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jérusalem

  • Méditation - Dimanche des Rameaux

    « Jésus accepte d'être porté en triomphe, mais quelle douceur, quelle humilité dans ce triomphe ! Il sait que ses ennemis se cachent parmi le peuple qui chante et qu'ils réussiront à substituer le « crucifige » à l'« hosanna » ; Il le sait, et Il pourrait s'imposer à eux dans toute la puissance de sa divinité ; Il pourrait les démasquer publiquement en dévoilant leurs plans. Jésus cependant ne veut ni vaincre ni régner par la force, mais bien par l'amour, la douceur. [...] C'est avec la même mansuétude, qu'Il acceptera Lui, l'Innocent, l'unique vrai Roi et Triomphateur, d'apparaître comme un coupable, un condamné vaincu, un roi de comédie. C'est ainsi, pourtant, qu'Il attirera tout à Lui, lorsqu'Il aura été érigé sur la Croix.

    Même si nous résistons à la grâce, ô Jésus, Vous demeurez à jamais le Vainqueur ; votre victoire sur le prince des ténèbres a été complète et l'humanité a été sauvée et rachetée en Vous. Vous êtes le bon Pasteur qui connaît et aime chacune de ses brebis et veut les porter toutes en lieu sûr. Votre Cœur très aimant ne se contente pas d'avoir mérité le salut pour tout le troupeau, Il désire ardemment que chaque brebis profite de ce salut... Ô Seigneur, donnez-nous donc cette bonne volonté capable d'accueillir votre don, votre grâce ; faites que votre passion ne soit pas vaine pour nous. »

    P. Gabriel de Ste Marie-Madeleine, O.C.D., Intimité Divine, premier volume (Dimanche des Rameaux), Monastère des Carmélites Déchaussées, Alost, Belgique / Librairie du Carmel, Paris, 1963.

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  • Méditation - Dimanche des Rameaux

    « La liturgie du Dimanche des Rameaux est faite de contrastes. D'abord la bénédiction des Rameaux, si riche de sens, suivie de la procession, où la joie et l'enthousiasme se donnent libre cours ; puis la Messe, avec sa tonalité sombre, avec le récit de la Passion de Notre-Seigneur et le rappel à plusieurs reprises de la prière inspirée du Psaume vingt et unième, qu'Il adressa à son Père dans son agonie.
    Avec les Juifs, nous nous réjouissons de l'entrée triomphale du Sauveur à Jérusalem ; nous entonnons des chants de joie en l'honneur de Celui qui vient au nom du Seigneur. Nous savons qu'Il est le Roi de toute majesté et que nous aussi, nous appartenons à son royaume par la grâce de la filiation divine reçue au baptême. Nous sommes volontiers avec le Christ lorsqu'Il est fêté, lorsqu'on le loue et qu'on l'acclame. En vérité, le jour de notre Pâques, c'est-à-dire lorsque nous ressusciterons, Il nous fera cohéritiers de sa divine royauté. Alors nous pourrons faire notre entrée dans la Jérusalem céleste avec la palme de la victoire.
    Mais cela ne sera possible que si, pendant notre vie, nous avons suivi avec Lui le chemin de la souffrance, que si nous l'avons pris pour modèle dans l'acceptation de la croix. »

    Toute l'année avec le Christ - Méditations liturgiques à l'usage des fidèles, par les Bénédictins de l'Abbaye de Notre-Dame d'Einsiedein, Dimanche des Rameaux, Comptoir Français du Livre, Paris, 1936.

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    Fra Angelico, La procession des rameaux
    2e panneau de l’Armoire des ex-votos d’argent
    Musée San Marco, Florence (Italie)

  • Litanie des saints de Paris

    diaporama des Fraternités Monastiques de Jérusalem

  • Méditation - « le Royaume de Dieu est au-dedans de vous » (Lc 17,21)

    « Les démons redoutent, mais Dieu et ses anges désirent l'homme qui avec ferveur cherche Dieu dans son cœur jour et nuit, et repousse loin de lui les agressions de l'ennemi. Le pays spirituel de l'homme pur en son âme est au-dedans de lui. Le soleil qui brille en lui est la lumière de la Sainte Trinité. Et l'air que respirent les pensées qui l'habitent est le Saint-Esprit Consolateur. Avec lui, demeurent les saintes natures incorporelles. Leur vie, leur joie, leur réjouissance sont le Christ, lumière de la lumière du Père. Un tel homme se réjouit à toute heure de la contemplation de son âme, et il s'émerveille de la beauté qu'il y voit, cent fois plus lumineuse que la splendeur du Soleil.
    C'est Jérusalem. Et c'est le Royaume de Dieu caché au-dedans de nous, selon la parole du Seigneur. Ce pays est la nuée de la Gloire de Dieu, où seuls entreront les cœurs purs pour contempler la face de leur Maître, et leurs intelligences seront illuminées par le rayon de sa lumière. »

    St Isaac le Syrien (VIIe siècle), Œuvres spirituelles, Discours ascétiques, coll. Théophanie, DDB, 1981.

