussi de résistance » indiquait la route qui leur était proposée en ce temps de guerre et de violence : celle de la résistance, et non de la fuite. « Qui fuit n’a pas le courage de donner la vie ».

    Mais comment résister ? Le Pape leur a proposé plusieurs pistes à suivre. Prier, car la prière est « puissante ». Elle « vainc le mal et rapproche de Dieu ». Ensuite, il faut travailler pour la paix. « La paix, ce n’est pas un document qu’on signe et qui reste dans un coin. La paix cela se fait tous les jours », rappelle le Pape. « La paix c’est un travail artisanal. Cela se fait avec ses mains. » Là encore, il les invite à ne pas haïr, jamais. « Si quelqu’un te fait du mal, il faut chercher à le pardonner ». Le Pape les invite à transformer la haine en pardon, et à aimer. « Si tu pardonnes, tu seras un vainqueur (…).  Tu seras le vainqueur de la bataille la plus difficile de la vie. Vainqueur dans l’amour. Et avec l’amour vient la paix. » Avant de les bénir, le Pape les a exhortés à se montrer courageux pour lutter pour la paix, leur demandant de s’en remettre à Dieu, car il est miséricordieux.

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral du discours traduit en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Veillée de prière en préparation de la XIVe Assemblée Générale Ordinaire du Synode des Evêques

    Au cours d’une messe solennelle, ce dimanche, dans la basilique Saint-Pierre, le Pape François donnera le coup d’envoi de la XIVe Assemblée Générale Ordinaire du Synode des Evêques consacrée à la famille. Le Saint-Père sera entouré de plus de 300 concélébrants, tous membres du Synode, dont quelque 70 cardinaux et sept patriarches orientaux.

    A l’autel, le Pape François aura à ses côtés les quatre Présidents délégués de l’Assemblée, dont l’Archevêque de Paris, le Cardinal André Vingt-Trois, ainsi que le Secrétaire général, le Rapporteur général et le Secrétaire spécial du Synode, respectivement le Cardinal italien Lorenzo Baldisseri, le Cardinal hongrois Peter Erdö, et Mgr Bruno Forte. Les intentions de prière seront dites en cinq langues, dont le chinois, l’arabe et le swahili.

    Veillée de prière place Saint-Pierre

    Pour faire resplendir la beauté de la vie familiale et conjugale, une veillée a été organisée ce samedi soir sur la place Saint-Pierre sous les auspices de la Conférence des évêques italiens, un moment de prière et de témoignages de foi. Associations, mouvements ecclésiaux et communautés nouvelles de toute l’Italie, Focolari, Chemin néocatéchuménal, Communion et Libération, Renouveau charismatique, Action catholique, mais aussi une foule de familles s'est donnée rendez-vous à l’initiative du Secrétaire général de l’épiscopat pour que, comme des flambeaux, les lumières familiales illuminent la place Saint-Pierre.

    Dans son mot d'accueil, le Cardinal Angelo Bagnasco, président de la conférence épiscopale italienne, a voulu inscrire cet évènement comme la réponse à une demande du peuple chrétien d'aujourd'hui, sans diaboliser les évolutions de la société : « Nous voulons reconnaitre ces temps comme la condition dans laquelle le Seigneur nous donne de vivre, croire et annoncer son Évangile, a insisté le cardinal Bagnasco. Nous ne voulons pas que la fatigue ou la peur prévalent sur l’admiration, sur la joie et sur le courage, ni que les analyses liées à un contexte dans lequel semble vaincre l’idée de ne se lier à rien et à personne ne nous freinent dans la disponibilité à accompagner les jeunes dans le choix courageux du mariage. »

    « Nous devons écouter le cri du peuple, tout en regardant dans les yeux de Jésus-Christ, pour devenir une Église qui embrasse et serve avec son regard, vrai et miséricordieux, l’humanité de notre temps. »

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral de l'homélie traduite en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Voyage apostolique du Pape : Fête des familles et veillée de prière au B. Franklin Parkway de Philadelphie

    Galerie photographique

    Des chants, des danses, des témoignages de familles, des prières, le tout sous l’œil bienveillant du Pape François, le tout orchestré par l’acteur hollywoodien Mark Walhberg. Philadelphie, samedi soir, a accueilli la fête des familles, à la veille de la fin de la la VIIIe Rencontre mondiale des familles.

