(Magnificat)
The USSR Ministry of Culture Chamber Choir - Valery Polyansky
The USSR Ministry of Culture Chamber Choir - Valery Polyansky
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Chemin d'Amour vers le Père : Au fil des jours ...
Duxerunt pullum ad Jesum :
et imponunt illi vestimenta sua, et sedit super eum. Multi autem vestimenta sua straverunt in via: alii autem frondes caedebant de arboribus, et sternebant in via. Et qui praeibant, et qui sequebantur, clamabant, dicentes: Hosanna: benedictus qui venit in nomine Domini: Benedictum quod venit regnum patris nostri David: Hosanna in excelsis. (extrait de l'Evangile selon Marc : 11, 7-11) Ils amenèrent à Jésus l'ânon, sur lequel ils jetèrent leurs vêtements, et Jésus s'assit dessus. Beaucoup de gens étendirent leurs vêtements sur le chemin, et d'autres des branches qu'ils coupèrent dans les champs. Ceux qui précédaient et ceux qui suivaient Jésus criaient : Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! Béni soit le règne qui vient, le règne de David, notre père ! Hosanna au plus haut des cieux ! |
Ô Vierge Pure, Souveraine,
Immaculée Enfantrice de Dieu (Deipare) Réjouis-Toi, Epouse inépousée Ô Vierge Mère Reine, Toison couverte de rosée. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Plus élevée que les cieux, plus brillante que le soleil. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Ô joie des vierges surpassant les choeurs angéliques. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Plus splendide que les cieux, plus pure que la lumière. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Plus sainte que les multitudes des armées célestes. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Marie toujours Vierge, Souveraine de tout l'univers. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Immaculée Epouse Toute Pure Reine Toute-Sainte. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Marie Epouse Souveraine, Source de notre joie. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Ô jeune Vierge vénérable Impératrice, Très Sainte Mère Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Plus vénérable que les Chérubins et combien plus glorieuse Réjouis-Toi, Epouse inépousée Que les Séraphins incorporels. Plus élevée que les Trônes. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Réjouis-Toi, chant des Chérubins. Réjouis-Toi, hymne des Anges. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Réjouis-Toi, Cantique des Séraphins. Joie des Archanges. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Réjouis-Toi, Paix et Joie. Port du Salut. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Du Verbe sainte Chambre nuptiale, Fleur d'incorruptibilité. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Réjouis-Toi, Paradis de délices de l'éternelle vie. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Réjouis-Toi, Arbre de vie et source d'immortalité. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Je Te prie, ô Souveraine, je t'invoque maintenant. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Je Te prie, ô Reine du monde, j'implore Ta grâce. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Ô Vierge pure, vénérable, très sainte Souveraine. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Avec ferveur je Te supplie, ô Temple sanctifié. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Secours-moi, délivre-moi de celui qui me fait la guerre. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Et fais de moi un héritier de la vie éternelle. Réjouis-Toi, Epouse inépousée. Source traduction : VoX TerrÆ VoX AngeloruM - Chants de l'Église Orthodoxe |
Seigneur, fais-moi connaître ma fin, quel est le nombre de mes jours : je connaîtrai combien je suis fragile.