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    « Très Sainte Trinité,
    Père, Fils et Saint-Esprit,
    je Vous adore profondément
    et je Vous offre le très précieux Corps, Sang, Âme et Divinité de Jésus-Christ
    présent dans tous les tabernacles du monde,
    en réparation des outrages, sacrilèges et indifférences
    par lesquels il est Lui-même offensé.
    Par les mérites infinis de Son Très Saint-Cœur
    et du Cœur Immaculé de Marie,
    je Vous demande la conversion des pauvres pécheurs. »

    L'Ange du Portugal aux enfants de Fatima, à l'automne 2016.

  • Méditation - Les deux versants de la montagne de l'Ascension

    « Mes enfants, le lieu de l'Ascension de notre aimable Christ est au mont des Oliviers. (1) [...]

    Cette montagne est située entre Jérusalem et Béthanie. Mes enfants, celui qui veut suivre le Christ doit gravir la montagne. Si délicieuse et si belle que soit une montagne, il est cependant pénible d'y monter. C'est ainsi, mes enfants, que celui qui veut suivre le Christ doit donner congé à la nature. On trouve beaucoup de gens qui suivraient volontiers le Christ, à condition que cela n'exige ni peine ni labeur, que cela ne leur soit pas trop dur. Et ils voudraient bien se trouver sur cette montagne pour autant qu'elle se trouve à Jérusalem, ce qui veut dire « la paix ». Ces gens ressentent en eux-mêmes paix, joie et consolation. Mais de là, il ne sortira rien, s'ils ne vont aussi sur l'autre versant de la montagne qui regarde Béthanie, dont le nom signifie peine, obéissance, souffrance. C'est de cela que le prophète a dit dans le psautier : « Il a préparé sa place dans la vallée des larmes » (Voir Ps 84,7).

    Sachez, mes enfants, que celui qui ne s'est pas préparé une place dans cette vallée, celui-là reste en arrière, il n'en sort jamais rien ; si belle que paraisse sa paix, il doit rester en arrière. L'homme doit poursuivre de ses regrets et de ses brûlants désirs le Bien-Aimé qui est monté si haut et si loin et qui lui est maintenant si complètement invisible et caché. Plus le fond est véritablement et foncièrement touché, plus vraiment se creuse, d'un côté de la montagne, la vallée des larmes. Si ces larmes n'avaient pas meilleur motif, elles seraient encore bien nécessaires à raison des péchés et de l'ordure qui souillent notre misérable nature, et qui empêchent si souvent l'homme de se recueillir noblement, comme il pourrait et devrait faire sans cesse [...] Que la nature nous gouverne ainsi secrètement, alors que ce devrait être Dieu, sans cesse, et rien autre chose : voilà le versant de Béthanie.

    Mes enfants, celui qui considérerait bien cela en lui ne perdrait pas tout courage ; mais il trouverait sa grande consolation, saveur et joie à Jérusalem. C'est à cela qu'elle est utile : réconforter l'homme, afin qu'il supporte mieux la peine et le chagrin, afin que la souffrance et la misère ne l'affaiblissent pas et qu'il ne succombe pas quand il est abandonné de Dieu, sans consolation et en grande amertume. C'est pourquoi le sage dit : « Aux jours mauvais, tu ne dois pas oublier les bons » (Si 11,25). Ces deux versants de la montagne, Jérusalem et Béthanie, doivent toujours être l'un à côté de l'autre. »

    Jean Tauler (v.1300-1361), Sermon 20, 3ème pour l'Ascension, Coll. Sagesses Chrétiennes, Les Éditions du Cerf, 1991.
    (1) : Béthanie est située sur le flanc oriental du mont des Oliviers, à moins de trois kilomètres de Jérusalem. Comme Béthanie équivaut pratiquement au mont des Oliviers, on peut déduire une remarque théologique de la précision topographique. Deux textes de l'Ancien Testament font mention de « la montagne qui se trouve à l'orient de la ville » (Ezéchiel, XI 22-23), c'est-à-dire le Mont des Oliviers (Zacharie, XIV 4). Chez le prophète Ezéchiel, la gloire de Yahvé abandonne le Temple profané et voué à la destruction, pour aller se poser sur la montagne à l’orient de la ville. Chez le prophète Zacharie, à la fin des temps, lorsque Yahvé sortira pour le combat et le jugement eschatologiques, « ses pieds se poseront sur le Mont des Oliviers. » Ainsi le Mont des Oliviers est-il le lieu du départ et de la venue glorieuse de Yahvé. En transférant ce qui est dit de Yahvé à Jésus qui s'en va et qui viendra, saint Luc fait une profession de foi en la divinité de Jésus. (Source)

