Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 6

  • Piotr Ilitch Tchaïkovski : Nocturne en ré mineur (Six morceaux Op.19 No.4)

    London Symphony Orchestra - Dir. Maxim Shostakovich
    Julian Lloyd Webber, violoncelle

  • Méditation - « Mais priez mes enfants... »

    (suite de la méditation de ce dimanche 31 juillet)

    « Si la condition de la vie naturelle est l'alimentation, la condition absolue de la vie surnaturelle est la prière. Et dussiez-vous tout laisser, pénitences, œuvres de zèle, communions même, n'abandonnez jamais la prière ! Elle est de tous les états, elle les sanctifie tous. Mais, quoi ! laisser la Communion, qui nous donne Jésus même, plutôt que la prière ? - Oui, car si vous ne priez pas, ce Jésus que vous recevez, ce sera comme si vous preniez un remède enfermé dans une enveloppe qui vous empêcherait d'en ressentir les salutaires effets. On ne fait rien de grand pour Jésus sans la prière : la prière vous revêt de ses vertus ; et si vous ne priez pas, ni les saints ni Dieu lui-même ne vous feront avancer dans la voie de la sainteté.

    La prière est tellement la loi de la sainteté, que quand Dieu veut élever une âme, il n'augmente pas ses vertus, mais son esprit de prière, c'est-à-dire sa somme de puissance. Il la rapproche davantage de lui-même, et voilà tout le secret de la sainteté.
    [...]
    Oh ! je vous le répète, laissez tout, ne laissez jamais la prière : elle seule vous ramènera toujours, quelque loin que vous soyez de Dieu, mais elle seule !
    Si vous vous y attachez dans la vie chrétienne, elle vous conduira à la sainteté et au bonheur dans ce monde et dans l'autre. »

    St Pierre-Julien Eymard (1811-1868), fêté ce jour, La Divine Eucharistie, extraits des Écrits et Sermons du Bienheureux Pierre-Julien Eymard, Deuxième Série, La sainte Communion (L'esprit de prière), Société Saint-Augustin, Desclée de Brouwer & Cie, Bruges - Lille - Paris - Lyon, 1926 (seizième édition).

    mains_priere_13a.jpg

  • Mardi 2 août 2016

    St Alphonse-Marie de Liguori, religieux,
    évêque et docteur de l'Eglise,
    fondateur des Rédemptoristes

    Saint_Alphonse-Marie-de-Liguori_1b.jpg

    Mémoire de St Etienne Ier, pape martyr
     

     En certains endroits : St Pierre-Julien Eymard, religieux,
    fondateur de la Société du Saint-Sacrement

    Saint_Pierre-Julien_Eymard_4b.jpg

    1er jour de la Neuvaine à Ste Philomène (fêtée le 11 août prochain)

    Et le 2 août : Indulgence de la Portioncule
    (Notre-Dame des Anges chez les Franciscains)

  • Intentions de prière pour le mois d'août 2016

    Sport et fraternité
    Pour que le sport soit l’occasion d’une rencontre fraternelle entre les peuples et contribue à la paix dans le monde.

    Exigence de l’Évangile
    Pour que les chrétiens vivent l’exigence de l’Évangile en donnant un témoignage de foi, d’honnêteté et d’amour envers leur prochain.

    Source : Apostolat de la Prière.

  • Piotr Ilitch Tchaïkovski : La Belle au bois dormant, Op. 66 - Valse

    Arrt. de Sergueï Rachmaninov en 1890 pour piano à 4 mains
    Aurora Duo, piano

  • Méditation - « Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs... »

    « Le tendre et filial respect du chrétien pour la Sainte Vierge doit être accompagné d'une prière pleine de confiance dans son intercession. Maître absolu de ses dons, Dieu peut, sans doute, les accorder immédiatement par lui-même. Il le peut ; mais le plus souvent il ne les accorde que par l'entremise de ses Saints. Mille exemples dans l’Écriture nous prouvent cette vérité. Ah ! combien de grâces signalées les Saints ne nous obtiennent-ils pas ? Or, si Dieu fait tant pour ses serviteurs, que ne fait-il pas pour sa Mère ? Son crédit surpasse autant celui des anges et des Saints, qu'elle les surpasse elle-même par l'éminence de sa sainteté, par la plénitude de ses grâces, par l'élévation de son trône. Elle a toujours été regardée comme le refuge et l'avocate des pécheurs, comme la paix et la joie des justes, la consolation des affligés, l'appui des faibles, la ressource des misérables, l'espérance de tous ceux qui aspirent au salut, l'étoile qui les conduit à ce port si désirable, à travers les tempêtes de la mer orageuse de ce monde.

    C'est donc avec raison que les grands et les petits, les monarques et les sujets, pleins de confiance en Marie, se disputent la gloire de lui bâtir des temples, de lui ériger des autels, d'orner ses images, de célébrer ses fêtes, de réclamer son secours, et d'invoquer son nom, en le mêlant à celui de son divin Fils. Ô noms de Jésus et de Marie ! noms plus doux que le miel, noms de grâce et de salut, que ma langue s'attache à mon palais, si je cesse de vous répéter tendrement, et pendant le cours de ma vie et à l'heure de ma mort ! »

    Abbé Bonnardel (1764-1836), Discours pour le jour de l'Assomption, in Abbé J. Guillermin, "Choix de Discours et Allocutions des plus célèbres orateurs contemporains sur la Très Sainte Vierge" Tome I, Paris, Librairie Bloud et Barral, s.d. [1892].

    L'Abbé François Bonnardel était curé de Semur-en-Brionnais, petite ville de Saône-et-Loire (à 30 km au sud de Paray-le-Monial), où il établit la dévotion au Sacré-Cœur. Né à Marcigny le 13 août 1764, il reçut le sacrement de l'Ordre à 24 ans, en 1788. L'année suivante, il refusa de prêter serment à la Révolution et dut se cacher, mais découvert, il fut contraint de s'exiler. Il rentra au pays après que les persécutions eurent cessé en 1802, et fut nommé curé de Semur. Il fonda dans sa ville en 1826 un petit séminaire, qui fonctionna jusqu'à la loi de séparation de l’Église et de l’État en 1905. Il mourut le 28 novembre 1836, avec le titre de chanoine honoraire de la cathédrale d'Autun.

    Vierge-Marie_enfants_1a.jpg

  • Lundi 1er août 2016

    de la ferie
     
    Mémoire des Sts Machabées, martyrs
    En certains endroits : St Pierre aux liens