En certains endroits :
St Pothin de Lyon, évêque et ses comp., martyrs
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En certains endroits :
St Pothin de Lyon, évêque et ses comp., martyrs
St Irénée de Lyon, évêque martyr
(fête avancée au 5 avril au nouveau calendrier)
Au nouveau calendrier :
Fête de St Thomas, apôtre
(le 21 décembre au calendrier traditionnel)
En certains endroits :
St Pothin de Lyon, évêque et ses comp., martyrs
De passage en Europe à l’automne, le Père Matthieu Dauchez donnera une nouvelle conférence sur le thème du Mal : « Mais pourquoi Dieu permet-il cela ? ».
- A Paris le jeudi 29 septembre à 20h30, à l’église Saint Jean Baptiste de Grenelle (15ème).
Contact : Grégory Tertrais iledefrance@anak-tnk.org – Téléchargez le flyer.
- A Lyon le mercredi 12 Octobre à 20h, à l’église Sainte Croix (27 rue de Condé – 69002 Lyon).
Contact : Arnaud du Mesnil est@anak-tnk.org – Téléchargez le flyer.
Mais pourquoi Dieu permet-il cela ? C’est une question qui touche tout le monde sans exception. Que se soit le mal, la souffrance ou la mort, tout homme est confronté à cette question sans réponse. Et lorsqu’il s’agit d’enfants la réflexion prend une dimension terrible et fait ressortir le scandale du Mal de manière bien plus violente. Insupportable. Nombreux sont ceux qui se sont penchés sur cette question, excusant un Dieu de bonté ou condamnant sans appel au contraire un Dieu cruel. Tous se sont confrontés à un mystère insondable.
Et si les enfants, victimes les plus innocentes, nous donnaient eux-mêmes quelques-unes de ses clés ?
(Conférence déconseillée au moins de 12 ans).
Plus d'infos sur : www.anak-tnk.org.
Retrouvez ci-dessous la déclaration du cardinal Philippe Barbarin suite à l’annonce ce jour de l’annulation de l’édition 2015 de la Fête des Lumières à Lyon :
Le Maire et le Préfet de Lyon ont annoncé que la Fête des Lumières ne pourrait se dérouler comme à l’habitude en cette édition 2015, pour des raisons de sécurité.
C’est une décision que nous devinons mûrement réfléchie et difficile à prendre. Il s’agit certainement d’un choix prudent, raisonnable et sage.
Nous regretterons l’absence de ces illuminations dont le caractère populaire n’avait pas effacé les origines et dont le succès avait même enrichi la tradition. Chaque année, nous admirons l’embellissement lumineux des grands monuments de notre ville, et pas seulement celui de nos églises.
En ce 8 décembre 2015, j’appelle les catholiques de notre diocèse à célébrer la fête de l’Immaculée Conception avec une ferveur spéciale, en priant pour la paix et en invoquant la Miséricorde de Dieu sur notre pays et sur notre ville. Nous prierons la Vierge pour qu’elle nous épargne des lèpres modernes de l’idéologie, de la peur et de la guerre.
Les Messes prévues le 8 décembre sont maintenues, sauf avis contraire des services de sécurité. Les curés des paroisses concernées se rencontreront prochainement pour savoir ce qu’il est possible de maintenir ou de proposer, étant donné l’état d’urgence.
Peut-être les missionnaires du 8 auront-ils moins de personnes à accueillir : je les invite à rester disponibles à ceux qui viendront découvrir nos églises et à redoubler dans leurs efforts de prière.
Je me réjouis que la Ville ait choisi de faire distribuer des milliers de lumignons pour que se perpétue la tradition. J’invite les catholiques à se mobiliser généreusement pour leur diffusion.
Quant aux processions du 8 décembre, nous espérons qu’elles pourront avoir lieu, mais nous attendons l’autorisation des services de police. Quelle que soit leur décision, nous suivrons leurs conseils.
En 1852 déjà, des imprévus étaient venus contrarier le déroulement de la fête. Aujourd’hui, nous saurons nous ajuster aux décisions des autorités compétentes. Nous nous associerons de grand cœur aux efforts de la Ville pour rendre hommage à chacune des victimes des attentats de Paris.
Que cette journée si singulière du 8 décembre 2015 reste une fête et nous donne de redécouvrir ce qui fait le ciment de notre société, d’en consolider les fondements et de célébrer, différemment et sobrement, en levant nos yeux vers Notre-Dame de Fourvière.