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    L'Ascension - Icône du monastère de Neamt, Roumanie
    Icône de l'Archimandrite Vartolomeu Florea avec les disciples de l'Ermitage, Année 2001
     
    Méditations sur l'Ascension précédemment proposées notre site internet :

    02 juin 2011 : Saint Augustin (354-430)

    17 mai 2012 : Dom Prosper Guéranger (1805-1875)

    09 mai 2013 : Mgr Raymond Bouchex (1927-2010)

    29 mai 2014 : Bx John Henry Newman (1801-1890)

    14 mai 2015 : Abbé André-Jean-Marie Hamon (1795-1874)

    05 mai 2016 : Les Bénédictins de l'Abbaye de Notre-Dame d'Einsiedeln (1936)

    25 mai 2017 : Père Alphonse de la Mère des Douleurs (1917)

    10 mai 2018 : Mgr Raymond Bouchex (1927-2010)
  • Méditation - Rameaux

    « La Semaine Sainte s'ouvre par l'évocation de l'entrée triomphale du Seigneur à Jérusalem, le dimanche précédent sa Passion. Jésus, qui s'était toujours opposé à toute manifestation publique et avait fui lorsque le peuple voulait le faire roi (cf. Jn VI, 15), se laisse porter aujourd'hui en triomphe. Ce n'est que maintenant, sur le point de mourir, qu'Il accepte d'être acclamé publiquement comme Messie, précisément parce que c'est en mourant sur la croix qu'Il sera, dans toute sa plénitude, Messie, Rédempteur, Roi, Vainqueur. Il accepte d'être reconnu comme Roi, mais un Roi qui règnera par la Croix, qui triomphera et vaincra par la mort sur la Croix. La même foule exultante, qui L'acclame aujourd'hui, Le maudira dans peu de jours et Le conduira au Calvaire ; ainsi, le triomphe d'aujourd'hui donnera plus de publicité et de relief à la Passion de demain.

    Jésus entre triomphant dans la cité sainte, mais c'est pour y souffrir, pour mourir. D'où la double signification de la Procession des Rameaux : il ne s'agit pas seulement d'accompagner Jésus en triomphe, mais de Le suivre dans sa Passion, prêts à la partager avec Lui en cherchant - selon l'exhortation de Saint Paul (Ph II, 5-11) - à nous assimiler ses sentiments d'humilité et d'immolation totale qui doivent nous conduire, comme Lui et avec Lui, « jusqu'à la mort, et la mort sur une croix ». Les rameaux bénis que le prêtre nous remet aujourd'hui, n'ont pas seulement une signification de fête ; ils désignent aussi « la victoire que Jésus va remporter sur le prince de la mort » (Missel Romain). Ils doivent donc signifier également notre victoire ; nous devons mériter, nous aussi, la palme de la victoire, surtout en surmontant le mal qui est en nous, dans nos tendances mauvaises, et puis le mal qui rôde en dehors de nous. En recevant le rameau bénit, renouvelons notre promesse de vouloir vaincre avec Jésus, et n'oublions pas que c'est sur la Croix qu'Il a vaincu. »

    Colloque

    « Même si nous résistons à la grâce, ô Jésus, Vous demeurez à jamais le Vainqueur ; votre victoire sur le prince des ténèbres a été complète et l'humanité a été sauvée et rachetée en Vous. Vous êtes le bon Pasteur qui connaît et aime chacune de ses brebis et veut les porter toutes en lieu sûr. Votre Coeur très aimant ne se contente pas d'avoir mérité le salut pour tout le troupeau, Il désire ardemment que chaque brebis profite de ce salut... Ô Seigneur, donnez-nous donc cette bonne volonté capable d'accueillir votre don, votre grâce ; faites que votre Passion ne soit pas vaine pour nous. »

    P. Bruno Vercruysse s.j., Nouvelles méditations pratiques pour tous les jours de l'année Tome I (Dimanche des Rameaux), Braine-le-Comte - Paris, Charles Lelong - Jouby et Roger, 1874.

