Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

musique

  • Présentation du CD musical "Cantate Domino. La Chapelle Sixtine et la musique des Papes"

    Ce matin, a été présenté à la Salle de Presse le CD "Cantate Domino. La Chapelle Sixtine et la musique des Papes", publié par Deutsche Grammophon. Est intervenu Mgr Georg Gänswein, Préfet de la Maison pontificale, accompagné de Mgr Massimo Palombella, SDB, Maître de la Chapelle musicale pontificale, M Mark Wilkinson, Président de Deutsche Grammophon, et M Mirko Gratton, Directeur du secteur Musique classique d'Universal Italie.

    La Chapelle musicale pontificale, appelée Sixtine, est parmi les plus anciennes institutions chorales du monde. Elle est le chœur du Pape, a expliqué Mgr Gänswein. "C'est pourquoi son service fait partie de la vie de la maison du Pape...sous la tutelle de la Préfecture de la Maison pontificale...qui est responsable de la valeur artistique, de la discipline et de la gestion administrative de la Sixtine. Ce célèbre choeur est composé d'une vingtaine de chanteurs adultes, régulièrement employés par le Saint-Siège, à laquelle s'ajoute une trentaine de Pueri qui fréquentent l'école attachée à la Sixtine. Publier un CD de musique avec le prestigieux label Deutsche Grammophon est un événement sans précédent dans l'histoire de la chapelle musicale qui témoigne de la qualité et du professionnalisme que cette institution.

    Sorti le 25 septembre, l'album a été réalisé sous la direction de Mgr Palombella. Il comprend des pièces musicales de la Renaissance composées pour le chœur par Palestrina, Lassus, Victoria, mais aussi le célèbre Miserere d'Allegri dans sa version originale et le Nunc Dimittis attribué à Palestrina, qui est encore chantée dans les célébrations pontificales. "Cantate Domino" présente ces pièces enregistrées dans le lieu pour lequel elles avaient été composées. C'est pourquoi la Deutsche Grammophon a installé un studio dans la chapelle du même nom.

    La célèbre Chapelle Sixtine est depuis sa consécration en 1483 le lieu premier d'exécution de la Chapelle musicale pontificale, qui depuis le dernier Concile accompagne ailleurs à Rome les messes pontificales. Mgr Palombella a signalé que, ces dernières années, après une étude approfondie et spécifique de la musique sacrée de la Renaissance et sa pertinence esthétique, un tel enregistrement revêt une grande importance. Ainsi peut-on espérer que ces chefs-d'œuvre musicaux atteignent des millions de personnes à travers le monde pour les mettre en contact avec la culture historique et la profonde spiritualité de l'Eglise catholique".

    Source : Vatican Service Information (Publié VIS Archive 01 - 29.9.15).

    Texte intégral de la présentation en italien en Salle de Presse du Saint-Siège.

    Texte intégral du Communiqué de la Deutsche Grammophon (et détail des plages du CD) ci-dessous.

    Lire la suite

  • Camille Saint-Saëns (1835–1921) : L’Assassinat du Duc de Guise, Op.128

    Musique du film de Charles Le Bargy et André Calmettes (1908)
    Ensemble Musique Oblique

    Le 23 décembre 1588, Henri de Guise (1550-1588) est assassiné sur l'ordre d'Henri III qui l'avait convoqué dans son « cabinet vieux », voisin de la salle du Conseil du château de Blois, sous prétexte d'un prochain déplacement, Guise pensant que le roi allait enfin le nommer connétable. Alors que le duc passe dans la chambre du roi pour se rendre à ce cabinet, huit membres des « Quarante-cinq », la garde personnelle du roi, se ruent sur lui pour l'exécuter. Le duc parvient à riposter et blesser quatre adversaires avant de s'effondrer, percé d'une trentaine de coups d'épée et de dagues. On retrouve sur le duc ce billet portant son écriture :

    « Pour entretenir la guerre en France, il faut sept cens mille écus, tous les mois »

    Son corps fut confié au Sieur de Richelieu, grand prévôt de France, qui par commandement du roi fit brûler le corps dans une salle du château puis jeter les cendres dans la Loire. Le même jour sont arrêtés sa mère Anne, son fils Charles et son frère le cardinal de Lorraine. Celui-ci fut exécuté puis brûlé dans sa prison le lendemain.

    Cf. Henri Ier de Guise.

