Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

pologne

  • Jeudi 20 octobre 2016

    St Jean de Kenty, prêtre,
    patron de la Pologne

    Saint_Jean-de-Kenty_3b.jpg

    Tadeusz Kuntze-Konicz (1733-1793), Le miracle de St Jean de Kenty
    Musée national de Varsovie (Pologne)

  • Voyage du Pape - Cérémonie de congé à l’aéroport de Cracovie-Balice

    NB : La retransmission vidéo de cette cérémonie de congé par KTO a été annulée en raison de l'actualité en France, et de la diffusion en direct de la Messe célébrée à Notre-Dame de Paris à l'intention du Père Hamel et de sa communauté paroissiale.

    Après avoir rencontré les 20 000 volontaires qui ont permis le bon déroulement de ces JMJ, le Pape François a rejoint l’aéroport de Cracovie pour reprendre l’avion, direction Rome. L’appareil, un Boeing 787 de la LOT, la compagnie nationale polonaise, a décollé à 19h30 avec une heure de retard. Pendant les quasi deux heures de vol au-dessus de la Slovaquie, de l’Autriche, de la Slovénie, de la Croatie et de l’Italie, le Pape donnera la traditionnelle conférence de presse aux journalistes présents à bord et qui conclut chaque voyage apostolique. L’avion du Pape est attendu à l’aéroport de Rome Fiumicino vers 21h20.

    Source : Radio Vatican (XS).

  • Voyage du Pape - Rencontre avec les bénévoles et le Comité organisateur des JMJ

    Rencontre avec les bénévoles et le Comité organisateur des JMJ
    à la Tauron Arena à Cracovie

    Avant de repartir pour Rome, le Pape François a tenu à remercier les quelque 20 000 volontaires qui ont participé à l’organisation de ces JMJ et qui se sont occupés avec générosité et dévouement de l’accueil des pèlerins, des informations sur les transports, des traductions pour le centre de presse.

    Dans le palais des sports Tauron Arena de Cracovie, où a eu lieu l’au revoir, le Pape a décidé de ne pas lire le discours qu’il avait préparé : « trop ennuyeux » a-t-il confié. Il a alors improvisé un discours en espagnol dans lequel il a remercié tous les jeunes ayant contribué au succès de ces JMJ ainsi que les prêtres qui les ont accompagnés. Interrompu à de nombreuses reprises par les applaudissements et les cris, le Pape a interpellé les jeunes leur disant : « vous êtes l’espoir du futur ». Mais à deux conditions a-t-il aussitôt précisé.

    Avoir la mémoire de soi, de son histoire, de sa famille, de son pays. « Mémoire de combien j’ai reçu des adultes ». Et pour cela il faut parler avec ses parents et surtout avec ses grands-parents. Ensuite, il faut avoir du courage. Le Pape a alors évoqué un jeune, décédé du cancer et qui aurait aimé participer aux JMJ. « Ce jeune, aujourd’hui, il n’est pas là, mais ce jeune a semé de l’espoir pour le futur. Donc pour le présent, courage ».

    Dans le discours qu’il avait préparé, et qu’il a consigné à Mgr Damian Andrzej Muskus, l’évêque-coordinateur des JMJ, le Pape François a écrit : « il est beau de s’engager pour une noble cause, et il est gratifiant de le faire, en compagnie de tant d’amis ». Évoquant le mystère évangélique de la Visitation, le Pape François voulait proposer trois attitudes de Marie, icône du volontariat chrétien : l’écoute, la décision et l’action. « Le Seigneur place des signes sur notre chemin et nous appelle à les lire à la lumière de l’Évangile. Il ne faut pas craindre d’aller à contre-courant, d’assumer des risques, malgré les difficultés et les critiques ».

    Source : Radio Vatican (XS).

    Texte intégral du discours préparé par le Pape (version française) ci-dessous.

