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labeur

  • Méditation - « Sans moi, vous ne pouvez rien faire. » (Jn 15, 5)

    « Jamais le labeur personnel ou l'industrie de l'homme n'égalera le don divin que la seule miséricorde divine accorde à celui qui le désire. Disant cela, je ne cherche pas à supprimer les efforts humains, ni à détourner quiconque d'être attentif à son travail et de se donner du mal, mais je déclare ceci : bien que la perfection ne puisse pas être atteinte sans ces moyens humains, pourtant personne ne peut par ces seuls moyens et sans la grâce de Dieu la réaliser dans sa plénitude. »

    St Jean Cassien (360-435), Institutions cénobitiques, L. XII, chap. 13-14.

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  • Méditation - Vacances des enfants

    (méditation proposée il y a 2 ans, mais toujours d'actualité...)

    « Le plus grand service qu'on puisse rendre à un enfant (et j'appelle enfant ceux qui ont atteint la jeunesse) c'est de leur apprendre que la vie est un effort, que la joie est dans l'effort, que le secret des réussites est dans l'effort, que l'avenir n'appartient pas aux mieux doués mais aux plus courageux, qu'il y a place pour tout le monde dans le grand soleil de Dieu si on sait se donner de la peine... mais que l'effort qui réussit ce n'est pas le coup de collier d'un matin ou d'un soir, ni même d'une semaine, d'un mois, d'une année, c'est le labeur régulier, calme, de tous les jours, de tous les mois, de toutes les années, même quand on n'a plus d'examens à préparer, de cours à suivre, de situations à obtenir, quand la vie est avancée et assurée et qu'il n'y a plus qu'à la soutenir. Il faut leur dire cela gentiment, doucement, mais sans hésiter ; il faut surtout les habituer à le faire. Les vacances en sont peut-être l'occasion la plus favorable. Le travail est facultatif ; on le dispose à son gré, à ses heures ; on peut souvent choisir celui qu'on veut. Il n'y a aucun inconvénient à faire ce choix selon ses goûts, à le disposer de façon agréable. Mais l'effort reste indispensable. »

    Dom Augustin Guillerand (1877-1945), Chartreux, Écrits spirituels Tome II (L'effort), Benedettine di Priscilla, Roma, 1967.

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    (Crédit photo)

  • Prières à Saint Joseph

    Prière de Saint Pie X
    au Glorieux Saint Joseph modèle des travailleurs
     
    Glorieux saint Joseph, modèle de tous ceux qui sont voués au travail, obtenez-moi la grâce de travailler en esprit de pénitence pour l'expiation de mes nombreux péchés ; de travailler en conscience, mettant le culte du devoir au-dessus de mes inclinations ; de travailler avec reconnaissance et joie, regardant comme un honneur d'employer et de développer par le travail les dons reçus de Dieu ; de travailler avec ordre, paix, modération et patience, sans jamais reculer devant la lassitude et les difficultés ; de travailler surtout avec pureté d'intention et avec détachement de moi-même ayant sans cesse devant les yeux la mort et le compte que je devrai rendre du temps perdu, des talents inutilisés, du bien omis et des vaines complaisances dans le succès, si funestes à l'œuvre de Dieu.
    Tout pour Jésus, tout pour Marie, tout à votre imitation, patriarche saint Joseph !
    Telle sera ma devise à la vie à la mort.
    Amen.
     
    Prière à Saint Joseph artisan
    composée et indulgenciée par Pie XII
    (11 mars 1958)
     
    Ô glorieux Patriarche saint Joseph, humble et juste artisan de Nazareth, qui avez donné à tous les chrétiens, mais spécialement à nous, l'exemple d'une vie parfaite dans le travail constant et dans l'admirable union à Marie et à Jésus, assistez-nous dans notre tâche quotidienne, afin que, nous aussi, artisans catholiques, nous puissions trouver en elle le moyen efficace de glorifier le Seigneur, de nous sanctifier et d'être utiles à la société dans laquelle nous vivons, idéals suprêmes de toutes nos actions.
    Obtenez-nous du Seigneur, ô notre très aimé protecteur, humilité et simplicité de cœur, goût du travail et bienveillance envers ceux qui sont nos compagnons de labeur, conformité aux divines volontés dans les peines inévitables de cette vie et joie dans leur support, conscience de notre mission sociale particulière, et sentiment de notre responsabilité, esprit de discipline et de prière, docilité et respect à l'égard de nos supérieurs, fraternité envers les égaux, charité et indulgence pour nos subordonnés.
    Soyez avec nous dans nos moments de prospérité, quand tout nous invite à goûter honnêtement les fruits de nos fatigues ; mais soutenez-nous dans les heures de tristesse, alors que le ciel semble se fermer pour nous et que les instruments du travail eux-mêmes paraissent se rebeller dans nos mains.
    Faites que, à votre exemple, nous tenions les yeux fixés sur notre Mère Marie, votre très douce épouse, qui, dans un coin de votre modeste atelier, filait silencieusement, laissant errer sur ses lèvres le plus gracieux sourire ; faites aussi que nous n'éloignions pas notre regard de Jésus, qui peinait à votre établi de menuisier, afin que nous puissions ainsi mener sur terre une vie pacifique et sainte, prélude de celle éternellement heureuse qui nous attend dans le ciel, durant les siècles des siècles.
    Ainsi soit-il.
     
