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En Belgique, un groupe de travail réunissant des députés de plusieurs partis politiques s’est constitué suite aux dépôts de plusieurs propositions de loi pour modifier la loi sur l’avortement (cf. Belgique : six propositions de loi sur l’avortement et l’euthanasie). Ils sont parvenus à une proposition commune sur un allongement du délai légal pour avorter à 18 semaines et une réduction du délai de réflexion à 48 heures. Pour l’heure, la question de la dépénalisation complète de l’avortement divise les participants. « Si un vote intervenait mercredi [en commission], il faudrait sans doute encore tenir compte d’une demande de deuxième lecture en commission avant un envoi en séance plénière où un vote définitif pourrait intervenir avant la fin de l’année ».
Les évêques du pays ont réagi mardi sur ce projet : ils voient dans les deux mesures principales du texte (allongement du délai légal et réduction du délai de réflexion) « un changement dans la signification de l'interruption de grossesse », qui deviendrait « une intervention médicale ordinaire ». Ils craignent que la décision d’interrompre une grossesse ne soit désormais prise « à la légère », ce qui ne fera qu’exacerber le « désarroi et la solitude ». Ils s’inquiètent du fait qu’invoquer une clause de conscience pour les professionnels de santé ne devienne de plus en plus difficile. Enfin, les évêques dénonce les conditions dans lesquelles sont envisagées ces modifications : « Il est incompréhensible qu'une question d'une telle importance et si délicate soit traitée aussi vite et sans débat de fond préalable ».
Sources : Gènéthique.org - Sud Info (8/11/2019) - RTBF (12/11/2019).
La commission de la Justice de la Chambre approuve la sortie du Code pénal de l’IVG, mais allonge le délai autorisé par la loi de 1990 pour pratiquer un avortement de 12 semaines à 18 semaines de grossesse. Le délai de réflexion de 6 jours, imposé à la patiente avant de recourir à l’IVG, jugé culpabilisant, est ramené à 48 heures, voire à néant en cas d’extrême urgence. Et il supprime la notion d’état de détresse de la femme. En cas de non-respect de ces nouvelles conditions, très élargies – en clair : si l’avortement est pratiqué au-delà de 18 semaines – le médecin risquerait des sanctions pénales. Mais plus les femmes.
Au moment de clore l’année de la Miséricorde, le festival « Venite adoremus » mettra à l’honneur l’adoration eucharistique continue durant 11 jours et 11 nuits. Cent quarante lieux différents sont concernés cette année.
L’Adoration est le culte de la présence réelle du Christ, sous l’humble apparence du pain et du vin consacrés à la messe. Il se réfère à une pratique puisant ses origines dans le diocèse de Liège au XIIIe siècle, sous l’impulsion de sainte Julienne de Cornillon. A Liège, ce festival aura lieu du 10 au 18 novembre. Les adorations se succéderont à la cathédrale Saint-Paul, à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy), à la basilique de Chèvremont (crypte Corpus Christi) à l’église du Sacré-Cœur (Robermont) et à l’église des sts Victor et Léonard (Thier à Liège). En Belgique, ce festival a commencé en 2007, dans trois paroisses de Bruxelles, s’est ensuite étendu dans toute la ville puis dans tout l’archidiocèse de Malines-Bruxelles. Depuis 2014, d’autres diocèses se sont joints à l’événement. En 2016, tous les diocèses belges sont représentés et 140 lieux se relaieront pour une journée et/ou une nuit d’adoration. Il peut s’agir aussi bien de paroisses que de communautés religieuses ou même des maisons de repos. Chaque lieu s’inscrivant idéalement pour toute une journée ou toute une nuit.
D’ici l’année prochaine, un « centre pour l’euthanasie des enfants » devrait ouvrir aux Pays-Bas a annoncé le professeur Eduard Verhagen. La loi néerlandaise actuelle autorise l’euthanasie des nourrissons jusqu’à 1 an et celle des enfants de plus de 12 ans, pour des « souffrances insupportables ». Des médecins plaident pour que la loi s’étende aussi aux enfants âgés de 1 à 12 ans, qui « sont en mesure de prendre une telle décision » selon eux. Ils invoquent l’exemple de la Belgique qui n’a pas de limite d’âge pour l’euthanasie.
