Les minorités religieuses en Asie :
« Pour que les chrétiens, ainsi que les autres minorités religieuses, puissent vivre leur foi en toute liberté dans les pays asiatiques. »
Source : prieraucoeurdumonde.net.
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Les minorités religieuses en Asie :
« Pour que les chrétiens, ainsi que les autres minorités religieuses, puissent vivre leur foi en toute liberté dans les pays asiatiques. »
Source : prieraucoeurdumonde.net.
Témoigner de l’Évangile en Asie :
« Pour les chrétiens d’Asie afin qu’en témoignant de l’Évangile par la parole et l’action, ils favorisent le dialogue, la paix et la compréhension réciproque, particulièrement avec les membres d’autres religions. »
Source : prieraucoeurdumonde.net.
"Le Carême est le moment favorable pour intensifier la vie de l’esprit grâce aux moyens sacrés que l’Église nous offre: le jeûne, la prière et l’aumône. C'est un temps propice pour ouvrir la porte à ceux qui sont dans le besoin et reconnaître en eux le visage du Christ." Pape François, message pour le Carême 2017.
En ce temps de Carême 2017, l'AED vous propose en 4 étapes de prier, jeûner et partager pour une situation particulière, afin d'être aux côtés des chrétiens qui souffrent.
Votre Carême 2017 en 4 étapes :
Étape 1 : 10 au 19 mars : aux côtés des chrétiens qui souffrent en Afrique
Étape 2 : 20 au 28 mars : aux côtés des chrétiens qui souffrent en Asie
Étape 3 : du 29 mars au 7 avril : aux côtés des chrétiens qui souffrent au Moyen-Orient
Étape 4 : 8 au 16 avril : Semaine Sainte : écouter les témoignages
Vendredi Saint : 14 avril : Chemin de Croix écrit par des chrétiens qui souffrent
Source : AED (Aide à l’Église en Détresse).
A lire également, le Message de l’Archevêque maronite de Damas, Mgr Samir Nassar « Un Carême en larmes »
Un peu plus de trois mois après l’attentat contre le père Piero Parolari, la tension reste forte au Bangladesh et affecte la mission de l’Église catholique. Contraints d’adopter des mesures sécuritaires, les missionnaires catholiques ont du mal à exercer leur ministère. De nombreux prêtres et pasteurs sont sous protection militaire. La police les suit et les accompagne dans leurs mouvements et leur déconseille parfois de se déplacer.
Dans une note parvenue à l’Agence Fides, l’Institut pontifical des Missions étrangères précise que la situation est moins préoccupante à Dacca et ses environs, même si la police a découvert dans un quartier de la capitale un repaire de fondamentalistes prêts à mener des attaques contre des églises.
La mission au Bangladesh est l’une des plus anciennes de l’Institut pontifical des Missions étrangères, qui arriva dans le sous-continent indien en 1855. Aujourd’hui, cet Institut compte 29 missionnaires au Bangladesh, engagés dans la pastorale des paroisses et au sein d’œuvres éducatives et sociales telles que les écoles, les dispensaires et les hôpitaux. Si les restrictions devaient continuer voire augmenter, les missionnaires envisagent avec regret de revoir leur présence dans leur pays.
Un islamiste a reconnu avoir été l’instigateur et le principal auteur de l’attentat terroriste du 18 novembre contre le médecin et missionnaire italien Piero Parolari, blessé par balles dans une embuscade. Celui-ci travaillait dans un hôpital catholique du Bangladesh depuis 1985. Après une longue convalescence, il reprend actuellement une vie normale. Mais les intimidations à l’égard de la toute petite minorité chrétienne sont en hausse : des pasteurs ont reçu des menaces de mort. Une lettre anonyme affirme que ceux qui prêchent le christianisme au Bangladesh devront quitter ce monde un par un.
Plus généralement, les minorités se sentent prises pour cibles. Le meurtre d’un religieux hindou dimanche, revendiqué par un groupe se réclamant de l’État islamique, a relancé l’inquiétude face à la montée du fondamentalisme musulman. Trois attaques armées ont par ailleurs été perpétrées récemment contre des temples hindous, des statues et des symboles religieux ont été profanés.
Source : Radio Vatican (CV-RF avec Fides). Crédit photo : Une messe au Bangladesh. - RV.
Le Saint-Père a exprimé dimanche sa vive préoccupation à propos du sort des nombreux réfugiés dans le Golfe du Bengale et la mer d’Andaman, en Asie du sud-est. A l’occasion de la prière du Regina Coeli, devant les fidèles rassemblés à midi sur la place Saint-Pierre, le Pape a félicité les pays qui se sont déclarés disponibles à accueillir ces personnes confrontées à de graves souffrances et à de nombreux dangers. Il « encourage la communauté internationale à leur offrir l’assistance humanitaire dont ils ont besoin ».