    Lire la suite

  • Voyage du Pape - Angelus et annonce des JMJ au Panama

  • Voyage du Pape - Messe pour la JMJ sur le Campus Misericordiae

    Messe pour la Journée Mondiale de la Jeunesse
    sur le Campus Misericordiae

    Texte intégral de l'homélie du Pape traduite en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Les prochaines JMJ auront lieu en 2019 à Panama

    Point d’orgue de ces XXXIe Journées Mondiales de la Jeunesse, la Messe célébrée ce dimanche 31 juillet 2016 au Camps de la Miséricorde à Cracovie, en Pologne. Environ un million et demi de jeunes pèlerins et leurs accompagnateurs, selon les chiffres de la police polonaise, ont assisté à la célébration présidée par le Pape François. C’est ici-même qu’a eu la veillée de prière samedi soir.

    Dans son homélie, le Pape François, commentant l’évangile de saint Luc, et la rencontre entre Jésus et Zachée, a expliqué que « Jésus désire, en d’autres termes, s’approcher de la vie de chacun, parcourir notre chemin jusqu’au bout, afin que sa vie et notre vie se rencontrent vraiment ».

    A l’issue de la Messe, lors de l’Angélus, le Pape François a annoncé que les prochaines Journées Mondiales de la Jeunesse auront lieu en 2019 à Panama.

    Source : Radio Vatican (XS).

  • Voyage apostolique du Pape François en Pologne - 5ème jour

    Programme du Voyage apostolique du Pape François en Pologne
    à l'occasion de la XXXIe Journée Mondiale de la Jeunesse

    Dimanche 31 juillet 2016

    09h30 : Messe de la Journée Mondiale de la Jeunesse sur le Campus Misericordiae
           Missel pour le Voyage apostolique en Pologne
    17h00 : Rencontre avec les bénévoles et le Comité organisateur des JMJ à la Tauron Arena à Cracovie
    18h15 : Cérémonie de congé à l’aéroport de Cracovie-Balice

    Vidéos KTO mises en ligne dès que disponibles

    voyage,pape,françois,pologne,JMJ,messe,Campus Misericordiae,Rencontre,bénévoles,Comité organisateur,Tauron Arena,Cracovie

    JMJ 2016 à Cracovie : Site officiel - Site officiel France

    Programme des JMJ de Cracovie 2016

    Journal des JMJ - Émissions - Reportages - Direct - Replay

  • Voyage du Pape - Veillée de prière avec les jeunes

    Veillée de prière avec les jeunes
    sur le Campus Misericordiae

    Le Pape François a présidé ce samedi soir, au « Campus Misericordiae » aménagé près de Cracovie, à la veillée des JMJ de Cracovie, sur le thème « Le chemin vers Jésus ». La Saint-Père a centré son discours sur un appel à la jeunesse à ne pas vivre repliée et passive mais au contraire à ouvrir son cœur à la miséricorde de Dieu.

    Un scénographie a été déployée autour de cinq notions, reliées à la Miséricorde : la foi pour ceux qui doutent, l’espérance pour ceux qui se découragent, l’amour pour les indifférents, le pardon pour ceux qui ont fait du mal, et la joie pour les personnes tristes. Danse et théâtre ont rythmé cette première partie, autour d’une comédienne jouant le rôle de sainte Faustine. La spiritualité de la Divine Miséricorde était centrale dans cette Veillée, avec des chants inspirés de la prière de sainte Faustine.

    Trois jeunes ont délivré leur témoignages sur leurs parcours de foi, dans trois expériences de vie très différentes :

    Une Polonaise de Lódz, Natalia, ancienne rédactrice en chef d’une revue de mode, a évoqué la façon dont elle avait renoué avec le sacrement de la confession un Dimanche de la Divine Miséricorde, en 2012, après avoir passé 20 années loin de l’Eglise.

