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  • Synode des Evêques : Introduction des travaux par le Cardinal André Vingt-Trois

    Allocution du Cardinal Vingt-Trois (texte intégral) :

    Très Saint-Père,

    J’ai l’honneur et la joie de vous adresser les salutations respectueuses et cordiales de tous les participants à cette session ordinaire du synode des évêques. Ce sont les évêques, les auditeurs, les experts et tous les participants qui vous expriment par ma voix leur intention et leur résolution de travailler sous votre conduite pour que l’Église soit toujours plus fidèle à sa mission pastorale.

    Votre décision de tenir deux sessions du synode des évêques sur la mission de la famille dans le monde contemporain a porté ses fruits. Nous en avons été les témoins. Nos églises particulières se sont efforcées d’apporter leur contribution au travail commun en répondant au questionnaire qui devait alimenter l’Instrumentum Laboris. Notre synode est porté par l’Église.

    Le Motu Proprio Mitis Iudex Dominus Iesus par lequel vous avez réformé les procédures concernant les procès canoniques sur la validité sacramentelle des mariages donne une indication précieuse sur l’esprit dans lequel nous abordons cette phase du travail.

    Sans mettre en doute la tradition sacramentelle de notre Église ni sa doctrine sur l’indissolubilité du mariage, vous nous invitez à partager nos expériences pastorales et à mieux mettre en œuvre les chemins de la miséricorde par lesquels le Seigneur invite tous ceux qui le souhaitent et qui le peuvent à entrer dans une démarche de conversion en vue du pardon.

    L’année de la Miséricorde que vous avez promulguée pour toute l’Église est déjà sans aucun doute un signe d’espérance pour ceux qui sont accablés par la vie et qui aspirent à connaître une véritable libération. Déjà nos diocèses se réjouissent d’être renouvelés dans leur mission d’annoncer la Bonne Nouvelle: Jésus est venu appeler et sauver les pécheurs et il a été jusqu’à l’extrême de l’amour pour que les chemins de la grâce soient ouverts à tous ceux qui se tournent vers lui et qui s’avancent humblement vers les conditions d’une vie nouvelle.

    Pour chacun d’entre nous, ces trois semaines de travail intense seront une expérience d’Église importante: chercher avec conviction et humilité à faire grandir la communion. Malgré nos différences, nous ne voulons pas vivre ce temps comme une épreuve de force dont les micros et les caméras seraient les arbitres. Nous voulons le vivre comme un temps de conversion commune dans la force de la communion dont vous êtes, Très Saint Père, le gardien et le serviteur.

    Par l’intercession de la Sainte Famille, nous prions l’Esprit du Seigneur de nous éclairer et de nous donner la force de désirer ce qui plaît à Dieu.

    Source : Salle de Presse du Saint-Siège.