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    Méditations sur les Rameaux précédemment proposées ici :

    2011 : L'Imitation de Jésus-Christ (sur notre site)

    2012 : Les Bénédictins de l'Abbaye de Notre-Dame d'Einsiedein

    2013 : Abbé André-Jean-Marie Hamon (1795-1874)

    2014 : Dom Eugène Vandeur (1875-1967)

    2015 : Vénérable Léon Dehon (1843-1925)

    2016 : Cardinal César-Guillaume de La Luzerne (1738-1821)

    2017 : Père Alphonse de la Mère des Douleurs

    2018 : Pierre Gallwey s.j. (1821-1906)
  • Salve Regina (Manuscrit du Saint Sépulcre de Jérusalem)

    Ensemble Organum - Marcel Pérès
     
    Extrait du Manuscrit du Saint Sépulcre de Jérusalem, du XIIe siècle. Acheté par le Duc d'Aumale à la fin du XIXe siècle et conservé au château de Chantilly, c'est le plus ancien manuscrit musical des Templiers.
  • Rameaux - « Ce peuple m'honore des lèvres ; mais son coeur est loin de moi. » (Mt XV, 8)

    « Une grande multitude de peuple étendit ses vêtements sur le chemin ; d'autres coupaient des branches d'arbres, et les jetaient sur son passage. Tous ceux qui le précédaient et qui le suivaient criaient : Hosanna au fils de David ; béni soit celui qui vient au nom du Seigneur (1) ; hosanna au plus haut des cieux.
    Cependant Jésus n'ignorait pas ce qu'il fallait penser de la solidité de cette multitude, ni comment finirait cette allégresse publique. Dans la foule, parmi ceux-là mêmes qui criaient : Hosanna ! Salut et gloire au fils de David, se trouvaient ceux qui devaient cinq jours plus tard, crier : Crucifiez-le
    Approchant de Jérusalem, Jésus pleura (2).
    A l'occasion de cette solennité et de l'infidélité du peuple juif, saint Jean de la Croix nous enseigne les dispositions avec lesquelles il faut célébrer les fêtes chrétiennes.

    Le but des lieux consacrés à la prière et des fêtes chrétiennes, est de conduire l'âme à Dieu. Si, dans les solennités chrétiennes, votre culte extérieur captive vos sens au point d'entraver votre ascension vers Dieu, et de vous empêcher de l'aimer et d'oublier tout le reste pour son amour ; si vous sacrifiez ce devoir à votre attrait, non seulement le Seigneur n'agréera pas vos dévotions, mais il vous châtiera pour n'avoir pas préféré en ceci, comme en toutes choses, son bon plaisir au vôtre.
    Le récit de l'entrée triomphale de Notre Seigneur à Jérusalem vient à l'appui de ce que nous disons. Tandis que le peuple le recevait avec des palmes et au milieu des chants, le divin Rédempteur pleurait. Ce qui faisait le sujet de ses larmes, c'était de distinguer dans cette foule tant de cœurs éloignés de lui, et qui croyaient acquitter leur dette de reconnaissance par ces signes et ces démonstrations extérieures. C'étaient eux-mêmes et non pas le Seigneur que fêtaient ces Juifs ingrats.

    N'est-ce pas là ce qui se passe souvent de nos jours, lorsqu'on célèbre quelque solennité ? On y voit accourir les multitudes ; néanmoins le plus grand nombre s'y porte, non pas en vue de la gloire de Dieu, mais pour le plaisir de voir, d'être vu, de faire bonne chère, ou encore pour d'autres motifs de respect humain. Des tendances et des intentions si grossières déplaisent au Seigneur, surtout si on mêle à ces fêtes des choses profanes et ridicules, propres à exciter la critique des assistants et à les distraire. D'autres personnes cherchent à déployer la magnificence de leurs décorations, plutôt dans le but de plaire et d'attirer les regards, que pour inspirer la piété. Et que dire de tant d'autres vues intéressées qu'on apporte à ces assemblées ? Ces gens-là ont l'oeil de la convoitise bien plus ouvert sur leur propre gain que sur les intérêts du Seigneur. Ils n'ignorent pas le manque de droiture, et Dieu, qui les voit, le connaît mieux encore.

    Quoiqu'il en soit de la diversité des intentions, de tels abus prouvent bien qu'ils se fêtent eux-mêmes, plutôt qu'ils ne fêtent Dieu. Ce que l'on fait pour sa propre satisfaction ou pour plaire au monde, Dieu ne le regarde pas comme fait à lui-même. Parmi ceux qui se sont réjouis de participer aux pieuses solennités, beaucoup auront attiré la juste colère du Seigneur.

