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malades

  • Neuvaine à Notre Dame de Lourdes pour les malades du 2 au 11 février

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    Texte de la Neuvaine

  • Pays-Bas : des pédiatres favorables à l’euthanasie des enfants de moins de 12 ans

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    Un rapport issu de trois hôpitaux universitaires néerlandais affirme que « 84% des pédiatres aux Pays-Bas souhaitent l’euthanasie active pour les enfants entre 1 et 12 ans ». Ce rapport a été déposé au Parlement néerlandais.

    L’euthanasie active des enfants âgés de 1 à 12 ans est pour le moment interdite. La raison ? « Ils ne sont pas considérés aptes d’un point de vue légal ». A ce jour, l’euthanasie active est légale aux Pays-Bas pour les nouveau-nés de moins de 12 mois. Entre 12 et 16 ans, les enfants « peuvent choisir l’euthanasie avec le consentement de leurs parents ».

    Le professeur Eduard Verhagen, avocat et directeur médical du département de pédiatrie du centre médical universitaire de Groningen, estime que le nombre d’enfants « éligibles » serait de 5 à 10 cas chaque année. On peut noter que le rapport s’appuie sur un faible nombre de médecins. « Environ 60 pédiatres sont confrontés à des enfants souffrant de maladies incurables chaque année. Les 38 qui ont été interviewés ont suivi 359 jeunes patients au cours des 5 dernières années ». Dans 46 cas, les médecins ont considérés que « l’euthanasie aurait été préférable ». L’avocat Tim Vis quant à lui affirme qu’il existe « de forts arguments en faveur de l’euthanasie des enfants de moins de 12 ans ». Il invoque la convention internationale des droits de l’enfant qui interdit « les traitements inhumains ou dégradants ».

    NdlR : L’euthanasie est certainement le « traitement inhumain ou dégradant » par excellence, puisque, loin d’une simple question d’acharnement thérapeutique, il condamne l’enfant malade, lui ôtant toute dignité et le droit aux soins.

    Pour aller plus loin :

    En Belgique, regards sur les soins palliatifs pédiatriques

    Chili : le Parlement vote l’euthanasie dès 14 ans

    A l’Hôpital Pédiatrique de Toronto, vers l'euthanasie des enfants sans l'accord des parents ?

    Euthanasie des mineurs : "Qu'est-ce qui a convaincu les médecins que les cas de ces enfants étaient désespérés ?"

    En Colombie, de mauvaises raisons sont invoquées pour ouvrir le débat de l’euthanasie des mineurs

    Canada : Suicide assisté pour les mineurs, les pédiatres de plus en plus interrogés

    Sources : Gènéthique.orgBioEdge (20/10/2019) - Most Dutch paediatricians want euthanasia for kids: report
  • Dimanche 11 février 2018

    Dimanche de la Quinquagésime

    (6ème dimanche du Temps Ordinaire)
     

     Apparition de la Sainte Vierge à Lourdes

    (Notre-Dame de Lourdes)

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    XXVIIe Journée Mondiale du Malade
    (mais les diocèses peuvent choisir une autre date)

     Rappel : Message du Pape François
    Mater Ecclesiae : « “ Voici ton fils ... Voici ta mère ”.
    Dès cette heure-là, le disciple l’accueillit chez lui » (Jn 19, 26-27)

    (donné le 26 novembre 2017)

  • Neuvaine à Notre Dame de Lourdes pour les malades du 2 au 11 février

    Texte de la prière 2018 disponible sur notre site internet

    à la page des Neuvaines

  • Audience générale de ce mercredi 09 novembre 2016

    Texte intégral traduit en français sur Zenit.org.

    Résumé en français :

    « Frères et sœurs, la vie de Jésus a été faite de rencontres où les malades ont une place particulière. Pour cette raison, nous trouvons dans les œuvres de miséricorde la visite des malades mais aussi des prisonniers. En effet, les malades et les prisonniers sont dans une situation qui limite leur liberté. Or, Jésus nous offre la liberté qui provient de la rencontre avec lui et du sens nouveau qu’elle apporte à notre condition personnelle. Avec les œuvres de miséricorde, il nous invite à un geste d’une grande humanité : le partage. Un sourire, une caresse, une poignée de main sont des gestes simples mais tellement importants pour ceux qui se sentent abandonnés. Ne laissons pas seules les personnes malades! De la même manière, avec la visite des prisonniers, Jésus nous invite à ne pas nous faire juges des autres mais à tout faire pour rendre leur dignité à ceux qui en sont privés à cause du mal qu’ils ont fait. Alors, pensons à ceux qui ont besoin de proximité et de tendresse, de se sentir accueillis et aimés. N’oublions pas que Jésus et les apôtres ont fait l’expérience de la prison et de la souffrance. Et, ne tombons pas dans l’indifférence mais sentons-nous interpelés pour rendre la joie et la dignité à ceux qui les ont perdues. »

    « Je suis heureux de saluer les pèlerins de langue française, en particulier le collège Fénelon Sainte-Marie de Paris et tous les jeunes ainsi que les fidèles de divers diocèses et institutions. En cette Année de la Miséricorde, devenons des instruments de la miséricorde du Seigneur qui accomplit des merveilles, en nous faisant proches des malades et en visitant les prisonniers. Que Dieu vous bénisse ! »

    Source : site internet du Vatican.