Chers Lyonnais, je vous invite à regarder la plus belle lumière qui soit : la lumière intérieure. Et celle que vous poserez à votre fenêtre !
Cardinal Philippe Barbarin
Archevêque de Lyon
Source : lyon.catholique.fr
Mémoire des Sts Marcellin, Pierre et Erasme, martyrs
En certains endroits : St Pothin de Lyon, évêque, et ses comp. martyrs
« J’ai aimé Jésus Christ plus que tout sur la terre, et pour l’amour de Lui, j’ai aimé plus que moi-même tous ceux qui étaient dans le travail ou la douleur »
Afin de recueillir des témoignages de guérisons obtenus par l’intercession de Pauline Jaricot, fondatrice des Œuvres pontificales missionnaires (OPM), en vue de son procès de béatification, un site web est lancé en six langues.
C’est le cardinal Fernando Filoni, préfet de la Congrégation pour l’évangélisation des peuples, qui viendra inaugurer officiellement le site web international lancé par « Les Amis de Pauline Jaricot », samedi 25 avril, dans la paroisse Saint-Nizier à Lyon, où est inhumée Pauline Jaricot. Ce site en six langues vise à recueillir des témoignages de grâces, de guérisons ou de miracles obtenus par l’intercession de la fondatrice des Œuvres pontificales missionnaires, dans le cadre de son procès en béatification.
Prière pour la béatification de Pauline Jaricot
Seigneur,
Tu as inspiré à Pauline-Marie Jaricot,
la fondation de la propagation de la foi
et du Rosaire Vivant
ainsi que son total engagement
pour le monde ouvrier.
Daigne hâter le jour où l’Église
pourra célébrer la sainteté de sa vie.
Fais que son exemple
entraîne un plus grand nombre de
chrétiens à se dépenser pour l’Évangile,
afin que les hommes et les femmes
de notre temps et tous les peuples
découvrent ton Amour infini,
manifesté en Jésus Christ Notre Seigneur,
qui vit et règne avec Toi dans l’unité
du Saint Esprit pour les siècles des siècles.
Amen.
Le Cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon, a entamé vendredi soir une visite de trois jours à Erbil, au Kurdistan irakien, accompagné d’une délégation de près de 100 personnes : religieux et religieuses, entrepreneurs, élus de la région et de la ville de Lyon, mais aussi journalistes. Un déplacement, en signe de solidarité avec les réfugiés irakiens, qui constitue une nouvelle étape dans le jumelage initié en juillet dernier entre le diocèse de Lyon et celui de Mossoul.
Une initiative baptisée « ErbiLight » pour passer la traditionnelle fête des Lumières avec les chrétiens d’Irak chassés de chez eux. La matinée de ce samedi a été consacrée à la visite de trois camps de réfugiés avec lesquels plusieurs membres de la délégation ont partagé un déjeuner. Un moment particulièrement intense et émouvant suivi dans l’après-midi d’une messe en français et en araméen, et d’une grande procession dans un quartier chrétien d'Erbil. C’est à l’issue de la célébration qu’un message vidéo du Pape a été diffusé.
Texte intégral du message :
33e Dimanche du Temps Ordinaire
(Calendrier traditionnel : 23ème Dimanche après la Pentecôte)
Calendrier liturgique
St Martin, évêque et confesseur
Simone Martini (1284-1344), Fresque "Partage du manteau"
Chapelle de Saint Martin, église St François d'Assise à Assise
Ste Thérèse d'Avila, vierge, docteur de l’Église
Tableau de José de Ribera (1591-1652)
Musée des Beaux-Arts, Valence (Espagne)
Catéchèse de Benoît XVI sur Ste Thérèse de Jésus (Audience générale du mercredi 2 février 2011)
St Calixte Ier, pape et martyr
Saint Calixte instituant les jeûnes. Vies de Saints. XIVe.
Déposition (détail), Rogier van der Weyden (1399/1400–1464)
(Source et crédit photo)
L'Institut du Genre (fondé en 2012) vient d'organiser à l’École Normale Supérieure de Lyon le 1er Congrès "Études de Genre" en France. Il s'est déroulé du 3 au 5 septembre derniers.