Selon l’AFP, plus de 3.500 migrants, des bangladais fuyant la pauvreté et des Rohingyas musulmans persécutés en Birmanie, sont arrivés ces derniers jours en Malaisie, en Indonésie et en Thaïlande. Cet exode a pris une tournure catastrophique depuis le début du mois de mai. Des milliers de personnes ont été abandonnées en mer par les trafiquants et en un premier temps, certains bateaux ont été refoulés vers le large par les pays de la région. Depuis, les gouvernements ont assoupli leur position.
Le Souverain Pontife par ailleurs profité de la prière mariale pour évoquer la béatification, samedi, de Mgr Oscar Romero, archevêque de San Salvador, tué pendant qu’il célébrait l’Eucharistie. « Ce pasteur qui, à l’exemple de Jésus, a choisi d’être au milieu de son peuple, surtout des plus pauvres et des opprimés, est mort en martyr. » Toujours samedi, une autre béatification s’est déroulée au Kenya, celle d’une missionnaire italienne, sœur Irène Stefani, « qui a servi les Kenyans avec joie, miséricorde et compassion ». Le Pape François a souhaité que « l’exemple héroïque de ces deux nouveaux bienheureux suscite en chacun de nous le désir de témoigner l’Evangile avec courage et abnégation ».
Avant la prière mariale, le Pape avait expliqué le sens profond de la Pentecôte : « c’est le baptême de l’Eglise qui commence son chemin dans l’histoire, guidée par la force du Saint-Esprit. La porte du Cénacle qui était restée fermée pendant cinquante jours est ouverte : le courage succède à la peur, la fermeture cède la place à l’annonce et les doutes sont dissipés par la foi pleine d’amour. »
Le Saint-Père a rappelé que « la première communauté chrétienne qui était restée repliée sur elle-même commence, à ce moment-là, à parler aux foules. L’Eglise naît donc universelle, une mais catholique, avec une identité précise mais ouverte, et elle embrasse le monde entier sans exclure personne. » « La Pentecôte, a insisté le Pape, c’est le début d’une nouvelle saison faite de témoignage et de fraternité. La langue de l’Évangile franchit les frontières établies par les hommes. Aujourd’hui comme alors, le Saint-Esprit souffle sans cesse sur l’Église et sur chacun de nous pour que nous sortions de nos médiocrités et de nos fermetures pour communiquer au monde entier l’amour miséricordieux du Seigneur. C’est notre mission ! »
Source : Radio Vatican.
Texte intégral traduit en français sur Zenit.org.
Texte intégral original en italien sur le site internet du Vatican.
La deuxième audience générale de l'année s'est tenue Salle Paul VI. le Pape est revenu sur la visite qu'il vient de faire au Sri Lanka puis aux Philippines, où l'ont fortement impressionné l'enthousiasme des foules. Dans le premier de ces pays, le point culminant fut la canonisation de Joseph Vaz, "dont l'exemple de sainteté continue d'inspirer l'Eglise locale dans son apostolat caritatif et éducatif". Il l'a d'ailleurs présenté comme modèle pour tous les fidèles, appelés à proposer la vérité salvifique de l'Evangile dans des contextes multi-religieux. Puis il a expliqué avoir encouragé les autorités politiques au dialogue, au respect de la dignité de la personne, et à tout faire pour la concorde et le bien commun. Ses rencontres avec des responsables locaux lui a également permis de vérifier la qualité des relations entre les différentes communautés religieuses. Leur collaboration "aidera à guérir dans le pardon les blessures restées ouvertes chez beaucoup de gens à la suite" de la guerre civile.
Au Philippines, le Pape a pu constater et souligner la fécondité constante de l'Evangile, "et sa capacité à inspirer une société digne de l'homme, où la dignité de chacun a sa place avec toutes les aspirations du peuple philippin". Il a rappelé que le but de son déplacement sur l'île de Leyte, largement écourté à cause du mauvais temps, avait pour but d'exprimer sa solidarité aux survivants du typhon Yolanda. Le Saint-Père a de nouveau parlé de la jeune volontaire morte à la fin de la messe à Tacloban. Kristel, a-t-il dit, demeure un exemple de générosité : "La puissance de l'amour de Dieu révélé dans le mystère de la Croix, s'est largement manifesté dans la multiplicité des gestes de solidarité de ces journées attristées" par ce décès. Lors de la rencontre avec les familles à Manille, "j'ai entendu dire que les familles nombreuses sont une des causes de la pauvreté. C'est simpliste, car la première cause de la pauvreté est un système économique qui remplacé en son coeur la personne par l'argent, un système qui exclut et créé l'actuelle culture du rebut... Il faut donc protéger les familles qui sont menacées, afin qu'elles puissent témoigner de la beauté de la famille dans le dessein de Dieu". Pour conclure son tour d'horizon, il a rappelé avoir voulu encourager la jeunesse à renouveler la société en s'engageant tout particulièrement dans la protection de l'environnement et dans le service des pauvres, qui est essentiel dans notre témoignage chrétien, mais aussi dans le rejet de toutes les formes de corruption. Il faut substituer à la corruption, qui vole les pauvres, le soin des pauvres. Avoir soin des pauvres doit être un élément essentiel de notre vie et de notre témoignage de chrétien. Nous avons besoin d'une culture de l'honnêteté".
