Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

apparition

  • A l'origine de la Fête du Sacré-Coeur : une demande de réparation

    « Étant une fois devant le Saint Sacrement, un jour de son octave, je reçus de mon Dieu des grâces excessives de son amour, et me sentis touchée du désir de quelque retour et de lui rendre amour pour amour. Et il me dit : "Tu ne peux m'en rendre un plus grand qu'en faisant ce que je t'ai déjà tant de fois demandé." Alors me découvrant son divin Cœur : "Voilà ce Cœur qui a tant aimé les hommes, qu'il n'a rien épargné jusqu'à s'épuiser et se consumer pour leur témoigner son amour ; et pour reconnaissance je ne reçois de la plupart que des ingratitudes, par leurs irrévérences et leurs sacrilèges, et par les froideurs et mépris qu'ils ont pour moi dans ce sacrement d'amour. Mais ce qui m'est encore plus sensible est que ce sont des cœurs qui me sont consacrés qui en usent ainsi. C'est pourquoi je te demande que le premier vendredi d'après l'octave du Saint Sacrement soit dédié à une fête particulière pour honorer mon divin Cœur en communiant ce jour-là et en lui faisant réparation d'honneur par une amende honorable pour réparer les indignités qu'il a reçues pendant le temps qu'il a été exposé sur les autels. Je te promets aussi que mon Cœur se dilatera pour répandre avec abondance les influences de son divin amour sur ceux qui lui rendront cet honneur et qui procureront qu'il lui soit rendu". »

    Ste Marguerite-Marie, récit de la vision reçue en juin 1675 (dite la "grande apparition", entre le 14 et le 20 juin 1675), Vie écrite par elle-même, in "Vie et Œuvres", Paris, Poussielgue, 1867, t.II, p.355.

    fête,sacré-coeur,apparition,vision,révélation,Jésus,Marguerite-Marie,réparation

  • Notre-Dame de Lourdes

    Notre-Dame_de_Lourdes_10.jpg

    11 février 1858...
     
    « J'avais commencé à ôter mon premier bas, quand tout à coup j'entendis une grande rumeur pareille à un bruit d'orage. Je regardai à droite, à gauche, sur les arbres de la rivière. Rien ne bougeait ; je crus m'être trompée. Je continuai à me déchausser, lorsqu'une nouvelle rumeur, semblable à la première, se fit encore entendre. Oh ! Alors, j'eus peur et me dressai. Je n'avais plus de parole et ne savais que penser, quand, tournant la tête du côté de la Grotte, je vis à une des ouvertures du rocher un buisson, un seul, remuer, comme s'il avait fait grand vent. Presque en même temps il sortit de l'intérieur de la Grotte un nuage couleur d'or, et peu après une Dame jeune et belle, belle surtout, comme Je n'en avais jamais vu, vint se placer à l'entrée de l'ouverture au-dessus du buisson. Aussitôt elle me regarda, me sourit et me fit signe d'avancer, comme si elle avait été ma mère. La peur m'avait passé, mais il me semblait que je ne savais plus où j'étais. Je me frottais les yeux, je les fermais, je les ouvrais, mais la Dame était toujours là, continuant à me sourire et me faisant comprendre que je ne me trompais pas. Sans me rendre compte de ce que je faisais, je pris mon chapelet dans ma poche et me mis à genoux. La Dame m'approuva par un signe de tête et amena elle-même dans ses doigts un chapelet qu'elle, tenait à son bras droit. Lorsque je voulus commencer le chapelet et porter ma main au front, mon bras demeura comme paralysé, et ce n'est qu'après que la Dame se fut signée que je pus faire comme elle. La Dame me laissa prier toute seule ; elle faisait bien passer entre ses doigts les grains de son chapelet, mais elle ne parlait pas ; et ce n'est qu'à la fin de chaque dizaine qu'elle disait avec moi : Gloria Patri, et Filio, et Spiritui Sancto. Quand j'eus fini de réciter mon chapelet, la Dame me fit signe d'approcher. Mais je n'ai pas osé. Alors elle rentra à l'intérieur de la roche et le nuage disparut avec elle...
     