  • Synode des Evêques : Premier jour

    Ce matin à 9 h, s'est ouverte au Vatican la XIVe Assemblée Générale Ordinaire du Synode des Evêques consacrée à "La vocation et la mission de la famille dans l'Eglise et dans le monde contemporain". En présence du Saint-Père, le Cardinal hondurien Oscar Andres Rodríguez Maradiaga a pris la parole, invitant les pères synodaux à une brève méditation résumant les intentions et l'esprit de l'Assemblée :
    "Frères, nous venons des quatre points cardinaux, convoqués par Pierre, mus par l'amour du Seigneur Jésus et de notre Mère l'Eglise - a-t-il dit -. Saint Paul nous a précisément invités à la joie. Cette joie de l'Evangile que le Pape François proclame inlassablement dans le monde entier. Mais comme lui-même nous a dit : Le grand risque du monde actuel, avec son offre écrasante et multiple de consommation, est de tomber dans une tristesse individualiste qui jaillit du cœur confortable et avare, de la recherche maladive de plaisirs superficiels, de la conscience isolée. Parfois cela nous attriste d'entendre comment le monde a envisagé ce Synode en pensant que nous venions comme deux bandes opposées pour défendre des positions irréductibles. C'est pourquoi avec Jésus-Christ la joie naît et renaît toujours. Agissez, nous ne sommes pas une Eglise en voie d'extinction ni diminuée. La famille non plus, bien qu'elle soit menacée et combattue. Nous ne venons pas non plus pleurer ni nous lamenter sur nos difficultés. Le Psaume 26 nous dit : "Sois fort, et prends courage. Espère le Seigneur". Ayez le même sentiment : nous cherchons tous l'unanimité qui vient du dialogue, non des idées défendues à outrance. Saint Paul nous rappelle : "Ayez les mêmes sentiments que le Christ". Vivez en paix, et comme nous dit Evangelii Gaudium : "Le dialogue est la contribution à la paix, parce que l'Eglise proclame l'Evangile de la paix." Après avoir annoncé Jésus-Christ, qui est la paix en personne, la Mère Eglise nous encourage à être un instrument de pacification et un témoignage crédible d'une vie réconciliée. Il est temps de savoir comment dessiner dans une culture qui privilégie le dialogue comme forme de rencontre, la recherche de consentements et d'accords. Nous n'avons pas besoin d'un projet de quelques-uns pour quelques-uns, ou une minorité cultivée ou testimoniale qui s'approprie un sentiment collectif. C'est pourquoi, nous souhaitons commencer le Synode dans la paix - a-t-il conclu -. Ce n'est pas la paix du monde, faite d'accommodements et de compromis qui trop souvent ne s'accomplissent pas. C'est la paix du Christ, la paix avec nous-mêmes. Et la conclusion est évidente : Le Dieu de la charité et de la paix sera avec vous. C'est pourquoi nous pouvons lui dire : "Reste avec nous Seigneur". Non précisément parce que le jour finit, mais parce qu'il commence. Un nouveau jour pour les familles du monde, croyants ou non croyants, familles fatiguées des incertitudes et des doutes semés par diverses idéologies, comme celles de la déconstruction, des contradictions culturelles et sociales, fragilité et solitude entre autres. Reste avec nous Seigneur pour que ce Synode produise un chemin de joie et d'espérance pour toutes les familles".

    Le Saint-Père a ensuite pris la parole pour introduire les travaux de la première journée, expliquant que "le Synode n'est pas un congrès ou un parloir, il n'est pas un parlement ou un sénat, où l'on se met d'accord. Le Synode, au contraire, est une expression ecclésiale, c'est-à-dire que c'est l'Eglise qui chemine ensemble pour lire la réalité avec les yeux de la foi et avec le cœur de Dieu ; c'est l'Eglise qui s'interroge sur sa fidélité au dépôt de la foi, qui pour celle-ci n'est pas un musée à visiter ou même à sauvegarder, mais une source vive à laquelle l'Eglise se désaltère pour désaltérer et éclairer le dépôt de la vie. Le Synode, en outre, est un espace protégé où l'Eglise expérimente l'action de l'Esprit saint. Dans le Synode, l'Esprit parle à travers la langue de toutes les personnes qui se laissent guider par Dieu qui surprend toujours, par Dieu qui révèle aux petits ce qui est caché aux sages et aux savants, par Dieu qui a créé la loi et le shabbat pour l'homme et non le contraire, par Dieu qui laisse les quatre-vingt-dix-neuf brebis pour chercher la brebis perdue, par Dieu qui est toujours plus grand que nos logiques et nos calculs. Rappelons-nous toutefois que le Synode pourra être un espace d'action de l'Esprit-Saint seulement si nous, participants, nous revêtons de courage apostolique, d'humilité évangélique et de prière confiante. Le courage apostolique qui ne s'effraie pas face aux séductions du monde qui tendent à éteindre dans le cœur des hommes la lumière de la vérité en la remplaçant avec de petites lumières temporaires, ni face à l'endurcissement de quelques cœurs qui, malgré de bonnes intentions, éloignent les personnes de Dieu", a souligné le Pape. "L'humilité évangélique qui sait se vider de ses propres conventions et préjugés pour écouter nos frères évêques et se remplir de Dieu. Humilité qui conduit à ne pas pointer les autres du doigt pour les juger, mais à leur tendre la main pour les relever sans jamais se sentir supérieur à eux. La prière confiante est l'action du cœur quand il s'ouvre à Dieu, quand nous faisons taire nos humeurs pour écouter la douce voix de Dieu qui parle dans le silence. Si nous n'écoutons pas Dieu, toutes nos paroles ne seront que des mots qui ne rassasient ni ne servent. Si nous ne nous laissons pas guider par l'Esprit, toutes nos décisions seront seulement des décorations qui, au lieu de glorifier l'Evangile, le recouvrent et le cachent. Chers frères - a conclu le Pape François -, comme je l'ai dit, le Synode n'est pas un parlement où pour arriver à un consensus ou à un accord commun on recourt à la négociation, au pacte ou aux compromis. La seule méthode du Synode est de s'ouvrir à l'Esprit-Saint avec un courage apostolique, une humilité évangélique, avec une prière confiante, afin que ce soit lui qui nous guide, nous éclaire et nous mette sous les yeux non nos avis personnels, mais la foi en Dieu, la fidélité au magistère, le bien de l'Eglise et le salut des âmes".

