En certains endroits :
St Pothin de Lyon, évêque et ses comp., martyrs
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En certains endroits :
St Pothin de Lyon, évêque et ses comp., martyrs
« La lourde pierre n'était pas seulement sur le tombeau. Elle obstruait aussi tant de coeurs qui avaient besoin du choc pascal, du regard ou de la voix de Jésus ressuscité, pour la faire sauter. Marie-Madeleine, la toute première, dès qu'elle entendra son nom sur les lèvres de Jésus. Et les deux disciples d'Emmaüs, livrés à leur désespoir, dès qu'il leur rompra le pain. Et Pierre lui-même, encore tout à la honte de sa chute, dès que Jésus se fera voir de lui. Et plus rapidement encore, l'élu de la dernière heure, le larron sur la croix de droite, qui, dès aujourd'hui, c'est-à-dire, avant tout le monde, avant les saints et les justes de l'Ancien Testament, est avec Jésus dans le Paradis.
Alors, comment désespérer de la pierre qui pèse encore sur notre propre cœur et dont nous savons très bien depuis longtemps que nous sommes incapables de la faire bouger. Nous aurions tant voulu que nos efforts aboutissent ; nous aurions surtout souhaité que cette pierre n'eût jamais été là. Mais Jésus a préféré qu'elle y soit comme sur le tombeau de sa Pâque, - Ô bienheureuse pierre ! - pour que nous aussi, un jour, nous nous heurtions à la force de sa résurrection, et qu'elle vole en éclats, Jésus réalisant en nous l'impossible, en ramenant sur ses épaules ce qui semblait irrémédiablement perdu.
« Ô nuit de vrai bonheur, nuit où le ciel s'unit à la terre, où l'homme rencontre Dieu. » »
André Louf (1929-2010), Seul l'amour suffirait. Commentaires d’Évangile pour l'année B (Nuit de Pâques), Paris, Desclée de Brouwer, 1984.
Jésus veut construire son Église avec nous, nous en faisons tous partie et chacun de nous y a sa place : c’est le cœur de la méditation du Pape François ce dimanche 27 août 2017, avant la prière de l’Angélus, récitée depuis les fenêtres du Palais apostolique.
Devant une foule de fidèles et de pèlerins réunis Place St Pierre, le Souverain Pontife est revenu sur l’Évangile de ce dimanche, celui de la Confession de Pierre, en St Matthieu, « un passage-clé du chemin de Jésus et de ses disciples ».
« Et vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je ? » demande Jésus à ses disciples. Le Maitre sait ce que disent de Lui les gens du peuple, mais maintenant, Il veut savoir ce pensent ceux qui lui sont proches, ceux qui partagent sa vie et le connaissent de près. Et la réponse jaillit des lèvres de Simon-Pierre : « Tu es le Messie, le Fils du Dieu vivant ! » Avec ces paroles, inspirées par le Père céleste, Jésus comprend (1) que, « grâce à la foi donnée par le Père, il existe un fondement solide sur lequel Il peut construire sa communauté, son Église ». Et c’est pour cela qu’Il affirme à Simon : « Tu es Pierre, et sur cette pierre, je bâtirai mon Église ».
Et c’est avec nous, aujourd’hui, que Jésus veut continuer à construire son Église, assure le Pape, cette maison solide, « qui ne manque pas de fissures, et qui a constamment besoin d’être réparée, comme aux temps de St François d’Assise ». « Nous sommes des petites pierres, mais aucune de ces pierres n’est inutile ». Au contraire, « dans les mains de Jésus, elle devient précieuse, car Il la recueille, la garde avec grande tendresse, la travaille avec son Esprit, et la met à sa juste place ». C’est ainsi qu’avec l’amour de Jésus, nous devenons des « pierres vivantes », et chacun de nous a sa place et sa mission dans l’Église : « elle est communauté de vie, constituée de nombreuses petites pierres qui forment un seul édifice, dans le signe de la fraternité et de la communion ».
L’Évangile de ce jour nous rappelle en outre, ajoute le Pape, que Jésus a voulu, pour son Église, « un centre visible de communion à Pierre et ses successeurs, identifiés depuis les origines comme évêques de Rome, la ville où Pierre et Paul ont rendu témoignage », en versant leur sang.
Et le Saint-Père d’invoquer l’intercession et le soutien de la Vierge Marie, Reine des Apôtres et Mère de l’Église, « afin que nous réalisions pleinement l’unité et la communion pour lesquels le Christ et les apôtres ont prié et ont donné leur vie ».
Source : Radio Vatican.
Texte intégral traduit en français sur Zenit.org.