  • Jubilé des malades et des personnes handicapées : Messe célébrée par le Pape François

     

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    Salus Infirmorum ou Maria della salute
    Eglise Santa Maria Maddalena in Campo Marzio
    (transférée place Saint-Pierre le temps de la célébration)

    (Crédit photo : Foto Archivio Fotografico F.E.C.)

    Le Pape François a présidé ce dimanche 12 juin 2016 au Vatican la Messe à l’occasion du Jubilé des malades et des personnes handicapées, point d’orgue de cette année Sainte. Pour la première fois place Saint-Pierre, l’Évangile a été mimé par des personnes avec un handicap mental. La première lecture a été proclamée par une personne handicapée espagnole. La seconde, en anglais, par une jeune femme aveugle lisant en braille. Toutes ont été traduites en langue des signes par des personnes malentendantes de divers pays. Cette Messe a été précédée de plusieurs témoignages sur le handicap et la maladie. Le fondateur de la communauté de “l’Arche”, et “Foi et Lumière” Jean Vanier, a notamment envoyé du Canada un message vidéo.
     
    Dans son homélie, le Saint-Père rappelle que « le vrai sens de la vie comporte aussi l’acceptation de la souffrance et de la limite » soulignant que « le monde ne devient pas meilleur, parce que composé uniquement de personnes apparemment "parfaites" (…) mais lorsque croissent la solidarité entre les hommes, l’acceptation réciproque et le respect ». Or déplore-t-il, « dans une époque où un certain soin du corps est devenu un mythe de masse et donc une affaire économique, ce qui est imparfait doit être masqué, parce que cela porte atteinte au bonheur et à la sérénité des privilégiés et met en crise le modèle dominant ». « Il vaut mieux maintenir ces personnes séparées, dans une "enceinte" - peut-être dorée - ou dans les "réserves" du piétisme et de l’assistantialisme, afin qu’elles n’entravent pas le rythme du faux bien-être. Dans certains cas, on soutient même qu’il vaut mieux s’en débarrasser le plus tôt possible, parce qu’elles deviennent un poids économique insoutenable en un temps de crise ».

    En réalité, insiste le Pape François « quelle illusion vit l’homme d’aujourd’hui lorsqu’il ferme les yeux face à la maladie et au handicap » considérant « qu’une personne malade ou portant un handicap ne peut pas être heureuse, parce qu’elle est incapable de mener le style de vie imposé par la culture du plaisir et du divertissement ». S’appuyant sur l’Evangile de ce dimanche (Lc 7, 36-8, 3), qui nous présente « une situation particulière de faiblesse », la femme pécheresse jugée et marginalisée que Jésus accueille et la défend, le Saint-Père montre au contraire que « la fragilité elle-même peut devenir un réconfort et un soutien à notre solitude ». « Que de personnes avec un handicap et souffrantes s’ouvrent de nouveau à la vie dès qu’elles découvrent qu’elles sont aimées ! » Aimées par Jésus dont « la tendresse est signe de l’amour que Dieu réserve à ceux qui souffrent et sont exclus ». « Jésus est le médecin qui guérit avec le médicament de l’amour, parce qu’il prend sur lui notre souffrance et la rachète » souligne le Pape.

    Face aux souffrances physiques et psychiques, face à la « pathologie de la tristesse », le Saint-Père propose « la thérapie du sourire ». « Le vrai défi est celui de qui aime le plus ». Et il conclut en rappelant que « la manière dont nous vivons la maladie et le handicap est un indice de l’amour que nous sommes disposés à offrir. La manière dont nous affrontons la souffrance et la limitation est un critère de notre liberté de donner sens aux expériences de la vie, même lorsqu’elles nous semblent absurdes et imméritées ».

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral de l'homélie traduite en français ci-dessous.

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  • Méditation - Le Saint Nom de Jésus

    Le nom de Jésus est un remède à nos infirmités ; il a rendu la vue aux aveugles, l'ouïe aux sourds, l'agilité aux boiteux, la parole aux muets, la vie aux morts. Il a soustrait à la puissance du démon le corps des possédés. Lorsque vous éprouvez quelques souffrances, vous ou les vôtres, sans négliger les remèdes naturels, recourez au nom de Jésus... J'ai appris de témoins dignes de foi que, de nos jours, plusieurs ayant imposé les mains à des malades, selon le précepte divin, et invoqué le nom de Jésus, ces malades ont été guéris : Il les a sauvés, dit le Prophète, à cause de son nom et afin de faire connaître sa puissance (Prov. 105).