    Le Président délégué, le Cardinal André Vingt-Trois, Archevêque de Paris, est ensuite intervenu, rappelant combien la décision du Pape de convoquer deux sessions du Synode des évêques sur la mission de la famille dans le monde contemporain a porté ses fruits, et combien l'épiscopat en a été témoin, les églises particulières s'étant efforcées d'apporter leur contribution au travail commun en répondant au questionnaire qui devait alimenter l'Instrumentum Laboris. "Notre Synode - a-t-il dit - est porté par l'Eglise". Le Cardinal a aussi évoqué le Motu Proprio Mitis Ludex Dominus Iesus, par lequel le Saint-Père réforme les procédures canoniques sur la validité sacramentelle des mariages qui représente une précieuse indication sur l'esprit dans lequel sera abordée cette phase du travail synodal. "Sans mettre en doute la tradition sacramentelle de notre Eglise ni sa doctrine sur l’indissolubilité du mariage - a-t-il ajouté - vous nous invitez à partager nos expériences pastorales et à mieux mettre en œuvre les chemins de la miséricorde par lesquels le Seigneur invite tous ceux qui le souhaitent et qui le peuvent à entrer dans une démarche de conversion en vue du pardon".

    Ensuite, le Cardinal Lorenzo Baldisseri, Secrétaire général du Synode, a expliqué quelles étaient les modalités de cette Assemblée extraordinaire, du temps mis à disposition pour l'intervention des Pères dans la salle, au large espace consacré aux cercles mineurs où le débat sera plus intense, de même que l'importance accordée aux interventions des conjoints et les rapports des participants au Synode avec les médias.

    Enfin, le Rapporteur général, le Cardinal Peter Erdö, Archevêque d'Ezstergom-Budapest, a illustré la première partie de l'Instrumentum Laboris qui englobe l'écoute des défis sur la famille, en les situant dans le contexte socio-culturel contemporain et leurs changements anthropologiques, caractérisés, entre autre, par une fuite des institutions qui conduit à une instabilité institutionnelle et une prédominance de l'individualisme et du subjectivisme. Il a ensuite évoqué le discernement de la vocation familiale, de la pédagogie divine de la famille et de l'indissolubilité comme don et devoir, évoquant la famille dans le magistère de l'Eglise et sa dimension missionnaire, ainsi que les familles blessées, en les plaçant dans le contexte de la miséricorde et de la vérité révélée. Le Cardinal a évoqué la dimension évangélisatrice de la famille et de l'accompagnement ecclésial des foyers, sans oublier le sujet de la responsabilité générative ni les défis de l'éducation. "A l'écoute de la Parole de Dieu - a-t-il conclu -, notre réponse doit manifester une attention sincère et fraternelle aux besoins de nos contemporains, pour leur transmettre la vérité libératrice et être témoins de la plus grande miséricorde. Pour affronter le défi de la famille aujourd'hui, l'Eglise doit donc se convertir et devenir plus vivante, plus personnelle, plus communautaire même au niveau paroissial et des petites communautés. Ce réveil communautaire semble être déjà en cours dans de nombreux endroits. Pour qu'il soit plus général et toujours plus profond, demandons la lumière de l'Esprit Saint qui nous indique concrètement ce que nous devons faire. Ainsi, la vocation et la mission de la famille dans l'Eglise et dans le monde contemporain, thème du présent Synode, apparaîtra dans une lumière sereine et concrète qui nous fait grandir dans l'espérance et dans la confiance en la miséricorde de Dieu. C'est à cette miséricorde que le Pape François a voulu consacrer un Jubilé extraordinaire. Remercions le Saint-Père de ce choix d'espérance et confions nos travaux à la Sainte Famille de Nazareth".

