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fête

  • Jeudi 1er juillet 2021

    Fête du Précieux Sang de Notre-Seigneur Jésus-Christ

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    Mois du Précieux Sang

    « Durant ce mois qui lui est traditionnellement dédié, décidons d’exploiter ce très précieux Sang dans toutes les circonstances où le secours du ciel nous devient indispensable.

    Quand nous sommes dans l’angoisse, la tentation, l’épreuve, recourons au Sang de Jésus-Christ ; offrons-le à son divin Père pour obtenir la force et la résignation dont nous avons besoin. Quand un proche souffre et que nous désirons ardemment sa guérison, demandons-la par les mérites du précieux Sang. Une affaire nous préoccupe péniblement ? Sollicitons sa réussite par l’offrande du Sang de Jésus. L’âme d’un ami résiste à toutes nos supplications et reste éloignée de Dieu, implorons sa conversion par la voix toute puissante du Sang rédempteur. Un membre de notre famille est décédé, consolons notre douleur en hâtant sa délivrance du purgatoire par l’application du Précieux Sang. Nos péchés sont innombrables et nous inspirent le dégoût de nous-mêmes, libérons-nous en réitérant souvent l’offrande du Sang adorable.

    Nous ne concevrons jamais le pouvoir que cette précieuse offrande exerce sur le Cœur de Dieu le Père. Elle lui rappelle la douloureuse Passion de son Fils bien-aimé. Jésus avait enseigné à Ste Madeleine de Pazzi « Toutes les fois qu’une créature offre à mon Père ce Sang par lequel elle a été rachetée, elle offre un don d’un prix infini et dont rien ne saurait compenser la valeur. » Pendant ce mois, en rendant hommage au Précieux Sang, nous bénirons mille fois le Cœur de Jésus ! »

    Sœur Marie du Sacré Cœur Bernaud (1825-1903), fondatrice de la Garde d'Honneur du Sacré-Cœur
    Garde d'Honneur du Sacré-Cœur, Paray-le-Monial
    Heure de Présence au Cœur de Jésus

  • Méditation - un cœur d'enfant

    « Seigneur, je sais que tu es Père.
    Mais où est ta place dans ma vie, dans mon cœur ?
    Je veux souvent gérer mes affaires
    en adulte et en grand.
    Je crois savoir ce que je dois faire !
    Donne-moi, Seigneur, un cœur d'enfant,
    humble et pauvre ; un cœur de petit
    pour m'ouvrir à ton amour de Père.
    Laisse-moi croire que je suis dans ta main,
    que cette main me protège
    et me montre le chemin que je dois suivre. »

    P. Etienne Lefèvre
    in Revue Saint-Joseph d'Alex n°1040, janvier-février 2015.

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    (Crédit photo)

  • Dimanche 13 juin 2021

    3e Dimanche après la Pentecôte
     

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    (11e Dimanche du Temps Ordinaire)

  • A l'origine de la Fête du Sacré-Coeur : une demande de réparation

    « Étant une fois devant le Saint Sacrement, un jour de son octave, je reçus de mon Dieu des grâces excessives de son amour, et me sentis touchée du désir de quelque retour et de lui rendre amour pour amour. Et il me dit : "Tu ne peux m'en rendre un plus grand qu'en faisant ce que je t'ai déjà tant de fois demandé." Alors me découvrant son divin Cœur : "Voilà ce Cœur qui a tant aimé les hommes, qu'il n'a rien épargné jusqu'à s'épuiser et se consumer pour leur témoigner son amour ; et pour reconnaissance je ne reçois de la plupart que des ingratitudes, par leurs irrévérences et leurs sacrilèges, et par les froideurs et mépris qu'ils ont pour moi dans ce sacrement d'amour. Mais ce qui m'est encore plus sensible est que ce sont des cœurs qui me sont consacrés qui en usent ainsi. C'est pourquoi je te demande que le premier vendredi d'après l'octave du Saint Sacrement soit dédié à une fête particulière pour honorer mon divin Cœur en communiant ce jour-là et en lui faisant réparation d'honneur par une amende honorable pour réparer les indignités qu'il a reçues pendant le temps qu'il a été exposé sur les autels. Je te promets aussi que mon Cœur se dilatera pour répandre avec abondance les influences de son divin amour sur ceux qui lui rendront cet honneur et qui procureront qu'il lui soit rendu". »

    Ste Marguerite-Marie, récit de la vision reçue en juin 1675 (dite la "grande apparition", entre le 14 et le 20 juin 1675), Vie écrite par elle-même, in "Vie et Œuvres", Paris, Poussielgue, 1867, t.II, p.355.