« La Belgique a pratiqué une euthanasie sur un mineur ». La Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie a rendu publique l’information samedi. Le médecin « ayant pratiqué l’acte a déposé sa déclaration la semaine passée, et un rapport sera fait d’ici peu ‘conformément à la loi’ ». Alors que cette « première mondiale » a fait la une des journaux du monde entier, le collectif belge Euthanasie Stop a réagit : « Comment peut-on croire que donner la mort à un enfant malade est un progrès ? La Belgique s’enfonce dans l’horreur ».
En 2014, la Belgique a adopté une modification controversée de sa loi de 2002 sur l’euthanasie, « étendant le droit à l’euthanasie aux mineurs atteints d’une maladie incurable et dont les souffrances sont insupportables ». Cette extension ne prévoit aucune limite d’âge, mais parle de la « capacité de discernement » de l’enfant ; il « doit se trouver dans une situation médicale sans issue entraînant le décès à brève échéance », « être confronté à une souffrance physique constante et insupportable qui ne peut être apaisée et qui résulte d’une affection accidentelle ou pathologique grave et incurable ». La demande est « à l’initiative de l’enfant » avec « le consentement des parents ». Elle est « étudiée par une équipe médicale et un psychiatre ou psychologue indépendant ».
Le président de la commission fédérale a tenu à « souligner que ce cas de figure demeurait exceptionnel et réservé aux cas désespérés : « Il n’y a heureusement que très peu d’enfants qui entrent en considération, mais cela ne signifie pas que nous devrions leur refuser le droit à une mort digne ». Le collectif Stop Euthanasie s’inquiète pourtant du « phénomène de pente glissante » et des « balises repoussées toujours plus loin ». Entre 2003 et 2013, près de 9000 personnes ont été euthanasiées, dont « un nombre croissant ne serait pas des patients en fin de vie ». En 2015, plus de 2000 déclarations d’euthanasie ont été enregistrées, soit 5 euthanasies par jour.
Ce lundi 18 avril, l’opérateur Proximus a publié un communiqué, revenant sur sa décision d’arrêter la diffusion de KTO TV, la chaîne catholique francophone, le 30 avril prochain. KTO TV sera donc bel et bien toujours reprise dans l’offre de Proximus TV après cette date. Ce revirement fait suite à l’importante pétition qui avait été lancée après cette décision, et qui avait récolté 25.500 signatures.
Dans un communiqué qu’ils ont publié à leur tour, après cette annonce, les responsables de KTO Belgique ont souligné leur « grande joie » et remercié « chaleureusement les 25.500 signataires de la pétition pour leur mobilisation, et également Proximus d’avoir écouté et recherché une solution pour répondre aux attentes de ses téléspectateurs ». Ils déclarent également souhaiter étendre la couverture de la chaîne sur l’ensemble des réseaux câblés en Belgique.
Rappelons que, en mars dernier, les responsables de Proximus avaient signifié à KTO Belgique leur décision de retirer la chaîne de leur offre après le 30 avril 2016, « sans aucune concertation préalable », d’après Philippe le Hodey, président du conseil d’administration de KTO dans notre pays. Proximus avait motivé sa décision en invoquant des problèmes de capacité technique, de places disponibles sur le câble et la faible audience réalisée chaque année par la chaîne.
A la suite de cette décision, le monde catholique belge s’est mobilisé, demandant à Proximus, dont l’État belge est le principal actionnaire, de maintenir la diffusion de KTO. A cet effet, une pétition a été lancée le 18 mars dernier, récoltant 25.500 signatures en un mois. Parmi les signataires, on trouvait de nombreuses personnalités catholiques, mais également des responsables d’autres confessions chrétiennes, et d’autres communautés religieuses, dont le Grand Rabbin de Bruxelles, Albert Guigui, ou le président de l’Exécutif des musulmans de Belgique, Salah Echallaoui. D’autres personnalités se sont joints à cette mobilisation, tels l’écrivain Eric-Emmanuel Schmitt, ou l’un des anciens responsable de Belgacom, Jean-Charles de Keyser.