Avant de gagner la Salle Paul VI, le Pape François avait béni dans le hall de Ste Marthe les agneaux dont la laine servira à tisser les nouveaux pallium.
Après la catéchèse, le Pape a lancé un appel à prier pour les victimes des graves troubles qui se sont produit au Niger : "Demandons au Seigneur le don de la paix et de la réconciliation. Que les sensibilités religieuses ne soient pas causes de violence, d'abus et de destruction. Puise au plus tôt se rétablir dans ce pays un climat de respect mutuel et de coexistence pacifique".
Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 21.1.15).
Texte intégral traduit en français sur Zenit.org.
Résumé :
« Frères et sœurs, je voudrais aujourd’hui revenir sur mon voyage de la semaine dernière en Asie. Le moment culminant de ma visite au Sri Lanka a été la canonisation de saint Joseph Vaz, grand missionnaire qui exerça son ministère à un moment de violente persécution. J’ai souvent abordé le thème de la réconciliation, auprès des autorités civiles, comme devant les chefs des différentes religions, mais surtout au sanctuaire marial de Madhu, demandant à Notre Dame l’unité et la paix pour le peuple sri-lankais. Je suis allé aussi au Philippines, qui fête les cinq cents ans de son évangélisation. Après avoir exprimé ma proximité au victimes du Typhon Yolanda ainsi que mes remerciements à tous ceux qui avaient porté secours, j’ai rencontré les familles, qui sont aujourd’hui menacées et ont besoin d’être protégées. J’ai voulu enfin offrir une parole d’encouragement aux jeunes dans leurs efforts pour renouveler la société, avec une attention spéciale aux pauvres. »
« Je salue cordialement les pèlerins de langue française, en particulier les prêtres du diocèse d’Aix et Arles, avec leur Évêque, Monseigneur Christophe Dufour.
Que le Seigneur vous donne la grâce de le suivre et de toujours garder l’espérance même dans les épreuves et les moments difficiles, à l’exemple des communautés chrétiennes d’Asie que j’ai rencontrées.
Bon pèlerinage ! »
Source : Site internet du Vatican.
Texte intégral original en italien sur le site internet du Vatican.
Manille (Agence Fides) – En posant son regard sur le Seigneur crucifié, le pauvre par excellence, « dépouillé de Sa dignité même », l’Église aux Philippines invite « à célébrer l’année 2015 comme celle des pauvres ». Le Christ, par Sa souffrance, « se fait opprimé, méprisé, impuissant, misérable » remarquent les Évêques dans un message rendu public le 30 novembre par S.Exc. Mgr Socrates B. Villegas, Archevêque de Lingayen Dagupan et Président de la Conférence épiscopale, transmis à l’Agence Fides.
Le message s’adresse ainsi à tous les pauvres : « Sur Sa croix, Il est avec toi. Le Christ est le Dieu avec vous. Il a pris ta nudité, ta vulnérabilité, la faim, la maladie, la honte » invitant à « crier vers Lui en regardant le Seigneur crucifié dans les yeux ». Quel message arrive de cette croix ? demandent les Évêques. Un message de résurrection : « Je suis venu pour porter la vie en Abondance. Bienheureux, vous les pauvres, bienheureux, vous qui avez faim, bienheureux, serez-vous lorsqu’ils vous haïront ». « Au cours de l’Année des pauvres, nous vous disons à tous : venez à Jésus et vous trouverez le repos », exhortant par ailleurs à prier et à demander de l’aide au Christ en toute circonstance.
L’Année des pauvres constitue également un avertissement pour les riches afin qu’ils ne vivent pas « une vie d’égoïstes » mais orientée vers le bien commun et la solidarité. Les riches sont, eux aussi, invités à « fixer leurs regards sur Jésus » et à écouter Sa voix : « Tout ce que vous avez fait à l’un de ceux-ci, le plus petit d’entre mes frères et sœurs, c’est à moi que vous l’avez fait ».
