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  • Liberté Politique attaque en justice le Ministère de l'Education Nationale

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    Article rédigé par François Billot de Lochner, le 24 février 2017

    Le ministère dit de « l’Éducation nationale » s’est transformé, depuis quelques années notamment, en ministère des perversités sexuelles en tous genres. Soyons clairs : si son responsable, Vallaud-Belkacem, qui a la grande chance personnelle de bénéficier d’une double nationalité franco-marocaine, avait sévi de façon identique à Rabat, elle croupirait sans doute actuellement dans les geôles de la monarchie chérifienne, sur ordre personnel du Commandeur des croyants. Le sachant, elle préfère évidemment sévir en France, pays des droits de l’homme qui la protège, et qui protège ou encourage également tous les dévoiements pour tous. Car les cours de perversion sexuelle, dans « l’enseignement », commencent maintenant…dès la maternelle.

    Si l’on analyse en détail ce qui est enseigné à nos enfants, de la maternelle à la terminale, force est de constater que la dictature pornographique frappe à grande échelle les populations les plus jeunes et les plus sensibles, celles qui doivent bénéficier de l’attention la plus grande et de la protection la plus efficace sur les sujets, fondamentaux : de la sexualité et de la transmission de la vie ; des évidentes différences entre les sexes ; de ce qui ressort de la sexualité naturelle et de la sexualité anormale ; du danger patent de refuser les notions de bien et de mal concernant les parties du corps les plus intimes, et qui sont « cachées » car hautement sensibles. Au lieu de cela, le ministère s’est attribué la mission de décrire, avec complaisance et à grande échelle, les  possibilités infinies offertes par une sexualité chosifiée, en présentant les choses de telle façon que les enfants sont puissamment incités à « tout essayer », même et souvent le pire. Ce qui les amène souvent, effectivement, à tout essayer,  même et souvent le pire…

    De cela résulte une imposition abjecte du vice devenu vertu, de l’horreur devenue merveille, du mensonge devenu vérité banale, du sexe devenu organe d’intérêt unique. Le cœur, l’âme, l’intelligence ? Connais pas. Existe pas. Le sexe et autres parties proches du sexe ? Y a que ça qui compte, allons-y à fond, là est l’épanouissement. Les fonctionnaires du ministère en charge du dossier ont-ils un sexe à la place ou à côté du cerveau ? La question mérite d’être posée, et pourrait justifier d’ailleurs une intéressante analyse scientifique de la chose.

    Les livres ou supports, soit disant « conseillés » mais en fait imposés par le ministère, sont une incitation pure et simple à la débauche la plus glauque dès le plus jeune âge, avec son florilège de textes et photos immondes détaillant de façon infecte, systématiquement infecte, toujours plus infecte les parties du corps concernées. Pour être précis, consulter pour étude de tels supports donne tout simplement envie de vomir. Si des personnes du monde des adultes réagissent ainsi, comment de jeunes enfants ne seraient-ils pas définitivement souillés par cette déferlante d’ignominies ?

    Je viens de publier un livre sur ce sujet (Les parfums du château – Terra Mare) et nous menons actuellement une action forte auprès des candidats à la présidentielle (Le Manifeste de la dernière chance – Terra Mare). En complément de ces actions, France Audace et Liberté politique ont pris la décision d’attaquer en justice le ministère de l’Éducation nationale, qui, de façon évidente, conçoit, diffuse et promeut la perversité à grande échelle, sans laisser la moindre possibilité aux enfants d’échapper à sa tyrannie pornographique : sa responsabilité est évidente, et il doit donc être poursuivi pour cela. La responsabilité personnelle de Najat Vallaud-Belkacem sera bien sûr recherchée, et, espérons-le, sanctionnée. Nous sommes bien décidés à tout mettre en oeuvre pour stopper cette déferlante pornographique notamment organisée par le ministère.

    François Billot de Lochner,
    président de la Fondation de Service politique,
    de Liberté politique et de France Audace.

    Source : Liberté politique.com.

  • Rappel Pétition : Sauvons les notes !

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    Madame Najat Vallaud-Belkacem
    Ministre de l’Éducation,
    de l’Enseignement supérieur
    et de la Recherche
    110 rue de Grenelle
    75357 Paris SP 07

    Madame le Ministre,

    Vous ouvrez une « conférence nationale sur l’évaluation des élèves », et affirmez votre volonté de mettre fin au système de notation actuel.

