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  • Audience générale du mercredi 19 août 2020

    Ce mercredi, le pape a poursuivi son cycle de catéchèses sur la manière dont les chrétiens sont appelés à réagir à la pandémie. « Qu’il serait triste si, avec le vaccin pour le Covid-19, on donnait la priorité aux plus riches ! » Alors qu’une course au vaccin est en cours, le pape appelle à trouver un traitement à la Covid-19 mais également au « grand virus, celui de l’injustice sociale » pour construire une économie où les personnes, et surtout les pauvres, sont au centre.

    Compte rendu à lire sur Vatican News.

    Texte intégral (version française) et résumé sur le site du Vatican.

  • Samuel Barber (1910-1981) - Agnus Dei

    Arrangement de l'Adagio pour cordes
    (qui provient d'un mouvement de son Quatuor à cordes n°1, Op. 11)
    Voces8
     
    Andrea Halsey & Eleonore Cockerham, sopranos
    Katie Jeffries-Harris, alto
    Barnaby Smith, contre ténor
    Samuel Dressel & Blake Morgan, ténors
    Christopher Moore, baryton
    Jonathan Pacey, basse
     
    (si la lecture vidéo est impossible, merci de cliquer ICI)
  • Méditation - Confiance et abandon

    « Il est écrit dans l'Évangile que beaucoup de mystères sont cachés aux sages et aux savants, qui seront révélés aux petits enfants. Le génie de l'enfance est tout intuition. Il n'a ni science ni prétention pour le déformer. Par sa simplicité, la fraîcheur de ses impressions, l'enfant a les clés du royaume de la poésie. Car la poésie, c'est d'entrer naïvement dans le jeu du monde, de découvrir les merveilles cachées à ceux qui croient tout savoir et tout expliquer. Le mystère dont parlait notre Seigneur n'est pas le mystère poétique, mais le grand, le seul vrai mystère, celui de la sagesse de Dieu. Il se révèle aux enfants à cause de certaines dispositions qui leur sont propres et qui les ouvrent aux plus hautes vérités.

    Les enfants jouissent un instant de ce qui passe, mais sans attachement, sans exigence. Et puis, les petits sont humbles. Un vrai enfant respecte ce qui est au-dessus de lui. Quand on ne le déforme pas par une tendresse excessive, il est indépendant, forme son petit monde à lui tout seul et ne prétend pas s'imposer. Enfin les petits sont confiants et abandonnés, à cause justement de leur faiblesse. Un enfant vous donne la main, lève vers vous son regard limpide, vous accompagne dans votre propre chemin sans demander où il aboutit. »

    Madeleine Daniélou (1880-1956)

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