    Une jeune Syrienne d’Alep a délivré un témoignage particulièrement émouvant, évoquant la mort dans certains de ses amis dans les combats de la guerre qui ravage son pays et particulièrement sa ville. Bénévole auprès de la communauté salésienne d’Alep, Rand, cette jeune fille de 26 ans a appelé les jeunes présents à « prier sérieusement » pour la paix dans son pays.

    Un jeune Paraguayen d’Asuncion, Miguel, a lui délivré un témoignage sur sa délivrance de la toxicomanie et de la délinquance, qui lui a valu plusieurs années de prison. Il a évoqué sa réinsertion grâce à la "ferme de l’Espérance", un organisme qui a pour but de permettre à d’anciens prisonniers de renouer la vie normale, grâce à l’expérience du pardon, et dont il a fini par prendre la responsabilité.

    Le Pape François s’est ensuite longuement exprimé, avec beaucoup d’énergie, en interpellant directement les jeunes sur l’exemple qu’ils peuvent donner aux adultes en mettant en action leur « liberté », et en résistant aux drogues, y compris les « drogues socialement acceptées », comme la consommation frénétique des jeux vidéo et des réseaux sociaux, une addiction qui avait d’ailleurs été l’objet du tableau sur "l’amour pour les indifférents" au début de la veillée.

    Prenant appui sur le témoignage donné par la jeune Syrienne, le Pape a rappelé que les jeunes participant aux JMJ viennent « de diverses parties du monde, de continents, de pays, langues, cultures, peuples différents ». « Nous sommes ‘‘fils’’ de nations qui peut-être sont en train de discuter à cause de divers conflits, ou même sont en guerre. Pour d’autres, nous venons de pays qui peuvent être en ‘‘paix’’, qui n’ont pas de conflits belliqueux, où beaucoup des choses douloureuses qui arrivent dans le monde font seulement partie des nouvelles et de la presse. Mais nous sommes conscients d’une réalité : pour nous, aujourd’hui et ici, provenant de diverses parties du monde, la douleur, la guerre que vivent de nombreux jeunes, ne sont plus une chose anonyme, elles ne sont plus une nouvelle de la presse, elles ont un nom, un visage, une histoire, une proximité. »

    « Il y a des situations qui peuvent nous paraître lointaines jusqu’à ce que, de quelque manière, nous les touchions. Il y a des réalités que nous ne comprenons pas parce nous ne les voyons qu’à travers un écran (du téléphone portable ou de l’ordinateur). Mais lorsque nous entrons en contact avec la vie, avec ces vies concrètes non plus médiatisées par les écrans, alors il nous arrive quelque chose de fort », a lancé le Pape, qui a appelé fermement à dépasser toute logique de vengeance.

    « Nous nous ne mettrons pas à crier contre quelqu’un, nous ne mettrons pas à nous quereller, nous ne voulons pas détruire, a lancé le Pape François. Nous, nous ne voulons pas vaincre la haine par davantage de haine, vaincre la violence par davantage de violence, vaincre la terreur par davantage de terreur. Et notre réponse à ce monde en guerre a un nom : elle s’appelle fraternité, elle s’appelle lien fraternel, elle s’appelle communion, elle s’appelle famille. »

    Le Pape a évoqué l’expérience des apôtres lors de la Pentecôte, qui avaient su dépasser leur peur pour recevoir l’Esprit Saint. « Lorsque la peur se terre dans la fermeture, elle est toujours accompagnée de sa ‘‘sœur jumelle’’, la paralysie ; nous sentir paralysés. Sentir qu’en ce monde, dans nos villes, dans nos communautés, il n’y a plus d’espace pour grandir, pour rêver, pour créer, pour regarder des horizons, en définitive pour vivre, est l’un des pires maux qui puissent nous affecter dans la vie. La paralysie nous fait perdre le goût de savourer la rencontre, de l’amitié, le goût de rêver ensemble, de cheminer avec les autres ».

