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serviteurs

  • Huit nouveaux "Vénérables" dans l'Eglise catholique

    Le Pape François a reçu en audience le Cardinal Angelo Amato, Préfet de la Congrégation de la Cause des Saints, et a autorisé la promulgation de huit décrets reconnaissant les vertus héroïques des serviteurs et servantes de Dieu suivants :

    - Varghese Payapilly (1876-1929), prêtre diocésain, fondateur en Inde de la Congrégation des Sœurs des Indigents (Sisters of the Destitute) ;

    - Manuel Nunes Formigão (1883-1958), prêtre diocésain, fondateur au Portugal de la Congrégation des Religieuses Réparatrices de Notre Dame de Fatima ;

    - Ludovico Longari (1889-1963), prêtre italien, religieux de la Congrégation des Prêtres du Saint-Sacrement ;

    - Elisabeth Bruyère (1818-1876), fondatrice au Canada des Sœurs de la Charité d’Ottawa ;

    - Margherita Ricci Curbastro (au siècle: Costanza, 1856-1923), fondatrice en Italie de la Congrégation des Servantes du Sacré Cœur de Jésus Agonisant ;

    - Florenza Giovanna Profilio (1873-1956), fondatrice en Italie de l’Institut des Sœurs franciscaines de l’Immaculée Conception de Lipari ;

    - Maria Dolores di Cristo Re (au siècle: Maria Di Majo, 1888-1967), fondatrice en Italie de la Congrégation des Servantes Missionnaires du Christ Roi ;

    - Justa Domínguez de Vidaurreta y Idoy (1875-1958), Supérieure de la Province espagnole de la Société des Filles  de la Charité de Saint Vincent de Paul.

    Source : Bulletin de la Salle de Presse du Vatican (14.04.2018).

  • Méditation - Marchons vers la sainteté

    « Ô Dieu, dirons-nous avec l’Église, dans une de ses plus admirables prières, je crois que vous êtes tout-puissant, que votre grâce est aussi efficace pour m'élever, tout misérable que je suis, à un haut degré de sainteté ; je crois que vous êtes également la miséricorde infinie, et que, si je vous ai quitté souvent, votre amour plein de bonté ne m'abandonne jamais ; c'est de vous, ô mon Dieu, Père céleste, que descend tout don de perfection ; c'est votre grâce qui fait de nous des serviteurs fidèles qui vous sont agréables par des œuvres dignes de votre majesté et de votre louange ; faites que, détaché de moi-même et des créatures, je puisse courir sans obstacle dans cette voie de la sainteté, où votre Fils, comme un géant, nous précède ; afin que par lui et avec lui, je parvienne à la félicité que vous nous avez promise » (1) !

    Les saints vivaient de ces vérités ; c'est pourquoi ils sont parvenus au sommet où nous les contemplons aujourd'hui. La différence qui existe entre eux et nous ne naît pas de la plus grande somme de difficultés que nous avons à vaincre, mais de l'ardeur de leur foi dans la parole de Jésus-Christ et dans la vertu de sa grâce comme aussi de leur plus ardente générosité. Nous pouvons, si nous le voulons, recommencer l'expérience : le Christ demeure toujours le même, aussi puissant, aussi magnifique dans la distribution de sa grâce ; ce n'est qu'en nous-mêmes qu'il trouve des obstacles à l'effusion de ses dons.
    Âmes de peu de foi, pourquoi doutons-nous de Dieu, de notre Dieu ? »

    (1) : Oraison de la messe du XIIe dimanche après la Pentecôte.

    Bx Columba Marmion (1858-1923), Le Christ dans Ses Mystères (ch. XX, IV), Abbaye de Maredsous, Desclée de Brouwer & Cie, Paris, 1937.

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    (Crédit photo)

  • Samedi 18 juillet 2015

    St Camille de Lellis, religieux, fondateur des Serviteurs des malades
  • Audience générale de ce mercredi 12 novembre 2014

    Durant l'audience générale tenue place St Pierre malgré le mauvais temps, le Pape a consacré sa catéchèse aux ministères dans l’Église :
    "Que demande-t-on aux ministres de l’Église que sont les évêques, les prêtres et les diacres, sinon d'assurer un service authentique et fécond ?". A cette question, il a repris ce que dit Paul à ses disciples Timothée et Tite pour citer un véritable alphabet qui rassemble vertus normales et spirituelles : l'accueil, la sobriété, la patience, l'humilité, le sérieux et la bonté. "Tel est l'alphabet, la grammaire qui est à la base de tout ministère. Sans elles, on ne saurait rencontrer, connaître et dialoguer avec l'autre comme avec un frère. Ces dispositions permettent d'offrir un service et un témoignage valables". Elles impliquent "une conscience vive et permanente de ce que pour être évêque, prêtre et diacre il ne suffit pas d'être meilleur ou plus intelligent. Il faut posséder la force qui découle du don accordé par Dieu...pour le bien de son peuple... Avoir conscience de cela est une grâce à demander chaque jour. Si un pasteur est conscient de ce que son ministère vient de la miséricorde de Dieu il ne sera jamais autoritaire et ne considérera pas sa communauté comme sa propriété et les fidèles comme ses sujets. Savoir que tout est don et grâce aide le pasteur à ne pas tomber dans le travers de se placer au centre de l'attention ou de n'avoir confiance qu'en lui-même, de céder aux tentations de la vanité, de l'orgueil et de la superbe. Malheur à l'évêque ou au prêtre qui penserait tout savoir, d'avoir réponse à tout et besoin de personne. Au contraire, la conscience d'être le premier objet de la miséricorde de Dieu doit porter le ministre de l’Église à l'humilité et à la compréhension d'autrui. Appelé à garder le dépôt de la foi, il doit se mettre à l'écoute des gens car il sait avoir toujours quelque chose à apprendre, y compris de personnes éloignées de la foi et de l’Église. Cette attitude ne peut que rénover ses rapports avec ses confrères, dans le partage, la co-responsabilité et la communion... Soyons toujours reconnaissants au Seigneur de guider son Eglise, en la personne de ses ministres, qui la font grandir sur la voie de la sainteté. Prions aussi afin que les pasteurs puissent êtres des images vivantes de la communion et de l'amour de Dieu".