Leurs principal argument peut se résumer ainsi : KTO diffuse « une expression religieuse apaisée d’autant plus nécessaire en ces temps de montée du communautarisme et des violences commises prétendument au nom de Dieu ». Autrement dit, la chaîne KTO entend s’inscrire dans une participation des acteurs convictionnels aux grands débats de société dans notre pays, dans le dialogue et le respect du pluralisme, afin d’œuvrer à un vivre-ensemble renouvelé.
Après un mois de mobilisation, ces arguments semblent avoir porté leurs fruits. Dans le communiqué de ce lundi, Proximus déclare conserver la chaîne catholique française en continu après « les réactions qui ont clairement montré l’importance de ce canal pour les clients ».
Cette nouvelle décision témoigne de ce que la mobilisation, même de la communauté catholique…, peut faire bouger les choses, lorsque l’on utilise les voies du dialogue, sans avoir honte de son identité, mais en s’inscrivant aussi dans une débat véritablement démocratique, dans le respect des convictions de chacun.
Le Pape François a consacré son audience générale de ce mercredi 23 mars 2016, place Saint-Pierre, à la miséricorde et au Triduum pascal qui commence ce jeudi, un Triduum qui « rend visible jusqu’où peut aller l’amour de Dieu ». « L’amour de Dieu n’a pas de limite », a-t-il expliqué, en développant l’idée que le Triduum pascal « est un mémorial d’un drame d’amour qui nous donne la certitude que nous ne serons jamais abandonnés dans les épreuves de la vie ».
Le commentaire de Xavier Sartre à lire / écouter sur Radio Vatican.
Au lendemain des attentats qui ont fait une trentaine de morts et plus de 200 blessés ce mardi 22 mars 2016 à Bruxelles, le Pape a exprimé sa compassion au terme de l'audience générale, devant la foule rassemblée Place Saint-Pierre.
« Avec un cœur douloureux, j’ai suivi les tristes nouvelles des attentats terroristes qui sont survenus hier à Bruxelles, qui ont provoqué de nombreuses victimes et blessés, a affirmé le Saint-Père, dans une prise de parole spontanée. J’assure de ma prière et de ma proximité la chère population belge, à tous les proches des victimes et à tous les blessés. Je renouvelle un appel à toutes les personnes de bonne volonté pour s’unir dans la condamnation unanime de ces abominations cruelles, qui sont en train de causer seulement la mort, la terreur et l’horreur. À tous, je demande de persévérer dans la prière et dans la demande au Seigneur, dans cette Semaine Sainte, de réconforter les cœurs affligés et de convertir les cœurs de ces personnes aveuglées par le fondamentalisme cruel. »
Le Saint-Père ensuite demandé à la foule de réciter un Ave Maria, puis de prier en silence, « pour les morts, les blessés, leurs proches, et pour tout le peuple belge ».
« Je confie à la miséricorde de Dieu les personnes qui ont perdu la vie #Bruxelles », avait-il lancé mardi soir dans un tweet, diffusé à 21h dans les différences langues de son compte Twitter, Pontifex.
Dès la fin de matinée de mardi, il avait envoyé un message de condoléances à l'archevêque de Malines-Bruxelles, Mgr Jozef de Kesel.
« Frères et sœurs, notre réflexion sur la miséricorde de Dieu nous introduit aujourd’hui au Triduum pascal. En ces trois jours, tout nous parle de miséricorde et nous montre que l’amour de Dieu n’a pas de limites. Le Jeudi-Saint, Jésus institue l’Eucharistie ; c’est l’amour qui se fait service. Jésus se donne à nous et nous demande de demeurer en Lui pour faire la même chose. Le Vendredi-Saint est le sommet de l’amour. La mort de Jésus sur la croix exprime l’amour donné jusqu’au bout, sans fin, un amour qui n’exclut personne. Si Dieu nous a aimés jusque-là, nous pouvons et nous devons nous aussi nous aimer les uns les autres. Enfin, le Samedi-Saint est le jour du silence de Dieu, un silence qui exprime l’amour comme solidarité avec les abandonnés de toujours. Dieu se tait par amour dans l’attente de la résurrection. Tout cela est un grand mystère d’amour et de miséricorde. Et nos paroles sont bien pauvres pour l’exprimer. Laissons-nous envelopper par la miséricorde de Dieu qui vient à notre rencontre et accueillons dans notre cœur la grandeur de cet amour dans l’attente de la Résurrection.