    La Dame avait l'air d'une jeune fille de seize à dix-sept ans, aux yeux bleus. Elle était vêtue d'une robe blanche, serrée à la ceinture par un ruban bleu glissant le long de la robe. Elle portait sur sa tête un voile blanc, laissant à peine apercevoir ses cheveux, retombant ensuite en arrière jusqu'au dessous de la taille. Ses pieds étaient nus, mais couverts par les derniers plis de la robe sauf à la pointe où brillait sur chacun d'eux une rose jaune, épanouie. Les grains de son chapelet étaient blancs et la chaîne d'or brillante comme les deux roses des pieds. Je n'en ai jamais vu de semblable, ça brillait comme de l'or et bien plus encore. »

    Notre-Dame_de_Lourdes_CP2a.jpg

    Photographie prise en 1858

  • Il y a 150 ans, le 17 janvier 1871...

     
    « Mais priez mes enfants Dieu vous exaucera en peu de temps.
    Mon Fils se laisse toucher »

    ND_Pontmain_1a.jpg

    Vitrail de la basilique Notre-Dame d'Espérance de Pontmain

  • Mercredi 27 novembre 2019

    De la férie

    En certains lieux :
    L’Immaculée Vierge Marie de la Médaille Miraculeuse

    medaille_miraculeuse.jpg

  • FÊTE DU SACRÉ-CŒUR

    « Etant une fois devant le Saint Sacrement, un jour de son octave, je reçus de mon Dieu des grâces excessives de son amour, et me sentis touchée du désir de quelque retour et de lui rendre amour pour amour. Et il me dit : "Tu ne peux m'en rendre un plus grand qu'en faisant ce que je t'ai déjà tant de fois demandé." Alors me découvrant son divin Cœur : "Voilà ce Cœur qui a tant aimé les hommes, qu'il n'a rien épargné jusqu'à s'épuiser et se consumer pour leur témoigner son amour ; et pour reconnaissance je ne reçois de la plupart que des ingratitudes, par leurs irrévérences et leurs sacrilèges, et par les froideurs et mépris qu'ils ont pour moi dans ce sacrement d'amour. Mais ce qui m'est encore plus sensible est que ce sont des cœurs qui me sont consacrés qui en usent ainsi. C'est pourquoi je te demande que le premier vendredi d'après l'octave du Saint Sacrement soit dédié à une fête particulière pour honorer mon divin Cœur en communiant ce jour-là et en lui faisant réparation d'honneur par une amende honorable pour réparer les indignités qu'il a reçues pendant le temps qu'il a été exposé sur les autels. Je te promets aussi que mon Cœur se dilatera pour répandre avec abondance les influences de son divin amour sur ceux qui lui rendront cet honneur et qui procureront qu'il lui soit rendu". »

    Ste Marguerite-Marie, Récit de la quatrième révélation (la "grande apparition"), entre le 13 et le 20 juin 1675, in "Vie écrite par elle-même", Vie et Œuvres, Tome II, Paris, Poussielgue, 1867.

    Sainte_Marguerite-Marie_8aa.jpg

    Prières, Actes de consécration et de réparation, litanies et neuvaines au Sacré-Cœur de Jésus...
    documents à télécharger (prêts à imprimer) sur notre site internet ici.

  • 11 février 1858, première apparition de Notre-Dame à Lourdes

    Le récit de l'apparition par Bernadette

    Ce jour-là, il fait bien froid. Vers 11 heures, Bernadette Soubirous, sa sœur Marie-Antoinette et une amie, Jeanne Abadie, se dirigent vers les bords du Gave du côté de la grotte de Massabielle pour chercher du bois. Pendant que Toinette et Jeanne s'éloignent de Bernadette, celle-ci avant de passer l'eau glaciale du canal se met à genoux pour réciter l'Angélus qu'on vient de sonner. C’est alors qu’a lieu la première apparition, comme la raconte Bernadette :