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 12.11.14).

    Le Pape consterné par l'assassinat des 43 étudiants mexicains

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  • Méditation : "Tous cherchent leurs propres intérêts, et non ceux de Jésus-Christ" (Ph II, 21)

    « Si nous sommes si faibles en face du mal qui va toujours croissant, n'est-ce pas parce que trop souvent nous réalisons en nous cette parole de l'Apôtre : "Tous cherchent leurs propres intérêts, et non ceux de Jésus-Christ" ? (*)
    La force, la fécondité, sachons-le bien, n'est promise qu'aux âmes qui ont mis toute leur confiance dans le Cœur de Jésus ; qui n'ont d'autre désir que de suivre avec une parfaite docilité l'impulsion de ce divin moteur, et qui, au lieu de se laisser guider par leur activité naturelle, n'agissent que sous son influence et ne vivent que de sa vie.
    C'est ainsi qu'agiront les âmes que l'amour du Cœur de Jésus aura intimement unies ensemble. Chaque fois qu'elles iront visiter ce divin Cœur dans son Tabernacle, chaque fois surtout qu'elles le recevront dans la sainte communion, elles consulteront ses désirs. « Seigneur, lui diront-elles, avec saint Paul, que voulez-vous que nous fassions. Parlez, Seigneur, car vos serviteurs vous écoutent ; dites-nous en quoi nous pouvons mieux servir vos intérêts, nous utiliser mieux nous-mêmes, faire plus de bien à nos frères. S'il y a un besoin que nous puissions satisfaire, un danger que nous puissions écarter, une âme entraînée au mal que nous puissions délivrer, un cœur porté au bien que nous puissions encourager, Seigneur, dites-le nous, et vous nous trouverez disposées à seconder vos désirs. »
    Voilà ce que diront souvent à Jésus-Christ les âmes résolues à se dépenser entièrement pour sa gloire. Quand elles se trouveront réunies ensemble, elles se poseront les mêmes questions, et, pour les résoudre, chacune d'elles communiquera aux autres les bonnes pensées que le Cœur de leur Dieu leur aura inspirées. »

    (*) : Ph II, 21.

    L'Apostolat du Sacré Cœur de Jésus dédié aux zélateurs et zélatrices de l'Apostolat de la Prière (Seconde Partie, Deuxième considération), A Vals près Le Puy, 1866.

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  • Mois de Marie - Vingt-huitième jour

    Vingt-huitième jour

    Reine des Anges, priez pour nous.
     
    Reine des Anges, vous les surpassez tous en grâces, en mérites, en sainteté. Tous les esprits célestes vous rendent hommage et s’abaissent devant vous, comme devant la Mère de Dieu, dont ils ne sont que les serviteurs. Nous unissons nos respects et nos hommages à ceux que vous rend toute la cour céleste. Priez votre divin Fils de nous faire imiter la pureté des Anges et la vôtre pour être un jour associés à votre bonheur.

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  • Audience générale de ce mercredi 24 avril 2013

    "Jugement dernier et Amour"

    Ce matin Place St Pierre, le Pape François a tenu l'audience générale devant 75.000 personnes, consacrant sa catéchèse au mystère du retour de Jésus "dans la gloire pour juger les vivants et les morts". Il a évoqué le temps intermédiaire que nous vivons entre la première venue du Christ et son retour glorieux, en parlant des trois épisodes évangéliques relatifs aux dix vierges en attente d'un époux, à la parabole des talents et au jugement dernier. L'époux attendu est "le Seigneur et son attente correspond au temps qu'Il nous accorde, avec patience et miséricorde, avant son retour. C'est l'immédiat, un temps de vigilance où il faut garder allumée la lampe de la foi, de l'espérance et de la charité, où il faut rester ouverts au bien, au beau et au vrai, pour vivre selon Dieu. Si nous ignorons l'heure et la date du retour de Jésus-Christ, il nous est demandé d'être prêts à sa rencontre, de reconnaître les signes de sa présence, de maintenir la foi par la prière et les sacrements, de ne pas nous endormir en oubliant Dieu. Les chrétiens endormis ont une vie triste, alors que le chrétien est appelé à la joie de Jésus".