    Ces 2 prières peuvent être téléchargées au format pdf ICI.

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  • Méditation : Devenir chrétien

    « Ce n'est pas là peu de choses : devenir chrétien, pleinement, raisonnablement, surnaturellement chrétien ; nul ne sait avant de l'avoir entrepris ce que cela représente d'efforts accomplis, de sacrifices acceptés, de patient labeur. Mais nul ne sait aussi la douceur de cette lutte et la joie indicible du triomphe.
    Être chrétien, c'est d'abord s'efforcer de devenir un modèle de raison supérieure, de droiture et de bonté ; c'est réaliser en soi la perfection du type humain, c'est ne négliger aucune des vertus purement naturelles et, suivant le mot de Mme Swetchine, « avant d'être un saint être d'abord et superlativement un honnête homme. »
    Mais c'est plus et mieux que cela, et ces vertus naturelles elles-mêmes empruntent une perfection plus grande au mobile supérieur que leur fournit la vie surnaturelle.
    Cette vie est un don de Dieu ; elle commence en nous au jour et à l'heure voulue par Lui, quelquefois révélée soudainement, quelquefois préparée par un lent et mystérieux travail que nous comprenons seulement lorsqu'il est achevé ; elle nous ouvre le domaine de l'Infini, nous fait connaître Dieu, notre âme et les éternelles réalités ; elle nous apprend la prière, nous révèle le but de la vie et la féconde beauté de la souffrance. »

    Elisabeth Leseur (1866-1914), extrait de la conclusion de "Une âme", petit livre consacré à la mémoire de sa sœur Juliette, in "La vie spirituelle (Petits traités de vie intérieure) suivie de Une âme", Paris, J. de Gigord, 1920.

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  • Méditation : « Que fais-tu de ta vie ? »

    « Telle est la première règle de ceux qui agissent :
    crois en Dieu
    comme si tout le cours des choses dépendait de toi,
    en rien de Dieu.
    Cependant mets tout en œuvre en elles,
    comme si rien ne devait être fait par toi,
    et tout de Dieu seul. » (*)

    Maxime extraite des Scintillae Ignatianae (1705) de Gábor Hevenesi (1656-1715), jésuite hongrois.


    « « Qu'as-tu fait de ta vie ? » voilà ce que Dieu me demandera. « Que fais-tu de ta vie ? » voilà ce qu'à toute heure me demande ma conscience. La question se pose aussi dans les termes suivants : « Ta vie est-elle manquée ? ou bien ta vie est-elle réussie ? » et non point suivant les jugements du monde, mais suivant les jugements de Dieu. Or, aux yeux de Dieu, est manquée toute vie qui se traîne dans la souillure, toute vie qui ne progresse pas dans le bien, toute vie qui ne porte aucun fruit de salut pour les autres ; est réussie, au contraire, toute vie qui a lutté pour se déprendre de la fange, toute vie qui s'est élevée vers plus de dignité par le travail moral, toute vie qui s'est dépensée et s'est rendue utile par le dévouement. Qui ne gémirait d'avoir manqué sa vie ? Qui n'ambitionnerait de réussir sa vie devant sa conscience et devant Dieu ?
    Or l'expérience journalière montre que le succès ou l'échec de la vie dépend moins de la grâce de Dieu qui est donnée à tous dans la mesure qui convient, que de la volonté, qui existe chez quelques-uns et qui manque chez le plus grand nombre.
    En effet, si je considère les hommes dont la vie a réussi au sens le plus chrétien du mot, qui ont fait de leur vie quelque chose de pur, de noble et d'utile, je découvre sans peine chez eux tous les éléments de la volonté : ils ont de bonne heure résolu d'être bons, et ils en ont pris les moyens. Ils ne se sont pas laissés gouverner par les circonstances ; mais ils ont adapté les circonstances à la réalisation de leur plan de vie. Ils n'ont pas été sans passion ; mais ils ont triomphé de leurs passions. La tentation s'est rencontrée sur leur chemin ; mais ils ont vaincu la tentation. Ils ne pouvaient pas, sans travail, se créer une carrière ; ils ont accepté et vaillamment porté le labeur. Quand ils se sont sentis inférieurs à leur tâche, ils ont invoqué le Dieu qui soutient les mains débiles. Ils ont été des hommes décidés, agissants, persévérants : leur volonté leur a valu le succès.
    Si, au contraire, j'observe quels sont les hommes dont la vie a échoué, dont l'existence a été sans honneur ou sans portée, sans joie et sans fruit, basse ou banale et stérile, il est évident que ce n'est pas la grâce de Dieu qui leur a fait défaut, mais la volonté qui leur a manqué. Ou bien ils n'ont jamais su vouloir ; ou bien, s'ils ont eu de bons mouvements, ils ne les ont pas suivis ou n'y ont pas persévéré. Les uns, timides ou lâches, n'ont jamais osé regarder en face les difficultés et se sont couchés devant toute barrière à franchir. D'autres, violents ou impressionnables par nature, n'ont jamais dompté leurs emportements ou leurs susceptibilités, et ont été perdus par les dispositions même qui pouvaient les sauver. D'autres enfin, ternes, apathiques, au lieu de secouer la langueur de leur tempérament, se sont endormis dans une paresseuse inertie. Tous ont été sollicités au bien par la grâce de Dieu ; mais cette grâce exigeait d'eux des efforts de volonté ; faute de volonté, leur vie s'est dévoyée ou annihilée. »