    (St Jean de la Croix, Montée du Carmel, Liv. III, Chap. XXXVII)

    ô Seigneur, mon Dieu, que de fêtes vous font les enfants des hommes où le démon a sa part, et où vous ne trouvez pas la vôtre ! Combien ce malin esprit se sent à l'aise dans de pareilles solennités, où semblable à un avide marchand, il recueille avec une ruse infernale d'immenses profits ! Que de fois, Seigneur, pourriez-vous dire dans ces occasions : Ce peuple m'honore des lèvres ; mais son cœur est loin de moi (3), c'est-à-dire son culte est dénué de fondement. Dieu veut être servi pour lui-même et pour ses perfections infinies, et ne saurait permettre qu'on y mêle d'autres fins indignes de lui.
    Eclairez-moi intérieurement, ô bon Jésus ! Faites luire votre lumière dans mon cœur, et dissipez toutes ses ténèbres. Envoyez votre lumière et votre vérité (4), pour qu'elles luisent sur la terre : car je ne suis qu'une terre stérile et ténébreuse, jusqu'à ce que vous m'éclairiez.
    Enlevez-moi, détachez-moi de toutes les fugitives consolations des créatures : car nul objet créé ne peut satisfaire ni rassasier pleinement mon cœur.
    Unissez-moi à vous par l'indissoluble lien de l'amour : car vous suffisez seul à celui qui vous aime, et tout le reste sans vous n'est rien. »

    1. Matth. XXI, 9. - 2. Luc, XIX, 4. - 3. Matth. XV, 8. - 4. Ps. XLII, 3.

    Père Alphonse de la Mère des Douleurs, Pratique journalière de l'oraison et de la contemplation divine d'après la méthode de Sainte Thérèse et de Saint Jean de la Croix, Tome II (Dimanche des Rameaux), Desclée de Brouwer & Cie, Lille - Paris - Bruges, 1917.

    C'est avec les méditations du P. Alphonse de la Mère des Douleurs et du P. Gabriel de Ste Marie-Madeleine que nous vivrons ces derniers jours avant Pâques. Nous les retrouverons également pour quelques dimanches du Temps pascal.

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    James Tissot (1836-1902) : Le cortège dans les rues de Jérusalem
    (Photo: Brooklyn Museum)

  • Samedi 18 mars 2017

    Samedi de la 2ème semaine de Carême
     
    St Cyrille de Jérusalem, évêque et docteur de l’Église

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  • Office des Ténèbres du Samedi Saint - Premier nocturne, 2e Répons "Ierusalem"

    Abbaye de Solesmnes

    Ierusalem, surge, et exue te vestibus iucunditatis : induere te cinere et cilicio, * Quia in te occisus est Salvator Israel. V/. Deduc quasi torrentem lacrimas per diem et noctem, et non taceat pupilla oculi tui. Quia in te occisus est Salvator Israel.

    Jérusalem, lève-toi et enlève tes vêtements de joie ; couvre-toi de cendre et du cilice, * Car chez toi le Sauveur d'Israël a été mis à mort. V/. Verse des torrents de larmes, jour et nuit, et que la prunelle de tes yeux ne se repose pas. * Car chez toi le Sauveur d'Israël a été mis à mort.

  • Méditation : "montons avec Jésus-Christ à Jérusalem"

    « Mes frères, si Dieu nous aime, croyez qu'il ne permet pas que nous dormions à notre aise dans ce lieu d'exil. Il nous trouve dans nos vains divertissements, il interrompt le cours de nos imaginaires félicités, de peur que nous ne nous laissions entraîner aux fleuves de Babylone, c'est-à-dire au courant des plaisirs qui passent. Croyez donc très certainement, ô enfants de la nouvelle alliance, que lorsque Dieu vous envoie des afflictions, c'est qu'il veut briser les liens qui vous tenaient attachés au monde, et vous rappeler à votre patrie. Ce soldat est trop lâche qui veut toujours être à l'ombre, et c'est être trop délicat que de vouloir vivre à son aise et en ce monde et en l'autre. Il est écrit : « Malheur à vous qui riez, car vous pleurerez un jour (1). » Ne t'étonne donc pas, chrétien, si Jésus-Christ te donne part à ses souffrances, afin de t'en donner à sa gloire, et s'il te fait sentir les piqûres de tant d'épines qui percent sa tête. Est-ce être maltraité, que d'être traité comme Jésus-Christ ? Est-ce être maltraité que d'être inquiété où le plus grand malheur c'est d'être en repos ?

