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vacances

  • Méditation - Vacances des enfants

    (méditation proposée il y a 2 ans, mais toujours d'actualité...)

    « Le plus grand service qu'on puisse rendre à un enfant (et j'appelle enfant ceux qui ont atteint la jeunesse) c'est de leur apprendre que la vie est un effort, que la joie est dans l'effort, que le secret des réussites est dans l'effort, que l'avenir n'appartient pas aux mieux doués mais aux plus courageux, qu'il y a place pour tout le monde dans le grand soleil de Dieu si on sait se donner de la peine... mais que l'effort qui réussit ce n'est pas le coup de collier d'un matin ou d'un soir, ni même d'une semaine, d'un mois, d'une année, c'est le labeur régulier, calme, de tous les jours, de tous les mois, de toutes les années, même quand on n'a plus d'examens à préparer, de cours à suivre, de situations à obtenir, quand la vie est avancée et assurée et qu'il n'y a plus qu'à la soutenir. Il faut leur dire cela gentiment, doucement, mais sans hésiter ; il faut surtout les habituer à le faire. Les vacances en sont peut-être l'occasion la plus favorable. Le travail est facultatif ; on le dispose à son gré, à ses heures ; on peut souvent choisir celui qu'on veut. Il n'y a aucun inconvénient à faire ce choix selon ses goûts, à le disposer de façon agréable. Mais l'effort reste indispensable. »

    Dom Augustin Guillerand (1877-1945), Chartreux, Écrits spirituels Tome II (L'effort), Benedettine di Priscilla, Roma, 1967.

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    (Crédit photo)

  • Méditation - En ce début de vacances scolaires...

    « Le plus grand service qu'on puisse rendre à un enfant (et j'appelle enfant ceux qui ont atteint la jeunesse) c'est de leur apprendre que la vie est un effort, que la joie est dans l'effort, que le secret des réussites est dans l'effort, que l'avenir n'appartient pas aux mieux doués mais aux plus courageux, qu'il y a place pour tout le monde dans le grand soleil de Dieu si on sait se donner de la peine... mais que l'effort qui réussit ce n'est pas le coup de collier d'un matin ou d'un soir, ni même d'une semaine, d'un mois, d'une année, c'est le labeur régulier, calme, de tous les jours, de tous les mois, de toutes les années, même quand on n'a plus d'examens à préparer, de cours à suivre, de situations à obtenir, quand la vie est avancée et assurée et qu'il n'y a plus qu'à la soutenir. Il faut leur dire cela gentiment, doucement, mais sans hésiter ; il faut surtout les habituer à le faire. Les vacances en sont peut-être l'occasion la plus favorable. Le travail est facultatif ; on le dispose à son gré, à ses heures ; on peut souvent choisir celui qu'on veut. Il n'y a aucun inconvénient à faire ce choix selon ses goûts, à le disposer de façon agréable. Mais l'effort reste indispensable. »

    Dom Augustin Guillerand (1877-1945), Écrits spirituels Tome II (Extraits de Lettres, Effort), Roma, Benedettine di Pricilla, 1967.

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    (Crédit photo)

  • Benoît XVI : Messe à Frascati et Angélus à Castelgandolfo

    Extrait de l'homélie prononcée lors de la célébration de la Messe ce matin à Frascati :

    « Amos prêche avec beaucoup d’énergie contre les injustices, dénonçant surtout les abus du roi et des notables, des abus qui offensent le Seigneur et rendent vains les actes de culte. C’est pour cela qu’Amasia, prêtre de Béthel, ordonne à Amos de s’en aller. Celui-ci répond que ce n’est pas lui qui a choisi cette mission, mais que le Seigneur a fait de lui un prophète et l’a envoyé justement là, dans le royaume d’Israël. Par conséquent, qu’il soit accepté ou qu’il soit rejeté, il continuera à prophétiser, prêchant ce que dit Dieu et non ce que les hommes voudraient s’entendre dire. Et cela reste le mandat de l’Eglise: elle ne prêche pas ce que les puissants veulent s’entendre dire. Son critère est la vérité et la justice même si c’est contre les applaudissements et contre le pouvoir humain. »

    Texte intégral de l'Homélie (et vidéo) sur le site internet du Vatican.


    Après avoir célébré la Messe à Frascati, Benoît XVI est revenu à Castelgandolfo pour l'Angélus de ce dimanche.
    Après l'Angélus, il s'est adressé aux pèlerins francophones :

    « Chers frères et soeurs, la prière de cet Angélus dominical me donne la joie de vous saluer, chers fidèles et touristes de langue française. Cette période estivale permet, à certains d'entre nous, de prendre du repos. Ce temps peut être pour chacun un moment favorable pour réfléchir sur sa propre vie, et pour rendre son coeur disponible aux autres et à Dieu. Je vous invite aussi à être attentifs à tous ceux qui souffrent de la solitude et de l'abandon, qu'ils soient dans la rue, dans leur appartement, dans des établissements hospitaliers, ou dans des maisons de retraite. N'hésitez pas à aller visiter ces personnes. A l'exemple de la Vierge Marie, soyons des porteurs de la Bonne Nouvelle. »

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral de l'Angélus (et vidéo) sur le site internet du Vatican.

  • 8 juillet : Premier Angélus de Benoît XVI à Castel Gandolfo

    A l'issue de l'Angelus, Benoît XVI s'est adressé aux pèlerins francophones :

    « Je suis heureux d'accueillir les pèlerins francophones... En cette période estivale, ne mettez pas Dieu en vacances. Pensez à prier, à aller à la messe le dimanche. Que la Vierge Marie, modèle du coeur qui écoute, nous accompagne sur nos routes humaines. Bon dimanche et bonne semaine à tous ! »


    Résumé de l'allocution avant l'Angelus sur Radio Vatican.

    Texte intégral (et vidéo) sur le site internet du Vatican.