    Le nom de Jésus est la consolation de ceux qui souffrent. Dieu ne laisse pas, il est vrai, ses serviteurs succomber à la tentation ; cependant il les expose aux peines de la vie. Mais alors loin de nous le désespoir ! N'oublions pas le doux nom de Jésus, invoquons-le surtout alors. Le nom de Jésus, écrit dans le cœur des justes, dit saint Augustin, leur donne une audace étonnante contre le choc de tous les maux. « Si vous me menacez des bêtes féroces, s'écrie saint Agathe à son juge, elles deviendront douces au nom de Jésus ; si vous avez, contre moi, recours au feu, à ce nom les anges m'environneront d'une rosée vivifiante. » Par la vertu de ce nom les martyrs triomphent de tous les tourments ; en votre nom, mon Dieu, nous mépriserons ceux qui s'élèvent contre nous ; notre secours est dans le nom du Seigneur qui a fait le ciel et la terre (Ps. 43. id. 123).
    [...]
    Le nom de Jésus est le secours de l'âme fatiguée. Toutes les fois, dit saint Bernard, que vous vous rappelez le nom de Jésus, ne sentez-vous pas vos forces renaître ? Qui ranime notre esprit comme ce souvenir ? qui répare nos sens fatigués, raffermit nos vertus, vivifie nos actions bonnes et honnêtes, réchauffe nos pures affections autant que lui ? Votre cœur est-il en proie à la paresse et à l'engourdissement ? Jésus vous guérit en excitant votre ferveur. Que le nom de Jésus soit donc toujours placé dans votre âme, toujours porté dans vos mains ; en lui vous trouverez un remède à votre indolence et à votre tiédeur, un remède pour corriger vos actes mauvais et relever ceux qui sont imparfaits, un remède pour préserver vos sens de la corruption et les guérir s'ils se corrompent...

    Le nom de Jésus est l'aliment de notre méditation. Ce nom, dit saint Bernard, n'est pas seulement une lumière, il est une nourriture. Ne vous sentez-vous pas fortifié toutes les fois que vous vous souvenez de Jésus ? Ce nom est une huile, et tout aliment est sans saveur à l'âme s'il n'en est pas assaisonné. Oh ! quelle douceur semble couler des lèvres d'un petit enfant plein d'innocence quand, formé par une pieuse mère, et ne pouvant encore retenir le Pater et l'Ave, il prononce avec respect le nom de Jésus ! Ce nom est en vérité comme le miel à notre bouche, une douce harmonie à nos oreilles ; il est comme la rosée de l'Hermon qui descend sur la montagne de Sion. (Ps. 132).

    St Bernardin de Sienne (fêté ce jour), Extrait d'un Sermon pour la Fête-Dieu à Vicence, 3 juin 1423, in "Histoire de Saint Bernardin de Sienne de l'Ordre des Frères mineurs" par M. L'Abbé Berthaumier (L. III chap. I), Paris, Elie Gauguet, Libraire-Editeur, 1862.

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    Monogramme IHS, maître-autel de l'église du Gesù, Rome (Italie)
    (Crédit photo)

  • Voyage du Pape - Visite à l'hôpital pédiatrique Federico Gómez

    Ce fut sans doute pour le Pape François l’un des moments les plus émouvants de son voyage apostolique au Mexique. Il s’est rendu ce dimanche 14 février 2016 à l’hôpital pédiatrique Federico Gomez de Mexico où sont soignés des enfants pauvres de tout le pays. Cet établissement public soigne notamment les cas les plus graves de malformations congénitales ou de cancers. Le Pape y a rencontré plusieurs dizaines d’enfants lors de deux visites, l’une publique et l’autre privée où il a pu saluer un à un chacun des malades.

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    Récit de cette visite à Mexico avec Xavier Sartre, envoyé spécial de Radio Vatican :

    Il y a cet Ave Maria chanté par une jeune fille atteinte d’un cancer, cette embrassade d’un petit garçon à qui le Pape venait de donner son médicament. Il y a tant d’images et tant de gestes, de la part du Pape François ou des enfants. A chacun, une tape sur l’épaule, ou une caresse sur la joue. Et ces petit malades qui lui donnent un dessin ou lui susurrent quelque chose à l’oreille.

    Le Pape a ensuite rejoint la ludothèque pour rencontrer deux jeunes enfants qui ont guéri. Avec eux il a sonné la cloche qui symboliquement, annonce à tous la guérison et encourage les autres à lutter contre la maladie. Après, il est allé, en privé, loin des caméras et des appareils photos, visiter les enfants les plus malades, dans le département de cancérologie.

    Auparavant, le Saint-Père s’est adressé aux enfants, à leurs parents et au personnel médical à qui il a rendu hommage. A l’image de Siméon qui, en voyant l’Enfant Jésus le remercie et le bénit, le Pape a voulu dire merci : « franchir cette porte et voir vos yeux, vos sourires, vos visages, a suscité l’envie de dire merci. Merci pour la tendresse que vous manifestez en me recevant, merci de voir la tendresse avec laquelle on vous soigne et on vous accompagne. Merci pour l’effort de tous ceux qui font du mieux possible pour que vous puissiez récupérer rapidement. »

    Le Pape a exprimé aussi son désir de bénir les enfants, leurs proches et le personnel soignant qui « non seulement avec les médicaments mais aussi avec la "thérapie de la tendresse" contribuent à ce que ce temps soit vécu dans une plus grande joie. » Une joie qu’il a certainement contribué à entretenir.

    Source : Radio Vatican (XS).

    Texte intégral du discours traduit en français ci-dessous.

