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Ant. ad Introitum. Act. 1, 11. Viri Galilæi, quid admirámini aspiciéntes in cælum ? allelúia : quemádmodum vidístis eum ascendéntem in cælum, ita véniet, allelúia, allelúia, allelúia. Hommes de Galilée, pourquoi vous étonnez-vous en regardant le ciel ? Alléluia. De la même manière que vous l’avez vu monter au ciel, il reviendra, alléluia, alléluia, alléluia.
Ps. 46, 2. Omnes gentes, pláudite mánibus : iubiláte Deo in voce exsultatiónis. Nations, frappez toutes des mains ; célébrez Dieu par des cris d’allégresse.
Franz Liszt : Saint François de Paule marchant sur les flots Anne-Marie Dubois, piano
Le miracle de saint François de Paule marchant sur les flots fascinait Franz Liszt. Il avait un grand nombre de peintures le représentant, qu'il exposait en permanence sur un mur chez lui. Saint François de Paule était son saint préféré.
Franz Liszt signe, à propos de ce miracle célèbre, survenu au XVe siècle, un article dont voici un extrait condensé :
Arrivés près de la plage de Cattona, saint François de Paule et ses deux compagnons virent une barque prête à partir pour la Sicile. Saint François demanda au batelier de bien vouloir les conduire sur l'île. Ce dernier exigea le prix du passage. Mais comme les moines n'avaient pas de quoi payer, il refusa de les prendre à son bord. Témoins de la scène, des habitants, qui avaient accompagné saint François, prièrent le batelier d'embarquer ces pauvres moines, en assurant que l'un d'eux était un saint. Sa réponse fut la suivante: « Si c'est un saint, il n'a qu'à se promener sur les vagues et faire un miracle ! » Puis, sa barque s'éloigna. Sans se troubler, saint François, après avoir prié, déposa sur l'eau le manteau d'un de ses compagnons, puis, soutenant le sien au bout de son bâton, après l'avoir béni, il en fit une voile. Soutenus par une foi inébranlable, et par la grâce de Dieu, le saint et ses compagnons arrivèrent à bon port bien avant la barque du batelier. (d'après le chapitre 35 de la Vie de Saint François de Paule, par Giuseppe Miscimarra.)
Ant. ad Introitum. Ps. 24, 15-16. Oculi mei semper ad Dóminum, quia ipse evéllet de láqueo pedes meos : réspice in me, et miserére mei, quóniam únicus et pauper sum ego. Mes yeux sont constamment tournés vers le Seigneur ; car c’est lui qui retirera mes pieds du filet : regardez-moi et ayez pitié de moi ; car je suis délaissé et pauvre.
Ps. ibid., 1-2. Ad te, Dómine, levávi ánimam meam : Deus meus, in te confído, non erubéscam. Vers vous, Seigneur, j’ai élevé mon âme : mon Dieu, je mets ma confiance en vous ; que je n’aie pas à rougir.
V/. Glória Patri.
"Qui biberit aquam" (Antienne de la Samaritaine, chant de communion du 3ème dimanche de Carême) : Nouvelle interprétation proposée par les "Cantori Gregoriani" sous la direction de Fulvio Rampi ICI. (avec guide d'écoute)