    Le Pape a notamment invité à ne pas confondre le bonheur avec un confortable « divan », car « quand nous choisissons le confort, en confondant bonheur et consumérisme, alors le prix que nous payons est très mais très élevé : nous perdons la liberté. » Il a rappelé que « Jésus est le Seigneur du risque, du toujours ‘‘au-delà’’. Jésus n’est pas le Seigneur du confort, de la sécurité et de la commodité ». Il faut donc « aller par les routes en suivant la ‘‘folie’’ de notre Dieu qui nous enseigne à le rencontrer en celui qui a faim, en celui qui a soif, en celui qui est nu, dans le malade, dans l’ami qui a mal tourné, dans le détenu, dans le réfugié et dans le migrant, dans le voisin qui est seul. Aller par les routes de notre Dieu qui nous invite à être des acteurs politiques, des personnes qui pensent, des animateurs sociaux. Il nous incite à penser à une économie plus solidaire. Dans les milieux où vous vous trouvez, l’amour de Dieu nous invite à porter la Bonne Nouvelle, en faisant de notre propre vie un don fait à lui et aux autres », a insisté le Pape. « Lui, qui est la Vérité, t’invite à abandonner les routes de la séparation, de la division, du non-sens », a-t-il martelé, semblant s'adresser individuellement à chacun des jeunes présents.

    Enfin, la veillée s’est poursuivie avec le temps de l’adoration du Saint-Sacrement, dans un silence très respecté par les centaines de milliers de jeunes présents, portant des lumignons.

    Source : Radio Vatican (CV).

    Texte intégral du discours du Pape traduit en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Voyage du Pape - Messe avec les prêtres et religieux à Cracovie

    Messe avec les prêtres, religieux, consacrés et séminaristes
    au sanctuaire St-Jean-Paul II à Cracovie

    Quatrième jour des Journées mondiale de la jeunesse en Pologne. Au lendemain d’une journée sous le signe de la souffrance et de la mémoire, c’est le thème de la miséricorde qui rythme les différents rendez-vous de ce samedi 30 juillet. Les cœurs étaient emplis ce matin de la présence de Saint Jean-Paul II et de Sainte Faustine, deux apôtres de la miséricorde auxquels le peuple Polonais est très attaché.

    Le Saint-Père s’est en effet rendu au sanctuaire de la Divine miséricorde puis il a présidé une Messe au sanctuaire Saint-Jean-Paul II. Près de l’autel, une fiole du sang de Saint Jean-Paul II était posée, une relique devant laquelle s’est recueilli le Pape au terme de la célébration.

    Dans son homélie, le Pape a exhorté les deux mille prêtres, religieux, consacrées et séminaristes polonais présents, à être le visage d’une Église « aux portes ouvertes ». Un appel que le Pape, depuis le début de son pontificat, adresse au clergé, avec insistance. Une exhortation à l’image de Jésus, à sortir « pour répandre le pardon et la paix de Dieu » en écho à la grande invitation de Saint-Jean-Paul II : Ouvrez les portes. Cette mission, a précisé le Saint-Père implique le don de soi, le renoncement « à ses propres sécurités » à « ses propres commodités ».

    S’immerger dans la miséricorde pour « prendre soin des malades, des migrants, de tous ceux qui sont dans le besoin ». L’Évangile, a souligné le Pape, est un livre « qui contient encore des pages blanches », « un livre ouvert que nous sommes appelés à écrire avec nos œuvres de miséricorde ».

    Source : Radio Vatican (BH-HD).

    Texte intégral de l'homélie traduite en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Voyage du Pape - Visite du Sanctuaire de la Divine Miséricorde à Cracovie

    Au quatrième jour des 31e Journées Mondiales de la Jeunesse en Pologne, le Pape François s’est rendu tôt ce samedi au Sanctuaire de la Divine Miséricorde, à Lagiewniki, un quartier du sud de Cracovie.

