Au nouveau calendrier : Mémoire facultative de
St Augustin de Cantorbéry, prêtre
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Au nouveau calendrier : Mémoire facultative de
St Augustin de Cantorbéry, prêtre
St Anselme, évêque et docteur de l'Eglise
Saint Anselme de Cantorbery, Gravure de George Glover
(crédit photo)
L'assassinat de St Thomas Becket, Maître Francke (v.1426)
'Thomas-Altar', Hamburger Kunsthalle, Hambourg, Allemagne
St Augustin de Cantorbéry, évêque et apôtre de l'Angleterre
33e Dimanche du Temps Ordinaire
(Calendrier traditionnel : 23ème Dimanche après la Pentecôte)
Calendrier liturgique
St Léon le Grand, pape et docteur
Au calendrier traditionnel : St André Avellin, confesseur
St Jérôme, père et docteur de l’Église
Gravure d'Albrecht Dürer (1514)
St Janvier, évêque et martyr
St Camille de Lellis
(400e anniversaire du dies natalis - fête au calendrier traditionnel le 18 juillet)
Benoît XIV béatifia (2 février 1742) et canonisa (29 juin 1746) Camille de Lellis. Un décret de la Congrégation des Rites (15 décembre 1762), signé par Clément XIII le 18 juillet, étendit sa fête à toute l’Eglise. Avec St Jean de Dieu, Léon XIII le proclama patron des malades et des hôpitaux (22 juin 1886), et Pie XI le proclama également patron du personnel des hôpitaux (28 août 1930).
Cf. allocution du Pape Français après l'Angélus de ce dimanche 13 juillet.
A noter également le 14 juillet :
915ème anniversaire de la prise de Jérusalem par les croisés, sous la direction de Godefroid de Bouillon (14 juillet 1099)
221ème anniversaire de la mort du Saint de l'Anjou, Jacques Cathelineau, Généralissime de la grande armée catholique et royale (14 juillet 1793)
St Philippe Neri, prêtre, fondateur et confesseur
En France, en certains lieux, St Yves
Calendrier liturgique
Octave : Jeudi de Pâques
(St Fidèle de Sigmaringen, prêtre et martyr)
Calendrier liturgique
Semaine Sainte - Samedi Saint
Calendrier liturgique
Purification de la T. Sainte Vierge
(Présentation du Seigneur au Temple)
L’Église célèbre le 2 février la Présentation du Seigneur au Temple, qui clôture les solennités de l’Incarnation.
La tradition juive voulait en effet que le premier garçon né dans une famille soit présenté au Temple de Jérusalem, quarante jours après sa naissance, et consacré à Dieu (Lc 2, 22-23).
Cette fête, également appelée fête de la Purification, est plus connue sous le nom populaire de Chandeleur. Ce nom, qui vient du latin candela - chandelle, a pour origine la procession par laquelle débute la célébration.
Pour Yves de Chartres, la cire des cierges signifie et représente la chair virginale de Jésus qui n'a point altéré, ni par sa conception ni par sa naissance, l'intégrité de Marie ; la flamme des cierges symbolise le Christ, lumière qui est venue illuminer nos ténèbres.
Durand de Mende dit que « nous portons des cierges allumés en procession pour faire écho à la parole de Siméon qui salue en Jésus la lumière du monde, pour signifier l'humanité et la divinité du Christ, pour proclamer la pureté inaltérable de Marie, pour imiter les vierges sages qui accompagnent le céleste époux jusqu'au temple de la gloire. »
Par ce geste, nous nous souvenons donc que c’est par ce titre : « Lumière pour éclairer les nations païennes » (Lc 2,32), que Siméon accueille Jésus lors de la Présentation au Temple par Marie et Joseph.
Les Orthodoxes nomment cette fête la « Sainte Rencontre ».
Introït de la Messe de ce jour
La Sainte Famille
Calendrier liturgique
(Dimanche dans l’Octave de la Nativité au calendrier traditionnel)
La fête de la Sainte Famille : pour s'y retrouver un peu...
Le culte de la sainte Famille se développa particulièrement au XVIIe siècle, sous la forme de pieuses associations ayant pour fin la sanctification des familles chrétiennes sur le modèle de celle du Verbe incarné. Cette dévotion, introduite au Canada par les Pères de la Compagnie de Jésus, ne tarda pas à s’y propager rapidement.
Deux siècles plus tard, devant les manifestations croissantes de la piété des fidèles à l’égard du mystère de Nazareth, le Pape Léon XIII, par le Bref « Neminem fugit » du 14 juin 1892, établissait à Rome l’association de la Sainte Famille, dans le but d’unifier toutes les confréries instituées sous le même vocable.
L’année suivante (1893), le même Souverain Pontife, dans son encyclique sur le mariage chrétien, voulut offrir aux familles catholiques un modèle à imiter et une céleste protection à qui elles devraient se confier ; il institua donc la fête de la sainte Famille de Nazareth, avec un appareil liturgique solennel d’hymnes et de lectures, et il la fixa au IIIe dimanche après l’Épiphanie.
La réforme de Pie X en partie abrogea, en partie transféra à des dates fixes, toutes les solennités mobiles annexées au dimanche.
Benoît XV la fixa au dimanche dans l’octave de l’Épiphanie et l'étendit à l’Église universelle.
Elle fut rendue obligatoire dans toute l’Église par Pie XI en 1921.
La fête de la Sainte Famille empêche donc la célébration du « 1er dimanche après l’Épiphanie » ou « Dimanche dans l’Octave de l’Épiphanie » qui utilisait le même évangile mais comportait, conformément au temps liturgique en cours, la lecture d’un passage de St Paul aux Romains comme Épître.
Aujourd’hui, au calendrier traditionnel, la messe du 1er dimanche après l’Épiphanie n’est plus dite qu’en semaine, les jours qui suivent la fête de la Sainte Famille.
En France, la messe de la Sainte Famille n’est célébrée le dimanche que dans les églises qui ont plusieurs messes : en effet, la solennité de l’Épiphanie, qui n’est pas fériée, prime.
Depuis le Concile Vatican II et dans la réforme du missel romain, cette fête a été avancée au premier dimanche après la fête de la Nativité.
Ste Gertrude, vierge
Calendrier liturgique
Mois des âmes du Purgatoire
St Jérôme, confesseur, père et docteur de l’Église
Calendrier liturgique
St Janvier, évêque et martyr
Calendrier liturgique