    Par conséquent, chrétiens, montons avec Jésus-Christ en Jérusalem : prenons part à ses opprobres et à ses souffrances, buvons avec lui le calice de sa passion. La matière ne manquera pas à la patience. La nature a assez d'infirmités, le monde assez d'injustices, ses affaires assez d'épines, ses faveurs assez d'inconstances, ses rebuts assez d'amertumes, ses engagements les plus agréables assez de captivités ; il y a assez de bizarreries dans le jugement des hommes, et assez d'inégalités, de contrariétés dans leurs humeurs. Ainsi, de quelque côté et par quelque main que la croix de Jésus-Christ nous soit présentée, embrassons-la avec joie, et portons-la du moins avec patience. « Regardez, dit le saint Apôtre, Jésus-Christ qui nous a donné et qui couronne notre foi. Songez que la joie lui étant offerte, il a préféré la croix, il a choisi la confusion ; et maintenant il est assis glorieux à la droite de son Père (2a) ». Voici une perte de biens, une insulte, une contrariété, une maladie : « Pensez donc sérieusement à celui qui a souffert une si horrible persécution par la malice des pécheurs, afin que votre courage ne défaille pas, et que votre espérance demeure ferme » : Ut ne fatigemini animis vestris deficientes (2b). »

    1. Luc., VI, 25. — 2a. Hebr., XII, 2. — 2b. Hebr., XII, 3.

    Bossuet, Premier Sermon pour le dimanche de la Quinquagésime (Second point), in "Œuvres" Tome XII, Versailles, 1816.

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    James Tissot (1836–1902), Jésus monte à Jérusalem
    Brooklyn Museum, NY (USA)
    (crédit photo)

  • Méditation : La Jérusalem d'en haut

    « Mes frères, rappelez-vous les fêtes de nos martyrs ou bien les sanctuaires où la foule se rassemble en certaines occasions. Rappelez-vous la ferveur du peuple et ses cris : en route, disent-ils, en route. Où irons-nous ? demandent les uns, et les autres répondent : nous irons en tel lieu, tel sanctuaire. Tous parlent, tous brûlent, et semblent ne former qu'une flamme. Ce feu unique, nourri par leurs paroles et leur foi, ce feu les entraîne vers un lieu de la terre ; mais comment décrire l'amour qui emporte au ciel ceux qui d'une même voix, s'écrient : Nous irons dans la maison du Seigneur (1) ?
    Courons, courons. Nous irons dans la maison du Seigneur. Courons, sans nous lasser : là-bas, il n'est plus de lassitude. Courons vers la maison du Seigneur, et tressaillons d'allégresse avec ceux qui nous ont appelés, qui les premiers, ont contemplé notre patrie : Nous irons dans la maison du Seigneur, crient-ils de loin à ceux qui les suivent. Marchez, courez, même. Les apôtres ont vu cette maison, et nous hèlent : marchez, suivez-nous. Nous irons dans la maison du Seigneur.
    Que répond chacun de nous ? Les paroles entendues m'ont fait tressaillir : Nous irons dans la maison du Seigneur. Prophètes et apôtres m'ont fait tressaillir ; tous m'ont dit : Nous irons dans la maison du Seigneur. »

    1. Psaume 122 (121), 1.

    St Augustin, Commentaire du Psaume 121 (2), Trad. F. Quéré-Jaulmes (P.L. 36, 1618-1629), in Les Chemins vers Dieu, Coll. Lettres chrétiennes N°11, Le Centurion / Grasset, Paris, 1967.

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    Icône de St André (Bulgarie)

  • Le Pape François appelle le Synode à la prière pour le Moyen-Orient

    A l’ouverture des travaux ce vendredi en salle du Synode, le Pape a invité les participants de l’Assemblée synodale dédiée la famille à prier pour la réconciliation et la paix au Moyen-Orient. Au nom de tous, le Pape a exprimé sa « douleur » et « sa profonde préoccupation » au regard des événements en cours en Syrie, en Irak, à Jérusalem et en Cisjordanie « où nous assistons à une escalade de violence qui implique une fois de plus des civils, des innocents, et continue d’alimenter une crise humanitaire d’une ampleur énorme ».

    « La guerre conduit à la destruction ; elle décuple la souffrance des populations. L’espérance et le progrès ne sont engendrés que par des choix de paix » a rappelé le Saint-Père qui a ainsi invité à une prière « intense et confiante » : « Unissons nous pour prier le Seigneur et exprimer notre solidarité avec les prélats présents au Synode qui viennent de ce régions, et à travers eux aux populations locales touchées ».

    Le Pape a également souhaité que cette prière soit dédiée aux zones d’Afrique qui subissent des conflits analogues. Il se rendra sur le continent africain au Kenya, en Ouganda et en Centrafrique du 25 au 30 novembre prochain.