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 5.10.15).

  • Pakistan : Jeunes filles chrétiennes violées et enlevées par des musulmans

    Lahore - Deux jeunes sœurs chrétiennes ont été enlevées et violées par un groupe de musulmans. Deux des malfaiteurs ont été arrêtés alors que trois sont encore en liberté dans la ville de Jaranwala, au Pendjab. Le cas est arrivé devant le tribunal et voit la participation d’avocats chrétiens qui ont fait état de divers épisodes à Fides. Un autre cas concerne une jeune chrétienne de 13 ans, elle aussi enlevée et violée. Le troisième cas signalé à Fides concerne quant à lui deux jeunes filles enlevées et violées par un groupe de trafiquants d’êtres humains qui les ont contraintes à se prostituer toujours au Pendjab.

    Le phénomène de jeunes filles appartenant aux minorités religieuses – chrétiennes et hindoues – enlevées, violées et dans certains cas contraintes à un mariage islamique est endémique au Pakistan et, selon les sources de Fides, il concerne environ 1.000 jeunes filles chaque année. Il s’insère dans le cadre de la condition de subalternité de la femme au sein de la société pakistanaise, en particulier dans les zones rurales mais les femmes membres des minorités religieuses sont doublement vulnérables, remarque une source de Fides, attendu que les musulmans pensent pouvoir bénéficier de l’impunité dans le cadre de tels abus et trouvent souvent le soutien de la police et de la magistrature. Maître Sardar Mushtaq Gill, avocat chrétien et défenseur bien connu des droits fondamentaux, qui a défendu de nombreux cas de ce genre devant les tribunaux, vit aujourd’hui dans des conditions d’extrême insécurité, ayant reçu des menaces et des intimidations pour lui faire abandonner la défense des victimes et garantir l’impunité aux coupables. (PA)

    Source : Agence Fides (05/10/2015).

  • A l'Angelus de ce dimanche, le Pape François a demandé que l'on prie pour eux

    Guatemala : 131 morts et plus de 300 disparus

    Il y a peu d’espoir de trouver encore quelqu’un de vivant sous la montagne de boue qui a submergé depuis des jours maintenant Santa Caterina Pinula, au Guatemala. Le nombre total des victimes est désormais de 131 mais jusqu’ici seuls 90 corps ont été récupérés et identifiés. Parmi les victimes, se trouvent au moins 26 mineurs. Les disparus sont au nombre de 300 environ. En réalité, il s’est agi d’une série d’énormes glissements de terrain qui ont submergé des centaines d’habitations dans cette localité sise à la périphérie de la capitale. Hier, à l’Angelus, le Saint-Père François a demandé de prier pour les victimes du glissement de terrain et invité à une solidarité concrète.

    Selon les informations parvenues à Fides de sources missionnaires se trouvant dans la capitale guatémaltèque, les opérations de secours ont été interrompues à plusieurs reprises à cause des fortes pluies qui continuent à s’abattre sur le lieu de la catastrophe depuis la nuit du 1er octobre, lorsqu’une pluie torrentielle, la boue et les détritus ont ravagé le village d’El Cambray II, dans la municipalité de Santa Catarina Pinula.

