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26 décembre

  • Angelus du 26 décembre 2019

    Ce 26 décembre, l’Église universelle célèbre la fête de saint Étienne, premier martyr chrétien, dont le témoignage de foi est rapporté par le livre des Actes des Apôtres. Avant la prière de l’Angélus, le Pape a présenté ce diacre comme un exemple pour aujourd’hui, exemple de ressemblance au Seigneur et d’évangélisation.

    Compte rendu d'Adélaïde Patrignani à lire sur Vatican News.

    Texte intégral des paroles du Pape traduites en français sur Zenit.org.

  • Angelus du 26 décembre, St Etienne

    Lors de l'Angélus, le Pape François est revenu sur les similarités entre Jésus et Saint Etienne. Deux parcours marqués par la prière et le pardon.

    Compte rendu à lire sur Vatican News.

    Texte intégral des paroles du Pape traduites en français sur Zenit.org.

  • Angelus du 26 décembre 2017 (St Etienne)

    Avant la prière de l’Angélus, ce mardi 26 décembre 2017, le Pape a invité les fidèles réunis place Saint-Pierre à confier leur vie et leur esprit au Christ pour rester fidèle à sa parole. Le Pape François a ainsi posé Saint-Etienne, dont la foi irrita les chefs de son temps, en exemple. Car si la fête de ce premier martyr tombe aujourd’hui, au lendemain de Noël, cela n’a rien d’un hasard.

    Le commentaire de Samuel Bleynie est à lire sur Vatican.News.

    Traduction intégrale des paroles du Pape sur Zenit.org.

  • Angélus du 26 décembre, Fête de saint Étienne protomartyr

    « La cohérence chrétienne est une grâce que nous devons demander au Seigneur. Être cohérents, vivre en chrétiens, et ne pas dire : "je suis chrétien", et vivre en païen. La cohérence est une grâce à demander aujourd'hui. »

    En la solennité du premier martyr de l’Église qui « honore le Roi des rois en lui offrant le don de sa vie », le Pape François a prié de manière particulière pour tous ceux qui sont discriminés en raison du témoignage qu’ils rendent au Christ. « Je voudrais dire à chacun d’eux : si vous portez cette croix avec amour, vous êtes entrés dans le mystère de Noël, vous êtes dans le Cœur du Christ et de l’Église ». Le Pape invite à prier pour eux parce que, « grâce aux sacrifices de ces martyrs d’aujourd’hui, se renforce de par le monde les efforts pour reconnaître et garantir concrètement la liberté religieuse, qui est un droit inaliénable pour les personnes humaine. »

    Dans l’Évangile de ce jour, Jésus s’adresse à ses disciples. Il les envoie en mission en les avertissant : « Vous serez détestés de tous à cause de mon nom ; mais celui qui aura persévéré jusqu’à la fin, celui-là sera sauvé ». Ces paroles du Seigneur, a dit le Pape, ne viennent pas « perturber la célébration de Noël, mais lui enlèvent le revêtement doucereux qui ne lui appartient pas ». Elles font comprendre que, dans les épreuves acceptées en raison de la foi, la violence est vaincue par l’amour, la mort par la vie.

    Pour accueillir vraiment Jésus dans notre existence et prolonger la joie de la Nuit Sainte, la route est vraiment celle indiquée dans cet Évangile : témoigner dans l’humilité, dans le service, sans peur d’aller à contre-courant et de payer de sa personne. « Tous ne sont pas appelés, comme Saint Etienne, à verser leur sang, mais il est demandé à chaque chrétien d’être cohérent avec la foi qu’il professe. »

    Suivre Jésus est certainement un « chemin exigent », mais ceux qui le suivent avec fidélité et courage, reçoivent le don promis par le Seigneur aux hommes et femme des bonne volonté, assure le Pape. « Sur la terre paix aux hommes qu’il aime ». Cette paix donnée par Dieu, dont parle l’Évangile de Luc, est en mesure de tranquilliser les consciences de ceux qui, à travers les épreuves de la vie, savent accueillir la Parole de Dieu et s’engager à la suivre avec persévérance, jusqu’à la fin.