    Ce vendredi, les premiers travaux effectués au sein des treize groupes linguistiques sont présentés par les rapporteurs de chacun des cercles mineurs, lors de cette quatrième Congrégation générale dans la salle du Synode.

    Source : Vatican Information Service - Radio Vatican.

    Texte intégral original en italien en Salle de Presse du Saint-Siège.

  • Méditation : Dimanche des Rameaux et de la Passion

    « Jésus était à la veille de sa passion, les démonstrations des Juifs ne le trompaient pas. Son Cœur était ulcéré. En approchant de la ville, il s'arrêta un instant et se prit à pleurer : « O Jérusalem, dit-il, si tu comprenais tout le bien que je te veux ! Si tu acquiesçais à la paix que je t'apporte ! Mais non, tu vas bientôt m'obliger à te frapper et à punir ton ingratitude ! »
    Ces paroles m'émotionnent profondément. Notre-Seigneur ne pensait pas seulement à Jérusalem, mais à toutes les âmes ingrates, à la mienne même. « Si tu comprenais tout le bien que je te veux ! me disait-il ; si tu acquiesçais à la paix que je t'apporte ! »
    Mais hélas ! je ne comprends pas toujours, je ne comprends pas souvent. Notre-Seigneur m'apporte la paix, mais je garde le trouble parce que je n'ai pas le courage de me vaincre et de briser entièrement avec mes inclinations mauvaises.
    Notre-Seigneur me répète ses avertissements de bien des manières, par les impressions de sa grâce, par mes oraisons, mes retraites, par maintes lectures et réflexions, par des épreuves aussi et des châtiments.
    Vais-je enfin comprendre son amour ?
    Ses larmes vont-elles me toucher ? Si j'avais la foi de Marguerite-Marie, je verrais les larmes du Bon Maître ! Je puis me les représenter. Je sais qu'il est impassible au ciel, mais il pleurerait encore à mon sujet, s'il pouvait pleurer.

    Résolutions - Deux pensées me saisissent aujourd'hui. Je dois recevoir plus dignement Notre-Seigneur dans la sainte communion. Je dois le louer de tout cœur, l'honorer et mettre à ses pieds le manteau de mes habitudes défectueuses. En second lieu, je sens le besoin de pleurer avec Notre-Seigneur, de compatir à la tristesse de son Cœur, et aux larmes qu'il verse sur mon ingratitude. »

    Vénérable Léon Dehon (1843-1925), L'année avec le Sacré-Cœur, Tome I (Lundi Saint), Établissements Casterman, Tournai - Paris, s.d. (1909).

    NB : Nous vivrons cette Semaine Sainte avec les méditations appropriées du vénérable P. Dehon, et le divin Cœur de notre Sauveur.

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  • Audience générale de ce mercredi 19 novembre 2014

    Pour la catéchèse de l'audience générale de ce mercredi, le Pape a tenu à nous parler de la sainteté et des manières de la vivre au quotidien, par notre témoignage chrétien dans les petits gestes de la vie.

    Etre saint ne consiste pas à « fermer les yeux et prendre une tête comme sur les images pieuses ». Pour être saints « il ne faut pas obligatoirement être évêques, prêtres ou religieux », « la sainteté n’est pas seulement réservée à ceux qui ont la possibilité de se détacher des tâches quotidiennes pour se consacrer seulement à la prière ». Mais « c’est plutôt en offrant notre propre témoignage chrétien que nous sommes appelés à devenir des saints », et « être saints ne peut se faire sans la joie ». Voilà en résumé ce que le Pape François a souligné dans la catéchèse de ce mercredi en présence de quelques 15.000 personnes.

    « Et si l’on est parent ou grands-parents, être saints en enseignant la foi et la vie aux enfants et petits-enfants ». « Il faut tellement de patience pour cette tâche, pour être de bons parents, pour être de bons grands-parents, et c’est dans cette patience que naît la sainteté ».  Le Pape recommandait encore la patience si « le soir ton fils ou ta fille te demande de discuter de ses problèmes, et que tu te sens fatigué, que tu n’as pas envie de l’écouter, au contraire, assieds-toi, prends le temps de l’écouter, et en l’écoutant tu auras fait un pas vers la sainteté ». Au nombre des petits pas vers la sainteté, le Pape François a également pris l’exemple d’une femme qui « va au marché faire les courses, rencontre ses amies, et puis voilà qu’on en arrive aux commérages ». Si « cette femme refuse alors de céder à la tentation de mal parler des autres, voilà encore un pas vers la sainteté ».