(1) Le Pape François dit : « E da questa risposta, Gesù capisce che, grazie alla fede donata dal Padre, c’è un fondamento solido su cui può costruire la sua comunità, la sua Chiesa. » (Source : site internet du Vatican) = « Et de cette réponse, Jésus comprend que, grâce à la foi donnée par le Père, il existe un fondement solide sur lequel Il peut construire sa communauté, son Église. »
Mais Jésus n'avait rien à "comprendre" : vrai Dieu et vrai Homme, il savait non seulement ce que Pierre allait répondre, mais aussi qu'il deviendrait la pierre de fondation de l’Église. Cette approche exclusivement humaine du Fils de Dieu est hélas devenue fort répandue parmi le clergé aujourd'hui. Il est d'autant plus affligeant de la retrouver au plus haut niveau de l’Église... [ndlr]
Motet à six voix pour la Fête des Saints Pierre et Paul
The Tallis Scholars
« L’Évangile du jour (Mt. XVI, 13-19) nous rappelle la scène de Césarée où Jésus, pour la première fois, proclama Pierre le fondement de l’Église : « Moi je te dis : Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église », parole qui eut une répercussion grandiose à travers les siècles et qui, encore aujourd'hui, témoigne du primat de Pierre et de tous ses successeurs, sur toute la chrétienté. Non pas sur un grand nombre de petites Églises... mais sur une grande, unique Église : l’Église catholique, apostolique, romaine. Une Église unique, dont l'unique fondateur et chef est le Christ, qui a voulu trouver en Pierre son représentant. « Là où est Pierre, est l’Église » (St Ambroise), ce qui revient à dire : là où est le Pape, successeur de Pierre, là est l’Église. [...] « Je suis fille de l’Église », répétait Thérèse de Jésus au moment de la mort. Après avoir tant travaillé pour Dieu et les âmes, tel était l'unique titre dont elle voulut se prévaloir pour s'assurer la miséricorde divine. [...]
Qui que tu sois, prêtre ou laïc, religieux ou père de famille, simple chrétien ou humble moniale, tu es appelé, toi aussi, à soutenir l’Église, de même que dans un édifice ce ne sont pas seulement les grands blocs de granit, mais aussi les plus petites briques, qui contribuent à étayer l'ensemble. Ce sens apostolique profond ne peut faire défaut à une âme de vie intérieure ; il doit la rendre consciente de sa part de responsabilité dans le développement de l’Église... Si tu es un véritable enfant de l’Église, tu ne resteras pas indifférent à ses nécessités, ses intérêts, ses souffrances. Aujourd'hui, plus que jamais, l’Église souffre : elle souffre dans son Vicaire... dans ses évêques, dans ses prêtres persécutés, martyrisés, réduits à l'impuissance ; elle souffre dans ses fidèles abandonnés et dispersés, comme des brebis sans pasteur ; elle souffre à cause des erreurs, mais aussi des calomnies déchaînées contre elle. Et toi, son enfant, tu resterais indifférent ? Souffre avec ta Mère, prie, travaille, dépense tes forces pour la servir, la défendre. Oublie tes petits soucis personnels et consacre aux grands intérêts de l’Église, ta vie, tes œuvres, ta prière, ton immolation silencieuse et cachée. »
P. Gabriel de Ste Marie-Madeleine O.C.D., Intimité Divine - Méditations sur la vie intérieure pour tous les jours de l'année, Tome II (Fête des Saints Pierre et Paul, Méditation), Monastère des Carmélites Déchaussées, Alost (Belgique) - Librairie du Carmel, Paris, 1962 (1ère éd. 1955).