    C’est dans ce sanctuaire qu’est enterrée Sainte-Faustine, l’apôtre de la Miséricorde. Connu dans le monde entier, chaque année environ deux millions de pèlerins se rendent à la Divine Miséricorde.

    « Aujourd’hui, le Seigneur veut faire sentir encore plus profondément sa grande miséricorde » a dit le Saint-Père depuis la terrasse du Sanctuaire. « Ne nous éloignons jamais de Jésus ! Même si nous pensons que pour nos péchés et nos faiblesses, nous sommes les pires. Le Seigneur nous préfère ainsi, ainsi sa miséricorde se répand. »

    Le Saint-Père s’est ensuite recueilli devant la tombe de Sainte-Faustine en silence. Après avoir passé la Porte Sainte de la Divine miséricorde, le Pape a confessé cinq jeunes pèlerins des JMJ.

    Source : Radio Vatican (BH).

  • Voyage apostolique du Pape François en Pologne - 4ème jour

    Programme du Voyage apostolique du Pape François en Pologne
    à l'occasion de la XXXIe Journée Mondiale de la Jeunesse

    Samedi 30 juillet 2016

    08h30 : Visite du Sanctuaire de la Divine Miséricorde à Cracovie
    10h30 : Messe avec les prêtres, religieux, consacrés et séminaristes au sanctuaire St-Jean-Paul II à Cracovie
           Missel pour le Voyage apostolique en Pologne
    19h00 : Veillée de prière avec les jeunes sur le Campus Misericordiae

    Vidéos KTO mises en ligne dès que disponibles

    voyage,pape,François,pologne

    JMJ 2016 à Cracovie : Site officiel - Site officiel France

    Programme des JMJ de Cracovie 2016

    Journal des JMJ - Émissions - Reportages - Direct - Replay

  • Voyage du Pape - Salut aux fidèles de la fenêtre de l'Archevêché (vendredi 29 au soir)

    Après avoir suivi le Chemin de Croix avec les centaines de milliers de jeunes réunis au Parc de Blonia à Cracovie et de retour à l’archevêché, le Pape François s’est adressé une nouvelle fois aux fidèles.

    Depuis le balcon, le Saint-Père est revenu sur cette longue journée « particulière, journée de douleur », un vendredi où tous les JMJistes se sont « unis à Jésus souffrant, souffrant il n’y pas seulement 2000 ans mais souffrant encore aujourd’hui ». Le monde est aujourd’hui encore, rempli de Jésus qui vivent cette douleur, a-t-il dit, ceux qui sont « affamés, sans-abris, malades, seuls, torturés », mais aussi « ceux qui ont des doutes, qui sentent le poids du péché, ne se sentent ni heureux, ni sauvés » a dit le Pape. Une souffrance qu’il a vue aussi dans la journée chez ces 50 enfants malades rencontrés à l’hôpital pédiatrique de Prokocim. « Pourquoi ces enfants souffrent ? C’est un mystère ! Il n’y a pas de réponse à cette question » a dit le Saint-Père.

    Évoquant cette visite lourde d’émotion, en silence, aux camps de concentration et d’extermination d’Auschwitz et de Birkenau vendredi matin, le Pape François y a vu « tant de douleurs, tant de cruauté ». C’était « il y a 70 ans » mais, « la cruauté ne s’est pas finie à Auschwitz ». Aujourd’hui, hommes et femmes continuent d’être torturés, emprisonnés, et « vivent comme des animaux ». « Nous disons que nous avons vu la cruauté il y a 70 ans, comment les gens sont morts fusillés, pendus, tués par le gaz... Mais aujourd'hui, dans de nombreux endroits du monde où il y a la guerre, il se passe la même chose ! », « c’est une réalité » a déploré le Pape.