Je suis heureux de vous accueillir, chers pèlerins de langue française. En ces jours qui nous conduisent vers Pâques, je vous invite à ouvrir grand votre cœur pour accueillir la miséricorde sans limites que Dieu nous offre dans la mort et la résurrection de son Fils ! Bonnes fêtes de Pâques ! »
Les attentats perpétrés à l’aéroport de Bruxelles National et dans le métro ont fait réagir très rapidement les évêques de Belgique. Dans un communiqué, ils disent leur consternation et appellent à prier pour les victimes et leurs familles.
« Les évêques de Belgique sont consternés d’apprendre l’attentat perpétré à l’aéroport de Zaventem et au centre de Bruxelles. Ils partagent l’angoisse de milliers de voyageurs et de leurs familles, des professionnels de l’aviation et des équipes de secours une nouvelle fois sur la brèche. Ils confient les victimes à la prière de tous dans cette nouvelle situation dramatique. Les aumôniers de l’aéroport sont quotidiennement au service de tous et apporteront le soutien spirituel nécessaire. Que l’ensemble du pays puisse vivre ces jours en grande responsabilité citoyenne. »
Le Saint-Père, au travers du Secrétaire d'Etat, le Cardinal Pietro Parolin, a envoyé un message de condoléances à Mgr Jozef De Kesel, Archevêque de Malines-Bruxelles (Belgique), suite aux attentats terroristes de ce matin dans la capitale belge qui ont causé plus d'une trentaine de victimes et plus d'une centaine de blessés :
« Apprenant les attentats survenus à Bruxelles, touchant de nombreuses personnes - dit le texte -, Sa Sainteté le Pape François confie à la miséricorde de Dieu les personnes qui ont perdu la vie et s’associe par la prière à la peine de leurs proches. Il exprime sa profonde sympathie aux blessés et à leurs familles, ainsi qu’à toutes les personnes qui contribuent aux secours, demandant au Seigneur de leur apporter réconfort et consolation dans l’épreuve. Le Saint-Père condamne à nouveau la violence aveugle qui engendre tant de souffrances, et implorant de Dieu le don de la paix, il invoque sur les familles éprouvées et sur les Belges le bienfait des bénédictions divines. »
Lancée en 2011 en Belgique, KTO, la chaîne de télévision catholique francophone de référence, ne sera plus diffusée dans ce royaume. Proximus TV a en effet décidé de la retirer de son offre de télédistribution. Et ce, à partir du 30 avril. Une pétition vient d’être lancée pour tenter de faire revenir la direction de Proximus sur sa décision.
Coup dur pour le monde catholique en Belgique, mais pour aussi pour une certaine idée du pluralisme, la chaine KTO ne sera plus diffusée dans ce pays. Une décision prise par Proximus, « sans aucune concertation préalable et qui place KTO devant un fait accompli qui ne lui laisse quasi aucune marge de manœuvre » tempête Philippe le Hodey, Président de KTO Belgique, alors même que cette structure vient juste de se renforcer pour appuyer l’ancrage belge de cette chaine thématique. Problèmes de capacité technique, de places disponibles sur le câble et faible audience ont été mis en avant par Proximus, qui refuse pour autant de communiquer des chiffres précis. De son côté, KTO estime toucher 100.000 personnes par an et fait valoir qu’en France, la chaîne est regardé par deux fois plus de personnes que la chaine Histoire et qu’elle affiche la même audience que France 24 (chaine d’info continue). La chaîne catholique explique surtout que sur les 168 chaînes proposées par Proximus, une dizaine se partage 90% d’audience, laissant ainsi aux 150 autres « petites » chaînes des miettes d’audience. Bien difficile dans ce cas-là de faire émerger un réel désintérêt pour KTO. Et sachant qu’il existe 20 chaînes pour enfants ou 6 de musique classique, KTO plaide le respect du pluralisme et une offre « objectivement équilibrée et raisonnée », en particulier lorsqu’on est un opérateur dont l’Etat est actionnaire majoritaire.