    À l'heure où 40 % des enfants sortent du primaire sans savoir lire et écrire correctement (20 % étant totalement illettrés), cette initiative semble pour le moins surprenante.

    Les seuls repères que ces enfants ont pour progresser, ce sont les notes.
    Les seuls repères qu’ont les parents pour savoir si leur enfant progresse, ce sont les notes.
    Les principaux repères que le professeur a pour suivre les enfants, ce sont les notes.

    Une mauvaise note est un signal d’alerte donné aux enfants et à leurs parents. Ne supprimez pas ce dernier levier qui permet à tous d’agir quand un problème se pose.

    Trop d’enfants sortent du primaire sans avoir le niveau. Casser le thermomètre ne résoudra rien.

    Tout comme les parents d'élèves, professeurs et citoyens mobilisés pour sauver l'école, je vous demande de ne pas supprimer les notes.

    Veuillez agréer, Madame le Ministre, l’expression de ma plus haute considération.

    Pétition à signer sans tarder sur SOS Education

  • Notation par des couleurs : carton rouge pour Najat Vallaud-Belkacem

    Haro sur les notes! Grande conférence sur l'évaluation, visite d'un «collège sans notes», recours à la «docimologie», sondage sur même pas 600 parents aboutissant… à rien du tout au vu de la façon de poser les questions : on y est, on va y arriver, la méchante note chiffrée va enfin crever. Tous les éléments de langage sont bien en place: elle est «injuste», elle est «stigmatisante», elle est «décourageante», elle mine la «confiance en soi», et — horresco referens — elle n'est pas «bienveillante».

    D'aucuns pourraient trouver qu'on se donne beaucoup de mal pour pas grand chose, voire qu'on fait complètement fausse route à vouloir absolument psychologiser un instrument d'évaluation.

    La mauvaise note inquiète les parents ? C’est son but ! Elle est là pour montrer que l’élève ne maîtrise pas quelque chose, et que oui, c’est inquiétant, car cela risque de poser problème.

    La note n'est pas toujours parfaitement objective ? Qui en doute ? Nous, professeurs, sommes des êtres humains évaluant des travaux d'autres êtres humains, et non des machines. À moins de ne faire que des questionnaires à choix multiples (ce jour-là, je démissionne), il est bien évident qu'il va y avoir des variations. Accessoirement, demandez aux chantres des compétences si c'est objectif d'évaluer des choses telles que «Manifester sa compréhension de textes variés, par des moyens divers» (plus précis tu meurs!) ou encore «Manifester sa curiosité pour l'actualité et pour les activités culturelles ou artistiques.» (évaluer la curiosité, voilà une idée géniale !) ? Ce sont là pourtant des compétences officielles du socle officiel avec lequel on veut très officiellement nous soûler. Nul doute que des critères objectifs absolus vont soudain apparaître dans le ciel pour évaluer les compétences propres de chacun, et qu'on ne mettra pas un point vert en maîtrise de la langue française à un élève qui fait une faute tous les trois mots (on le met déjà, en fait, et on ose appeler ça une évaluation plus précise).

    La mauvaise note inquiète les parents ? C'est son but ! Elle est là pour montrer que l'élève ne maîtrise pas quelque chose, et que oui, c'est inquiétant, car cela risque de poser problème. Je préfère clairement ça à des systèmes qui, alors qu'ils prétendent s'attacher davantage aux compétences de l'élève, en arrivent finalement à des listes de points verts et rouges où tout est mis sur le même plan dans un livret abscons.

    La mauvaise note décourage les élèves ? Non, c'est l'échec qui les décourage, pas le fait de le leur révéler. Ce qui les décourage, c'est que lorsque l'on a perçu les problèmes, on est incapable dans notre système scolaire de proposer des réponses efficaces pour aider ces élèves. On avait bien le redoublement, objet très imparfait mais qui avait le mérite de tenter quelque chose: on vient de décider de s'en passer, sans rien mettre en place d'autre.

    Alors plutôt que de s'évertuer à fabriquer de toutes pièces une mythologie des effets pervers des notes chiffrées, occupons-nous plutôt des moyens concrets à mettre en œuvre.

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