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  • Fêtes du Sacré-Cœur à Paray-le-Monial

     
    du jeudi 10 juin 2021
    au dimanche 13 juin 2021
     
    Programme détaillé des fêtes au Sanctuaire
    (cliquez sur l'image ci-dessous)

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  • Alleluia de la Fête de l'Ascension : Ascendit Deus

    Abbaye de Solesmes - Dir. D. Joseph Gajard
     
    Allelúia, allelúia. V/. Ascéndit Deus in iubilatióne, et Dóminus in voce tubæ. (Ps. 46, 6)
    Allelúia, allelúia. V/. Dieu est monté au milieu des cris de joie, et le Seigneur au son de la trompette.
  • Méditation - du silence

    « L'intention profonde du silence est de libérer l'âme, de lui rendre forces et loisir pour adhérer au Seigneur. Il affranchit l'âme, comme l'obéissance donne toute sa maîtrise à la volonté. Il a, comme le travail, la double efficacité de nous soustraire à la basse attraction de nos penchants sensibles et de nous fixer dans le bien. Il nous établit peu à peu dans une région sereine, où nous sommes capables de parler à Dieu et d'entendre sa voix. Le silence soutient donc à son tour une affinité avec la foi et la charité. Et de même qu'on ne nous demande pas l'obéissance pour la servitude, on ne nous demande pas non plus le silence dans un parti pris de vexation : toutes ces limitations tutélaires sont autre chose que des retranchements. Le silence est œuvre festive ; et c'est pourquoi, selon les anciens coutumiers, on l'observait rigoureusement les jours de fête. Or, dans l'âme chrétienne, la fête est de tous les jours. »

    Dom Paul Delatte (1848-1937), Commentaire sur la Règle de Saint Benoît (ch. VI), Paris, Plon-Nourrit et Cie / Maison Alfred Mame, 8e édition, 1913.

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  • Dimanche 3 janvier 2021

    Fête du Saint Nom de Jésus

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    Au nouveau calendrier :
    Solennité de l'Épiphanie du Seigneur

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    Domingos Sequeira (1768-1837), L'adoration des mages
    Museu Nacional de Arte Antiga, Lisbonne (Portugal)
    (Crédit photo)

  • Dimanche 27 décembre 2020

    Dimanche dans l'octave de la Nativité
     
    Au nouveau calendrier : Fête de la Sainte Famille

  • Graduel de la Fête de l'Immaculée Conception : Benedicta Es Tu

    Monastère bénédictin de Santo Domingo de Silos

    Graduale. Iudith 13, 23.
    Benedícta es tu. Virgo María, a Dómino, Deo excélso, præ ómnibus muliéribus super terram.
    Bénie êtes-vous, ô Vierge Marie, par le Seigneur Dieu très-Haut, plus que toutes les femmes sur la terre.

    Ibid. 15, 10.
    V/. Tu glória Ierúsalem, tu lætítia Israël, tu honorificéntia pópuli nostri.
    V/. Vous, gloire de Jérusalem ; vous, joie d’Israël ; vous, honneur de notre peuple.

    Cant. 4, 7.
    Allelúia, allelúia. V/. Tota pulchra es, María : et mácula originális non est in te. Allelúia.
    Allelúia, allelúia. V/. Vous êtes toute belle, ô Marie, et la tache originelle n’est pas en vous. Alléluia.

  • Basilique St-Pierre : Messe pour la Fête du Christ Roi et dépose de la Croix des JMJ

     
    Retransmission à 10h en direct sur KTO
     

    Réaliser de grands rêves pour vivre dans la gloire de Dieu, avoir le courage de choisir le bien et donner sa vie selon le critère de l’amour. Le pape François a centré son homélie sur « les choix de vie et les choix banals » qui s’imposent à toute existence, lors de la Messe de remise de la Croix des JMJ, en la Basilique Saint-Pierre, dimanche 22 novembre, solennité du Christ-Roi.

    Compte rendu à lire sur Vatican News.

    Texte intégral de l'homélie du pape traduite en français sur le site du Vatican.

  • Méditation - Tous saints

    « Comment pouvons-nous devenir saints, amis de Dieu ? On peut répondre à cette interrogation tout d'abord par une négation : pour être saint, il n'est pas nécessaire d'accomplir des actions et des œuvres extraordinaires, ni de posséder des charismes exceptionnels. On peut ensuite répondre par une affirmation : il est nécessaire avant tout d'écouter Jésus, et de le suivre sans se décourager face aux difficultés. "Si quelqu'un me sert - nous avertit-Il - qu'il me suive, et là où je suis, là aussi sera mon serviteur. Si quelqu'un me sert, mon Père l'honorera" (Jn 12, 26). Celui qui a confiance en Lui et l'aime d'un amour sincère, comme le grain de blé tombé en terre, accepte de mourir à lui-même. En effet, il sait que celui qui veut garder sa vie pour lui-même la perd, et que celui qui se donne, se perd, et trouve précisément ainsi la vie. (cf. Jn 12, 24-25). L'expérience de l'Eglise démontre que toute forme de sainteté, tout en suivant des parcours différents, passe toujours par le chemin de la croix, le chemin du renoncement à soi-même. Les biographies des saints décrivent des hommes et des femmes qui, dociles aux desseins divins, ont parfois affronté des épreuves et des souffrances indescriptibles, des persécutions et le martyre. Ils ont persévéré dans leur engagement, "ce sont ceux qui viennent de la grande épreuve - lit-on dans l'Apocalypse - ils ont lavé leurs robes et les ont blanchies dans le sang de l'Agneau" (v. 14). Leurs noms sont inscrits dans le livre de la vie (cf. Ap 20, 12) ; leur demeure éternelle est le Paradis. L'exemple des saints est pour nous un encouragement à suivre les mêmes pas, à ressentir la joie de celui qui a confiance en Dieu, car l'unique cause véritable de tristesse et de malheur pour l'être humain est de vivre loin de Lui.

