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  • L’Eglise comptera bientôt 24 nouveaux bienheureux, dont 23 martyrs

    Le Pape François, qui a reçu en audience jeudi 1er décembre le cardinal Angelo Amato, a autorisé la Congrégation pour les causes des saints à promulguer plusieurs décrets reconnaissant le martyre de vingt-trois serviteurs et de Dieu et le miracle attribué à l’intercession d’un quatrième, ouvrant ainsi la voie à leur prochaine béatification.

    Le Pape a ainsi autorisé la Congrégation pour les causes des saints à reconnaître le martyre de :

    Stanley Francis Rother (1935-1981), prêtre du diocèse de Tulsa (Oklahoma, États-Unis), assassiné au Guatemala par un escadron de la mort.
    Il consacra sa vie à l’annonce de l’Évangile parmi les Indiens Tzutuhil, descendants des Mayas vivant parmi eux, traduisant dans leur langue le Nouveau Testament, se battant pour la défense de leurs droits et de leur dignité. Cet engagement total aux côtés de cette population marginalisée lui valut d’être assassiné en 1981 à 46 ans par les escadrons de la mort. Venant s’ajouter ainsi à la longue liste des milliers victimes de la guerre civile qui ensanglanta le pays, et ne prit fin qu’en 1996, le père Rother devient ainsi le premier missionnaire américain à être vénéré comme martyr.

    Vincente Queralt Lloret (1894-1936), prêtre lazariste espagnol, et ses 20 compagnons (prêtres, religieuses, laïcs), tués en haine de la foi pendant la guerre civile espagnole entre 1936 et 1937.

    – Mgr Teofilius Matulionis (1873-1962), archevêque-évêque de Kaišiadorys (Lituanie), mort après 26 ans de goulag soviétique ;
    Il se battit contre le régime communiste en place, pour le rétablissement de l’enseignement catholique dans les écoles. Emprisonné à plusieurs reprises, il fut ensuite déporté en Sibérie, avant d’être assassiné en 1962.

    Le Pape François a aussi reconnu un miracle attribué à l’intercession du P. Giovanni Schiavo (1903-1967), prêtre italien de la Congrégation de Saint-Joseph, missionnaire au Brésil.

    Par ailleurs, le Pape a autorisé la Congrégation pour les causes des saints à reconnaître les vertus héroïques de huit serviteurs de Dieu :

    - Le cardinal Guglielmo Massaja (1809-1889), capucin italien, qui fut missionnaire en Ethiopie.

    - Don Nunzio Russo (1841-1906), prêtre du diocèse de Palerme (Italie), fondateur de la Congrégation des Filles de la Croix.

    - Don Giuseppe Bau Burget (1867-1929), prêtre du diocèse de Valence (Espagne).

    - Don Mario Ciceri (1900-1975), prêtre du diocèse de Milan (Italie).

    - Mère Marie-Joseph (Suzanne) Aubert (1835-1926), religieuse française, fondatrice de l’Institut des Filles de Notre Dame de la Compassion, missionnaire en Nouvelle-Zélande.

    - Mère Luce Rodriguez-Casanova Y Garcia San Miguel (1873-1949), religieuse espagnole, fondatrice de la Congrégation des Dames apostoliques du Sacré-Cœur.

    - Mère Catherine Aurélie du Précieux Sang (Caouette, 1833-1905), religieuse canadienne (Québec), fondatrice de la Congrégation des Sœurs adoratrices du Précieux Sang de Notre Seigneur Jésus.

    - Sœur Léonie Maria Nastal (1903-1940), religieuse polonaise de la Congrégation des Petites servantes de la Bienheureuse Vierge Marie Immaculée.

    Source : Radio Vatican.

  • Délit d'entrave numérique à l'IVG : L’Assemblée nationale adopte la censure

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    Les députés ont discuté jeudi 1er décembre de la proposition de loi relative à l’extension du délit d’entrave.