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  • Méditation - Prières et Consécration à St Raphaël, Archange

    Prière au saint Archange Raphaël
     
    « Glorieux Archange saint Raphaël, grand prince de la cour céleste, illustre par les dons de la sagesse et de la grâce, guide des voyageurs sur terre et sur mer, consolation des malheureux et refuge des pécheurs, je vous supplie de m'assister dans toutes mes nécessités et les peines de cette vie comme vous avez secouru le jeune Tobie dans ses pérégrinations. Puisque vous êtes le remède de Dieu, je vous prie humblement de guérir mon âme de ses nombreuses infirmités, et mon corps des maux qui l'affligent, si cette grâce me convient. Je vous demande en particulier une angélique pureté afin de mériter ainsi d'être le temple vivant du Saint-Esprit. Ainsi soit-il. »

    Cette prière a été enrichie de 100 jours d'indulgence par le pape Léon XIII, à gagner une fois le jour. (Rescrit du 21 juin 1890).

    [Raphaël Delarbre], L'Archange Raphaël. Sa mission et son culte, par un frère mineur, Vanves, Impr. franciscaine missionnaire / Paris, Vic et Amat, 1901.
    Réédition par Trifolium, Archivum angelicum n°20, Strasbourg, 2013.
    Trifolium - 5 rue Sainte Odile - 67000 Strasbourg.
    132 pages, 18x11 cm. (br.), 9 € (envoi franco de port en France métropolitaine)
    Catalogue en ligne.

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    Prière et Consécration à saint Raphaël pour le jour de sa fête

    « O saint Raphaël, grand prince de la cour céleste, l'un des sept esprits qui se tiennent devant le trône du Très-Haut, moi ... , en présence de la très sainte Trinité, de Marie Immaculée, notre Reine et Reine des neuf chœurs des anges, je me consacre à vous pour être un de vos serviteurs tout le temps de ma vie. Je ne passerai pas un jour sans vous vénérer et vous offrir mes humbles hommages. Autant qu'il dépendra de moi, je contribuerai à ce que d'autres personnes vous honorent aussi afin que nous éprouvions ensemble les effets de votre protection.

    O saint Archange, agréez mon offrande et recevez-moi au nombre de vos protégés qui connaissent par expérience la valeur de votre patronage. Guide des voyageurs, dirigez-moi pendant le pèlerinage de cette vie !
    Protecteur de tous ceux qui sont en danger, délivrez-moi de tous les périls qui peuvent menacer mon âme et mon corps.
    Refuge des malheureux, secourez-moi dans mon indigence spirituelle et corporelle.
    Consolateur des affligés, dissipez les douleurs qui tiennent mon cœur oppressé et mon esprit dans l'angoisse.
    Médecin des malades, guérissez les infirmités de mon âme et conservez-moi la santé pour que je l'emploie à servir d'une manière plus fervente notre commun Seigneur.
    Protecteur des familles, jetez sur la mienne un regard de bonté ; que mes parents et mes biens éprouvent l'effet de votre patronage.
    Protecteur des âmes tentées, délivrez-moi de toutes les suggestions de l'infernal ennemi et ne permettez pas que je tombe jamais dans ses filets.
    Bienfaiteur des âmes charitables, je sais combien il vous plaît que vos protégés s'exercent à la charité envers le prochain. Pour jouir de vos bienfaits, je prends en votre présence la résolution de ne jamais négliger l'occasion de venir en aide à mon prochain, selon l'étendue de mes ressources.
    Acceptez mon humble offrande, ô saint Archange, et faites-moi la grâce de goûter pendant toute ma vie et au moment de ma mort les effets de votre protection et de votre assistance.

    Ainsi soit-il. »
  • Méditation : Marie notre Mère

    « Dès que Marie fut proclamée notre mère, elle conçut aussitôt pour nous cette tendre compassion, cet amour sans bornes, qui est le propre d'une mère. Le Seigneur dilata son cœur et l'enflamma de telle sorte, qu'elle put accueillir et aimer autant d'enfants qu'il y avait de fidèles. Ainsi elle n'a pas seulement le nom et le titre de mère ; elle l'est réellement par sollicitude, par inclination, par amour... Sur le Calvaire, elle s'unit à l'immolation de Jésus pour notre salut. Ce fils qu'elle aimait mille fois plus que sa propre vie, elle en fait généreusement le sacrifice pour nous témoigner son amour. En toute vérité, l'on peut appliquer à Marie ces paroles dites du Père céleste : Sic dilexit mundum, ut Filium suum unigenitum daret (Jn III, 16). Par dévouement pour ses enfants d'adoption, elle n'a pas hésité à donner son fils unique... Tant que Marie vécut sur la terre, elle fut pour tous les fidèles la plus tendre des mères ; et maintenant qu'elle est dans le ciel, elle continue à nous donner à tous, chaque jour, des preuves de son amour maternel. Comptez, si vous le pouvez, les malades guéris, les affligés consolés, les malheureux soulagés, les morts ressuscités, les pécheurs convertis par la protection de cette incomparable mère. Mais, si elle nous est toute dévouée et si elle nous a donné tout ce qu'elle avait de plus cher, est-il quelque chose que nous soyons en droit de lui refuser ? A l'exemple du disciple bien-aimé, payons-la d'un juste retour ; soyons tout entiers à son amour, à son culte, à son service. Et ex illa hora accepit eam discipulus in sua... (Jn XIX, 27). »

    M. H.-C.-A. Juge, Manuel de Prédication Populaire, Tome second (IIIe Série : Marie notre mère, XXI), Société Générale de Librairie Catholique, Paris - Bruxelles, 1881.