Une chaîne de télé sans publicité
Chaîne sans but lucratif, KTO vit sans publicité et elle est financée uniquement par les dons de ses dizaines de milliers de téléspectateurs. Elle a une vraie légitimité dans le paysage audiovisuel belge et son travail et son sérieux sont reconnus par les autres acteurs du secteur. Ses dirigeants font aussi valoir le fait qu’elle propose « une expression religieuse apaisée d’autant plus nécessaire en ces temps de montée du communautarisme et des violences commises prétendument au nom de Dieu ». Malheureusement, tous ces arguments n’ont pas porté. Les requêtes que KTO a introduites auprès de la direction générale et du Président du Conseil ont été rejetées. Dès lors, il ne reste plus à KTO qu’à inviter le plus grand nombre de personnes (l’objectif est de 10.000 noms) à signer une pétition (Touche pas à KTO TV) pour demander au gouvernement fédéral et aux pouvoirs publics de revenir sur leur décision et d’assurer la continuité de la distribution de cette chaîne sur le câble belge.
Les vendredi 4 et samedi 5 mars, les catholiques sont invités à consacrer 24 heures pour le Seigneur autour de la prière et de la confession, indique la Conférence des évêques de France (CEF).
Interview de Mgr Lefevre Pontalis, vicaire général du diocèse de Paris
À travers cette invitation et en cette période de Carême, il s’agit pour les chrétiens d’offrir 24 heures au Seigneur comme l’a écrit le Pape François dans la bulle d’indiction : « Puisse le Carême de cette Année Jubilaire être vécu plus intensément comme un temps fort pour célébrer et expérimenter la miséricorde de Dieu. »
Quelques propositions diocésaines à cette occasion (liste non exhaustive, renseignez-vous dans votre paroisse) :
Diocèse de Paris : installation de la relique de Jean-Paul II à Montmartre Journée de la Miséricorde avec Mgr de Moulins-Beaufort, évêque auxiliaire de Paris. Démarche jubilaire et installation de la relique de Saint Jean-Paul II. Plus d’information en cliquant ici
Diocèse de Beauvais : illumination de la Cathédrale de Noyon Plus d’information en cliquant ici
Diocèse de Pontoise : spectacle des jeunes du Cenacolo Des jeunes en difficulté de la Communauté « Cenacolo » donnent un spectacle « Le fils prodigue » les 11 et 12 mars à l’église de L’Isle-Adam. Plus d’information en cliquant ici
Diocèse de Lille : prières, adoration eucharistique, confessions Plus d’information en cliquant ici
Diocèse du Mans : sanctuaire de Notre-Dame du Chêne, vénération des reliques de Ste Faustine, St Jean-Paul II et du Bx Sopocko Plus d’information en cliquant ici
Diocèse de Quimper et Léon : cathédrale de Quimper, église St Louis de Brest Plus d’information en cliquant ici
Diocèse du Tarn : Albi et ses environs Plus d'information en cliquant ici
Diocèse de Fréjus-Toulon : Toulon, Fréjus, Saint-Maximin, Sanctuaire Notre Dame de Grâces Plus d'information en cliquant ici
Paroisse du Chesnay et de Rocquencourt Plus d'information en cliquant ici
A Lyon, paroisse Saint-Nizier Plus d'information en cliquant ici
En Belgique, diocèse de Liège Plus d'information en cliquant ici
Au Canada, diocèse de Québec, deux églises offriront ces journées de la miséricorde : Notre-Dame-de-Saint-Roch et et Notre-Dame-de-Lévis. Des prêtres y seront disponibles le jour et la nuit, de 8h00 du matin à 8h00 le lendemain. Plus d'information en cliquant ici
Trois évêques belges séjournent du 17 septembre au 21 septembre dans le nord de l’Irak pour une mission de solidarité. Mgr Guy Harpigny, évêque de Tournai, Mgr Jozef De Kesel, évêque de Bruges et Mgr Leon Lemmens, évêque auxiliaire pour le Vicariat du Brabant flamand et Malines, seront les hôtes de l’Église Catholique-Chaldéenne, entre autres responsable de l’accueil de milliers de réfugiés à Erbil et à Dohuk.
