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notre-dame de guadalupe

  • Hymne des Laudes de la Fête de St Joseph Artisan

    Hymne des Laudes de la Fête de St Joseph Artisan
    Orchestration Nicholas Lemme
    Séminaire de Notre-Dame de Guadalupe - Joe Dalimata
     
    (si la lecture vidéo est impossible, merci de cliquer ICI)

    Auróra, solis núntia
    florúmque mensi prævia,
    fabri sonóram málleo
    domum salútat Názaræ.

    Salve, caput domésticum,
    sub quo suprémus Artifex,
    sudóre salso róridus,
    exércet artem pátriam.

    Altis locátus sédibus
    celsæque Sponsæ próximus,
    adásto nunc cliéntibus,
    quos vexat indigéntia.

    Absíntque vis et iúrgia,
    fraus omnis a mercédibus ;
    victus cibíque cópiam
    mensúret una párcitas.

    [O Trinitátis Unitas,
    Ioseph precánte, quæsumus,
    in pace nostros ómnium
    gressus viámque dírige.
    Amen.]
    L’aurore, annonciatrice du soleil
    et qui ouvre le mois des fleurs,
    salue la maison de Nazareth
    où résonne le marteau du charpentier.

    Salut, chef de famille,
    sous les ordres de qui l’Artisan suprême,
    baigné d’une sueur amère,
    s’exerce au métier paternel.

    Résidant au séjour céleste,
    tout proche de l’Épouse sublime,
    assiste maintenant tes protégés
    que meurtrit l’indigence.

    Que s’éloignent violence et conflits,
    et toute fraude, dans les salaires ;
    que la frugalité seule limite
    l’abondance des biens et de la nourriture.

    [Ô Unité de la Trinité,
    à la prière de saint Joseph,
    dirige dans la paix
    tous nos pas et notre voyage.
    Amen.]
     
  • 18h00, Basilique Saint Pierre : Messe pour la fête de Notre-Dame de Guadalupe présidée par le Pape François

     

     
     Texte intégral de l'homélie du pape traduite en français sur Zenit.org.

  • Voyage du Pape François - Messe en la Basilique de Notre-Dame de Guadalupe

    Le Pape François l’a dit et répété à maintes reprises : « Je viens comme missionnaire de miséricorde et de paix mais également comme un fils qui veut rendre hommage à sa Mère, la Vierge de Guadalupe, et se laisser regarder par elle ». C’est dire l’émotion que le Pape a ressenti ce samedi 13 février 2016 en se rendant au sanctuaire de Notre-Dame de Guadalupe à Mexico. Il s'est recueilli en prière, seul, devant l'image dans le "camerino" situé derrière l'image à l'issue de la cérémonie.

    Après avoir traversé la ville à bord de sa papamobile, et avoir goûté à la ferveur et à la joie des Mexicains massés le long du parcours, le Pape, sous un ciel immaculé, est arrivé au sanctuaire. Il s’est d’abord rendu à la vieille basilique, celle qui a été construite après les apparitions. Avant de rejoindre en procession la nouvelle basilique, consacrée en 1976. C’est à l’intérieur qu’il a célébré la messe.

    Dans son homélie, le Pape est revenu sur la rencontre entre Marie et sa cousine Elisabeth, Marie venue « en hâte, sans hésiter, sans tarder » alors qu’Elisabeth en était dans ses derniers mois de grossesse. C’est sur la figure de Marie, sur le message qu’elle a transmis à Juan Diego, l’Amérindien qui l’a vue, que le Pape s’est attardé.

    C’est la « femme du oui, un oui du don d’elle-même à Dieu, et en en même temps, un oui du don à ses frères. C’est le oui qui l’a poussée à donner le meilleur en se mettant en route vers les autres ». Parmi ces autres figures, il y a bien sûr Juan Diego à qui elle s’est adressée dans sa langue, revêtue de ses costumes. Elle l’a choisi, lui qui ne s’en sentait pas digne. « De la même manière, elle continue d’être présente à nous tous ; surtout à ceux qui, comme lui, sentent “qu’ils ne valaient rien” (cf. Nican Mopohua, 55). Ce choix particulier, disons préférentiel, n’a été contre personne mais en faveur de tous. »

    La Vierge s'adresse aux plus humbles

    Lors de cette rencontre, dans le matin d’un jour de décembre 1531, « Dieu a réveillé et réveille l’espérance des petits, des souffrants, des déplacés et des marginalisés, de tous ceux qui sentent qu’ils n’ont pas une place digne sur cette terre », a expliqué le Pape. « Ce matin, Dieu s’est approché et s’approche du cœur souffrant mais endurant de tant de mères, pères, grands-parents, qui ont vu leurs enfants partir, se perdre, voire être arrachés de manière criminelle. »