    « Nous sommes tous pécheurs… que celui qui ne se sent pas pécheur lève la main » a lancé le Saint-Père aux fidèles, leur rappelant que nous sommes tous aimés de Dieu, et les invitant à prier ensemble pour tous ceux qui sont dans la souffrance.

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral de l'intervention du Pape traduit en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Voyage du Pape - Chemin de Croix avec les jeunes

    Chemin de Croix avec les jeunes
    au Parc Jordan de Blonia à Cracovie

    Comme c’est la tradition lors des Journées Mondiales de la Jeunesse, le Pape François a assisté ce vendredi au Chemin de Croix, mis en paroles et en scène par différents mouvements, comme l’Arche, l’Aide à l’Église en Détresse ou encore Caritas, qui ont animé chacune des 14 stations du Chemin de Croix en les articulant autour des œuvres de Miséricorde, corporelles et spirituelles.

    Les sept œuvres de miséricorde corporelles sont : donner à manger à ceux qui ont faim, donner à boire à ceux qui ont soif, vêtir celui qui est nu, offrir l’hospitalité aux pèlerins, visiter les malades, visiter les détenus, ensevelir les morts. Elles se complètent donc par sept œuvres de miséricorde spirituelles : conseiller ceux qui sont dans le doute, instruire les ignorants, exhorter les pécheurs, consoler les affligés, pardonner les offenses, supporter patiemment les défauts des autres, prier Dieu pour les vivants et pour les morts.

    En écho à ces œuvres de miséricorde, dans sa méditation, le Saint-Père est revenu sur les Béatitudes, estimant qu’elles répondent à la question fondamentale : « Où est Dieu ? »… « Où est Dieu, si dans le monde il y a le mal, s’il y a des hommes qui ont faim, qui ont soif, sans toit, des déplacés, des réfugiés ? Où est Dieu, lorsque des personnes innocentes meurent à cause de la violence, du terrorisme, des guerres ? » a-t-il demandé. « Où est Dieu, lorsque des maladies impitoyables rompent des liens de vie et d’affection ? Ou bien lorsque les enfants sont exploités, humiliés, et qu’eux aussi souffrent à cause de graves pathologies ? Où est Dieu, face à l’inquiétude de ceux qui doutent et de ceux qui sont affligés dans l’âme ? »

    Pour le Saint-Père, ces interrogations n’ont pas de réponses humaines. Il faut donc tout simplement regarder Jésus. « Jésus a choisi lui-même de s’identifier à ces frères et sœurs éprouvés par la douleur et par les angoisses, en acceptant de parcourir le chemin douloureux vers le Calvaire », a-t-il dit.

    Les 14 stations du Chemins de Croix donnent l’occasion de méditer sur les 14 œuvres de miséricorde, qui nous poussent à « nous ouvrir à la miséricorde de Dieu, à demander la grâce de comprendre que sans miséricorde on ne peut rien faire ». « Dans l’accueil du marginalisé qui est blessé dans son corps, dans l’accueil du pécheur qui est blessé dans son âme, se joue notre crédibilité en tant que chrétiens », a insisté le Pape. Et suivre Jésus jusqu’au bout comble le cœur de l’homme.

    « Le Chemin de la Croix est celui du bonheur de suivre le Christ jusqu’au bout, dans les circonstances souvent dramatiques de la vie quotidienne ; c’est le chemin qui ne craint pas les échecs, les marginalisations ou la solitude, parce qu’il remplit le cœur de l’homme de la plénitude de Jésus », a insisté le Pape François.

    À noter que des réfugiés syriens ont participé à la première station, avec des membres de la communauté Sant’Egidio. Le Pape s'est adressé personnellement à ce couple de chrétiens melkites, venus de Damas, en déclarant que « ce soir, Jésus, et nous avec Lui, embrasse avec un amour spécial nos frères syriens, qui ont fui la guerre. Nous les saluons et nous les accueillons avec une affection fraternelle et avec sympathie. »

    Source : Radio Vatican (CV).