    Parmi les artistes s’étant produit sur scène devant le Souverain Pontife, notons la présence d’Aretha Franklin et d’Andrea Bocelli. Et, surtout, parmi les témoignages, celui d’un couple s’apprêtant à se marier, mais vivant à distance, celui encore d’une famille ukrainienne vivant aux États-Unis et dont l’un des enfants est handicapé. Ou encore celui d’une famille jordanienne, évoquant la situation difficile des familles chrétiennes au Moyen-Orient.

    L’intervention du Pape a ainsi bien évidemment tourné autour de leur réalité ; la famille et ses difficultés, lors d’un discours, plein d’espoir et d’amour, entièrement improvisé.

    le Saint-Père a ainsi commencé par une anecdote. Un enfant lui a un jour demandé : « Qu’a fait Dieu avant de créer le monde ? Dieu aimait, a répondu le Saint-Père, car Dieu est amour. Et la plus belle chose qu’il ait faite avec cet amour, c’est la famille, à qui Dieu a tout donné ».

    « Une société se développe bien si elle se construit autour de la famille, a-t-il poursuivi, sans oublier les difficultés rencontrées. On se dispute, des plats peuvent voler, les enfants peuvent provoquer des maux de tête. Mais dans la famille, il y a une lumière, parce que l’amour de Dieu nous a ouvert la voie. La famille est une fabrique d’espérance. Ne laissez donc pas une journée se terminer sans faire la paix », a-t-il encore exhorté.

    Avant de quitter les milliers de fidèles réunis à Philadelphie, le Pape François a tenu à rappeler deux éléments essentiels de la famille : les aînés et les enfants, tous deux devant « servir de guides » : « Les anciens sont la mémoire de la famille, ils transmettent la foi. Les enfants en sont le futur et l’espoir. Un peuple qui ne prend pas soin de ses ainés et de ses enfants n’a pas d’avenir, car sans mémoire et sans espoir, il ne peut aller de l’avant », a conclu le Souverain Pontife.

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral du discours écrit, traduit en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Voyage du Pape François - Programme du samedi 26 septembre

    voyage,pape,françois,Cuba,La Havane,messe,vêpres,jeunes,homélie,discours

     
    Statistiques
    Rappel du programme

    Samedi 26 septembre 2015
    08h40 : Départ en avion pour Philadelphie
    09h30 : Arrivée à l'’Aéroport international de Philadelphie
    10h30 : Messe avec les évêques, le clergé, les religieux et les religieuses de Pennsylvanie en la Cathédrale Saints-Pierre-et-Paul de Philadelphie (16h15 sur KTO)
    [Homélie]
    16h45 : Rencontre pour la liberté religieuse avec la communauté hispanique et d'autres immigrés à l’Independence Mall de Philadelphie (22h45 sur KTO)
    [Discours]
    19h30 : Fête des familles et veillée de prière au B. Franklin Parkway de Philadelphie (dimanche 01h30 sur KTO)
    [Discours]

    Vidéos KTO et textes mis en ligne dès que possible

    Fuseau horaire :
    New York / Philadelphie : -4h UTC
  • Ce mardi 24 mars 2015, veillée de prière pour célébrer Evangelium Vitae

    evangelium-vitae_550.jpg

    La Basilique romaine Sainte Marie Majeure, chère au Pape François, accueille ce mardi soir une veillée internationale de prière pour le 20e anniversaire d’Evangelium Vitae, l’Evangile de la vie, l'Encyclique de Jean-Paul II sur le caractère sacré et inviolable de la vie et la valeur incomparable de la personne humaine. Un texte prophétique et courageux face aux nombreuses et nouvelles menaces contre la vie humaine.