    « J'avais commencé à ôter mon premier bas, quand tout à coup j'entendis une grande rumeur pareille à un bruit d'orage. Je regardai à droite, à gauche, sur les arbres de la rivière. Rien ne bougeait ; je crus m'être trompée. Je continuai à me déchausser, lorsqu'une nouvelle rumeur, semblable à la première, se fit encore entendre. Oh! alors, j'eus peur et me dressai. Je n'avais plus de parole et ne savais que penser, quand, tournant la tête du côté de la grotte, je vis à une des ouvertures du rocher un buisson, un seul, remuer, comme s'il avait fait grand vent. Presque en même temps il sortit de l'intérieur de la grotte un nuage couleur d'or, et peu après une Dame jeune et belle, belle surtout, comme je n'en avais jamais vu, vint se placer à l'entrée de l'ouverture au-dessus du buisson. Aussitôt elle me regarda, me sourit et me fit signe d'avancer, comme si elle avait été ma mère. La peur m'avait passé, mais il me semblait que je ne savais plus où j'étais. Je me frottais les yeux, je les fermais, je les ouvrais, mais la Dame était toujours là, continuant à me sourire et me faisant comprendre que je ne me trompais pas. Sans me rendre compte de ce que je faisais, je pris mon chapelet dans ma poche et me mis à genoux. La Dame m'approuva par un signe de tête et amena elle-même dans ses doigts un chapelet qu'elle, tenait à son bras droit. Lorsque je voulus commencer le chapelet et porter ma main au front, mon bras demeura comme paralysé, et ce n'est qu'après que la Dame se fut signée que je pus faire comme elle. La Dame me laissa prier toute seule ; elle faisait bien passer entre ses doigts les grains de son chapelet, mais elle ne parlait pas ; et ce n'est qu'à la fin de chaque dizaine qu'elle disait avec moi : Gloria Patri, et Filio, et Spiritui Sancto. Quand j'eus fini de réciter mon chapelet, la Dame me fit signe d'approcher. Mais je n'ai pas osé. Alors elle rentra à l'intérieur de la roche et le nuage disparut avec elle. »

    « La Dame avait l'air d'une jeune fille de seize à dix-sept ans, aux yeux bleus. Elle était vêtue d'une robe blanche, serrée à la ceinture par un ruban bleu glissant le long de la robe. Elle portait sur sa tête un voile blanc, laissant à peine apercevoir ses cheveux, retombant ensuite en arrière jusqu'au dessous de la taille. Ses pieds étaient nus, mais couverts par les derniers plis de la robe sauf à la pointe où brillait sur chacun d'eux une rose jaune, épanouie. Les grains de son chapelet étaient blancs et la chaîne d'or brillante comme les deux roses des pieds. Je n'en ai jamais vu de semblable, ça brillait comme de l'or et bien plus encore. »

    Source : J.M., Agence Fides, 2 mai 2007.

    Notre-Dame_de_Lourdes_8a.jpg

  • Dimanche 11 février 2018

    Dimanche de la Quinquagésime

    (6ème dimanche du Temps Ordinaire)
     

     Apparition de la Sainte Vierge à Lourdes

    (Notre-Dame de Lourdes)

    Notre-Dame_de_Lourdes_8a.jpg

    XXVIIe Journée Mondiale du Malade
    (mais les diocèses peuvent choisir une autre date)

     Rappel : Message du Pape François
    Mater Ecclesiae : « “ Voici ton fils ... Voici ta mère ”.
    Dès cette heure-là, le disciple l’accueillit chez lui » (Jn 19, 26-27)

    (donné le 26 novembre 2017)

  • Samedi 11 février 2017

    Apparition de la Vierge Immaculée
    (Notre-Dame de Lourdes)