Peut-être faudrait-il en avertir Mme Najat Vallaud-Belkacem, ainsi que tous les medias qui ne cessent de seriner aujourd'hui encore que la "théorie du genre" n'existe pas...
Nous attendons avec impatience les comptes rendus de ce Congrès, qui seront certainement du plus haut intérêt pour ce qui concerne les orientations nouvelles permettant le passage de la théorie à la pratique...
http://www.mshparisnord.fr/gis-institut-genre/
http://genrelyon2014.sciencesconf.org/
mercredi 10 septembre 2014, par
Du 3 au 5 septembre 2014, à l’École Normale Supérieure de Lyon, se tenait le premier congrès des Études de Genre en France. Réunissant 300 intervenants répartis en 54 ateliers, l’événement voulait apporter la « démonstration de l’importance scientifique, de la vitalité et de la diversité des études de genre en France et dans le monde francophone, en dressant le tableau le plus complet possible des recherches menées actuellement dans ce domaine. » [1] Un sympathisant du collectif « Stop Gender », jeune étudiant que nous appellerons Louis, a réussi à assister à une demi journée. Les lignes qui suivent sont la stricte reproduction des propos de ce dernier.
Tout d’abord, dites-nous qui vous êtes et pourquoi vous avez voulu vous rendre au colloque sur le Genre à L’ENS de Lyon.
Je m’appelle Louis, j’ai 21 ans et je suis étudiant en sciences politiques à Lyon. Au travers de mes études qui accordent une place importante à la sociologie et de mes engagements personnels, la notion de genre ne m’est pas inconnue et la tenue de ce Congrès m’intriguait. Si le genre fait l’objet d’études scientifiques depuis une cinquantaine d’années, ce sujet complexe ne s’est fait connaître du grand public qu’il y a peu, suscitant à la fois espoir chez certains et craintes chez d’autres. C’est donc la curiosité qui m’a poussé au premier Congrès des études de Genre en France à Lyon, auquel je me suis rendu avec une amie, dans l’espoir d’assister à des interventions constructives.
L’accès au colloque était-il facile ? Comment avez-vous été accueillis tous les deux ?
Les inscriptions au congrès étant closes depuis plusieurs mois, je craignais de ne pouvoir assister à aucune des conférences programmées. A l’accueil, on m’a simplement demandé en quoi mes études pouvaient justifier ma présence. Puis, on m’a fait patienter jusqu’au début de l’atelier auquel je souhaitais participer, pour s’assurer que ma venue n’empêche aucun auditeur inscrit d’avoir un siège. Puisqu’un tiers des places environ n’était pas occupé, j’ai pu m’installer.
Quels sont les propos entendus qui vous ont le plus frappé ?
Je n’ai pu assister qu’à un atelier, qui avait pour thème "Introduire le genre en éducation". Des professeurs et chercheurs y témoignaient de leurs efforts pour faire prendre conscience aux élèves ou aux futurs enseignants des inégalités véhiculées par l’école. J’ai tout d’abord entendu un professeur d’histoire-géographie expliquer que les manuels scolaires sont vecteurs d’inégalités au travers de leurs illustrations. Pour ce faire, il a pris pour exemple une page décrivant une société d’informatique. Sur les trois photos illustrant la page en question, on pouvait voir une dizaine de personnes devant des machines : des hommes uniquement. Quand on sait que les femmes représentent aujourd’hui 11% des techniciens de l’informatique, n’est-il pas maladroit de qualifier de "sexiste" l’éditeur de cet ouvrage ? Ce même professeur fustigeait les manuels d’histoire qui mettent en avant les hommes. Mais si notre société a longtemps accordé des rôles importants aux hommes plus qu’aux femmes, est-il sexiste de retranscrire cette histoire en mettant l’accent sur les personnes qui en furent les acteurs ?