    Au-delà du sanctuaire de pierre, il y a « celui de la vie, celui de nos communautés, de nos sociétés et de nos cultures » où « personne ne peut être marginalisé » a expliqué le Pape. « Nous sommes tous nécessaires, surtout ceux qui normalement ne comptent pas parce qu’ils ne sont pas "à la hauteur des circonstances" ou n’"apportent pas le capital nécessaire" à ces constructions. Le Sanctuaire de Dieu est la vie de ses enfants, de tous et dans toutes leurs conditions, surtout celle des jeunes sans avenir, exposés à d’interminables situations douloureuses, risquées, et celle des personnes âgées non reconnues, oubliées à tant d’endroits. Le Sanctuaire de Dieu, ce sont nos familles qui ont besoin du minimum nécessaire pour pouvoir se construire et grandir. Le Sanctuaire de Dieu, c’est le visage de tant de personnes qui croisent nos chemins. »

    Faire silence devant la Vierge

    Le Pape, se mettant dans la peau du pèlerin se rendant devant la Vierge, reconnait que l’on peut venir avec « nos douleurs, nos peurs, nos désespoirs, nos tristesses et lui dire : "Que puis-je apporter si je ne suis pas instruit ?" ». Alors, le Pape recommande de faire silence devant la Vierge, elle qui a « l’honneur » « d’être notre Mère ». « Cela nous donne la certitude que les larmes de ceux qui souffrent ne sont pas stériles. Elles sont une prière silencieuse qui monte vers le Ciel et qui trouve toujours chez Marie une place sous son manteau. En elle et avec elle, Dieu se fait frère et compagnon de route, partage avec nous la croix pour que ne soyons pas écrasés par nos douleurs. »

    De la même manière qu’elle a envoyé Juan Diego, la Vierge nous envoie pour être son ambassadeur, « pour construire de nombreux et nouveaux sanctuaires, pour accompagner de nombreuses vies, pour essuyer de nombreuses larmes ». Pour cela, nous devons donner « à manger à l’affamé, à boire à celui qui a soif », accueillir « celui qui est dans le besoin », habiller « celui qui est nu » et visiter « le malade ». « Va au secours du prisonnier, pardonne à celui qui t’a offensé, console celui qui est triste, sois patient avec les autres et surtout supplie et prie notre Dieu. »

    Source : Radio Vatican (RV).

    Texte intégral de l'homélie ci-dessous.

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  • Vendredi 12 décembre 2014

    Notre-Dame de Guadalupe

    Notre-Dame de Guadalupe

    Calendrier liturgique et sanctoral

  • Notre-Dame de Guadalupe - L´image face à l´histoire et à la science

    notre-dame-de-guadalupe--l-image-face-a-l-histoire-et-a-la-science-grande.jpg

    Voici sans nul doute le livre actuellement le plus complet réalisé sur l'apparition de Notre-Dame de Guadalupe, et tous les thèmes connexes qui s'y rapportent. Dans un parcours en quatre étapes : 1. Le Mexique avant les apparitions de Note-Dame de Guadalupe, 2. Le Nican Mopohua, le récit des apparitions, 3. Notre-Dame de Guadalupe, joie et espérance pour l'humanité, et 4. L'Image devant la science, les auteurs replacent cette apparition dans son contexte, en donne le récit détaillé (grâce au témoignage irréfutable de l'époque même où elles eurent lieu), et présentent de façon extrêmement rigoureuse - réfutant également toutes les fausses informations qui circulent sur internet - tout ce que les scientifiques ont découvert et qu'ils découvrent encore sur cette Image de Notre-Dame, qui n'en finit pas de révéler ses secrets.

    David Caron Olivares, ingénieur électrotechnicien, et Jean-Pierre Rousselle, responsable scolaire retraité, enthousiastes et passionnés de Notre-Dame de Guadalupe, ont travaillé conjointement depuis 2004 à l'approfondissement du vaste ensemble d'éléments scientifiques, historiques et religieux qui constitue « l'événement guadalupéen ».
    En juin 2011, ils ont organisé en France les conférences de Mgr Eduardo Chávez Sánchez, Recteur de l'Institut Supérieur d'Etudes Guadalupéennes de Mexico.
    Aujourd'hui, soucieux de faire connaître la vérité de Guadalupe, ils présentent aux lecteurs français cet ouvrage, résumé actualisé de l'apparition mariale qui est sans doute la plus fascinante depuis l'origine de la chrétienté.

    Un livre à lire, et à offrir, pour faire connaître autour de soi le message toujours actualisé de cette Image qui - à vue d'homme - aurait du se détruire d'elle-même depuis plus de quatre cents ans...