    Notre-Dame_de_Lourdes_5a.jpg

    Journée des Malades

  • Un très beau film sur les apparitions de Notre-Dame à Fatima

  • Méditation - Prière : Réparation pour les blasphèmes

    « Dieu nous a donné la langue afin qu'elle nous serve pour le bien, surtout pour le louer, Lui, notre Créateur et Rédempteur.
    Beaucoup d'hommes et de femmes se servent de la langue pour blasphémer et vomir des insultes vers la Divine Majesté. Dieu est jaloux de son Saint Nom ; il nous a donné un commandement : de ne pas nommer le nom de Dieu en vain.
    Jésus nous a appris le Pater, courte prière par laquelle nous demandons à Dieu les choses les plus nécessaires ; mais avant tout, il nous a appris à demander au Père la sanctification de son Saint Nom : Notre Père qui êtes aux cieux, que votre nom soit sanctifié... Pourtant, sur la terre, il n'y a pas un nom qui reçoive plus d'insultes que le nom de Dieu. Combien de blasphèmes contre Jésus-Christ dans les laboratoires, dans les casernes, dans les magasins, dans les familles ; dans la rue, que d'insultes on entend contre le fils de Dieu ! Chaque blasphème est comme un soufflet que le fils donne à son propre père. Blasphémer contre Jésus le Rédempteur du genre humain ! Dans une journée, combien de milliers et de millions de blasphèmes on prononce ! Le devoir des bons chrétiens est de donner réparation au Cœur de Jésus pour les insultes qu'il reçoit, lui offrir toutes les bonnes œuvres de la journée, de la semaine, en réparation des blasphèmes...
    Il est bon de rappeler l'épisode advenu à Fatima avant les apparitions de la Vierge : un ange majestueux s'était présenté aux enfants, il tenait dans ses mains un grand calice surmonté d'une hostie, il dit aux voyants : « Mettez-vous à genoux, baisez la terre et dites avec moi : Seigneur, je vous bénis pour ceux qui vous maudissent. »
    Puisque l'ange a conseillé aux trois enfants de réciter cette brève prière, c'est signe qu'elle plaît à Dieu et répare les blasphèmes. Il convient donc de la réciter souvent le long de la journée et avec dévotion. »

    Don Tomaselli G. (Oldino Maltes), Les Quinze Vendredis consécutifs en l'honneur du Sacré-Cœur, Deuxième édition en langue française, École du Livre, Barrira-Catania (Italie), 1952.

    Don Tomaselli,Oldino Maltes,réparation,blasphèmes,prière,Notre Père,sanctification,nom,Dieu,Fatima,ange,apparition

    Fatima : Apparition de l'Ange aux trois enfants

  • Méditation : Message de la Bse Vierge Marie à La Salette - 19 septembre 1846

    « Avancez, mes enfants, n’ayez pas peur, je suis ici pour vous conter une grande nouvelle.

    Si mon peuple ne veut pas se soumettre, je suis forcée de laisser aller le bras de mon Fils. Il est si fort et si pesant que je ne puis plus le maintenir. Depuis le temps que je souffre pour vous autres ! Si je veux que mon Fils ne vous abandonne pas, je suis chargée de le prier sans cesse. Pour vous autres, vous n’en faites pas cas ! Vous aurez beau prier, beau faire, jamais vous ne pourrez récompenser la peine que j’ai prise pour vous autres.

    Je vous ai donné six jours pour travailler, je me suis réservé le septième et on ne veut pas me l’accorder. C’est ça qui appesantit tant le bras de mon Fils.

    Et aussi, ceux qui mènent les charrettes ne savent pas jurer sans mettre le nom de mon Fils au milieu. Ce sont les deux choses qui appesantissent tant le bras de mon Fils.

    Si la récolte se gâte, ce n’est rien qu’à cause de vous autres. Je vous l’avais fait voir l’an dernier par les pommes de terre, vous n’en avez pas fait cas. C’est au contraire : quand vous en trouviez des pommes de terre gâtées, vous juriez, vous mettiez le nom de mon Fils au milieu. Elles vont continuer, et cette année, pour la Noël, il n’y en aura plus.

    (Jusqu’ici la Belle Dame a parlé en français. Elle prévient une question de Mélanie et termine son discours en patois.)

    Vous ne comprenez pas, mes enfants ! Je vais vous le dire autrement. Si la recolta se gasta...
    Si vous avez du blé, il ne faut pas le semer. Tout ce que vous sèmerez, les bêtes le mangeront et ce qui viendra tombera tout en poussière quand on le battra. Il viendra une grande famine.
    Avant que la famine vienne, les petits enfants au-dessous de 7 ans prendront un tremblement et mourront entre les mains des personnes qui les tiendront.
    Les autres feront pénitence par la famine. Les noix deviendront vides, les raisins pourriront.

    (A ce moment Mélanie voit que la Belle Dame dit quelques mots à Maximin, mais elle n’entend pas. Puis c’est au tour de Maximin de comprendre qu’elle dit quelques mots à Mélanie qu’il n’entend pas non plus. Puis elle poursuit.)

    S’ils se convertissent, les pierres et les rochers deviendront des monceaux de blé et les pommes de terre seront ensemencées par les terres.