    « La sainteté n’est pas une chose qu’on se procure soi-même ; elle est avant tout un don que le Seigneur nous fait lorsqu’il nous prend avec Lui et nous rend semblable à Lui. Elle est un don offert à tous, qui constitue le caractère distinctif du chrétien. C’est en vivant les activités de tous les jours avec amour que nous sommes appelés à devenir saints, quelque soit notre condition : personne mariée ou célibataire, parents ou grand parents, personne consacrée... Tout état de vie nous porte à la sainteté si nous le vivons en communion avec le Seigneur et au service des frères. L’appel de Dieu à la sainteté est une invitation à vivre et à Lui offrir chaque moment de notre existence avec joie, en en faisant un don d’amour pour les personnes qui nous entourent. »

    Source : Radio Vatican.

    Le Pape François a lancé un nouvel appel pour la paix à Jérusalem et en Terre Sainte, suite à l'attentat meurtrier contre une synagogue de Jérusalem qui a tué cinq israéliens.

    « Je suis avec préoccupation l’alarmante augmentation de la tension à Jérusalem et dans d’autres endroits de Terre Sainte, avec des épisodes inacceptables de violences qui n’épargnent pas même les lieux de culte » Et le Pape d’ajouter : « J’adresse une prière particulière pour toutes les victimes de cette situation dramatique et pour tous ceux qui en subissent les conséquences ».

    « Du plus profond du coeur, déclarait encore le Pape en référence à l’attentat contre la synagogue de Jérusalem, j’adresse aux parties impliquées un appel afin que l’on mette fin à la spirale de haine et de violence et pour qu’ils prennent des décisions courageuses pour la réconciliation et la paix. Construire la paix est une tâche difficile, mais vivre sans paix est un tourment. »

    Source : Radio Vatican.

    Résumé :

    « Frères et sœurs, tous les baptisés ont une égale dignité devant Dieu, et tous sont appelés à la sainteté. La sainteté n’est pas une chose qu’on se procure soi-même ; elle est avant tout un don que le Seigneur nous fait lorsqu’il nous prend avec Lui et nous rend semblable à Lui. Elle est un don offert à tous, qui constitue le caractère distinctif du chrétien. C’est en vivant les activités de tous les jours avec amour que nous sommes appelés à devenir saints, quelque soit notre condition : personne mariée ou célibataire, parents ou grand parents, personne consacrée... Tout état de vie nous porte à la sainteté si nous le vivons en communion avec le Seigneur et au service des frères. L’appel de Dieu à la sainteté est une invitation à vivre et à lui offrir chaque moment de notre existence avec joie, en en faisant un don d’amour pour les personnes qui nous entourent. »

    « Je salue bien cordialement les pèlerins de langue française, en particulier les personnes venant de France et du Cameroun.
    J’invite chacun d’entre vous à s’interroger sur la manière dont il a déjà répondu à l’appel du Seigneur à la sainteté. Accueillons-le avec joie et soutenons-nous les uns les autres sur ce chemin.
    Bon pèlerinage ! »

    Source : site internet du Vatican.

    Texte intégral en italien sur le site internet du Vatican.

  • Mercredi 29 octobre 2014

    Calendrier liturgique

  • Mardi 28 octobre 2014

    Sts Simon et Jude, apôtres

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    Sts Simon (le Zélote) et Jude (Thaddée)

    Catéchèse de Benoît XVI sur Simon le Cananéen et Jude Thaddée
    (Audience générale du 11 octobre 2006)

  • Mercredi 22 octobre 2014

    de la férie

    ou St Jean-Paul II, pape

    Calendrier liturgique

  • Jeudi 09 octobre 2014

    St Denis et comp., martyrs

    ou St Jean Léonardi, confesseur et fondateur

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    St Denis, martyr
    Ebrasement gauche du portail de la Vierge, façade ouest de Notre Dame de Paris
    (Source et crédit photo)

    NB : depuis l’inscription au calendrier de St Jean Léonardi en 1940, St Denis et ses compagnons ne sont plus que commémorés dans l’Église universelle.
    Mais en France, la fête de St Denis l’emporte sur celle de St Jean Léonardi.

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    St Jean Léonardi, confesseur
    Fondateur des Clercs réguliers de la Mère de Dieu (1574)
    (Source et crédit photo)

    Catéchèse de Benoît XVI (audience générale du 7 octobre 2009) sur St Jean Léonardi

     Calendrier liturgique

  • Samedi 13 septembre 2014

    St Jean Chrysostome, évêque et docteur de l’Église

    Calendrier liturgique