    Depuis, plusieurs pays européens, à commencer par les Pays-Bas en 2001, ont adopté des législations sur l’euthanasie, tandis que le parlement européen, en 2002, a recommandé aux Etats membres de légaliser l’avortement. Dans son Encyclique, le pape polonais relève que certains attentats contre la vie qui mettent en danger les droits primordiaux de la personne humaine sont paradoxalement présentés comme l’expression des libertés individuelles qui devraient faire l’objet de nouveaux droits.

    Une invitation au courage

    Dans cette réflexion grave et pleine d’affection à l’égard des personnes en situation de détresse, Jean-Paul II se fait le champion de la splendeur et de la prééminence absolue de la vie et dénonce tout ce qui s’y oppose : meurtre, génocide, avortement, euthanasie, suicide délibéré ; tout ce qui viole l’intégrité de la personne humaine : mutilations, torture, conditions de vie infrahumaines, emprisonnements arbitraires, déportations, esclavage, prostitution, trafic des êtres humains ou encore les conditions de travail dégradantes… Autant de pratiques infâmes qui corrompent la civilisation, déshonorent ceux qui s’y livrent plus encore que ceux qui les subissent, et insultent gravement le Créateur. Ce texte est une invitation puissante au courage, à la responsabilité et à l’espérance.

    Veillée et journée d'étude

    Sous la protection de l’icône de Marie, Salus Populi Romani, la veillée de prière à Sainte-Marie Majeure, organisée par le Conseil pontifical pour la Famille, sera une action de grâce pour les fruits de la pastorale de la vie. Elle vise aussi à faire connaître les bienfaits de la prière pour la vie, et à rappeler que la vie éternelle est notre destin commun. Cet anniversaire sera célébré au même moment dans les sanctuaires de Fatima, Lourdes et Guadalupe, en lien également avec Nazareth où la prière communautaire a été anticipée au 21 mars. Défendre la vie, souligne le président du Conseil pour la Famille, Mgr Vincenzo Paglia veut dire participer à l’alliance entre Dieu, l’homme et la femme.

    Et pour marquer l’anniversaire de la publication d’Evangelium Vitae, une journée d’études se déroulera mercredi à Rome sous les auspices du Conseil pontifical pour la Santé, avec la participation d’experts venus du monde entier. Parmi eux le professeur Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérome Lejeune, membre de l’Académie pontificale pour la vie.

    Source : Radio Vatican.

  • Veillée de prière place St Pierre pour le Synode sur la famille

    À la veille de l'ouverture officielle du Synode sur la famille, les pères synodaux et le Pape François ont participé ce samedi 4 octobre à une veillée place Saint-Pierre, organisée à l'initiative de la conférence épiscopale italienne. Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont assisté à ce "prologue" du Synode, l'ancrant dans une ambiance à la fois très priante et festive, mêlant toutes les générations.

    Trois couples ont donné leur témoignage sur leur expérience de l'amour et de la famille. Deux jeunes fiancés, Antonio et Roberta, ont évoqué leur cheminement vers le mariage. Margherita et Marco, mariés depuis 17 ans, ont eux dit leur joie d'avoir transmis la vie à 4 fils, auxquels s'est ajoutée une petite fille qu'ils ont adopté tout récemment, et qui est maintenant âgée d'un an. Enfin Antonella et Nicola, père de deux enfants de 14 et 11 ans, ont vécu l'expérience de la séparation entre 2007 et 2013. Ils ont évoqué leur parcours de réconciliation et le recommencement de leur vie de couple et de famille, avec l'aide du programme "Retrouvaille", une association qui aide les couples en difficulté. Leur témoignage a beaucoup marqué l'assistance, émue par ce parcours atypique.