    Texte intégral du discours du Pape François traduit en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Voyage du Pape - Visite de l'hôpital pédiatrique universitaire

    Visite de l'hôpital pédiatrique universitaire
    de Prokocim à Cracovie

    Dans l’après-midi de ce vendredi, le Pape François a visité un grand hôpital pédiatrique dont la construction il y a une cinquantaine d’années a été financée par la diaspora polonaise des États-Unis, puis soutenu par le gouvernement américain. Des reliques de St Jean-Paul II se trouvent dans la chapelle de l’hôpital.

    La Première ministre de Pologne, Beata Szydlo, a adressé un discours d'accueil très chaleureux au Pape, venu apporter « la foi, l'espérance et l'amour », a-t-elle rappelé, évoquant le contexte du Jubilé de la Miséricorde. « La miséricorde n'est pas autre chose que d'enseigner l'amour actif, l'amour qui se donne en actes pour la charité, pour l'amour du prochain », a lancé la chef du gouvernement polonais. Le Saint-Père s’est ensuite adressé à une cinquantaine de petits patients et à leur famille. L’occasion pour le Pape François d’appeler des œuvres de miséricorde, d’encourager les médecins, infirmiers, personnels de santé, aumôniers et volontaires à visiter les malades.

    Le Souverain Pontife a fustigé une fois encore la culture du rebut dont les victimes sont les personnes les plus fragiles. « Je voudrais, a-t-il dit, me tenir tout proche de chaque enfant malade, près de son lit, les embrasser un par un, les écouter ne serait-ce qu’un moment et faire silence ensemble face aux questions auxquelles il n’y a pas de réponses immédiates ». « Comme je voudrais, a-t-il insisté, qu’en tant que chrétiens, nous soyons capables de nous tenir près des malades à la manière de Jésus, en silence, avec une caresse, en prière. » Et c’est sous une forme privée, loin de l’œil des caméras que le Pape François a parcouru les salles du pavillon des urgences.

    Source : Radio Vatican (CV-RF).

    Texte intégral du discours du Pape traduit en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Voyage du Pape - Visite du camp de Birkenau

  • Voyage du Pape - Visite à Auschwitz

    C'est une étape très émouvante et forte que le Pape François a effectué ce vendredi matin en Pologne. Le Saint-Père s'est rendu au camp d'Auschwitz, situé à une cinquantaine de kilomètres de Cracovie, lieu qui symbolise l'horreur nazie.

    Le Pape est arrivé seul, à pied dans le camp, avant de parcourir quelques mètres en voiturette et d'aller s'asseoir sur un banc, pour prier de longues minutes en silence. Il s'est ensuite rendu devant le bloc numéro 11, là où les nazis fusillaient les prisonniers. Dans la cour, le Saint-Père a salué onze survivants du camp de concentration, parmi lesquels trois centenaires, les écoutant et les embrassant, un par un. Le Pape est allé ensuite poser une bougie devant le mur d'exécution.

    Le Saint-Père s'est ensuite rendu à l'intérieur du bâtiment du bloc 11 pour se recueillir dans "la cellule de la faim", celle où fut emprisonné Saint Maximilien Kolbe, franciscain polonais qui offrit sa vie pour sauver celle d'un père de famille. Le Père Kolbe mourut le 14 août 1941 d'une injection mortelle. Le Saint-Père a signé un livre d'or avant de se rendre à Birkenau. C'est là que la machine d'extermination nazie a été la plus planifiée avec la présence des fours crématoires et des chambres à gaz.