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  • Réfugiés et paludisme au Soudan du Sud : 4.000 cas par semaine et 3 enfants morts par jour

    On ne vous en parlera pas dans les media...

    Bentiu (Agence Fides) – « L’épidémie de paludisme dans le camp de Bentiu est d’une portée sans précédent et a coûté la vie à trop d’enfants » a déclaré le Coordinateur médical de Médecins sans frontières à Bentiu, dans un communiqué parvenu à l’Agence Fides. Le Centre pour la Protection des Civils (PoC) des Nations unies à Bentiu, accueille actuellement 110.000 personnes ayant fui les affrontements et les violences. L’hôpital de MSF au sein du PoC de la ville est le seul disponible pour la population du camp. Il comprend un service d’urgences 24 heures/24, une thérapie intensive pour les enfants malnutris, fournit des soins médicaux pédiatriques et pour les adultes ainsi que des services de chirurgie et de maternité. Au cours des mois d’août et de septembre derniers, les équipes de MSF ont assisté chaque semaine jusqu’à 4.000 patients affectés de paludisme. Avec cette augmentation vertigineuse des cas, aggravée par un accès limité aux soins médicaux de base et par le manque d’accès aux examens diagnostiques et aux traitements contre le paludisme, de nombreux enfants sont arrivés à l’hôpital gravement malades, peut-on encore lire dans le communiqué. Au cours de ces dernières semaines, trois enfants par jour sont morts de paludisme, après être arrivés à l’hôpital en conditions critiques. Pour répondre à l’urgence, MSF, en collaboration avec l’UNICEF, a conduit une imposante campagne porte-à-porte qui a surveillé 30.000 cas suspects et traité plus de 16.000 enfants de 6 mois à 5 ans. (AP)

    Source : Agence Fides (02/10/2015).

  • Méditation : Saint Matthieu

    « Les apôtres ont été les premiers membres de l’Église, ils en sont le fondement. Leur histoire est comme la préfiguration de l'histoire du christianisme à travers les siècles. Jésus a intentionnellement choisi Matthieu dans le peuple des pécheurs et des publicains, qui lui étaient chers. Un autre publicain, Zachée de Jéricho, dont nous lisons la conversion dans l’Évangile de la Messe de la Dédicace, a aussi trouvé le chemin du Cœur de Jésus. Et dans la parabole que nous lisons le dixième dimanche après la Pentecôte, le Sauveur met le publicain humble et repentant, qui reste au bas du Temple et se frappe la poitrine, au-dessus de l'orgueilleux pharisien qui croit à sa justice propre. Le Christ nous dit clairement : « Je ne suis pas venu pour appeler les justes, mais les pécheurs. Ce ne sont pas les bien portants, mais les malades, qui ont besoin du médecin. » Dans tous les siècles, Jésus n'a pas seulement convié dans son Église, aimé les pécheurs, mais Il les a rendus dignes des plus grandes grâces. C'est de la même manière qu'Il a tiré saint Augustin du milieu des pécheurs pour en faire une des colonnes de l’Église. L’Église n'a jamais été un jardin composé exclusivement de lis d'innocence, mais pour le réconfort des pécheurs repentants, le publicain a trouvé une place dans les fondements de l’Église.

    Jésus devait cependant, lors de l'appel de Matthieu, avoir d'autres motifs. L'Apôtre était juif, mais il était au service d'une nation étrangère, des Romains. Cela faisait de lui, aux yeux de ses compatriotes, une brebis galeuse. Les Juifs étaient profondément persuadés de leur supériorité. Et il est remarquable de constater que Dieu a confié aux ennemis qu'ils haïssaient le trésor le plus précieux qui était finalement destiné au peuple élu.

    Jésus, fils d'une mère juive, rejeton de la dynastie nationale, a regardé au-delà des frontières de son pays. Il dit aux Apôtres : « Prêchez l’Évangile à toute créature. » La tradition nous rapporte qu'au début de leur ministère, les Apôtres se seraient réparti l'univers, depuis l'Espagne jusqu'aux Indes, pour y prêcher l’Évangile. C'était le commencement de l’Église catholique. »

    Toute l'année avec le Christ (Fête de Saint Matthieu, Apôtre), par les Bénédictins de l'Abbaye de Notre-Dame d'Einsiedeln, Traduction des Bénédictins de l'Abbaye Ste-Marie de la Pierre-Qui-Vire, Comptoir Français du Livre, Paris / Bruxelles, 1936.

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    L'appel de Saint Matthieu, Le Caravage (Michelangelo Merisi da Caravaggio, 1571-1610)
    Chapelle Contarelli, église Saint-Louis-des-Français, Rome

  • RD Congo : 23.000 personnes contaminées par une épidémie irrésistible de rougeole

    Lubumbashi – Plus de 23.000 personnes, en grande partie des enfants, ont été contaminées par la rougeole dans la région du Katanga, en République démocratique du Congo. Plus de 400 sont mortes. C’est ce qu’indique l’ONG Médecins Sans Frontières. Dans un village de 500 habitants, plus de 30 enfants de moins de 5 ans sont morts en deux mois, soit un tiers des enfants de cette tranche d’âge. L’épidémie a commencé à se répandre en février mais, jusqu’au début du mois, le gouvernement central de Kinshasa n’avait pas reconnu son existence et les morts n’étaient pas officiellement enregistrées. Les équipes de MSF ont vacciné plus de 300.000 enfants au prix de grandes difficultés. En effet, le vaccin doit être tenu au froid et, pour une couverture complète, deux doses doivent être administrées à des semaines de distance. Le transport du vaccin aux cliniques rurales a été contrarié par les mauvaises conditions du réseau routier et ferroviaire. Certains villages ne peuvent être atteints qu’à pieds, en moto ou en canoé. De nombreux enfants de la région sont par ailleurs affaiblis par le paludisme et la malnutrition. Le Katanga est la région la plus au sud du pays qui, bien que riche en mines de cuivre et de cobalt, est pauvre et sous-développée. (AP)

    Source : Agence Fides (17/09/2015).