    Ces témoignages alternaient avec des chants et des lectures bibliques, issues du Livre de la Genèse, montrant la beauté de la complémentarité entre homme et femme dans l'acte créateur de Dieu. S'appuyant sur le récit de la Genèse, en prenant la parole spontanément, le Pape François a insisté sur le fait que « nous sommes créés pour aimer, et que Dieu a créé l'homme et la femme, pas seulement l'homme, pas seulement la femme, mais les deux ensemble, à son image. »

    La famille, valeur désirée même dans une culture individualiste

    Dans son discours ensuite, le Pape François a insisté sur le fait que « même dans une culture individualiste, en toute personne subsiste un besoin essentiel de stabilité, d'une porte ouverte, de quelqu'un avec qui partager le récit de la vie, d'une histoire à laquelle appartenir. La communion de vie assumée par les époux, leur ouverture au don de la vie, le soin réciproque, la rencontre et la mémoire des générations, l'accompagnement éducatif, la transmission de la foi chrétienne aux enfants... Avec tout cela, la famille continue à être une école d'humanité, une contribution indispensable à une société juste et solidaire. »

    « Et plus les racines sont profondes, plus dans la vie il est possible de sortir et d'aller loin, sans se perdre ni se sentir étranger à aucune terre », a insisté le Pape, mettant en évidence le fait que liberté personnelle et ancrage familial allaient de pair.

    S'appuyant sur le Concile Vatican II et la déclaration "Gaudium et Spes", le Pape a insisté sur le fait que la démarche synodale devait se mettre à l'écoute des signes des temps. « Pour rechercher ce que le Seigneur demande aujourd'hui à son Église, nous devons percevoir "l'odeur" des hommes d'aujourd'hui, jusqu'à être imprégnés de leur joies et de leurs espérances, de leurs tristesses et de leurs angoisses : ainsi nous saurons proposer avec crédibilité la bonne nouvelle sur la famille. »

    Les chants à l'Esprit Saint qui ont émaillé la veillée s'inscrivaient en cohérence avec les appels du Pape. « Nous demandons à l'Esprit Saint de donner aux pères synodaux le don de l'écoute : l'écoute de Dieu, jusqu'à entendre avec Lui le cri du peuple ; l'écoute du peuple, jusqu'à vous communiquer la volonté à laquelle Dieu nous appelle. »

    Alors que les débats ont pris une tournure parfois passionnée à l'approche du Synode, le Pape a appelé au calme et à la sérénité. « Nous invoquons la disponibilité à un débat sincère, ouvert et fraternel, à prendre en charge avec responsabilité pastorale des interrogations que ce changement d'époque porte avec lui. L'histoire de l’Église ne nous raconte-t-elle pas tant de situations analogues, que nos pères ont été capables de surmonter avec une patience obstinée et avec créativité ? »

    L'appel à une réflexion humble et audacieuse

    Il a aussi appelé les pères synodaux et les fidèles à se placer sous le regard du Christ, en rappelant les paroles de Marie au sujet de Jésus dans la scène des noces de Cana, dans l'Évangile selon Saint-Jean.  « Tout ce qu'Il vous dira, faites-le. »

    En ce 4 octobre, fête de Saint-François d'Assise, le Pape qui a pris son nom à appelé à s'inspirer de son exemple de saint réformateur. « Ainsi, notre écoute et notre débat sur la famille, aimée avec le regard du Christ, deviendront une occasion providentielle avec lequel rénover, à l'exemple de Saint-François, l’Église et la société. Ainsi, avec la joie de l'Évangile, nous retrouverons une Église réconciliée et miséricordieuse, pauvre et amie des pauvres. Puisse souffler le Vent de la Pentecôte sur les travaux synodaux, sur l’Église, sur l'humanité entière. Qu'il défasse les nœuds qui empêchent les personnes de se rencontrer, qu'ils guérissent les blessures qui saignent, qu'il rallume l'espérance. Qu'il nous donne cette charité créative qui permet d'aimer comme Jésus a aimé. Et notre message retrouvera la vivacité et le dynamisme des premiers missionnaires de l'Évangile. »

    Source : Radio Vatican.

  • 20h00 à 22h00 : La Nuit des Témoins à Notre-Dame de Paris

    Cette veillée de prière et de témoignages a rendu hommage à celles et ceux qui ont été tués parce qu'ils étaient des disciples du Christ. Elle a permis aussi de porter ceux qui souffrent toujours, et d'écouter leur témoignage. Cette année, les "grands témoins" présents à Paris étaient : Sa Béatitude Mgr Ibrahim Isaac Sidrak, patriarche de l'Église catholique copte (Égypte) ; Mgr Dieudonné Nzapalaïnga, archevêque de Bangui (Centrafrique) ; Mgr Amel Shamin Nona, archevêque de Mossoul (Irak) ; et Sœur Raghida Al Kouri, religieuse (Syrie).

