Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anxiété

  • Méditation - Pas d'inquiétude inutile...

    « Il me semble que vous devriez vous résoudre à faire avec calme ce que vous pouvez. Ne soyez pas inquiet de tout le reste, mais abandonnez à la divine Providence ce que vous ne pouvez accomplir par vous-même.
    Sont agréables à Dieu notre soin et notre sollicitude raisonnables pour mener à bien les affaires dont nous devons nous occuper par devoir.
    Ne plaisent pas à Dieu l’anxiété et l’inquiétude de l’esprit, parce que le Seigneur veut que nos limites et nos faiblesses prennent appui en sa force et en sa toute-puissance ; il veut que nous espérions que sa bonté suppléera à l’imperfection de nos moyens.
    Ceux qui se chargent d’affaires nombreuses, même avec une intention saine et droite, doivent se résoudre à faire simplement ce qui est en leur pouvoir, sans s’affliger s’ils ne parviennent pas à tout réaliser comme ils le voudraient, à condition qu’ils aient accompli tout ce que la nature humaine peut et doit faire selon les indications de la conscience.
    Si on doit laisser de côté certaines choses, il faut s’armer de patience et ne pas penser que Dieu attend de nous ce que nous ne pouvons faire ; il ne veut pas davantage que l’homme s’afflige de ses limites.
    Pourvu que l’on donne satisfaction à Dieu - ce qui est plus important que de donner satisfaction aux hommes – il n’est pas nécessaire de se fatiguer exagérément. Bien plus, lorsqu’on s’est efforcé d’agir de son mieux, on peut abandonner tout le reste à Celui qui a le pouvoir d’accomplir tout ce qu’il veut.
    Plaise à la divine Bonté de nous communiquer toujours la lumière de sa sagesse pour que nous puissions voir clairement et accomplir fermement son bon plaisir en nous et dans les autres. Amen. »

    St Ignace de Loyola (1491-1556), Extraits d'une Lettre à Jérôme Viñes, Rome, le 17 novembre 1555, Éditions du Soleil Levant, Namur, 1957.

    St Ignace,Loyola,calme,providence,anxiété,inquiétude,patience,fatigue,limites,faiblesse,imperfection

    (Crédit photo)

  • 2 juillet : Méditation

    « Il me semble que vous devriez vous résoudre à faire avec calme ce que vous pouvez. Ne soyez pas inquiet de tout le reste, mais abandonnez à la divine Providence ce que vous ne pouvez pas accomplir par vous-même. Sont agréables à Dieu notre soin et notre sollicitude raisonnables pour mener à bien les affaires dont nous devons nous occuper par devoir. Ne plaisent pas à Dieu l'anxiété et l'inquiétude de l'esprit : le Seigneur veut que nos limites et nos faiblesses prennent appui en sa force et en sa toute puissance, il veut que nous espérions que sa bonté suppléera à l'imperfection de nos moyens.
    Ceux qui se chargent d'affaires nombreuses, même avec une intention droite, doivent se résoudre à faire simplement ce qui est en leur pouvoir, sans s'affliger s'ils ne parviennent pas à tout réaliser comme ils le voudraient, à condition qu'ils aient accompli tout ce que la nature humaine peut et doit faire selon les indications de la conscience. Si on doit laisser de côté certaines choses, il faut s'armer de patience, et ne pas penser que Dieu attend de nous ce que nous ne pouvons pas faire. Il ne veut pas davantage que l'homme s'afflige de ses limites, pourvu que l'on donne satisfaction à Dieu, ce qui est plus important que de donner satisfaction aux hommes. Il n'est pas nécessaire de se fatiguer exagérément. Bien plus, lorsqu'on s'est efforcé d'agir de son mieux, on peut abandonner tout le reste à Celui qui a le pouvoir d'accomplir tout ce qu'il veut. »

    Saint Ignace de Loyola (1491-1556), Lettre du 17 nov. 1555, Editions du Soleil Levant, Namur, 1957.

    champ_de_ble_1a.jpg