    Camille Saint-Saëns,Assassinat,Duc de Guise,Op.128,Musique,film,Charles Le Bargy,André Calmettes,Musique Oblique

    Portrait de Henri de Lorraine, duc de Guise.
    Paris, musée du Louvre, D.A.G. Agence photographique de la Réunion des musées nationaux (RMN)

  • Feu et lumière - Paroles et musique : Soeur Marie-Thierry

    Communauté de l'Emmanuel

    Feu et lumière qui resplendissent sur la face du Christ,
    Feu dont la venue est parole,
    Feu dont le silence est lumière,
    Feu qui établis les cœurs dans l´action de grâce
    Nous te magnifions.

    Toi qui reposes en Christ,
    Esprit de sagesse et d´intelligence,
    Esprit de conseil et de force,
    Esprit de science et de crainte,
    Nous te magnifions.

    Toi qui scrutes les profondeurs de Dieu,
    Toi qui illumines les yeux de notre cœur,
    Toi qui te joins à notre esprit,
    Toi par qui nous réfléchissons la gloire du Seigneur,
    Nous te magnifions.

    Feu et lumière qui resplendissent sur la face du Christ,
    Feu dont la venue est parole,
    Feu dont le silence est lumière,
    Feu qui établis les cœurs dans l´action de grâce
    Nous te magnifions.

  • L'Esprit de Dieu repose sur moi

    Paroles et musique : Lucien Deiss, CSSp (1921-2007)

    Refrain :
    L'Esprit de Dieu repose sur moi,
    L'Esprit de Dieu m'a consacré,
    L'Esprit de Dieu m'a envoyé proclamer sa paix, sa joie.

    L'Esprit de Dieu m'a choisi
    Pour étendre le Règne du Christ parmi les nations,
    Pour proclamer la Bonne Nouvelle à ses pauvres.
    J'exulte de joie en Dieu, mon Sauveur ! (Refrain)

    L'Esprit de Dieu m'a choisi
    Pour étendre le Règne du Christ parmi les nations,
    Pour consoler les cœurs accablés de souffrance.
    J'exulte de joie en Dieu, mon Sauveur ! (Refrain)

    L'Esprit de Dieu m'a choisi
    Pour étendre le Règne du Christ parmi les nations,
    Pour accueillir le Pauvre qui pleure et qui peine.
    J'exulte de joie en Dieu, mon Sauveur ! (Refrain)

    L'Esprit de Dieu m'a choisi
    Pour étendre le Règne du Christ parmi les nations,
    Pour annoncer la grâce de la délivrance.
    J'exulte de joie en Dieu, mon Sauveur ! (Refrain)

    L'Esprit de Dieu m'a choisi
    Pour étendre le règne du Christ parmi les nations,
    Pour célébrer sa gloire parmi tous les peuples.
    J'exulte de joie en Dieu, mon Sauveur ! (Refrain)

  • Elizabeth Sombart, pianiste, invitée sur KTO

    Entretien lumineux, dans l'émission VIP de KTO, d'Elizabeth Sombart, pianiste, mariée consacrée (sous le régime des trois voeux d'obéissance, de pauvreté et de chasteté - premier mariage célébré ainsi dans l'Eglise catholique), le 15 octobre 2011.

    Premier Prix National de piano et de musique de chambre à l'âge de 16 ans, elle a perfectionné son art à Buenos Aires, Londres, Vienne ou encore Mayence. Elizabeth Sombart se produit depuis dans le monde entier. Elle a également mis au point sa propre méthode pédagogique et créée en 1998 la Fondation Résonnance pour permettre à des étudiants de tout âge d'accéder gratuitement à une formation pianistique professionnelle. Depuis le projet a essaimé. Une autre chose lui tient à coeur : apporter la musique là où elle est absente, comme les hôpitaux et les prisons. Pour elle, « Dieu n'a pas besoin de pianistes mais ce dont il a besoin, c'est de personnes qui font tout ce qu'elles peuvent pour répondre à un don qu'elles ont reçu et qui ne leur appartient pas. »

    Extrait :

    « La musique a le pouvoir de réveiller dans l'homme sa grandeur... Parce que de quoi l'homme a peur ? Pas de sa petitesse, de sa grandeur... Pourquoi il s'enferme quelquefois dans des petites choses ? Parce qu'il a peur de ce qui en lui est grand... Alors que c'est justement ça qui fait qu'on peut sortir de ce "moi" conditionné dont parle Zundel pour finalement atteindre à ce "moi" au service de ce qui est grand... On le porte en nous, on doit le réaliser, on doit le révéler, et si un homme devient ce qu'il doit être, c'est quoi ? C'est pas qu'il a réussi sa vie, c'est que tout simplement il rayonne quelque chose de plus grand que lui-même... »