    Faites-vous bien votre prière, mes enfants ?
    Pas guère, Madame.
    Ah ! Mes enfants, il faut bien la faire, soir et matin, ne diriez-vous seulement qu’un "Notre Père" et un "Je vous salue". Et quand vous pourrez mieux faire, dites-en davantage.
    L’été, il ne va que quelques femmes un peu âgées à la Messe. Les autres travaillent le dimanche tout l’été, et l’hiver, quand ils ne savent que faire, ils ne vont à la Messe que pour se moquer de la religion.
    Le Carême, ils vont à la boucherie, comme les chiens.
    N’avez-vous point vu de blé gâté, mes enfants ?
    Non Madame !
    Mais vous, Maximin, mon enfant, vous devez bien en avoir vu une fois, au Coin, avec votre père. Le maître du champ dit à votre père de venir voir son blé gâté. Vous y êtes allés. Votre père prit deux ou trois épis dans sa main, les froissa et ils tombèrent tous en poussière. En vous en retournant, quand vous n’étiez plus qu’à une demi-heure de Corps, votre père vous donna un morceau de pain en vous disant : "Tiens, mon petit, mange encore du pain cette année, car je ne sais pas qui va en manger l’an qui vient si le blé continue comme ça".
    Ah ! Oui, Madame. Je m’en rappelle à présent. Je ne m’en rappelais pas tout à l’heure.

    Eh bien, mes enfants, vous le ferez passer à tout mon peuple !
    Allons, mes enfants, faites-le bien passer à tout mon peuple ! »

    Sanctuaire Notre Dame de La Salette

    apparition,Vierge Marie,La Salette,Maximin Giraud,Mélanie Calvat,19 septembre

  • Mercredi 11 février 2015

    Apparition de la Sainte Vierge à Lourdes

    Notre-Dame de Lourdes

    Notre-Dame_de_Lourdes_6.jpg

    Calendrier liturgique et sanctoral

  • Anniversaire de l'Apparition de la Vierge Marie à Pontmain

    Le soir du 17 janvier 1871, de 18h à 21h, la Vierge Marie apparaît dans le ciel de Pontmain à de jeunes enfants : Eugène et Joseph Barbedette, Françoise Richer et Jeanne-Marie Lebossé, puis au Bx Abbé Guérin et à tout le village, et leur communique, de la part du Seigneur, un message de prière et d'espérance :

    "Mais priez, mes enfants, Dieu vous exaucera en peu de temps. Mon fils se laisse toucher"

    Fête au calendrier diocésain de Coutances et Avranche.

  • Les apparitions de l'Ile Bouchard

    A l'âge de 12 ans, Jacqueline Aubry allait à l'école comme tous les enfants de son âge. Ses parents n'étaient pas pratiquants, mais sa maman l'avait quand même inscrite à l'école des Sœurs. En ce 8 décembre 1947, fête de la Sainte Vierge, Jacqueline, sa petite sœur et une petite voisine entrent dans l'église pour aller dire une petite prière. C'est alors, qu'au 4ème "Je vous salue Marie", Jacqueline aperçoit une dame d'une beauté extraordinaire...

    L'Ile Bouchard - Témoignage de Jacqueline Aubry

  • Ste Lutgarde (fêtée ce jour) et la dévotion au Sacré-Coeur

    1199 : Apparition du Christ à Ste Lutgarde de Saint-Trond (1182-1246).

    « Près de cinq siècles avant Marguerite-Marie, Lutgarde fut en vérité la confidente du Sacré-Cœur. Ce mystère lui fut révélé, il imprégna toute sa vie, il fut sa vie même. Rien ne lui manque, pas même cette compassion pour les souffrances du Christ, le désir impatient de lui rendre sang pour sang et martyre pour martyre, et l'impétration incessante pour ceux que le Cœur miséricordieux lui confie et qu'il désigne de cette appellation touchante : « mes pécheurs ». Mais elle n'a pas reçu mandat de faire connaître au monde chrétien le mystère du Cœur divin et son souvenir n'y attirerait personne. D'autres recevront cette mission. »
    Pierre Debongnie C.SS.R., La dévotion au Cœur de Jésus, in "Le Cœur", Études Carmélitaines, Paris, Desclée de Brouwer, 1950.