    J. Guibert, Retraite spirituelle, Douzième méditation (II), Paris, Librairie Vve Ch. Poussielgue, 1909.

    (*) : Maxime souvent déformée en "Agis comme si tout dépendait de toi, prie comme si tout dépendait de Dieu" et faussement attribuée à St Ignace de Loyola, y compris par Pedro de Ribadeneira, in "La vie de saint Ignace de Loyola" (Cf. Angélus de Benoît XVI du Dimanche 17 juin 2012).

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  • Méditation : Lève-toi !

    « « Celui qui par sa puissance peut infiniment plus que ce que nous demandons » (1) fait un geste, dit une parole : « Lève-toi ! » et la mort rend la proie. - « Lève-toi ! » dit chaque jour Jésus à l'âme chrétienne dès le matin ; sors de ton sommeil, secoue ta langueur, va à la méditation, à la sainte Messe, à la très sainte Communion... Lève-toi pour secourir le pauvre, pour travailler aux œuvres apostoliques, pour sauver l'âme de ton frère ; allons, l'action ! marche, agis, opère ; ne t'effraie point d'avoir à parcourir un vaste champ de labeur et de combats, d'avoir à te mortifier tous les jours... c'est moi qui te le commande, je serai avec toi. Volonté du Cœur de Jésus, disposez de mon cœur ; zèle du Cœur de Jésus, dévorez mon cœur.

    « Demain est un jour incertain, et que savons-nous s'il y aura un lendemain pour nous ? » (2) Après un jour de travail une nuit de sommeil, puis l'éternelle aurore. Hâtons-nous donc, le temps presse... J'aurais pu mourir à la fleur de mes ans, pourquoi suis-je encore ici-bas ? Qu'ai-je à faire désormais ? Combien de temps me reste-t-il ? Comment veux-je mourir ? »

    1. Qui potens est omnia facere super abundanter quam petimus, Eph. III, 20. - 2. I Imit. XXII, I.

    Jésus-Christ médité et contemplé tous les jours de l'année, T. IV, Juillet, Seizième jour (1er et 2ème Points), Imp. de la Société St-Augustin, Desclée, De Brouwer et Cie, Lille, 1888.

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  • Méditation : Supplique pour accéder au bon usage de l'oeuvre

    « Apprends-moi, Seigneur, à bien user du temps que Tu me donnes pour travailler, et à bien l'employer sans rien en perdre. Apprends-moi à tirer profit des erreurs passées sans tomber dans le scrupule qui ronge.
    Apprends-moi à prévoir le plan sans me tourmenter, à imaginer l'œuvre sans me désoler si elle jaillit autrement. Apprends-moi à unir la hâte et la lenteur, la sérénité et la ferveur, le zèle et la paix.

    Aide-moi au départ de l'ouvrage là où je suis le plus faible. Aide-moi au cœur du labeur à tenir serré le fil de l'attention, et surtout comble Toi-même les vides de mon œuvre. Seigneur, dans tout labeur de mes mains, laisse une grâce de Toi pour parler aux autres, et un défaut de moi pour parler à moi-même.

    Garde en moi l'espérance de la perfection, sans quoi je me perdrais d'orgueil. Purifie mon regard : quand je fais mal, il n'est pas sûr que ce soit mal et quand je fais bien, il n'est pas sûr que ce soit bien.
    Seigneur, ne me laisse jamais oublier que tout savoir est vain, sauf là où il y a travail, et que tout travail est vide, sauf là où il y a amour, et tout amour est creux qui ne me lie à moi-même et aux autres et à Toi.