“Nous ne pouvons pas abandonner les chrétiens du Proche-Orient à leur sort”, disent les évêques. La présence de communautés chrétiennes y date du début de notre ère chrétienne. Durant plusieurs siècles, ces communautés ont pu professer leur religion en toute liberté mais ce modèle social semble à présent sérieusement en péril. C’est la raison pour laquelle la Conférence épiscopale de Belgique a accepté l’invitation émanant du Patriarche des Chaldéens à Bagdad, Sa Sainteté Louis Raphaël I Sako, et de l’archevêque chaldéen d’Erbil, Mgr Bashar Matti Warda, à venir encourager sur place les chrétiens dans le nord de l’Irak, ainsi que les nombreux réfugiés (chrétiens et autres), dont le sort les inquiète depuis des mois.
Les évêques belges informeront personnellement à Erbil le Patriarche de l’Église Catholique-Chaldéenne de la solidarité matérielle concrète supplémentaire que l’Église belge veut proposer aux Églises sœurs au Moyen-Orient. Mais la solidarité chrétienne continue à se matérialiser par le biais de la rencontre et de la prière conjointe.
La communauté catholique est particulièrement active dans la région, entre autres par l’intermédiaire de la Fondation catholique de Droit Pontifical Kerk in Nood (Aide à l’Eglise en Détresse) – qui a collaboré à l’organisation de ce voyage – et des organisations non-gouvernementales Caritas International et Jesuit Refugee Service. Les évêques visiteront, entre autres, des projets de ces trois organisations caritatives.
La visite des évêques veut attirer l’attention des chrétiens, et plus largement de toute l’opinion publique, sur la pression importante exercée actuellement sur la diversité religieuse en Irak, en Syrie et dans d’autres pays de la région. “La perte de la diversité religieuse au Moyen-Orient ne serait pas seulement dramatique pour les chrétiens mais pour toute l’humanité” rappellent les évêques locaux.
Au retour de leur mission de solidarité, les évêques partageront leur expérience dans le nord de l’Irak avec les fidèles, et en particulier avec les différentes communautés de chrétiens d’Orient en Belgique.
Le samedi 10 octobre à 20h, le prestigieux chœur libanais « La Voix d’Antan » chantera à la basilique nationale de Koekelberg, en faveur des Chrétiens d’Orient.
Ce concert exceptionnel est organisé par le comité de soutien aux Chrétiens d’Orient (CSCO) et les Eglises syriaque orthodoxe, melkite, copte orthodoxe, arménienne apostolique, chaldéenne, romaine, maronite ainsi que le monastère Saint Charbel en Belgique. Pour l’occasion, les 60 choristes seront placés sous la direction du père Miled Tarabay. Participer à ce concert, c’est aussi montrer votre soutien aux chrétiens d’Orient. Les bénéfices de cette soirée seront en effet reversés au profit du CSCO (BE77 0689 0300 3642)
Prenez garde si vous faites vos courses dans le Brabant wallon. De fausses collectes au profit, soi-disant, d’Handicap International s’organisent sur les parkings de certains supermarchés.
Handicap International a lancé un appel à la vigilance. Ces derniers temps, des escrocs se font passer pour des bénévoles de l’association pour réclamer de l’argent aux abords de certains supermarchés du Brabant wallon. Des collectes frauduleuses ont notamment été dénoncées dans les villes de Jodoigne, Braine-l’Alleud et Mont-St-Jean.