    La commission des affaires sociales avait légèrement modifié ce texte à la demande de la rapporteur du texte Catherine Coutelle (cf. délit d’entrave numérique à l’IVG : vers une entrée « dans la police des idées et dans la dictature d’une vision totalitaire ») sans en changer pour autant ni l’esprit, ni l’objectif, à savoir préserver le « droit à l’IVG » des « allégations trompeuses » diffusées au grand public, notamment, mais non exclusivement, par voie numérique.

    Le texte discuté par les députés était le suivant : "Constituerait un délit d’entrave, puni de deux ans d'emprisonnement et de 30000 euros d'amende, les pressions morales et psychologiques à l'encontre  des femmes venues s’informer sur un avortement « par tout moyen de communication au public, y compris en diffusant ou en transmettant par voie électronique ou en ligne, des allégations, indications de nature à induire intentionnellement en erreur, dans un but dissuasif, sur les caractéristiques ou les conséquences médicales d’une interruption volontaire de grossesse »".  

    Vers un totalitarisme dans le domaine de l’information

    Philippe Gosselin affirme avec force que la mention « par tous moyens de communication au public, y compris par voie numérique » constitue bien une « interdiction générale et absolue [qui porte]  bien une atteinte à la liberté d’expression ». Yannick Moreau le confirme, « vous nous dites que nous avons le droit de ne pas être d’accord, mais qu’on n’a pas le droit de le dire  […] c’est totalitaire ».

    Le député Dominique Tian rappelle que l’obsession du gouvernement d’attaquer les sites qui présentent un numéro vert n’a pas de sens : « Toute société peut avoir un numéro vert, c’est un droit aussi pour ces sites ».  Ce manque de bon sens se manifeste dans ce texte uniquement parce qu’il traite de l’avortement pense Marion Maréchal Le Pen : « Remplacer dans ce texte le terme IVG par n’importe quel autre mot, et tout le monde sera choqué de la censure que vous opérez ».

    Jean-Frédéric Poisson dénonce  « une innovation juridique extrêmement hasardeuse » car en voulant censurer « tous les moyens d’expression » dissidents sur l’avortement, le gouvernement outrepasse le délit d’entrave qui, par nature, est physique. Cela nécessiterait soulève-t-il de censurer toutes les allégations fausses que l’on trouve sur internet. Cela n’a pas de sens.

    « Du paternalisme » au « féminisme patriarcal » ? 

    Au milieu du débat, Catherine Lemorthon fustige le paternalisme des députés de la droite qui contestaient la modification à outrance de la loi Veil ces dernières années : « Les femmes sont assez grandes pour prendre leur décision, ça suffit avec le paternalisme, quand les femmes ont pris leur décision d’avorter mieux qu’elle le fasse le plus rapidement possible ».  

    Peu après Laurence Rossignol enfonce le clou, répétant en boucle que l’objectif de cette proposition de loi est de protéger les femmes contre des informations fausses. Ce que relève de façon partial Alain Ballay : « Personne ne doit dicter ce que les femmes doivent penser ou ressentir ». 

    La contradiction est soulignée par Marion Maréchal Le Pen : « Pour qui prenez-vous les femmes, en voulant supprimer des informations sur l’IVG ? ». Les femmes sont capables de faire la part des choses dans les informations qu’elles lisent.

    Tous les amendements de suppression de l’article unique de la proposition de loi ont été rejetés par 17 voix contre 35, et les députés présents ont courageusement poursuivi le débat pour tenter de contrer cette proposition de loi. On peut notamment citer les interventions des députés Moreau, Dhuicq, Lurton, Poisson, Gosselin, Bompard, Fromantin, Larrivé, Tian, Maréchal Le Pen, Le Callenec. Toutes soulignant l’atteinte manifeste à la liberté d’expression, l’absurdité juridique, et l’atteinte à la vie humaine de ce texte.

    Retrouvez le compte rendu des débats sur le dossier législatif en cliquant ici.

    Et le live tweet de Gènéthique sur @Genethique

    Suite et source : Gènéthique.org.

    Sur le même sujet, à lire :

  • Le temps des pornosalaucrates

    Article rédigé par François Billot de Lochner, le 02 décembre 2016

    Les pornosalaucrates, qui imposent mondialement leurs infectes pratiques sexuelles, se déchaînent comme jamais.