    En partenariat avec l'Aide à l’Église en Détresse (AED).

  • Veillée de prière à Copacabana

    Hier en fin d’après-midi, le Pape s’est rendu à Copacabana pour la veillée de prière avec les jeunes. A cause du mauvais temps, la veillée, initialement prévue sur le Campus Fidei de Guaratiba, a été déplacée à Copacabana. Ce n'est pas le lieu qui compte, leur a-t-il dit mais eux mêmes, chacun de nous :

    "Etre disciple et missionnaire signifie être conscients d'être nous tous le terrain où agit la foi... Le Seigneur nous appelle et nous répondons, un à un en écoutant ce qu'il dit à nos coeurs". La liturgie de la Parole a commencé par des témoignages et des questions posées par les jeunes au Saint-Père. Ensuite, il s’est brièvement adressé aux jeunes pour leur rappeler que le Seigneur avait demandé à saint François de "donner sa contribution à la vie de l’Eglise... de se mettre au service de l’Eglise, en l’aimant et en travaillant, pour qu’en elle se reflète toujours davantage le visage du Christ. Aujourd’hui aussi le Seigneur continue à avoir besoin de vous, les jeunes, pour son Eglise. Il a besoin de vous ! Aujourd’hui aussi, il appelle chacun de vous à le suivre dans son Eglise et à être missionnaire".

    "Il faut d'abord comprendre ce que veut dire être disciple et être missionnaire". Evoquant le champ comme lieu dans lequel on sème, le Pape a repris la parabole du "semeur et des semences qui tombent sur le bord de la route, au milieu des pierres ou parmi les épines et qui ne parviennent pas à se développer, et les autres qui tombent sur la bonne terre et produisent beaucoup de fruits. Jésus lui-même a expliqué le sens de cette parabole. La semence est la Parole de Dieu qui est jetée dans les cœurs... le vrai Campus Fidei c’est le cœur de chacun de vous, c’est votre vie. Et c’est dans votre vie que Jésus demande d’entrer avec sa Parole, avec sa Présence. S’il vous plaît, laissez le Christ et sa Parole entrer dans votre vie, germer et grandir. Quel terrain sommes-nous ou voulons nous être ? Je crois que nous devons honnêtement nous poser certaines questions. Ne sommes-nous pas parfois comme la route en écoutant le Seigneur sans rien changer de notre vie, étourdis que nous sommes par beaucoup d’attraits superficiels ? Ou comme le terrain pierreux ? Nous accueillons avec enthousiasme Jésus, mais nous sommes inconstants, et devant les difficultés nous n’avons pas le courage d’aller à contre-courant. Ou comme le terrain rempli d'épines, où les passions négatives étouffent en nous les paroles du Seigneur ?... Croyez vous possible de faire double jeu en contentant Dieu et le Diable ! Et recevoir les fruits de Jésus tout en soignant les épines du Diable !". Le Pape François a alors dit être certain qu'aujourd'hui "la semence tombe dans de la bonne terre… Vous voulez être un bon terrain, et non pas des chrétiens à temps partiel, amidonnés, de façade, mais des chrétiens authentiques. Je suis certain que vous ne voulez pas vivre dans l’illusion d’une liberté qui se laisse entraîner par les modes et les convenances du moment. Je sais que vous visez haut, vous voulez faire des choix définitifs qui donnent son plein sens à la vie", avant d’ajouter : Jésus est capable de vous offrir cela. Il est la Voie, la Vérité et la Vie. Ayons donc confiance en lui. Laissons-nous guider par lui".