    C'est la première apparition médiévale du Sacré-Cœur qui nous ait été transmise par la Tradition.

    Sainte,Lutgarde,dévotion,Sacré-Coeur,apparition,Christ,Saint-Trond,échange des cœurs

    Les Acta Sanctorum décrivent l'échange des cœurs dont elle reçut la faveur :

    « Que m'importe à moi, rustique et sans lettres, moniale et non dans les ordres, de savoir les secrets de l’Écriture ?" Et Dieu de lui dire : "Que veux-tu donc ?" "Ce que je veux, dit-elle, c'est votre Cœur". Et le Seigneur : "Bien plutôt, c'est moi qui veux ton cœur". Elle lui répondit : "Qu'il en soit ainsi, Seigneur, de telle façon cependant que vous accordiez à mon cœur l'amour de votre Cœur et qu'en vous je possède mon cœur, bien à l'abri et pour toujours sous votre garde". Alors eut lieu l'échange des cœurs. »
    Acta Sanctorum, Iun. IV (1707), 193. Trad. Debongnie, 156.

  • Jeudi 8 mai 2014

    Calendrier liturgique

  • Mardi 11 février 2014

    Notre-Dame de Lourdes
    (Apparition de la Vierge Immaculée)

    Calendrier liturgique

  • Apparition de la Vierge Marie à Pontmain

    Le soir du 17 janvier 1871, de 18h à 21h, la Vierge Marie apparaît dans le ciel de Pontmain à de jeunes enfants : Eugène et Joseph Barbedette, Françoise Richer et Jeanne-Marie Lebossé, puis au Bx abbé Guérin et à tout le village, et leur communique, de la part du Seigneur, un message de prière et d'espérance :
     
    "Mais priez, mes enfants, Dieu vous exaucera en peu de temps. Mon fils se laisse toucher"
     
    Très douce Vierge Marie,
    Tu as dans ton apparition à Pontmain,
    rappelé l’importance de la prière,
    fortifié en nos cœurs l’Espérance
    et apporté la Paix.

    Daigne accueillir favorablement aujourd’hui
    la prière ardente que nous t’adressons
    pour que s’établisse dans nos cœurs, nos familles,
    notre Nation et toutes les Nations,
    la PAIX,
    fruit de la justice, de la vérité, de la charité.

    Augmente en nos âmes le désir de vivre pleinement notre foi,
    sans aucune compromission, dans toutes les circonstances de notre vie.

    Aide-nous à toujours comprendre les autres
    et à les aimer profondément en Dieu. Amen.
  • Audience générale de ce mercredi 11 décembre 2013

    Le Pape François a consacré la catéchèse de l'audience générale, tenue ce matin Place St Pierre devant 27.000 fidèles, au dernier article du Credo relatif à la vie éternelle et au jugement dernier :

    "Lorsque nous pensons au retour du Christ pour le jugement dernier, qui sanctionnera définitivement les bonnes actions et les omissions de nos vies, nous savons être en présence d'un mystère suprême que nous ne pouvons pas même imaginer. Instinctivement, ce mystère nous fait peur, nous angoisse, alors que si on y réfléchit il ne peut que réjouir le cœur du chrétien et susciter un sentiment de consolation et de confiance". Puis il a expliqué que le témoignage des premières communautés chrétiennes est intéressant car elles accompagnaient leurs prières de l'acclamation Maranatha, une sorte de supplique signifiant : Viens Seigneur !". C'était une certitude alimentée par la foi : Oui le Seigneur vient, il est proche. Dans cette formule est condensée la Révélation. Au final de son Apocalypse, Jean montre l’Église épouse qui s'adresse à son époux Jésus, qu'elle ne voit pas "alors qu'elle va être enveloppée de sa plénitude de vie et d'amour. Si nous envisageons le jugement dernier dans cette perspective, toute peur, tout doute s'efface pour faire place à une joie profonde. Car c'est alors que nous serons jugés et pourrons être revêtus de la gloire du Christ". La confiance du chrétien vient aussi de la certitude de ne pas être seul et abandonné au moment du jugement. Le Christ sera notre avocat auprès du Père et nous pourrons compter sur la bienveillance de tant de nos prédécesseurs dans la foi...qui continuent de nous aimer d'une façon indicible. Les saints vivent auprès de Dieu et, dans la splendeur de sa gloire, prient pour nous qui sommes encore sur terre". L’Évangile de Jean rappelle que le Christ a été envoyé par le Père non pour condamner le monde mais pour qu'il soit sauvé à travers son sacrifice. "Cela signifie que le jugement est commencé, ici-bas. Le jugement est prononcé à chaque instant de notre vie, à l'épreuve de la manière dont nous percevons la foi dans le salut qu'opère le Christ, ou de notre incrédulité découlant de notre repli en nous-mêmes. Le salut c'est s'ouvrir à Jésus. Tous nous sommes pécheurs et il nous pardonne. Il faut donc s'ouvrir à l'amour du Seigneur qui dépasse toute chose. S'ouvrir signifie se repentir du bien que nous n'avons pas fait... Le Seigneur s'est offert et continue de s'offrir et de nous combler de la grâce et de la miséricorde du Père. D'une certaine manière nous sommes nous-mêmes nos juges. Nous nous condamnons à l'exclusion de la communion avec Dieu et nos frères... Ne cessons donc pas de veiller sur nos pensées et nos actes afin de goûter dès maintenant la splendeur de Dieu que nous contemplerons pleinement dans la vie éternelle".