Vois le peu de jours que tu m'accordes : ma durée n'est rien devant toi. L'homme ici-bas n'est qu'un souffle ; il va, il vient, il n'est qu'une image. Rien qu'un souffle, tous ses tracas ; il amasse, mais qui recueillera ? [...] Éloigne de moi tes coups : je succombe sous ta main qui me frappe. [...] Entends ma prière, Seigneur, écoute mon cri ; ne reste pas sourd à mes pleurs. Je ne suis qu'un hôte chez toi, un passant, comme tous mes pères. Détourne de moi tes yeux, que je respire avant que je m'en aille et ne sois plus. Psaume 38 (trad. aelf) |
Te, Ioseph, célebrent ágmina cælitum,
Te cuncti résonent christíadum chori, Qui clarus méritis, iunctus est ínclytæ Casto fœdere Vírgini. Almo cum túmidam gérmine cóniugem Admírans, dúbio tángeris ánxius, Afflátu súperi Fláminis Angelus Concéptum Púerum docet. Tu natum Dóminum stringis, ad éxteras Ægypti prófugum tu séqueris plagas ; Amíssum Sólymis quæris, et ínvenis, Miscens gáudia flétibus. Post mortem réliquos sors pia cónsecrat, Palmámque eméritos glória súscipit : Tu vivens, Súperis par, frúeris Deo, Mira sorte beátior. Nobis, summa Trias, parce precántibus, Da Ioseph méritis sídera scándere : Ut tandem líceat nos tibi pérpetim Gratum prómere cánticum. Amen. Que les chœurs célestes célèbrent ta gloire, ô Joseph ! Que les chants de tous les Chrétiens fassent résonner tes louanges ! Glorieux déjà par tes mérites, tu es uni par une chaste alliance à l’auguste Vierge. Lorsque, en proie au doute et à l’anxiété, tu t’étonnes de l’état où se trouve ton épouse, un Ange vient t’apprendre que l’enfant qu’elle a conçu, l’a été par l’opération de l’Esprit-Saint. Le Seigneur est né, tu le presses dans tes bras ; tu fuis avec lui vers les plages lointaines d’Égypte ; tu le cherches à Jérusalem où tu l’as perdu, et tu le retrouves : ainsi tes joies sont mêlées de larmes. D’autres sont glorifiés après une sainte mort, eux qui ont mérité là palme sont reçus au sein de la gloire ; mais toi, par une admirable destinée, égal aux Saints, plus heureux même, tu jouis dès cette vie de la présence de Dieu. Trinité souveraine, exaucez nos prières, donnez-nous le pardon ; que les mérites de Joseph nous aident à monter dans les cieux, pour qu’il nous soit enfin donné de chanter à jamais le cantique de la reconnaissance et de la félicité. Amen. |
Je lève les yeux vers les montagnes : d'où le secours me viendra-t-il ?
Le secours me viendra du Seigneur qui a fait le ciel et la terre. Qu'il empêche ton pied de glisser, qu'il ne dorme pas, ton gardien. Non, il ne dort pas, ne sommeille pas, le gardien d'Israël. Le Seigneur, ton gardien, le Seigneur, ton ombrage, se tient près de toi. Le soleil, pendant le jour, ne pourra te frapper, ni la lune, durant la nuit. Le Seigneur te gardera de tout mal, il gardera ta vie. Le Seigneur te gardera, au départ et au retour, maintenant, à jamais. Psaume 120 (121) |
Audi, benígne Cónditor,
Nostras preces cum flétibus, In hoc sacro ieiúnio Fusas quadragenário. Scrutátor alme córdium, Infírma tu scis vírium : Ad te revérsis éxhibe Remissiónis grátiam. Multum quidem peccávimus, Sed parce confiténtibus : Ad nóminis laudem tui Confer medélam lánguidis. Concéde nostrum cónteri Corpus per abstinéntiam ; Culpæ ut relínquant pábulum Ieiúna corda críminum. Præsta, beáta Trínitas, Concéde, simplex Unitas ; Ut fructuósa sint tuis Ieiuniórum múnera. Amen. |
Écoutez, Créateur bienveillant,
nos prières accompagnées de larmes, répandues au milieu des jeûnes de cette sainte Quarantaine. Vous qui scrutez le fond des cœurs, vous connaissez notre faiblesse : nous revenons à vous ; donnez-nous la grâce du pardon. Nous avons beaucoup péché ; pardonnez-nous à cause de notre aveu : pour la gloire de votre Nom, apportez le remède à nos langueurs. Faites que la résistance de notre corps soit abattue par l’abstinence, et que notre cœur soumis à un jeûne spirituel ne se repaisse plus du péché. Exaucez-nous, Trinité bienheureuse, accordez-nous, Unité simple, que soit profitable à vos fidèles le bienfait du jeûne. Amen. |