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Mercredi 30 janvier 2013
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Dimanche : 6 janvier : Epiphanie du Seigneur
L’Église Grecque donne à cette Fête le vénérable et mystérieux nom de Théophanie, si célèbre dans l’antiquité pour signifier une Apparition divine. On trouve ce nom dans Eusèbe, dans saint Grégoire de Nazianze, dans saint Isidore de Péluse ; il est le propre titre de la Fête dans les livres liturgiques de l’Église Grecque.
Les Orientaux appellent encore cette solennité les saintes Lumières, à cause du Baptême que l’on conférait autrefois en ce jour, en mémoire du Baptême de Jésus-Christ dans le Jourdain. On sait que le Baptême est appelé dans les Pères illumination, et ceux qui l’ont reçu illuminés.
Enfin, nous nommons familièrement, en France, cette fête la Fête des Rois, en souvenance des Mages, dont la venue à Bethléhem est particulièrement solennisée aujourd’hui.
Dom Guéranger, L’Année Liturgique. -
25 décembre : Nativité de Notre Seigneur
Je souhaite de tout coeur à chacune et chacun d'entre vous une belle, joyeuse et sainte fête de la Nativité. Puisse l'Enfant nouveau-né, Verbe fait chair, vous apporter cette Paix profonde que Lui seul peut nous offrir, et éclairer de sa douce et chaleureuse Lumière chacun de ces jours qu'Il nous donne de vivre, et en lesquels Il nous appelle toujours plus près de Lui !
Noël ! Noël ! Noël !
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3 novembre : Sanctoral
St Hubert, évêque de Tongres-Maastricht-Liège († 727)
St Martin de Porres, Religieux du Tiers Ordre de St-Dominique († 1639)
canonisé en 1962
Au calendrier traditionnel : De la Ste Vierge au samedi -
23 août : Sanctoral
Comme au calendrier traditionnel :
Saint Philippe Béniti, confesseur
Vie de Saint Philippe Beniti, o.s.m., Religieux Servite de Marie († 1285)
Sainte Rose de Lima, vierge (1586-1617) -
11 juin : Sanctoral
comme au calendrier traditionnel,
Saint Barnabé, apôtre
Vie de Saint Barnabé (1er s.)
Saint Jean de St-Facond, religieux augustin (1430-1479)
(demain au calendrier traditionnel) -
5 mai : discours de Benoît XVI aux Ambassadeurs, hier 4 mai 2012
S'adressant aux ambassadeurs d'Éthiopie, de Malaisie, d'Irlande, de Fidji et d'Arménie, le Saint Père a déclaré :
« Pour renforcer l’assise humaine de la réalité socio-politique, il faut être attentif à une autre sorte de misère : celle de la perte de référence à des valeurs spirituelles, à Dieu. Ce vide rend plus difficile le discernement du bien et du mal ainsi que le dépassement des intérêts personnels en vue du bien commun. Il rend aisé l’adhésion à des courants d’idées à la mode, en évitant l’effort nécessaire de réflexion et de critique. Et bien des jeunes en quête d’idéal, se tournent vers des paradis artificiels qui les détruisent. Addictions, consumérisme et matérialisme, bien-être ne comblent pas le cœur de l’homme fait pour l’infini. Car la plus grande pauvreté est le manque d’amour. Dans la détresse, la compassion et l’écoute désintéressée sont un réconfort. Même dépourvu de grandes ressources matérielles, il est possible d’être heureux. Vivre simplement en harmonie avec ce à quoi l’on croit, doit demeurer possible, et le devenir toujours plus. J’encourage tous les efforts entrepris, particulièrement auprès des familles [...]
Les États ont le devoir de valoriser leur patrimoine culturel et religieux qui contribue au rayonnement d’une nation, et d’en faciliter l’accès à tous, car en se familiarisant avec l’histoire, chacun est amené à découvrir les racines de sa propre existence. »
Texte intégral sur le site internet du Vatican