    Après sa catéchèse, le Saint-Père a lancé un appel contre le scandale de la faim dans le monde, rappelant que la Caritas Internationalis lance une campagne mondiale de lutte contre la faim et le gaspillage de nourriture. Elle s'intitule : 'Une seule famille humaine et de la nourriture pour tous les hommes'. Ce scandale, a dit le Pape, "ne doit pas nous paralyser mais nous pousser à agir, individus, familles, communautés, institutions et gouvernements, afin de mettre fin à l'injustice de la faim. L’Évangile nous indique la voie, qui est d'avoir confiance dans la Providence et partager le pain quotidien sans le gaspiller. J'encourage donc la Caritas dans ce vaste projet et vous invite tous à cette vague de solidarité".

    Le Saint-Père a également rappelé que c'est demain la fête de Notre-Dame de Guadalupe, la patronne de l'Amérique : Lorsque la Vierge est apparue à saint Juan Diego, a-t-il dit en espagnol, "son visage était celui d'une métisse et ses vêtements couverts de motifs indigènes. Comme Jésus, Marie se fait proche de ses enfants, qu'elle accompagne en Mère sur le chemin de la vie. Ainsi partage-t-elle les joies et attentes, les souffrances et angoisses du peuple de Dieu, appelé à rassembler tous les peuples". Cette apparition mariale fut un signe d'affection de Marie pour les habitants de toutes les Amériques, d'alors et à venir. Sa présence caractérise un continent où "tant de peuples peuvent vivre ensemble dans le respect de la vie à tous ses stades, du sein maternel à la vieillesse, un continent généreux, ouvert aux émigrés, aux pauvres et aux marginaux de toute époque. Tel est le message de la Vierge de Guadalupe, que je fais mien, le message de l’Église. Puissent tous les américains tendre les bras comme elle. A nos frères et sœurs d'Amérique je demande aussi de prier pour moi. Puisse la joie évangélique demeurer en vos cœurs".

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 11.12.13).