    Nous avons eu hier le triste privilège de pouvoir visionner dans toutes les rues de France et de Navarre l’infâme affichage de toutes les perversités, organisé par le ministère de la Santé : la rue, utile outil de perversion pour tous.

    Nous avons aujourd’hui la possibilité de visionner en famille l’ignoble film Sausage party, pour les douze ans et plus, afin d’initier nos chers petits aux pratiques les plus honteuses : le cinéma, utile moyen d’éducation à tous les vices pour tous.

    Nous allons avoir demain la possibilité de nous repaître de photos de nus intégraux se livrant à tous les dévoiements possibles. Ces photos, réalisées par la très homosexualiste association Aides,  seront publiées en pleines pages dans de multiples journaux. La grande presse sur la table du salon familial, pour l’éducation des parents et enfants au dévoiement pour tous.

    En bref, les cochonneries pour tous, dans la rue, au cinéma, dans les foyers : plus belle, la vie de débauche pour tous !

    La pornographie est un tsunami mondial, que les autorités morales devraient dénoncer à temps et à contretemps. Du côté des grandes autorités morales, Eglise catholique comprise, peu de dénonciation à temps, et moins encore à contretemps… L’humanité dans son ensemble, tous âges, sexes et pays confondus, part sexuellement à la dérive, dans le silence assourdissant de ceux qui devraient hurler leur colère et agir avec tous les moyens dont ils disposent pour lutter contre ce fléau.

    Que sera le coup d’après ? L’exaltation de la pédophilie ? La zoophilie ? Quoi d’autre ? Allons, cherchons bien, nous allons sûrement trouver ! Quand on a un sexe à la place du cerveau, cela doit aider à inventer des idées sexuellement géniales.

    Le « marché pornographique »  a devant lui un avenir radieux. Les pornocrates et autres pornosophes peuvent se frotter les mains : ils vont connaître des lendemains enchanteurs. Qu’ils se méfient cependant des lendemains qui ne chantent plus : il pourrait y avoir un retour de bâton contre leur dictature mondiale. La révolte des familles s’est fortement exprimée contre les récentes affiches ignobles. Le film Sausage party peut accélérer le mouvement de colère. Les infâmes publications à venir d’Aides également. N’oublions pas aussi que le nouveau Code de procédure pénale, au travers de son article 227-24, permet en théorie de réprimer avec une grande sévérité ceux qui fabriquent, diffusent ou promeuvent les matériaux pornographiques.

    L’action en référé que nous avons menée contre le ministère de la Santé a permis le retrait des affiches. Nous étudions actuellement la possibilité d’une action contre les journaux diffuseurs de la prochaine et épouvantable campagne d’Aides.

    Nous mènerons, avec les moyens qui sont les nôtres, ce combat inégal pour la restauration de la dignité humaine, affreusement mutilée par les pornocrates de tous les pays, unis dans leur volonté farouche de tuer la beauté de la personne, en la transformant en simple et glauque objet sexuel.

    François Billot de Lochner

    Président de la Fondation de Service politique,
    de Liberté politique et de France Audace

    Source : Liberté politique.

  • « Sausage Party » : le film qui initie la jeunesse au sexe en groupe et à la pornographie

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    [Source : Info Chrétienne]

    « Sausage Party » est un film pour adulte, interdit aux mineurs aux Etats-Unis, mais accessible en France pour les enfants de 12 ans et plus. L’humour qu’il véhicule émane d’un monde où la pornographie n’est pas un problème. Soyez avertis !
    Vous avez été choqué par la campagne publicitaire « sexe entre hommes ».
    Vous avez été inquiété par la possible diffusion du film Pride aux collégiens le 1er décembre.
    Vous avez craint pour vos libertés fondamentales avec l’adoption par la Commission des Affaires Sociales du délit d’entrave numérique à l’IVG.
    Mais vous n’aviez encore rien vu !

    Depuis le 30 novembre 2016, les salles françaises proposent à vos enfants de 12 ans et plus un film d’animation pornographique, le dessin animé « Sausage Party, la vie privée des aliments. »

    Ce film, qui a rencontré un vif succès aux Etats-Unis, était là-bas interdit aux mineurs car c’est un film pornographique pour adulte !