    A visiter, son site en projet : "Femmes aux ailes brisées"

  • 7 juillet : Méditation

    « "Que dis-tu de toi-même ?" (Jn 1, 22). Cette question, comment le Baptiste pouvait-il y répondre ? Comment un être peut-il dire : voilà ce que je suis. De toutes les questions en effet qui puissent nous être posées, c'est de toutes la plus difficile, et aucun de nous n'est capable d'y répondre. Si l'on nous demande "Que dis-tu de toi-même ?", si nous tentons de donner à cette question une réponse, nous verrons immédiatement l'impossibilité de le faire. Nous ne savons pas qui nous sommes. Et quand nous cherchons à le définir, nous trouvons un être préfabriqué, qui peut bien entrer dans certaines catégories psychologiques, mais jamais nous ne pourrons trouver ce secret et ce mystère que nous sommes. Ce secret qu'une mère cherche dans son petit enfant : elle le regarde, il lui sourit... Qu'est-ce qu'elle cherche à travers ce sourire, sinon la révélation de ce qu'il est ?
    Cette question, qui paraît simple, est donc l'une des questions les plus profondes et les plus insolubles, tout au moins quand on la pose directement et qu'on demande à un être : "Mais toi, que dis-tu de toi-même ?" Il y a cependant une manière latérale en quelque manière d'arriver à la connaissance de nous-même, et nous n'avons qu'à songer à tout ce que pouvait évoquer en nous - à tout ce que peut évoquer encore, heureusement - le jeu de Clara Haskil. Qu'est-ce qui a attaché tant d'êtres à cette incomparable musicienne, sinon justement que, chacun en l'écoutant, sentait jaillir et sourdre en lui une mélodie où le mystère de lui-même s'exprimait. Parce que le jeu de Clara était si intérieur, si silencieux, qu'il nous appelait tous et chacun dans sa musique, qu'il nous invitait tous et chacun à devenir cette musique. Et lorsqu'on devient la musique, lorsque tout l'être jaillit comme un chant, c'est qu'on s'est perdu de vue, c'est que déjà on s'est fixé dans un Autre, c'est qu'on est dans ce monde de l'émerveillement où luit le Visage adorable, toujours inconnu et toujours reconnu, qui est le Visage du Dieu vivant.
    Nous saisissons ainsi dans cette expérience de la musique, nous saisissons la possibilité pour ce secret que nous sommes, de s'exprimer et de se communiquer. Nous exprimer en effet et nous communiquer, c'est nous exprimer dans un Autre et pour Lui. Aussi bien Clara à son piano comme tant d'autres artistes, comme tous les vrais artistes, lorsqu'ils sont à leur piano, ils deviennent entièrement musique pour que nous la devenions à notre tour. Ils ne s'écoutent pas, ils ne se regardent pas. Ils laissent passer à travers elle tout ce monde silencieux qui est le berceau de toutes les mélodies. »

    Maurice Zundel (1897-1975), extraits d'une Homélie donnée à Lausanne en 1962.
    Citation d'Elizabeth Sombart, au cours de l'entretien accordé à KTO en 2011, proposé ci-dessus.

    soleil_levant_6.jpg

  • André Gouzes, la musique sacrée au service de la liturgie

    Frère dominicain, André Gouzes écrit et compose depuis plus de trente ans une musique liturgique qui fait de lui un pasteur original. Âgé de 69 ans il est à l’origine d’un renouveau du chant liturgique mondial. C’est lui aussi qui a redonné vie à l’abbaye cistercienne de Sylvanes dans l’Aveyron et qui accueille chaque année un festival international de musiques sacrées. Il est notamment le créateur de la Liturgie chorale du Peuple de Dieu, un corpus liturgique de plus de 3 000 pages, en français, mais aussi traduit et édité en nombreuses langues. Pour lui la liturgie n’a de sens que si elle est accompagnée d’une musique profonde capable de transmettre la parole de Dieu.
    Un sujet réalisé par Thomas Chabolle.

    Source : Radio Vatican, où vous pourrez écouter l'intégralité de cet entretien.

  • 19 avril : Musique orthodoxe


    Bénis le Seigneur, ô mon âme, n’oublie aucun de ses bienfaits,
    Bénis le Seigneur, ô mon âme, bénis le Seigneur à jamais. - Ps. 103 (102)

  • 9 avril : Lundi de Pâques

    Grande doxologie

    du Lundi de Pâques


    (La grande doxologie est le "Gloria in excelsis Deo", omis durant l'Avent et le Carême - La petite doxologie est le "Gloria Patri")