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  • Méditation - « Quiconque perd sa vie à cause de moi la trouvera » (Mt 16, 25)

    « Si tu as trouvé le Christ, tout le reste n'est que perte. Il est la perle unique, à la fois parure et fortune de qui l'a trouvé et pour laquelle, dans la joie, il vend tout.
    Tu veux être partout avec le Christ : alors n'aie plus de « chez toi » ; sois disponible à Dieu et aux autres ; n'aie plus de « chez toi » pour t'y replier égoïstement mais seulement pour accueillir ton frère.
    Il faut se renier soi-même, n'avoir aucun intérêt à soi, ne pas attirer exprès l'attention d'autrui et ne pas se faire centre, pour devenir capacité de Dieu. Diminue pour qu'il grandisse en toi.
    Même dans la prière, pense à lui et lui pensera à toi.
    Si tu as à plaire, que ce soit « pour le bien » ; si tu as à briller, que ce soit pour éclairer ceux qui sont dans la maison ; si tu parles de toi, que ce soit par amour de l'autre, parce que tu lui appartiens.
    Tu n'as rien, tu ne peux rien avoir que reçu de son amour gratuit ; c'est pourquoi la conscience de ton rien, la confiance en son amour tout-puissant et l'esprit d'initiative pour son règne grandiront toujours de pair et seront la garantie de la valeur chrétienne de tels sentiments.
    Si tu t'es ainsi perdu, il te sera naturel de renoncer à tout ce que tu possèdes pour devenir digne d'être disciple (Cf. Lc 14, 33). »

    P. Joseph-Marie Perrin O.P. (1905-2002), aujourd'hui l’Évangile de l'Amour (Deuxième Partie, III), Cerf, Paris, 1980.

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  • Mercredi 9 novembre 2016

    Dédicace de la Basilique du Latran

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    Mémoire de St Théodore, soldat martyr

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    Apparition de Notre-Seigneur à saint Théodore
    (Crédit photo)

  • François-Adrien Boieldieu (1775-1834) : Concerto pour harpe et orchestre en ut majeur

    Israel Philharmonic Orchestra - Dir. Zubin Mehta (17 nov. 2006)
    Julia Rovinsky, harpe

  • Méditation avec Ste Elisabeth de la Trinité : « sanctifions-nous pour les âmes » !

    « Puisque Notre-Seigneur demeure en nos âmes, sa prière est à nous, et je voudrais y communier sans cesse, me tenant comme un petit vase à la source, à la fontaine de vie afin de pouvoir ensuite la communiquer aux âmes, laissant déborder ces flots de charité infinie. « Je me sanctifie pour eux afin qu'eux aussi soient sanctifiés dans la vérité » (saint Jean). Cette parole de notre Maître adoré, faisons-la nôtre ; oui, sanctifions-nous pour les âmes, et puisque nous sommes tous les membres d'un seul corps, dans la mesure où nous aurons abondamment la vie divine, nous pourrons la communiquer au grand corps de l’Église. »

    Ste Elisabeth de la Trinité (1880-1906), canonisée le 16 octobre dernier. In Sr Elisabeth de la Trinité, "Souvenirs publiés par le Carmel de Dijon" (ch. IX, p. 133), 1927. Cf. "Dans le Ciel de notre âme. Sœur Elisabeth de la Trinité 1880-1906", Par une Carmélite, 1958.

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  • Mardi 8 novembre 2016

    de la férie
     
    Mémoire des Quatre Saints Couronnés, martyrs
     
    En certains endroits : Ste Elisabeth de la Trinité, religieuse (carmélite)

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  • Osip Kozlovsky (1757-1831) : Requiem en mi bémol mineur

    USSR Ministry of Culture Somphony Orchestra, State Moscow Choir - Dir. Vladimir Yesipov

  • Vivons en vue de notre éternité - III. Prière aux Saints

     (suite et fin des méditations des jeudi 3 et samedi 5 novembre)

    « Que vous êtes heureux, ô saints du Seigneur, qui avez déjà traversé cette mer orageuse de la vie mortelle, et mérité d'aborder au port de l'éternel repos, de la paix et de l'inaltérable sécurité, où désormais il n'y a plus que tranquillité, bonheur et allégresse !
    Je vous supplie donc, au nom de la sainte charité, mère des hommes, vous qui n'avez désormais rien à craindre pour vous, de ne pas nous refuser votre sollicitude. Vous dont la gloire est impérissable, soyez touchés de nos misères infinies. Bienheureux saints, pensez sans cesse à nous, je vous en conjure par celui qui vous a choisis, qui vous a faits ce que vous êtes, de la beauté duquel votre coeur peut se rassasier, qui vous a communiqué son immortalité, et dont vous avez le bonheur de contempler sans cesse la grandeur et la divinité. Prenez pitié de nous, malheureux, qui sommes encore exposés aux flots orageux de la mer de cette vie. Vous qui êtes comme les portes hautes et splendides de la céleste Jérusalem, ne nous abandonnez pas, nous qui ne sommes que l'humble pavé sur lequel vous marchez. Tendez-nous une main secourable pour nous relever de notre abaissement, afin que guéris de notre faiblesse, nous soyons forts pour combattre nos ennemis. Intercédez et priez sans cesse pour nous, pauvres pécheurs, dont les négligences sont sans nombre, afin que par vos prières, nous obtenions la grâce d'être réunis à votre sainte société. Offrez donc pour nous vos prières à Dieu, ô divine cohorte des saints, ô célestes choeurs des bienheureux, afin que par le secours de vos prières et de vos mérites, nous puissions, sans naufrage, conduire notre vaisseau chargé de bonnes œuvres, jusqu'au port de l'éternel repos et de cette paix qui n'aura pas de fin. »

    Père Alphonse de la Mère des Douleurs, Pratique journalière de l'oraison et de la contemplation divine d'après la méthode de Sainte Thérèse et de Saint Jean de la Croix, Tome sixième (Vendredi de la dernière semaine, Oraison de la nuit), Desclée, De Brouwer, Lille - Paris - Bruges, 1917.

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