    Seigneur, enseigne-moi à prier avec mes mains, mes bras et toutes mes forces. Rappelle-moi que l'ouvrage de mes mains t'appartient et qu'il m'appartient de te le rendre en te l'offrant. Que si je le fais par goût du profit, comme un fruit oublié je pourrirai à l'automne. Que si je le fais pour plaire aux autres, comme la fleur de l'herbe je fanerai au soir. Mais si je le fais pour l'amour du bien, je demeurerai dans le bien.
    Et le temps de faire bien et à ta gloire, c'est tout de suite.

    Amen. »

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  • Mai : le mois de la Vierge Marie - 9ème jour

    Neuvième jour : Le travail

    Lorsque le premier homme eut péché, Dieu lui infligea, comme l’une des punitions de sa faute, la nécessité du travail. « Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front, lui dit-il ; la terre ne produira d’elle-même que des ronces et des épines. »
    Cette obligation est générale, quelle que soit la position dans laquelle la Divine Providence nous ait placés. L’ennui, la peine, la fatigue, la souffrance que nous y trouvons, ne doivent ni nous étonner, ni nous décourager, car le travail est une expiation. Si parfois nous y rencontrons une certaine jouissance, c’est que Dieu, dans sa bonté, veut bien nous aider à accomplir notre tâche.
    Le divin Maître a sanctifié ce labeur quotidien dont nous nous plaignons parfois : Jésus a été ouvrier ; Il s’est occupé à de pénibles travaux, et Marie, fille des rois, qui devait être un jour la Reine des Anges, a été soumise à la même loi. La tradition nous la représente, tantôt filant et tissant les étoffes nécessaires à ses vêtements et à ceux de son Fils, tantôt vaquant aux humbles soins de son ménage. Levons souvent les yeux vers la Sainte Famille de Nazareth, lorsque nous nous sentons accablés par la longueur ou l’aridité de notre travail, et demandons-lui de nous aider à l’imiter.

    Exemple. – Saint Sylvain, qui habitait le mont Sinaï avec ses religieux, reçut un jour la visite d’un ermite qui, voyant les moines travailler, s’en étonna.
    - Pourquoi, leur dit-il, travaillez-vous avec tant d’ardeur pour vous procurer une nourriture périssable ? Marie n’a-t-elle pas choisi la meilleure part ? et Marthe n’a-t-elle pas été reprise par le Seigneur à cause de son occupation ?
    Sans répondre à cette interpellation, Saint Sylvain fit donner un livre à l’ermite étranger et lui assigna une cellule inhabitée. A 3h. de l’après-midi, l’ermite s’étonna de ne voir personne l’appeler pour le repas ; il attendit jusqu’au moment où, ne pouvant plus résister à la faim qui le tourmentait, il alla alors trouver l’abbé Sylvain.
    - Mon père, lui dit-il, les moines ne mangent-ils pas aujourd’hui ?
    L’abbé lui répondit que tous avaient déjà dîné.
    - Et comment se fait-il que vous ne m’ayez pas invité à partager leur repas ?
    - Comment ? reprit Saint Sylvain en souriant ; mais parce que, comme Marie, vous prétendez avoir choisi la meilleure part. Puisque vous regardez le travail comme superflu, il est probable que vous ne vivez que de nourriture spirituelle ; quant à nous qui sommes revêtus d’un corps, nous sommes condamnés à le nourrir pour entretenir la vie en lui, à le nourrir et par là même à travailler.
    L’ermite confondu lui demanda pardon de s’être permis un blâme aussi inconsidéré.
    - Je suis heureux, lui dit Saint Sylvain avec bienveillance, que vous reconnaissiez votre erreur, au reste il m’est d’avis que Marie eut besoin du secours de Marthe. Car si Marthe n’eût pas travaillé, Marie n’aurait jamais pu se reposer aux pieds de Jésus.

    Prière. – Nous vous supplions, ô Marie, de ne point nous abandonner dans les labeurs de cette vie. Vous avez voulu vous soumettre à la loi commune du travail ; faites qu’à votre exemple, nous acceptions avec résignation les fatigues et les souffrances qui sont le résultat du péché et qu’ainsi nous acquerrions de vrais mérites aux yeux du Seigneur. Ainsi soit-il.

    Résolution. – Je fuirai l’oisiveté comme un grand mal.
    Mère admirable, priez pour nous.

    "Mois de Marie pour tous", par M.A.G.
    Approbation + Flavien, Evêque de Bayeux et Lisieux, le 13 octobre 1874.
    Imprimatur Brugis, 23a Februarii 1932. Jos. Van der Meersch vic. gen.