les marches
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Mercredi 26 novembre 2014
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Mercredi 22 octobre 2014
de la férie
ou St Jean-Paul II, pape
Calendrier liturgique -
Dimanche 12 octobre 2014
28e Dimanche du Temps Ordinaire
(Calendrier traditionnel : 18ème Dimanche après la Pentecôte)
Calendrier liturgique -
Samedi 27 septembre 2014
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Mercredi 24 septembre 2014
Notre-Dame des Grâces - Notre-Dame de la Merci
Au temps où d’innombrables fidèles étaient détenus misérablement sous la cruelle servitude des Sarrasins, au risque de perdre le salut éternel, la bienheureuse Vierge Marie, apparaissait la nuit à saint Pierre Nolasque, au bienheureux Raymond de Pennafort et à Jacques, roi d’Aragon, leur dit qu’il serait très agréable à son Fils unique et à elle-même, si l’on fondait en son honneur un Ordre religieux chargé d’arracher les captifs à la tyrannie des Turcs. C’est pourquoi, après avoir conféré entre eux et s’être mis tous d’accord, ils entreprirent de fonder un institut en l’honneur de la Vierge Mère, sous le vocable de sainte Marie de la Merci, de la rédemption des captifs. Les associés s’engageaient par un quatrième vœu à demeurer comme otages au pouvoir des païens, s’il en était besoin pour la délivrance des chrétiens. Le roi lui-même leur permit de porter ses propres armes sur la poitrine et veilla à ce que l’institut d’une si éminente charité fût approuvé par Grégoire IX. Afin de rendre à Dieu et à la Vierge Mère de dignes actions de grâces pour un si grand bienfait et pour cette institution, le siège apostolique accorda la célébration de cette fête particulière.
(Fête instituée en 1696 - Leçon du Bréviaire Romain)(Mercredi des Quatre-Temps d’automne, jour de jeûne et d’abstinence)
Historique et actualité des Quatre-Temps
[La Liturgie de l'Église romaine, J. A. Jungmann, S.J., 1957, & Cæremoniale episcoporum, 1984]
Calendrier liturgique -
Mardi 23 septembre 2014
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Mercredi 10 septembre 2014
St Nicolas de Tolentino, prêtre et confesseur
Tableau de Miguel del Prado
Musée des Beaux Arts, Valence (Espagne)
(Source et crédit photo) -
Mardi 02 septembre 2014
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Mardi 05 août 2014
Dédicace de la basilique Sainte-Marie-Majeure
(Ste Marie aux Neiges)Icône "Salus Populi Romani", d'après la sainte image vénérée à Sainte Marie Majeure
(Source et crédit photo) -
Jeudi 19 juin 2014
Calendrier liturgique
(Solennité du Très Saint Sacrement : ce dimanche en France) -
Dimanche 11 mai 2014
4ème Dimanche de Pâques
(Calendrier traditionnel : 3ème Dimanche après Pâques
En France : Solennité de Ste Jeanne d’Arc, Mémoire du Dimanche)
Calendrier liturgique -
Mercredi 30 avril 2014
St Pie V, pape
(au calendrier traditionnel : Ste Catherine de Sienne)
Calendrier liturgique -
Samedi 12 avril 2014
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Samedi 22 mars 2014
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Jeudi 13 mars 2014
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Samedi 11 janvier 2014
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Mercredi 25 décembre 2013
Nativité de Notre Seigneur
Calendrier liturgique« La date historique de la nativité temporelle du Sauveur étant inconnue dans les premiers temps, une antique tradition, inaugurée peut-être au début du IIe siècle, célébrait les diverses théophanies du Christ dans sa nature mortelle, c’est-à-dire sa naissance, sa manifestation aux Mages et son baptême dans le Jourdain, peu après le solstice d’hiver, dans les dix premiers jours de janvier. Cette date conventionnelle avait déjà trouvé crédit dans toutes les Églises, quand, on ne sait comment, Rome dédoubla pour son compte la fête des Théophanies, anticipant au 25 décembre l’anniversaire de la naissance temporelle du Sauveur.
Quand et comment l’Église-mère arriva-t-elle à établir cette date ? Nous l’ignorons, puisque, sauf un texte très douteux du commentaire d’Hippolyte sur Daniel, le plus ancien document qui fixe Noël au 25 décembre est le calendrier philocalien de 336, qui porte cette indication : VIII Kal. ian. natus Christus in Betleem Iudee. Évidemment, le chronographe n’annonce rien de nouveau, mais il se fait l’écho de la tradition romaine antérieure, qui, dans le Liber Pontificalis prétend remonter jusqu’au pape Télesphore. Dans le discours fait à Saint-Pierre par le pape Libère donnant, le jour de Noël, le voile des vierges à Marcelline, sœur de saint Ambroise, on ne relève aucune allusion à la nouveauté de la fête, mais, au contraire, tout le contexte donne l’impression qu’il s’agit d’une solennité de vieille date, à laquelle le peuple a coutume d’accourir en foule, en vertu d’une ancienne habitude. La fête de Noël fut, au début, propre au siège apostolique. Saint Jean Chrysostome qui l’introduisit à Antioche vers 375, en appelle précisément à l’autorité de la capitale du monde latin, où, à son avis, seraient encore conservés les actes du recensement de Quirinus, avec la date précise de la naissance du Christ à Bethléem le 25 décembre. D’Antioche, la fête passa à Constantinople. Sous l’évêque Juvénal, entre 424 et 458, elle fut introduite à Jérusalem, puis, vers 430, fut admise à Alexandrie, et, de ces célèbres sièges patriarcaux, elle se répandit aussi peu à peu dans les diocèses qui en dépendaient. Actuellement, seuls les Arméniens monophysites célèbrent encore la naissance du Christ à sa date primitive, le 6 janvier.
Il ne faut pourtant pas négliger une coïncidence. Le calendrier civil du recueil philocalien note au 25 décembre le Natalis invicti, la naissance du soleil, et cette naissance coïncide justement avec le solstice d’hiver. A l’époque où, grâce aux mystères de Mithra, le culte de l’astre du jour avait pris un tel développement que, au dire de saint Léon, même les fidèles qui fréquentaient la basilique Vaticane, se permettaient d’y pratiquer le rite superstitieux de saluer d’abord, de l’atrium de l’Apôtre, le disque solaire, il n’est pas improbable que le siège apostolique, en anticipant au 25 décembre la naissance du Christ, ait voulu opposer au Sol invictus, Mithra, le vrai Soleil de justice, cherchant ainsi à détourner les fidèles du péril idolâtre des fêtes païennes. Dans une autre occasion, tout à fait semblable, c’est-à-dire pour la fête des Robigalia le 25 avril, Rome adopta une identique mesure de prudence, et, au cortège païen du pont Milvius, elle substitua la procession chrétienne qui parcourait le même trajet. »
Bx Cardinal Schuster (1880-1954), Liber Sacramentorum - Notes historiques et liturgiques sur le Missel Romain, Tome I, Vromant, Bruxelles, 1933. -
Mardi 26 novembre 2013
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Mardi 22 octobre 2013
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Lundi 2 septembre 2013