    [...] Les Béatitudes nous montrent la physionomie spirituelle de Jésus, et expriment ainsi son mystère, le mystère de Mort et de Résurrection, de Passion, et de joie de la Résurrection. Ce mystère, qui est le mystère de la véritable Béatitude, nous invite à suivre Jésus et, ainsi, à nous acheminer vers elle. Dans la mesure où nous accueillons sa proposition et nous nous plaçons à sa suite - chacun selon ses conditions -, nous aussi, nous pouvons participer à sa béatitude. Avec Lui, l'impossible devient possible et même un chameau peut passer par le trou d'une aiguille (cf. Mc 10, 25) ; avec son aide, et uniquement avec son aide, il est possible de devenir parfaits comme le Père céleste est parfait (cf. Mt 5, 48). »

    Benoît XVI, extraits de l'homélie du 1er novembre 2006.
    (Texte intégral)

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  • Mercredi 24 juin 2020

    Nativité de St Jean Baptiste

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    Giusto de Menabuoi (1330-v.1391), Le nom de Jean Baptiste
    Fresque de la cathédrale de Padoue (Italie)
     
  • Dimanche 21 juin 2020

    3ème Dimanche après la Pentecôte

    Solennité facultative de la Fête du Sacré-Cœur

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    Au nouveau calendrier :
    12e dimanche du Temps ordinaire

  • Méditation - « La tendresse de Dieu révélée dans le Sacré-Cœur de Jésus »

    « En cette Fête du Sacré-Cœur de Jésus, j’attire votre attention sur deux représentations du Sacré-Cœur de Jésus dans l’iconographie chrétienne. Il y a l’image du Sacré-Cœur où Jésus pointe son doigt vers son cœur sur sa poitrine ouverte. [...] Elle nous rappelle que notre Dieu a un cœur et qu’il souhaite entretenir une relation d’amour avec nous. Jésus ne désigne pas son cerveau, ni ses pieds, mais son cœur. Notre Dieu est un Dieu à cœur ouvert, qui nous aime et que nous pouvons aimer.

    La deuxième représentation du Sacré-Cœur est celle de Jésus avec les bras grands ouverts. [...] Cette image nous révèle un Dieu toujours prêt à accueillir, qui invite à la rencontre, qui nous redit : « Venez à moi vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi, je vous soulagerai » (Mt 11, 28). Cette représentation du Sacré-Cœur nous rappelle sans cesse que dans les bras de notre Dieu, dans son cœur, il y a toujours de la place pour nous. Nous sommes toujours attendus et désirés, car il nous aime.

    Dans toutes les civilisations du monde, le cœur a toujours été associé à l’amour, à la tendresse, à l’intimité. La Bible n’a pas échappé à cette symbolique. Dans la mentalité juive de l’Ancien Testament, le mot hébreu « néfesh » veut dire cœur, esprit et il réfère à la globalité de la personne, à son intégralité. Pour le Juif, le cœur, l’esprit, le souffle signifient la vie et englobent toute la personne.

    Le Nouveau Testament et la prédication de Jésus s’insèrent dans cette dynamique, mais en la propulsant d’une manière vertigineuse dans la relation amoureuse que Jésus entretient avec Dieu, son Père. Nous sommes capables de Dieu. Nous sommes faits pour Dieu. Dieu veut nous insérer au Cœur de son Amour ! [...]

    La Solennité du Sacré-Cœur de Jésus célèbre la Vie à qui rien ne résiste. Le Sacré-Cœur de Jésus anime le monde à la manière du ferment dans la pâte et de la semence dans la terre. Le Sacré-Cœur de Jésus bat au cœur du monde. Le Sacré-Cœur de Jésus dénoue les impasses, ouvre les portes, même les plus verrouillées et il fait surgir la Vie, plus vivante que jamais ! Telle est notre foi ! Telle est la Bonne Nouvelle ! Telle est la Joie de l’Évangile ! »

    Mgr Gérald Cyprien Lacroix, Extraits de l'homélie pour la Solennité du Sacré-Coeur de Jésus, Eglise de Saint-Félicien, Lac Saint-Jean, Québec, 12 juin 2015.

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  • Méditation - Le Saint-Sacrement

    « Le temps que vous passez avec Jésus au Saint-Sacrement est votre meilleur temps sur la terre. Chaque moment passé ainsi approfondira votre union avec Lui, rendra votre âme éternellement plus glorieuse et plus belle au ciel, et contribuera à apporter au monde une paix durable. »

    Ste Teresa de Calcuta (1910-1997).

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