    Rassemblement à Son image - 264 pages - 14 x 20 cm - 20 €

  • Audience générale de ce mercredi 11 décembre 2013

    Le Pape François a consacré la catéchèse de l'audience générale, tenue ce matin Place St Pierre devant 27.000 fidèles, au dernier article du Credo relatif à la vie éternelle et au jugement dernier :

    "Lorsque nous pensons au retour du Christ pour le jugement dernier, qui sanctionnera définitivement les bonnes actions et les omissions de nos vies, nous savons être en présence d'un mystère suprême que nous ne pouvons pas même imaginer. Instinctivement, ce mystère nous fait peur, nous angoisse, alors que si on y réfléchit il ne peut que réjouir le cœur du chrétien et susciter un sentiment de consolation et de confiance". Puis il a expliqué que le témoignage des premières communautés chrétiennes est intéressant car elles accompagnaient leurs prières de l'acclamation Maranatha, une sorte de supplique signifiant : Viens Seigneur !". C'était une certitude alimentée par la foi : Oui le Seigneur vient, il est proche. Dans cette formule est condensée la Révélation. Au final de son Apocalypse, Jean montre l’Église épouse qui s'adresse à son époux Jésus, qu'elle ne voit pas "alors qu'elle va être enveloppée de sa plénitude de vie et d'amour. Si nous envisageons le jugement dernier dans cette perspective, toute peur, tout doute s'efface pour faire place à une joie profonde. Car c'est alors que nous serons jugés et pourrons être revêtus de la gloire du Christ". La confiance du chrétien vient aussi de la certitude de ne pas être seul et abandonné au moment du jugement. Le Christ sera notre avocat auprès du Père et nous pourrons compter sur la bienveillance de tant de nos prédécesseurs dans la foi...qui continuent de nous aimer d'une façon indicible. Les saints vivent auprès de Dieu et, dans la splendeur de sa gloire, prient pour nous qui sommes encore sur terre". L’Évangile de Jean rappelle que le Christ a été envoyé par le Père non pour condamner le monde mais pour qu'il soit sauvé à travers son sacrifice. "Cela signifie que le jugement est commencé, ici-bas. Le jugement est prononcé à chaque instant de notre vie, à l'épreuve de la manière dont nous percevons la foi dans le salut qu'opère le Christ, ou de notre incrédulité découlant de notre repli en nous-mêmes. Le salut c'est s'ouvrir à Jésus. Tous nous sommes pécheurs et il nous pardonne. Il faut donc s'ouvrir à l'amour du Seigneur qui dépasse toute chose. S'ouvrir signifie se repentir du bien que nous n'avons pas fait... Le Seigneur s'est offert et continue de s'offrir et de nous combler de la grâce et de la miséricorde du Père. D'une certaine manière nous sommes nous-mêmes nos juges. Nous nous condamnons à l'exclusion de la communion avec Dieu et nos frères... Ne cessons donc pas de veiller sur nos pensées et nos actes afin de goûter dès maintenant la splendeur de Dieu que nous contemplerons pleinement dans la vie éternelle".

    Après sa catéchèse, le Saint-Père a lancé un appel contre le scandale de la faim dans le monde, rappelant que la Caritas Internationalis lance une campagne mondiale de lutte contre la faim et le gaspillage de nourriture. Elle s'intitule : 'Une seule famille humaine et de la nourriture pour tous les hommes'. Ce scandale, a dit le Pape, "ne doit pas nous paralyser mais nous pousser à agir, individus, familles, communautés, institutions et gouvernements, afin de mettre fin à l'injustice de la faim. L’Évangile nous indique la voie, qui est d'avoir confiance dans la Providence et partager le pain quotidien sans le gaspiller. J'encourage donc la Caritas dans ce vaste projet et vous invite tous à cette vague de solidarité".

    Le Saint-Père a également rappelé que c'est demain la fête de Notre-Dame de Guadalupe, la patronne de l'Amérique : Lorsque la Vierge est apparue à saint Juan Diego, a-t-il dit en espagnol, "son visage était celui d'une métisse et ses vêtements couverts de motifs indigènes. Comme Jésus, Marie se fait proche de ses enfants, qu'elle accompagne en Mère sur le chemin de la vie. Ainsi partage-t-elle les joies et attentes, les souffrances et angoisses du peuple de Dieu, appelé à rassembler tous les peuples". Cette apparition mariale fut un signe d'affection de Marie pour les habitants de toutes les Amériques, d'alors et à venir. Sa présence caractérise un continent où "tant de peuples peuvent vivre ensemble dans le respect de la vie à tous ses stades, du sein maternel à la vieillesse, un continent généreux, ouvert aux émigrés, aux pauvres et aux marginaux de toute époque. Tel est le message de la Vierge de Guadalupe, que je fais mien, le message de l’Église. Puissent tous les américains tendre les bras comme elle. A nos frères et sœurs d'Amérique je demande aussi de prier pour moi. Puisse la joie évangélique demeurer en vos cœurs".

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 11.12.13).