Les fraudeurs ne manquent pas d’imagination pour mener leurs opérations. Le porte-à-porte, le faux sourd-muet qui demande au nom de l’association internationale l’ouverture d’un centre pour personnes handicapées, la pétition dans les rues... Tout est bon pour obtenir quelques pièces de monnaie. Handicap International « dénonce et condamne ces pratiques » qui sont en augmentation dans le Brabant wallon mais aussi à Charleroi et à Bruxelles.
L’ONG « rappelle qu’elle ne collecte jamais d’argent liquide sur la voie publique ». Des réseaux de bénévoles organisent certes une série d’évènements adressés au grand public ou récoltent des signatures pour l’une ou l’autre pétition. « Ces personnes sont alors bien identifiables par leurs vêtements ornés du logo de l’association, et ne demandent jamais d’argent », insiste l’ONG.
Handicap International invite les personnes victimes de cette fraude à la signaler à l’association (02/233.01.82) ainsi qu’aux forces de police. Pour soutenir, sans risque, les missions d’Handicap International, rendez-vous sur www.handicapinternational.be.
La dernière voyante de Beauraing a rejoint la "Belle dame" au Ciel. Hospitalisée quelques temps à l'hôpital Mont-Godinne, Gilberte Degeimbre est décédée ce mardi 10 février, à l'âge de 91 ans.
Albert, Fernande, Gilberte Voisin, Gilberte et Andrée Degeimbre
Rappel des apparitions et dernier entretien avec Gilberte Degeimbre à lire surInfoCatho.be
En milieu d'après-midi, Tommy Scholtès, le responsable de presse et de communication de la Conférence épiscopale belge, a réagi sur son compte personnel de Facebook :
"Qui d'entre nous ne plaide pas pour la démocratie ? Qui ne se sent profondément blessé par les événements parisiens ? Qui ne plaide pas pour le dialogue entre les peuples, et pour la liberté de la presse ? Qui osera évaluer les types de relations que les pays d'occident entretiennent depuis quelques années avec les pays à grande majorité musulmane ? Et les évolutions politiques qui s'en suivent. Ne faut-il pas arriver à un grand examen de conscience et à une évaluation... Jusqu'à nouvel ordre , nos pays sont des terres d'accueil pour des milliers de réfugiés, et c'est bien, mais comment se fait l'intégration dans nos cultures et s'établit le dialogue avec ces communautés d'origine étrangère ? Les extrêmes sont toujours excessifs, et la violence ne peut être acceptée. Indignons-nous, comme disait Hessler, mais avec examen de conscience. Soyons tolérants et accueillants et solidaires devant la misère extrême de réfugiés, en particulier des Chrétiens d'Orient obligés de fuir ou de se réinstaller solidement dans leur pays. Mais si le respect des peuples est menacé, de quelque religion qu'ils soient, les instances nationales et supra-nationales doivent prendre des initiatives fermes. En même temps, je crains que les provocations, intellectuelles, littéraires ou de conférenciers ne sont pas le vrai chemin de la paix et du dialogue. Il y a des limites à la liberté d'expression même si je me battrai pour que chacun ait accès à la parole, et j'ajouterai "dans le respect de l'autre". "Plus il y a de tensions, plus il faut dialoguer", comme disait récemment le cardinal Tauran. Il en va de notre vivre ensemble. Aujourd'hui, nous sommes indignés et en colère. Essayons aussi de trouver un moment pour le recueillement pour ces personnes blessées et tuées. Ce sont des conjoints, des parents, des enfants... quelle tristesse."
Réaction du Vatican
Le Vatican, par son porte-parole, le vice-directeur de la Salle de Presse, le Père Cirio Benedettini, s'est également indigné en exprimant son exécration face à cette action "doublement condamnable, parce qu’il s’agit d’une attaque terroriste et contre la liberté d’expression."
Allelúia, allelúia. V/.Ps, 129, 1-2. De profúndis clamávi ad te, Dómine : Dómine, exáudi oratiónem meam. Allelúia. Du fond des abîmes je crie vers vous, ô Seigneur ; Seigneur, exaucez ma prière. Alléluia