    Vous avez bien lu : en R.D. du Congo, 23.000 personnes, en grande partie des enfants, sont contaminées par une épidémie.
    Mais il n'y a pas de reporter sur place.
    Donc pas de photographie.
    Alors tout le monde s'en fout.

    En R.D. du Congo, 23.000 personnes sont en danger de mort.
    Il n'y a pas de photo.
    ... 23.000 ... ça ne compte donc pas ? ...

  • Samedi 18 juillet 2015

    St Camille de Lellis, religieux, fondateur des Serviteurs des malades
  • Le Pape François à Turin - Rencontre avec les malades et les handicapés (église du Cottolengo)

    Une étape qui ne pouvait pas manquer au programme de la visite du Pape François à Turin : le Cottolengo, la Petite Maison de la Divine Miséricorde, à la fois monastère, hôpital et asile, fondé au 19e siècle par le « Saint Vincent de Paul italien », Joseph-Benoît Cottolengo. Il s’agit une institution atypique destinée à accueillir tous les malades pauvres, quelle que soit leur pathologie, surtout certains handicapés qui à l’époque du Père Cottolengo étaient refusés par les hôpitaux, comme les épileptiques, les malades mentaux et les sourds-muets.

    Pour animer son institution qui a essaimé à travers le monde, Joseph Cottolengo a fondé une Congrégation de religieuses et un Institut de frères, prêtres et laïcs. Le Saint-Père s’est rendu, dimanche après-midi, dans ce lieu de charité pour y rencontrer des malades et des handicapés. L’occasion pour lui de relever que l’exclusion des pauvres existe encore aujourd’hui. « La médecine a fait des progrès mais la culture du déchet a provoqué une crise anthropologique : ce n’est plus l’homme qui est au centre des actions mais la consommation et les intérêts économiques » a-t-il répété, dans un ton proche de celui employé dans son encyclique "Laudato Si" publiée jeudi dernier.

    Parmi les personnes délaissées, le Pape François a cité les personnes âgées. « Elles sont la mémoire et la sagesse des peuples ; et pourtant leur longévité n’est pas toujours perçue comme un don de Dieu, mais au contraire comme un poids difficile à supporter. » Le Souverain Pontife invite donc à « développer des anticorps » contre cette mentalité qui fait tant de mal à la société. « Il s’agit d’un péché, a-t-il martelé, d’un grave péché social ».

    Le Pape François a rendu un hommage appuyé au Père Cottolengo, à son amour évangélique concret. « La raison d’être de cette institution, a-t-il dit, n’est pas une forme d’assistanat ou de philanthropie, c’est l’Évangile, l’amour préférentiel de Jésus pour les plus fragiles et les plus faibles. »  Le Saint-Père a par ailleurs invité les malades à devenir les témoins et les apôtres de la Divine Miséricorde qui sauve le monde. « En contemplant le Christ crucifié, et avec l’aide de ceux qui prennent soin de vous, leur a-t-il dit, vous trouverez la force et la consolation pour porter votre croix tous les jours. »

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral du discours en italien sur le site internet du Vatican.

  • Audience générale de ce mercredi 10 juin 2015

    Ce matin, au cours de l'audience générale tenue Place St Pierre en présence de 15.000 personnes, le Saint-Père a poursuivi sa catéchèse sur la famille en abordant la question de la maladie : La famille, a-t-il dit, "a de tout temps été comme l'hôpital le plus proche. Encore aujourd'hui, dans de nombreuses régions du monde, il est un privilège" et ce sont les membres de la famille qui prennent soin des malades. Jésus s'est présenté "publiquement comme celui qui lutte contre la maladie, venu pour guérir l'homme de tout mal, les maux de l'esprit comme du corps... Marc rapporte qu'à la nuit tombée on lui amenait malades et possédés. Dans nos grandes villes, où sont les lieux auxquels conduire ces malheureux pour que Jésus les soigne ?". Il faut être bien conscients de ce qu'Il a dit dans l'épisode de l'aveugle-né. Alors que les disciples discutaient pour savoir qui de l'handicapé ou de ses parents avait péché provoquant la cécité, le Seigneur répondit ni l'un ni les autres. Il est ainsi, dit-Il, afin que se manifeste en lui l’œuvre de Dieu, et le guérit. Telle est la gloire de Dieu, la mission de l’Église : Aider les malades sans se perdre en discussions, les réconforter, leur être proches. L’Église nous invite à prier pour qui est frappé par la maladie et cette prière constante en faveur des malades ne doit jamais faire défaut, individuelle comme communautaire". Même en famille la maladie présente des difficultés, dues à la faiblesse humaine. Le plus souvent elle renforce les liens familiaux. Il faut cependant éduquer les enfants à la solidarité car une éducation qui ferait l'impasse sur la sensibilisation à la maladie" ne peut qu'être déficiente. "Un jeune anesthésié face à la souffrance d'autrui" demeure incapable de faire front à la vie. Faire front à la souffrance de nos proches "est une école de vie...d'autant plus que cela sera accompagné par la prière et l'attention aux personnes... Pour la communauté paroissiale, la solidarité chrétienne de famille à famille constitue un trésor de sagesse...qui permet de faire comprendre le Royaume mieux que tant de discours !".