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Pierre s'en prit donc à ses yeux, mais aucune prière ne tomba de ses lèvres. Je lis dans l’Évangile qu'il pleura, mais, nulle part, je ne lis qu'il prononça un mot de prière ; je vois couler ses larmes, mais je n'entends pas l'aveu de sa faute. Oui, Pierre a pleuré et il s'est tû : c'était justice, car, d'ordinaire, ce qu'on pleure ne s'excuse pas, et ce qu'on ne peut excuser peut se pardonner. Les larmes effacent la faute que la honte empêche d'avouer. Pleurer, c'est donc, tout à la fois, venir en aide à la honte et obtenir indulgence : par là, on ne rougit pas à demander son pardon, et on l'obtient en le sollicitant. Oui, les larmes sont une sorte de prière muette : elles ne sollicitent pas le pardon, mais elles le méritent ; elles ne font aucun aveu, et pourtant elles obtiennent miséricorde. En réalité, la prière de larmes est plus efficace que celle de paroles, parce qu'en faisant une prière verbale, on peut se tromper, tandis que jamais on ne se trompe en pleurant. A parler, en effet, il nous est parfois impossible de tout dire, mais toujours nous témoignons entièrement de nos affections par nos pleurs. Aussi Pierre ne fait-il plus usage de sa langue, qui avait proféré le mensonge, qui lui avait fait commettre le péché et perdre la foi ; il a peur qu'on ne croie pas à la profession de foi sortie d'une bouche qui a renié son Dieu : de là sa volonté bien arrêtée de pleurer sa faute, plutôt que d'en faire l'aveu, et de confesser par ses larmes ce que sa langue avait déclaré ne pas connaître. Si je ne me trompe, voici encore pour Pierre un autre motif de garder le silence : demander son pardon sitôt après sa faute, n'était-ce pas une impudence plus capable d'offenser Dieu, que de l'amener à se montrer indulgent ? Celui qui rougit en sollicitant son pardon, n'obtient-il pas ordinairement plus vite la grâce qu'il demande ? Donc, en tout état de faute, mieux vaut pleurer d'abord, puis prier. Nous apprenons ainsi, par cet exemple, à porter remède à nos péchés, et il s'ensuit que si l'Apôtre ne nous a pas fait de mal en reniant son Maître, il nous a fait le plus grand bien par la manière dont il a fait pénitence de son péché.
Enfin, imitons-le relativement à ce qu'il a dit en une autre occasion. Le Sauveur lui avait, trois fois de suite, adressé cette question : « Simon , m'aimes-tu (3)? » et, chaque fois, il avait répondu : « Seigneur, vous le savez, je vous aime ». Et le Seigneur lui dit : « Pais mes brebis ». La demande et la réponse ont eu lieu trois fois pour réparer le précédent égarement de Pierre. Celui qui, à l'égard de Jésus, avait proféré un triple reniement, prononce maintenant une triple confession, et autant de fois sa faiblesse l'avait entraîné au mal, autant de fois, par ses protestations d'amour, il obtient la grâce du pardon. Voyez donc combien il a été utile à Pierre de verser des larmes : avant de pleurer, il est tombé ; après avoir pleuré, il s'est relevé : avant de pleurer, il est devenu prévaricateur ; après avoir pleuré, il a été choisi comme pasteur du troupeau, il a reçu le pouvoir de gouverner les autres, bien qu'il n'ait pas su, d'abord, se diriger lui-même. Telle fut la grâce que lui accorda Celui qui, avec Dieu le Père et le Saint-Esprit, vit et règne dans les siècles des siècles. Ainsi soit-il. »
1. Gen. III, 9. - 2. Ps XXXIII, 16. - 3. Jean, XXI, 13. - 2. Ibid. 1.
St Augustin (345-430), extraits du Onzième Sermon sur la chute de Pierre (3-4), in "Œuvres complètes de Saint Augustin" (Suite du Tome XI : sixième série, sermons inédits, troisième Supplément), traduites pour la première fois en français sous la direction de M. l'abbé Raulx, Bar-Le-Duc, L. Guérin et Cie Éditeurs, 1868.
Source : Abbaye Saint Benoît de Port-Valais - CH 1897 Le Bouveret (VS).
Voir aussi sur notre site, pour la Fête des Saints Pierre et Paul, apôtres :
- St Bernard, extraits du Deuxième Sermon pour la Fête des Saints Apôtres Pierre et Paul (5-6)
- St Augustin, extraits du Neuvième Sermon pour la Fête des Saints Apôtres Pierre et Paul (II)
- St Bernard, Troisième Sermon pour la Fête des Apôtres Saint Pierre et Saint Paul.
Francisco de Zurbarán (1598–1664), Les larmes de Saint Pierre
El Greco Museum, Tolède (Espagne)
(Crédit photo)
En certains endroits : St Pothin de Lyon, évêque et ses comp., martyrs
« Tout le long de notre vie, Christ nous appelle. Il nous a appelés d'abord par le baptême, mais plus tard aussi ; que nous obéissions ou non à sa voix, il nous appelle encore en sa miséricorde. Si nous manquons à nos promesses baptismales, il nous appelle à nous repentir. Si nous nous efforçons de répondre à notre vocation, il nous appelle toujours plus avant, de grâce en grâce, de sainteté en sainteté, tant que la vie nous est laissée pour cela.