    En deuxième lieu, le champ comme lieu d’entraînement. "Jésus nous demande de le suivre toute la vie, il nous demande d’être ses disciples, de jouer dans son équipe. Je pense que la majorité d’entre vous aime le sport. Et ici, au Brésil, comme en d’autres pays, le football est une passion nationale. Eh bien, que fait un joueur quand il est appelé à faire partie d’une équipe ? Il doit s’entraîner, et s’entraîner beaucoup ! Il en est ainsi dans notre vie de disciple du Seigneur. Saint Paul nous dit : Tous les athlètes s’imposent une discipline sévère. Ils le font pour gagner une couronne qui va se faner, et nous pour une couronne qui ne se fane pas. Jésus nous offre quelque chose de meilleur que la Coupe du monde ! Il nous offre la possibilité d’une vie féconde et heureuse, il nous offre aussi un avenir avec lui qui n’aura pas de fin, la vie éternelle. Mais il demande de nous entraîner pour être en forme, pour affronter sans peur toutes les situations de la vie, en témoignant de notre foi". Le Pape a alors expliqué que cet entraînement consistait à un "dialogue avec lui : la prière, qui est l’entretien quotidien avec Dieu qui toujours nous écoute. Par les sacrements, qui font grandir en nous sa présence et nous configurent au Christ. Par l’amour fraternel, par l’écoute, la compréhension, le pardon, l’accueil, l’aide de l’autre, de toute personne, sans exclure, sans mettre en marge". Puis il a demandé aux jeunes d’être "de vrais athlètes du Christ... Les athlètes se privent en vue du résultat et nous devons nous aussi le faire pour obtenir une couronne incorruptible. Ce qu'il nous offre est bien autre chose que la Coupe du monde. C'est la perspective d'une vie vie heureuse et féconde sans fin. Jésus offre la vie éternelle dont nous devons payer le ticket d'entrée". Après quoi, sous forme de dialogue informel, le Pape François a posé une série de questions résumant ses considérations précédentes, insistant tout particulièrement sur la nécessité de la conversion, de la prière et de la pratique des sacrements pour atteindre l'objectif d'être des disciples authentiques du Christ et des missionnaires efficaces de l'Evangile.

    Enfin, le Saint-Père a évoqué le champ comme chantier de construction : "Quand notre cœur est une bonne terre qui accueille la Parole de Dieu, quand on mouille sa chemise en cherchant à vivre comme chrétiens, nous expérimentons quelque chose de grand : nous ne sommes jamais seuls, nous faisons partie d’une famille de frères qui parcourent le même chemin, nous faisons partie de l’Eglise ou plutôt nous devenons les constructeurs de l’Eglise et les protagonistes de l’histoire. Saint Pierre nous dit que nous sommes pierres vivantes qui forment un édifice spirituel... A l'exemple de saint François nous devons aller réparer l'Eglise. Y êtes vous prêts ? Aurez vous oublié ces paroles demain ? S'il vous plaît, n'oubliez pas que nous sommes tous acteurs de l'histoire, et que nous devons bâtir un monde meilleur, fait de justice, amour, paix, solidarité et fraternité". "Dans l’Eglise de Jésus nous sommes, nous, les pierres vivantes, et Jésus nous demande de construire son Eglise, et non pas comme une petite chapelle qui ne peut contenir qu’un petit groupe de personnes. Il nous demande que son Eglise vivante soit grande au point de pouvoir accueillir l’humanité entière, qu’elle soit la maison de tous ! Il dit à toi, à moi, à chacun : Allez, et de tous les peuples faites des disciples. Ce soir, répondons-lui : Oui, moi aussi je veux être une pierre vivante ; ensemble, nous voulons édifier l’Eglise de Jésus !... Chers amis, n’oubliez pas que vous êtes le champ et le chantier de la foi. Vous êtes les athlètes du Christ. Vous êtes les constructeurs d’une Eglise plus belle et d’un monde meilleur. Levons les yeux vers la Madone. Elle aide à suivre Jésus, elle nous donne l’exemple par son oui : Voici la servante du Seigneur, que tout se passe pour moi selon ta parole. Nous le disons nous aussi, ensemble avec Marie, à Dieu : Que tout se passe pour moi selon ta parole".

    Après le discours du Pape, des diacres ont porté en procession le Saint Sacrement. Après une adoration eucharistique et la prière des jeunes en diverses langues, la célébration s’est conclue par un Salve Regina.

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 28.7.13)

    Moments forts :