    Le Pape s'est recueilli devant le monument aux victimes des Nations, une stèle inaugurée en 1967. Il devait y saluer 25 "Justes parmi les Nations", des personnes qui ont sauvé des Juifs de l'extermination. Devant le monument, cette inscription est gravée en 23 langues : « Que cet endroit soit pour toujours un cri de désespoir et un avertissement pour l'humanité, où les nazis tuèrent près d'1,5 million d'hommes, de femmes et d'enfants, pour la plupart Juifs, provenant de plusieurs pays d'Europe. Auschwitz-Birkenau 1940-1945 »

    Il s'agit de la troisième visite d'un Souverain Pontife à Auschwitz, après celle effectuée par Jean-Paul II le 7 juin 1979, et Benoît XVI le 28 mai 2006. A cette occasion, le Pape allemand avait évoqué « une vallée obscure de l'humanité ».

    Source : Radio Vatican.

  • Voyage apostolique du Pape François en Pologne - 3ème jour

    Programme du Voyage apostolique du Pape François en Pologne
    à l'occasion de la XXXIe Journée Mondiale de la Jeunesse

    Vendredi 29 juillet 2016

    09h30 : Visite de Auschwitz (et différé à 13h10)
    10h30 : Visite du camp de Birkenau (et différé à 14h00)
    16h30 : Visite de l'hôpital pédiatrique universitaire (UCH) de Prokocim à Cracovie
    18h00 : Chemin de Croix avec les jeunes au Parc Jordan de Blonia à Cracovie

    Vidéos KTO mises en ligne dès que disponibles

    logo-jmj-2016_3a.jpg

    JMJ 2016 à Cracovie : Site officiel - Site officiel France

    Programme des JMJ de Cracovie 2016

    Journal des JMJ - Émissions - Reportages - Direct - Replay

  • Voyage du Pape - Salut aux fidèles de la fenêtre de l'Archevêché (jeudi 28 au soir)

    Texte intégral de l'intervention du Pape traduit en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Voyage du Pape - Cérémonie d'accueil des jeunes

    Cérémonie d'accueil des jeunes
    au Parc Jordan de Blonia à Cracovie

    Le Pape François avait rendez-vous ce jeudi 28 juillet avec les jeunes du monde entier qui participent aux Journées Mondiales de la Jeunesse. Il les a rencontrés en fin d’après-midi à Cracovie lors de la cérémonie d’accueil. Le Pape est arrivée à Blonia à bord d’un tramway entouré d’une quinzaine d’enfants et d’adolescents handicapés, avec qui il a échangé quelques mots. Il a ensuite traversé le parc à bord de la papamobile sous les cris et les applaudissements des jeunes. Le Saint-Père les a invités à « être à l’écoute de ceux que nous ne comprenons pas, de ceux qui viennent d’autres cultures, d’autres peuples, également de ceux que nous craignons parce que nous croyons qu’ils peuvent nous faire du mal ».

    Le compte-rendu d’Hélène Destombes à lire / écouter sur Radio Vatican.

    Texte intégral du discours du Pape traduit en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Voyage du Pape - Visite au Monastère Jasna Gora à Czestochowa

    Visite au Monastère Jasna Gora à Czestochowa
    et prière à la chapelle de la Vierge Noire

    Deuxième journée ce jeudi 28 juillet de la visite apostolique du Pape François en Pologne. Une journée marquée par une visite à Czestochowa qui accueillit en 1991 les Journées Mondiales de la Jeunesse. Le Saint-Père s’est rendu ce matin au sanctuaire marial de Jasna Góra « la montagne lumineuse », située sur les hauteurs de la ville qui accueille chaque année 4 millions de visiteurs venus du monde entier. Après un long parcours en papamobile parmi les fidèles, particulièrement nombreux, et avant de célébrer la Messe sur l'esplanade du sanctuaire, le Saint-Père s’est d’abord recueilli devant l’icône de la Vierge noire « Reine de Pologne », symbole de l’unité du peuple polonais. Au son des tambours et trompettes, une plaque de métal doré s'est levée lentement laissant apparaitre l’icône de la Vierge Noire. Le Pape, visiblement ému, s'est recueilli en silence, entouré des Pères Paulins, gardiens des lieux.

    Source : Radio Vatican.