  • Un mois avec Marie - Vingt-huitième jour

    UN MOIS AVEC MARIE

    VINGT-HUITIÈME JOUR
    Rayonnement

    Lorsque Notre-Dame daigne revenir sur la terre, elle y paraît environnée de clartés célestes. A Fatima, au témoignage des enfants, Elle est toute lumière.
    L'on demande à Lucie pourquoi, durant les Apparitions, elle baisse si souvent les yeux au lieu de les fixer sur la Vierge.
    - « C'est que, parfois elle m'éblouit », répond-elle.
    Pendant sa vie mortelle, Marie passait, simple et modeste, sans attirer l'attention. Qui pourrait croire, cependant, que n'émanaient point de sa personne des effluves divins !
    Eh quoi, elle portait dans son sein le Soleil de Justice, et de ses rayons cachés ne se seraient point dégagés lueurs et chaleur bienfaisantes !
    Les vertus transcendantes de Marie seraient-elles demeurées aussi sans influence ?...
    Non, mille fois non !... L'âme humaine transperce l'opacité de son enveloppe et se reflète dans la physionomie jusqu'à la transformer. Lorsqu'elle est noble et pure, elle rayonne autour d'elle quelque chose de son intime beauté.
    Les trois petits Voyants ont été indignement enfermés dans la prison publique par le « Ferblantier ». Agenouillés, mains jointes et les yeux baissés, ils égrènent le chapelet. Devant leur innocente candeur, leur piété fervente, les prisonniers qui les entourent, honnis de la société, sont empoignés par l'émotion et répondent à leurs Ave.
    De nombreuses personnes visitent Jacintha durant sa maladie. Retenus dans sa chambre par une mystérieuse attraction, ils y passent des heures y respirant une atmosphère céleste.
    Après une visite de ce genre, un prêtre disait à Lucie du vivant de François :
    - « Ce qui m'impressionne le plus, c'est l'innocence et la sincérité de François et de Jacintha. » Un confrère qui l'accompagnait ajoutait :
    - « J'éprouve un je ne sais quoi auprès de ces petits. Il me semble ressentir quelque chose de surnaturel. Parler avec eux me fait du bien à l'âme. »
    Qui n'a rencontré un jour ou l'autre de ces âmes de foi et de sacrifice qui, vivant unies au Christ, le laissent déborder librement ! Âmes chantantes, souples et d'acier, elles s'adaptent à toutes les situations, se plient à toutes les nécessités, n'aiment rien tant que le devoir.
    Âmes lumineuses - à l'image de la Vierge bénie - qui éclairent et répandent leur paix au milieu même des désordres de la société et du chaos qui en résulte.
    « Tu ne t'en aperçois pas, disait Notre-Seigneur à l'une d'elles, mais tu es tellement pleine de Dieu que tu le donnes sans le vouloir. Tu le donnes par tes paroles, par tes regards, par ton maintien, par ta démarche. Tu es comme une personne qui aurait absorbé une liqueur fortement aromatisée. Elle aurait beau vouloir qu'on ne le sache pas, le parfum la trahirait. Ainsi étant pleine de Jésus, tu le donnes, même à ton insu. »
    Se perfectionner soi-même, c'est déjà penser aux autres et leur faire du bien. « C'est pour eux que je me sanctifie », disait le Sauveur.
    Malheur au monde s'il n'y avait plus de Saints ! Aucune influence sur les affaires de l'Humanité n'est comparable à la leur. La vertu du Saint charme, entraîne, assainit l'atmosphère. Prédication muette et continuelle, elle stimule les bons, est un remords au négligent, un reproche et une condamnation pour le méchant.
    Pourquoi le monde est-il aux abois ? Parce qu'il ne comptait plus assez de Saints.
    Augmentons cette élite. Si nous le pouvons, soyons apôtres par la parole et par l'action. Mais sans oublier jamais le premier des apostolats, celui qui est à la portée de tous, qui féconde les autres et qui résulte de « ce que l'on est » plus encore que de « ce que l'on fait ».
    La puissance du bon exemple ne nous sera révélée que dans l'Au-Delà. Luttons contre le mal avec les armes pacifiques de la vertu, du dévouement, du pardon, de la charité et que notre prière, comme une flèche bien dirigée, s'élève, fervente, vers les Cœurs Sacrés de Jésus et de Marie. Ils viendront à notre secours et nous accorderons le salut.

    PRIÈRE

    Ô Jésus ! ô Marie ! répandez vos lumières en mon pauvre être obscur ! Formez en moi un Saint ignorant de lui-même et qui rayonne la sainteté sans le savoir. Allumez dans mon cœur, je vous en prie, un brasier d'amour si pur et si ardent, que nul ne puisse m'approcher sans apprendre à vous connaître, à vous aimer, sans devenir vôtre pour toujours…

    Ô Marie, Reine des Apôtres, priez pour nous.

    Œuvre de Propagande du Sacré-Cœur, Lyon, 1945.
    Nihil obstat : Montepessulano, 12.03.1945 – A. Bonjean, c.d.
    Imprimatur : Montepessulano, 13.03.1945 – Jean Rouquette, v.g.