    Les sources de Fides signalent qu’environ 900 secouristes sont à l’œuvre pour tenter de retrouver quelques survivants et récupérer les corps des victimes. Il faut également souligner la situation des survivants qui souffrent à cause d’un traumatisme très fort dû non seulement au deuil mais aussi à l’absence d’un corps à enterrer. Cette population vit en effet fortement au contact physique des personnes, parents et amis, au sein d’un même village.

    La catastrophe en question est la plus grave jamais enregistrée au Guatemala depuis les deux séismes de 2012 et 2014 dans le sud-est du pays. En 2005, des centaines de personnes furent tuées par les glissements de terrain provoqués par les pluies torrentielles qui ensevelirent complètement le village de Panabaj. De nombreux corps n’ont jamais été récupérés dans ce cas. (CE)

    Source : Agence Fides (05/10/2015).

  • Pyotr Ilyich Tchaikovsky (1840–1893) : Les Saisons Op. 37a - Octobre - Chant d'automne

    Vadim Chaimovich, piano
    Tableaux de Vincent van Gogh (1853-1890)

        épigraphe :
        "C'est l'automne, notre pauvre jardin s'effeuille,
        Les feuilles jaunies volent dans le vent…"
        Alexis Konstantinovitch Tolstoï

  • Méditation : Jésus Miséricordieux

    « Je désire que chaque âme glorifie Ma bonté. Je désire avoir la confiance de Mes créatures. Exhorte les âmes à une grande confiance, en l'abîme de Ma Miséricorde. Que l'âme faible et pécheresse ne craigne pas de s'approcher de Moi, car même si elle comptait plus de péchés qu'il n'y a de grains de sable sur terre, tout sombrera dans le gouffre de ma Miséricorde. »

    « Proclame dans le monde Ma Miséricorde et Mon Amour. Les flammes de la Miséricorde me brûlent. Je voudrais les déverser sur les âmes. Oh ! quelle douleur elles Me causent, quand elles ne veulent pas les recevoir.
    Fais ce qui est en ton pouvoir, Ma fille, pour étendre le culte de Ma Miséricorde. Je compenserai tes manques. Dis à l'humanité douloureuse de se blottir dans Mon Cœur Miséricordieux et Je la comblerai de paix.
    Proclame, Ma fille, que Je suis l'Amour et la Miséricorde même. Quand l'âme s'approche de Moi avec confiance, Je la comble de tant de grâces, qu'elle ne peut les contenir toutes et qu'elle les projette sur d'autres âmes. »

    « Que les plus grands pécheurs mettent leur espoir en Ma Miséricorde. Ils ont droit avant tous les autres, à la foi en l'abîme de Ma Miséricorde. Ma fille, ne cesse pas d'écrire au sujet de Ma Miséricorde, pour les âmes tourmentées. Quelle joie Me font les âmes qui s'adressent à Ma Miséricorde. A de telles âmes, J'accorde des grâces bien au-dessus de leurs désirs. Je ne peux sévir, même contre le plus grand pécheur s'il invoque Ma pitié. Mais au contraire, Je l'excuse en Mon insondable et inconcevable Miséricorde. Note : Avant de Me montrer au Jugement dernier comme Juge équitable, J'ouvre d'abord toutes grandes les portes de Ma Miséricorde. Qui ne veut passer par les portes de Ma Miséricorde, doit passer par les portes de Ma justice. »

    Paroles de Notre-Seigneur à Ste Faustine, in "Petit Journal", Cahier III (1058, 1073, 1145), Hovine, 1985.

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  • Lundi 5 octobre 2015

    Mémoire de St Placide et ses compagnons, martyrs

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    St Placide, par Le Pérugin (v.1448-1523)

    En certains endroits : Ste Faustine Kowalska, religieuse