    Orgie sexuelle, voyeurisme, fellation, sodomie, sexe entre hommes, entre femmes : voilà le point culminant de ce film dans la scène de l’orgie. Vous ne voulez pas voir ça, ni dans cet extrait et encore moins dans une salle de cinéma avec votre enfant de 12 ans !

    Sausage Party est décrit comme un « Toy Story pour adultes », un « food porn », c’est une initiation et une incitation à considérer comme « normal » le sexe en groupe.

    Paris Normandie rapporte :

    Scènes sexuellement explicites entre aliments, propos obscènes, consommation de stupéfiants avec modes d’emploi plein cadre, dialogues souvent outranciers truffés d’insultes et grossièretés diverses et variées : «Sausage Party» comporte tous les ingrédients pour susciter la polémique.

    Envie de voir ça avec vos ados ?

    La pornographie semblerait être la base culturelle que la société veut donner aux jeunes, déjà admise par beaucoup comme « normale » : maintenant le film incite à passer à l’étape suivante qui est la mise en pratique en groupe.

    La pornographie a des effets dévastateurs et irréversibles chez les jeunes. Vous devez les protéger de ce fléau dans vos maisons, sur Internet, dans les écoles et maintenant aussi dans les salles de cinéma ! Ne laissez pas l’industrie puissante de la pornographie faire de vos enfants de futurs clients zombies et drogués. Les effets de la pornographie sur le cerveau sont comparables à ceux de l’héroïne !

    Parents, ne laissez pas vos enfants être exposés au sexe en groupe et à la pornographie !

    Prions pour nos familles, prions pour nos enfants, prions pour un réveil dans ce monde voué à l’impureté et à l’iniquité.

    Source et suite : Info Chrétienne - Liberté politique.

    A lire également : Info Chrétienne dénonce Sausage Party et devient le coup de gueule de Touche Pas à Mon Poste !

  • Vendredi 2 décembre 2016 : 1er vendredi du mois dédié au Sacré Cœur de Jésus

    Consécration au Sacré Cœur du Bx Padre Pio, devant le Saint-Sacrement

    « Seigneur Jésus-Christ, qui, par amour pour les hommes, demeurez nuit et jour en ce Sacrement, attendant, appelant, accueillant tous ceux qui viennent vous visiter, je crois que vous êtes réellement présent dans ce Tabernacle ; je vous adore, abîmé que je suis dans mon néant, et je vous remercie pour tant de grâces que vous m'avez faites, spécialement de vous y être donné à moi, de m'avoir donné pour avocate Marie, votre très sainte Mère, et de m'avoir appelé à vous visiter dans cette église.

    Je salue aujourd'hui votre Cœur adorable, et j'entends le saluer pour une triple fin : premièrement, en remerciement pour ce don magnifique ; deuxièmement, en compensation de toutes les injures que vous font vos ennemis dans ce Sacrement ; troisièmement, j'entends, par cette visite, vous adorer en tous lieux de la terre, où votre présence eucharistique est le moins révérée et le plus abandonnée.

    Mon Jésus, je vous aime de tout mon cœur, je regrette d'avoir, par le passé, tant de fois offensé votre bonté infinie. Je me propose avec votre grâce de ne plus vous offenser à l'avenir, et, pour le présent, malgré ma misère, je me consacre entièrement à vous ; je renonce à ma volonté et je vous la donne tout entière ainsi que mes affections, mes désirs et tout ce qui m'appartient. Faites désormais de moi et de mes biens tout ce qu'il vous plaira. Je ne demande et ne désire que votre saint amour, la persévérance finale et le parfait accomplissement de votre volonté.

    Je vous recommande les âmes du purgatoire, spécialement celles qui ont été les plus dévotes au Saint Sacrement et à la très Sainte Vierge. Je vous recommande aussi tous les pauvres pécheurs.

    J'unis enfin, ô mon Sauveur, toutes mes affections à celles de votre Cœur adorable et je les offre ainsi au Père Éternel, le priant de les accepter et de les exaucer pour votre amour.

    Ainsi soit-il. »

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