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral traduit en français sur Zenit.org.

    Texte intégral original en italien sur le site internet du Vatican.

  • Angélus de la Saint-Etienne, en ce 26 décembre 2013

    « La liturgie prolonge la solennité de Noël pendant huit jours : c’est un temps de joie pour tout le peuple de Dieu. Et en ce deuxième jour de l’octave, dans la joie de Noël, s’intègre la fête de saint Étienne, le premier martyr de l’Église. Le livre des Actes des apôtres le présente comme « un homme plein de foi et d’Esprit-Saint », choisi avec six autres pour le service auprès des veuves et des pauvres dans la première communauté de Jérusalem. Et il nous parle de son martyre quand, après un discours enflammé qui avait suscité la colère des membres du Sanhédrin, il fut traîné à l'extérieur des murs de la ville et lapidé. Étienne est mort comme Jésus, en demandant pardon pour ses bourreaux.

    Dans l’atmosphère joyeuse de Noël, cette commémoration pourrait nous sembler hors propos. En effet, Noël est la fête de la vie, qui nous donne des sentiments de sérénité et de paix. Pourquoi rompre le charme avec la mémoire d’une violence aussi terrible ? En effet, dans l'optique de la foi, la fête de saint Étienne est en pleine harmonie avec le sens profond de Noël. En effet, dans le martyre, la violence est vaincue par l’amour, et la mort par la vie. L’Église voit dans le sacrifice des martyrs leur « naissance au ciel ». Nous célébrons donc aujourd’hui le « noël », la naissance d’Étienne, qui naît de la profondeur de l'intimité du Christ. Jésus transforme la mort de ceux qui l’aiment en l'aube d'une nouvelle vie.
    Dans le martyre d’Étienne, se reproduit la même comparaison entre le bien et le mal, entre la haine et le pardon, entre la douceur et la violence, qui a abouti à la Croix du Christ. La mémoire du premier martyre vient donc dissoudre immédiatement une fausse image de conte de fée de Noël, cette image douceâtre qui n’existe pas dans l’Évangile. La liturgie nous ramène à la signification véritable de l’Incarnation, en reliant Bethléem au Calvaire, et en nous rappelant que le salut de Dieu implique la lutte contre le péché et passe par la porte étroite de la Croix. C’est le chemin que Jésus a montré clairement à ses disciples, comme en témoigne l’Évangile d'aujourd'hui : « vous serez haïs de tous à cause de mon nom, mais celui qui aura tenu bon jusqu'au bout, celui-là sera sauvé. » (Mt 10,22)

    Donc, nous prions aujourd’hui particulièrement pour les chrétiens qui subissent des discriminations en raison de leur témoignage rendu au Christ et à l’Évangile. Nous sommes proches de nos frères et sœurs qui, comme saint Étienne, sont accusés injustement et sont victimes de violences de toutes sortes. Je suis sûr que, malheureusement, ils sont plus nombreux aujourd’hui que dans les premiers temps de l’Église. Il y en a tellement ! Cela se produit spécialement là où la liberté religieuse n’est pas encore garantie ou n’est pas pleinement réalisée. Mais cela arrive aussi dans des pays et des régions qui, sur le papier, protègent la liberté et les droits humains, mais où en réalité les croyants - et particulièrement les chrétiens - subissent des restrictions et des discriminations.
    Je voudrais vous demander de prier pour nos frères et sœurs un instant, en silence, tous...
    Et nous les confions à la Madone : Ave Maria...

    Pour le chrétien cela n'est pas étonnant, puisque Jésus l’avait annoncé comme l'occasion propice pour rendre témoignage. Toutefois, sur la plan civil, l’injustice doit être dénoncée et éliminée. Que Marie, Reine des martyrs, nous aide à vivre Noël avec l’ardeur de la foi et de l’amour qui brille chez saint Étienne et dans tous les martyrs de l’Église. »