« Aux Philippines – écrivent les Évêques – cela signifie bloquer avec urgence la corruption ». « Il est urgent d’interrompre l’usage impropre des fonds du peuple, d’arrêter la destruction indiscriminée de l’environnement, de combattre la pauvreté, de redistribuer équitablement la richesse, de construire une économie qui réponde aux critères de justice, de fournir une instruction respectueuse de toutes nos personnes, en tant qu’êtres humains et enfants de Dieu ». Le dernier appel s’adresse aux Curés et aux prêtres, appelés à quitter les conforts et à embrasser à nouveau une vie simple, proche des pauvres. (PA)
Source : Agence Fides (01/12/2014).
On estime qu’il y a dans le monde 158 millions d’enfants âgés entre 5 et 14 ans qui travaillent, soit un enfant sur six. Derrière l’Afrique subsaharienne (69 millions d’enfants au travail) et l’Asie du Sud (44 millions) l'Amérique latine emploierait, d’après l’OIT, 13 millions d’enfants.
Ils sont omniprésents mais invisibles. Au total, 168 millions d’enfants sont mis au travail à travers le monde comme employés de maison, derrière les murs des ateliers et, loin des regards, dans les plantations. L’agriculture continue à être de loin le secteur avec le plus grand nombre d’enfants astreints au travail (98 millions, ou 59%). Des millions d’enfants travaillent dans des situations ou conditions dangereuses (travail dans les mines, avec des produits chimiques et des pesticides dans l’agriculture ou donnant lieu à la manipulation de machines dangereuses, etc.).
Costa Rica : Plus de 47.000 enfants exploités au travail
Au Costa Rica, le travail des mineurs est absolument interdit par la loi jusqu’à l’âge de 15 ans. De 15 à 18 ans, il doit par ailleurs respecter des normes bien précises. Actuellement, il existe dans le pays une forte collaboration et un fort engagement en faveur de l’éradication de l'exploitation des mineurs, présente en particulier dans le secteur agricole et dans les travaux domestiques. Toutefois, il demeure difficile de combattre la mendicité et la vente ambulante d’objets dans les rues. Les enfants sont contraints à travailler sans un horaire fixe, privés de rémunération, en étant soumis à la violence physique. Les plaintes qui arrivent sont très peu nombreuses, selon le PANI: 25 par an même si le phénomène est beaucoup plus répandu et que plus de 47.000 enfants sont victimes de cet abus. Selon les données du Bureau international du travail relatives à 2013, au niveau mondial, 85 millions de mineurs travaillaient dans le cadre d’activités dangereuses
Bolivie : Révisions et réformes pour lutter contre l’exploitation des mineurs
En Bolivie, pays de dix millions d’habitants, le travail des enfants est culturellement considéré comme normal, et il existe même un syndicat de jeunes ouvriers créé en 2011, l’Unatsbo, qui milite pour sa régularisation et refuse tout âge légal. Le travail des mineurs constitue l’une des plaies sociales du pays. Actuellement, en Bolivie, vivent 850.000 mineurs contraints à travailler pour aider leurs familles. De son côté, le ministère du Travail bolivien assure que 87% d’entre eux font un travail dangereux, notamment dans les mines, les briqueteries ou à la campagne au moment des récoltes de canne à sucre.
La majeure partie d’entre eux alterne le travail et l’école. Toutefois, récemment, l’Etat a proposé une norme visant à freiner ce phénomène qui implique la génération destinée à représenter l’avenir de la nation. Il s’agit d’une réforme de l’actuel Code relatif aux enfants et aux adolescents, qui prévoit le respect des normes internationales en matière de travail. Le Code réglementera les activités rémunérées à partir de 14 ans et de celles des enfants de 12 ans avec la supervision des parents. Cette réforme constitue une nouvelle tentative de lutte contre l’exploitation des mineurs.
Pérou, 100.000 mineurs ont moins de 12 ans
Au Pérou voisin, 30 millions d’habitants, 1,6 million d’enfants exercent les métiers les plus divers, dans les travaux agricoles, les fabriques de briques, la construction, et plus de 100.000 d’entre eux âgés de 5 à 12 ans travaillent dans les mines.
Le travail s’oppose souvent à l’éducation de l’enfant. L’assurance que tous les enfants aillent à l’école et que leur éducation soit de bonne qualité représente une clé de la prévention du travail des enfants. Mais le facteur le plus déterminant reste le niveau de vie des parents. La plupart des familles qui mettent leurs enfants au travail trouvent dans ces revenus un apport essentiel à leur subsistance.
Manu Van Lier avec Fides et Libération
Source : Mesurer les progrès de la lutte contre le travail des enfants – Estimations et tendances mondiales 2000-2012 (OIT-IPEC, 2013) – photo : UNICEF, enfant au travail au Salvador.
Source : InfoCatho.be.
St Matthias, apôtre
Dimanche des Rameaux et de la Passion
Calendrier liturgique
(abstinence)
Ste Scholastique, vierge
Ste Scholastique, moniale, sœur de St Benoît
En Suisse : Solennité de St Nicolas de Flüe
patron principal de la Confédération helvétique