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 10.6.15).

    Résumé :

    « Chers frères et sœurs, aujourd’hui je voudrais aborder un aspect de la vie familiale, qui est une expérience de notre fragilité, celui de la maladie. Dans bien des cas, la famille est en quelque sorte « l’hôpital » le plus proche, qui aide à se soigner et à guérir ! Jésus lui aussi se présente comme quelqu’un qui lutte contre la maladie, et qui est venu guérir l’homme de tout mal. À sa suite, la mission de l’Église est d’aider les malades, sans se perdre en bavardages. La prière pour les malades ne devrait jamais manquer, qu’elle soit personnelle ou communautaire ! Même quand surgissent des difficultés, à cause de la faiblesse humaine, le temps de la maladie peut renforcer les liens familiaux. Aussi est-il nécessaire d’éduquer les enfants à la solidarité avec les malades, afin qu’ils ne soient pas « anesthésiés » face à la souffrance des autres. Rendons grâce à Dieu pour les belles expériences de fraternité ecclésiale qui aident les familles à traverser les moments difficiles de la souffrance. »

    « Je suis heureux d’accueillir les pèlerins de langue française. Je salue particulièrement les prêtres du diocèse de Saint-Denis, avec l’Évêque Mgr Pascal Delannoy. Je vous invite à demeurer proches des malades de vos familles et à prier pour toutes les personnes qui souffrent. Que Dieu vous bénisse ! »

    Source : site internet du Vatican.

    Texte intégral traduit en français sur Zenit.org.

    Texte intégral original en italien sur le site internet du Vatican.

  • Le Pape rencontre des enfants malades à la chapelle de la Maison Sainte Marthe

    Dans la chapelle de la Maison Sainte Marthe au Vatican, le Pape a rencontré une vingtaine d’enfants gravement malades âgés de 2 à 14 ans et accompagnés de leurs parents et de quelques volontaires de l’Unitalsi.

    « Installez-vous ». Le Pape a invité les enfants à réciter avec lui le "Notre Père". Puis il leur a parlé sans note, à cœur ouvert. Il y a des demandes qui restent sans explication. Pourquoi les enfants souffrent ? « C’est un mystère », explique François. La vierge Marie est restée, elle aussi, sans réponse, quand on lui a rendu le corps de son fils. L’ange lui avait annoncé qu’il serait Roi, grand et prophète et le voilà mort et couvert de sang. « C’est le mystère de la Croix ».

    Quand les enfants grandissent, qu’ils arrivent à un certain âge autour des deux ans, ils ne comprennent pas le monde et demandent ainsi « pourquoi ? » continuellement à leurs parents. Ces derniers apportent des explications qui provoquent, là encore, une cascade de « pourquoi ». Ces enfants, explique le Pape, ne veulent pas comprendre le monde. Ils cherchent l’attention de leurs parents.

    De la même façon, poursuit le Pape, nous pouvons demander « pourquoi les enfants souffrent au Seigneur ». « Il ne dira pas un mot, mais nous sentirons Son regard sur nous, et cela nous donnera de la force » pour aller de l’avant. Le Pape encourage les enfants malades et leurs parents à essayer : « N’ayez pas peur de demander, et même de défier le Seigneur ». « Et peut-être que cela vous apportera un sentiment nouveau et étrange ». « Peut-être que la tendresse envers votre enfant sera la réponse, parce que c’est le regard du Père (...) Là est votre force dans le regard amoureux du Père ».

    Interpellant une maman à qui on avait conseillé d’avorter, le Pape s’exclame : « Jamais, non jamais on ne résout un problème en tuant une personne. Ça c’est une habitude de mafieux ». Le Pape reconnait que même pour lui, qui a étudié la théologie, la souffrance des enfants est comme la Trinité, l’Eucharistie ou la grâce de Dieu : un mystère. François exprime son admiration pour la force et le courage des enfants.

    Le Saint-Père assure les enfants présents dans la chapelle Sainte Marthe de sa proximité. « Ce n’est pas une compassion momentanée », insiste-t-il. « Votre chemin de courage, votre chemin de croix, votre exemple me fait du bien ». Et le Pape remercie de ce courage. « Tant de fois dans ma vie je me suis montré lâche ». François met en avant leur courage, admirable a fortiori dans un monde « où il est tellement banal de vivre la culture du rejet ». « Vous êtes de petits héros de la vie ». Quant aux parents, il connait leur préoccupation de laisser derrière eux leur enfant malade et les tranquillise. Souhaiter alors que son enfant meurt le premier, « cela, c’est de l’amour ».