Une autre intervention m’a troublé. Une femme, professeur d’histoire-géographie, expliquait comment elle avait lancé dans le cadre de son master un "projet égalité filles/garçons" dans trois classes "pilotes" d’un collège lyonnais. Au programme de ce projet, deux activités particulières : la participation au "Printemps de la jupe et du respect" et une sortie au Musée des Beaux Arts de Lyon. L’intervenante a ensuite présenté la copie d’une lettre qu’elle avait reçue de parents d’élèves annonçant que leur enfant ne participerait pas à ces événements, car ils considéraient que l’instruction était le rôle de l’école et l’éducation le leur. Intervenants et assistance semblaient s’accorder sur l’aspect scandaleux de cette lettre. L’intervenante a précisé que les élèves "ne savaient pas qu’ils faisaient partie d’un projet, ce qui nous a laissé de la liberté par rapport aux parents". À la question de ma camarade sur la limite du rôle de l’école, personne ne semblait en mesure de répondre : "C’est une question très intéressante mais très complexe, nous n’avons malheureusement pas le temps d’y répondre". À la fin de l’intervention, une adjointe au Recteur chargée de l’égalité a demandé la parole. Oubliant l’aspect douteux d’un projet dont les parents d’élèves n’étaient pas informés, elle en a fait les louanges et a promis d’appuyer les résultats de ce projet universitaire.
Puis, une enseignante en "Genre et éducation" de l’Université de Strasbourg présentait la formation qu’elle dispensait à ses étudiants. En introduction de son propos, elle attaquait "certains extrémistes [qui] refusent explicitement l’avancée des droits pour toutes et tous", résumant les oppositions au gender à des illusions d’égalité et de libre choix, et qualifiait la complémentarité sexuelle vantée par ceux-ci de "croyance", qu’elle associait à la croyance religieuse. Les arguments contre le genre seraient "émotionnels et non intellectuels" et n’auraient pour but que la préservation d’un équilibre personnel. Dénonçant les différences sociales entre hommes (auxquels revenait le pouvoir grâce à leur travail) et femmes (cantonnées à la sphère privée à cause des enfants et de la tenue du foyer), l’intervenante affirmait que les couples homosexuels s’en trouvaient d’autant plus discriminés car ils ne pouvaient s’inscrire dans ce schéma traditionnel.
Enfin, au cours de tous ces débats, j’ai compris que les promoteurs du gender s’apprêtaient, pour parvenir à leurs fins, à changer de vocabulaire. Dans l’éducation nationale, a assuré l’un d’eux, jusque là "on parlait de genre, mais avec ces histoires on a décidé de parler d’égalité".
Que diriez-vous des membres de ce colloque, quelle impression vous ont-ils laissé ?
Je souhaitais m’instruire sur le genre et comprendre la démarche des chercheurs sur le sujet. Malheureusement, les réflexions menées lors de l’atelier auquel j’ai pu participer étaient intellectuellement biaisées car des aspects importants étaient éludés. J’avais plus l’impression d’assister à une réunion des Femen qu’à un congrès scientifique. Je ne pense cependant pas que tous les ateliers étaient orientés de la même façon, beaucoup d’intitulés reflétant un travail scientifique sérieux. Je n’ai pas eu le loisir de vérifier cette hypothèse. Interdit par les propos tenus, j’ai publié des « tweets » exprimant mon avis contradictoire et lorsque je me suis présenté à l’atelier suivant, les organisateurs (qui surveillaient les réseaux sociaux) m’attendaient pour m’indiquer que je n’étais plus le bienvenu. Si mes « tweets » ont pu déplaire, je regrette la réaction des organisateurs du congrès. Ils étaient, en permettant à des auditeurs non inscrits de participer à l’événement, l’occasion de montrer que les études de genre peuvent être constructives. Enfin, j’avais eu l’intention d’enregistrer la conférence. Mais pendant les questions en fin d’atelier, l’organisatrice a vu mon dictaphone et m’a précisé qu’il était interdit d’enregistrer. À la sortie de la salle, un organisateur m’attendait, flanqué de deux vigiles, pour vérifier que j’avais bien supprimé mon enregistrement. Ces procédés m’ont choqué, parce que je les trouve déplacés dans le cadre d’un colloque universitaire. Je m’étais rendu sans appréciation a priori au premier Congrès des Etudes de Genre en France, j’en garde finalement une opinion négative.
Note :
[1] http://triangle.ens-lyon.fr/spip.php?article4201
Source : Enseignants pour l’enfance
Fête instituée par le Bx Innocent XI en action de grâce pour la victoire des armées chrétiennes sur les Turcs à Vienne en 1683. Elle fut fixée au dimanche qui suivait la Nativité de la Ste Vierge. Elle fut placée au 12 septembre par St Pie X lors de la grande réforme du Bréviaire romain (constitution apostolique "Divino afflatu" du 1er novembre 1911).