    La parabole des talents "permet de réfléchir à la manière dont nous employons les dons de Dieu en rapport au retour de Jésus, lorsqu'il nous demandera compte de leur usage... Ainsi l'attente de son retour est elle un temps d'action, pendant lequel il faut faire fructifier ces dons non pour nous mais pour Lui, l'Eglise et les autres afin de faire grandir le bien dans ce monde. Avec l'actuelle crise il est important de ne pas se replier sur soi en cachant nos talents, d'être solidaires et attentifs à autrui. C'est ensevelir toute notre richesse, spirituelle, intellectuelle et matérielle sans souci des besoins de l'autre. Aux nombreux jeunes présents ici, qui sont dans la première phase de l'existence, je demande s'ils pensent aux talents reçus de Dieu et à la manière de les mettre au service des autres ? N'enterrez pas vos talents et visez aux idéaux qui ouvrent les coeurs et rendent féconds les talents reçus. La vie n'est pas offerte pour être jalousement gardée mais pour être généreusement donné. N'ayez pas peur de réaliser de grandes choses !".

    Pour finir le Pape François a parlé de la seconde venue du Seigneur et du Jugement dernier. L'image de Matthieu montrant le berger séparant les chèvres des brebis montre que "nous serons jugés par Dieu sur la charité et l'amour envers les frères, en particulier les plus faibles et nécessiteux. Certes, nous sommes justifiés et sauvés par la grâce, par un acte d'amour gratuit antérieur puisqu'il nous précède. Seuls nous ne pouvons rien et la foi est avant tout un don. Mais pour porter du fruit la grâce a besoin de notre disponibilité, d'une réponse libre et complète. Le Christ est venu nous apporter la miséricorde divine qui sauve, tandis qu'il nous est demandé de Lui faire confiance, de répondre à cet amour par une vie toute animée par la foi et l'amour. N'ayons pas peur du Jugement dernier. Que cette perspective nous engage plutôt à mieux vivre le présent, ce temps immédiat que Dieu nous offre avec patience et miséricorde, qui nous permet de Le reconnaître dans les pauvres et les petits. Agissons pour le bien et soyons vigilants dans la prière et dans l'amour, afin qu'à l'issue de notre existence terrestre et de l'histoire Il puisse nous reconnaître comme de bons et fidèles serviteurs".

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 24.4.13).

  • Le pape ordonne dix nouveaux prêtres

    « Vous êtes des pasteurs, pas des fonctionnaires »

    Le pape François a ordonné en ce IV° dimanche de Pâques, dix nouveaux prêtres lors d’une messe en la basilique Saint-Pierre. Le souverain pontife a concélébré cette célébration eucharistique avec le cardinal vicaire de Rome, Agostino Vallini, l’archevêque vice-gérant et les auxiliaires du diocèse de Rome, dont il est l’évêque. Les futurs prêtres proviennent du Grand Séminaire de Rome, du séminaire Redemptoris Mater et du séminaire du sanctuaire romain du Divin Amour.

    La Miséricorde au centre de la mission

    Devant des milliers de fidèles, le pape, dans son homélie, a rappelé le sens du sacerdoce. « S’il vous plait », a-t-il lancé aux futurs prêtres « ne vous lassez jamais d’être miséricordieux ».
    « N’ayez pas honte d’être tendre avec les personnes âgées ». « Dispensez à tous cette Parole de Dieu que vous-même avez reçu avec joie », a déclaré le pape. « Souvenez-vous de vos mères, de vos grands-mères, de vos catéchistes, qui vous ont transmis ce don de la foi ».

    « Vous êtes des médiateurs, pas des intermédiaires »

    Le pape a invité les nouveaux prêtres à lire et à méditer assidument la Parole du Seigneur. Il a également mis en évidence l’importance de leur mission. « Engagez-vous à unir les fidèles en une unique famille (…) et « ayez toujours à l’esprit, l’exemple du Bon pasteur, qui n’est pas venu pour être servi mais pour servir ». « Vous êtes des pasteurs, pas des fonctionnaires. Vous êtes des médiateurs, pas des intermédiaires » a souligné le pape François.

    Evoquant les différents sacrements que les prêtres ordonnés seront appelés à dispenser, le pape a rappelé l’importance du baptême et du sacrement de pénitence.

    Après la litanie des Saints, durant laquelle les diacres se sont allongés sur le sol, face contre terre, en signe d’humilité et d'abandon, le pape François leur a imposé les mains. L'imposition des mains est le moment clé de la transmission de la charge, quand opère l'Esprit saint. Une trentaine de prêtres a également imposé les mains sur les nouveaux ordonnés en signe cette fois d'accueil fraternel. Ils ont également aidé les nouveaux prêtres à revêtir les ornements sacerdotaux, l'étole et la chasuble, après la prière consécratoire lors de laquelle le pape demande à Dieu d'accueillir les ordinands.

    Source : Radio Vatican.