    Poussé par un de ses secrétaires, le Pape raconte enfin une histoire « qui pourrait aider les enfants à se tourner vers le Seigneur ». Un enfant jouait. Son père le regardait par la fenêtre au troisième étage. L’enfant cherchait à bouger une pierre massive, mais il n’y parvenait pas. Elle était trop pesante. L’enfant intelligent est allé chercher un morceau de fer pour parvenir à bouger la pierre, il n’y parvint pas là non plus. Il est alors allé chercher ses camarades, mais tous ensemble, ils n’y sont pas parvenu. A la fin, le papa est descendu et avec beaucoup de force et le morceau de métal il a réussi à dégager la pierre. L’enfant alors adresse un ton de reproche à son père : « mais papa tu as vu que je n’y parvenais pas ? Mais pourquoi n’es-tu pas venu plus tôt ? » Et le père de répondre : « parce que tu ne m’as pas appelé ». François a ainsi rappelé aux enfants qu’il ne fallait pas oublier d’appeler le Seigneur. « Lui sait ce qu’il adviendra et comment cela adviendra, et il sera votre consolation ».

    La rencontre s’est achevée par un Ave Maria et une bénédiction papale. François a enfin salué individuellement chaque enfants avec ses parents.

    Source : Radio Vatican.

  • Le Pape explique l'annulation de sa visite à l'hôpital Gemelli

    Dans un message vidéo adressé aux patients et au personnel de l'hôpital Gemelli de Rome, le Pape François est revenu sur les motifs de l'annulation à la dernière minute de sa visite dans l'établissement le 27 juin dernier. « Je sais que tout avait été préparé avec enthousiasme et passion [...] mais quelques minutes avant de partir, un fort mal de tête que j'avais depuis le matin et dont j'espérais qu'il allait passer, s'est accentué et s'est accompagné de nausées. Dans ces conditions, je n'ai pas pu venir » s'est-il excusé.

    « Sachez que j'ai fortement désiré cette rencontre avec vous mais, comme vous le savez bien, nous ne sommes pas les maîtres de notre vie et nous ne pouvons pas en disposer à notre convenance. Nous devons accepter la fragilité. Cultivez avec moi la confiance que notre force ne se trouve qu'en Dieu » a-t-il conseillé. Un message « affectueux » qui a rempli « de joie et d'émotion toute la famille de de l'université catholique » dont dépend l'hôpital Gemelli, selon un communiqué publié après le message du Pape ce dimanche.

    Les personnes malades, témoins de Dieu

    « Je comprends la déception des responsables et de tous ceux qui avaient travaillé avec force et passion. Je comprends surtout la désillusion des malades déjà prêts à pouvoir prier ensemble pendant la Sainte Messe, que j'aurai voulu saluer personnellement » explique le Pape dans la vidéo. Pour François, les personnes malades sont les témoins « du bien précieux de la vie et de l’Évangile, de l'amour miséricordieux du Père et non de l'argent ou du pouvoir ».

    Le Pape avait programmé cette visite à l’occasion des cinquante ans de l’hôpital dont les liens avec les papes remontent à Saint Jean-Paul II. Le cardinal Scola, archevêque de Milan, et président de l’Institut d’études supérieures Toniolo, dont dépend la polyclinique, avait remplacé le Pape au pied levé pour célébrer la Messe et prononcer l’homélie prévue pour l'événement.

    Source : Radio Vatican.

  • Visite pastorale au Molise - Rencontre avec les malades dans la cathédrale d'Isernia

  • Visite pastorale du Pape François en Molise (Italie méridionale)

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    Interventions du Saint-Père et vidéos KTO mis en ligne dès que disponibles

    7h45     Départ en hélicoptère de l’héliport du Vatican

    8h45     Atterrissage à l’héliport de l'Université du Molise à Campobasso

    9h00     Rencontre avec le monde du travail et de l'industrie dans l’Aula Magna de l’Université du Molise

    Discours du Saint-Père

    10h30     Messe à l'ancien stade Romagnoli à Campobasso

    Homélie du Saint-Père

    12h30     Salut à un groupe de malades dans la cathédrale de Campobasso

    13h00     Déjeuner avec les pauvres assistés par la Caritas à la « Casa degli Angeli » de Campobasso

    14h30     Transfert en hélicoptère au sanctuaire marial de Castelpetroso, où l’on vénère Notre-Dame des Douleurs, patronne de la région

    15h15     Rencontre avec les jeunes du diocèse des Abruzzes et du Molise sur l'esplanade du sanctuaire

    Discours du Saint-Père

    16h00     Transfert en voiture à Isernia

    16h30     Rencontre avec les détenus de la prison d'Isernia

    Discours du Saint-Père

    17h45     Salut des malades dans la cathédrale d'Isernia

    18h15     Rencontre avec la population et ouverture de l'Année jubilaire célestine place de la cathédrale d'Isernia (ville natale du Pape Célestin V) - L'Année jubilaire a été promulguée par les évêques des Abruzzes et du Molise à l’occasion du 8ème centenaire de la naissance de ce Pape du XIIIe siècle (1215-2015).

    Discours du Saint-Père

    19h30     Départ en hélicoptère de la caserne des pompiers d'Isernia

    20h15     Arrivée au Vatican