Abraham a été appelé à quitter sa maison et son pays (Gn 12,1), Pierre ses filets (Mt 4,18), Matthieu son emploi (Mt 9,9), Elisée sa ferme (1R 19,19), Nathanaël sa retraite (Jn 1,47). Sans cesse, tous nous sommes appelés, d'une chose à l'autre, toujours plus loin, n’ayant pas de lieu de repos, mais montant vers notre repos éternel, et n'obéissant à un appel intérieur que pour être prêts à en entendre un autre. Christ nous appelle sans cesse, pour nous justifier sans cesse ; sans cesse, de plus en plus, il veut nous sanctifier et nous glorifier.
Nous devons le comprendre, mais nous sommes lents à nous rendre compte de cette grande vérité, que Christ marche en quelque sorte parmi nous, et que de sa main, de ses yeux, de sa voix, il nous fait signe de le suivre. Nous ne saisissons pas que son appel est quelque chose qui a lieu en ce moment même. Nous pensons qu'elle a eu lieu au temps des apôtres ; mais nous n’y croyons pas, nous ne l'attendons pas vraiment pour nous-mêmes. [...]
Il n'y a rien de miraculeux ou d'extraordinaire dans ses rapports avec nous. Il agit par l'intermédiaire de nos facultés naturelles et des circonstances de notre vie. Pourtant, sa Providence est pour nous, dans tous les points essentiels, ce qu'était sa voix pour ceux qu'il appelait quand il était sur la terre : qu'il commande par une présence visible, ou par une voix, ou par notre conscience, cela importe peu, du moment que nous sentons qu'il y a commandement. S'il y a un commandement, on peut y obéir, ou y désobéir ; on peut l'accepter comme l'acceptèrent Samuel ou saint Paul, ou le repousser comme fit le jeune homme qui avait de grands biens. »
Bx John Henry Newman (1801-1890), Parochial and Plain Sermons (PPS) vol. 8, n° 2 « Divine Calls ».
Jésus appelle Saint André et Saint Pierre
(crédit photo)
Mémoire des Sts Marcellin, Pierre et Erasme, martyrs
En certains endroits : St Pothin de Lyon, évêque, et ses comp. martyrs
Ste Catherine d'Alexandrie, vierge et martyre
Sainte Catherine avec la palme du martyre, l'épée et la roue, instruments de son supplice
Grandes heures d'Anne de Bretagne, Jean Bourdichon, XVIe
St François d'Assise, confesseur, fondateur
Au calendrier traditionnel : Ste Thérèse de l’Enfant Jésus, religieuse et docteur de l’Église
Calendrier liturgique
Vénération de la Sainte-Croix, Les Très Riches Heures du duc de Berry (Folio 193r)
(Source et crédit photo)
Place Saint Pierre de Rome, le Pape François, dans sa prière de l'Angélus dominical, est revenu sur « le moment crucial » lors duquel Jésus, après avoir vérifié que Pierre et les autres onze apôtres avaient cru en Lui comme le Messie et le Fils de Dieu, « commença à [leur] montrer qu'il lui fallait partir pour Jérusalem, souffrir beaucoup […], être tué, et le troisième jour ressusciter ». (Mt 16, 21).
Pour le Souverain Pontife, c'est un « moment critique lors duquel apparaît le contraste entre les modes de penser de Jésus et des disciples ». « Pierre se sent même le devoir de le réprimander, poursuit-il, car il ne peut pas attribuer au Messie une fin si ignoble. » Pierre est alors à son tour réprimandé par Jésus, car ses « pensées ne sont pas celles de Dieu, mais celles des hommes » et sans s'en apercevoir fait la part de Satan.
« Nous les chrétiens vivons dans le monde, pleinement insérés dans la réalité sociale et culturelle de notre temps, analyse le Pape, et c’est juste ainsi, mais cela comporte le risque que nous devenions “mondains”, que nous perdions la charge de nouveauté qui nous vient du Seigneur et de l'Esprit Saint. Ce devrait être le contraire ; quand dans les chrétiens reste vive la force de l’Évangile, celle-ci peut transformer "les critères de jugement, les valeurs déterminantes, les points d’intérêts, la ligne de pensée, les sources d’inspiration et les modèles de vie" ». (Paul VI, Evangelii nuntiandi, 19).
« Il est ainsi nécessaire de se renouveler continuellement, poursuit le Saint-Père. Comment faire cela, dans la pratique », questionne-t-il : « En lisant et méditant l’Évangile chaque jour, pour que la Parole de Jésus soit toujours présente dans notre vie ; en participant à la Messe du dimanche, où l'on rencontre le Seigneur dans la communauté, écoute sa Parole et reçoit l'Eucharistie qui nous unit à Lui et entre nous. Enfin sont très importantes pour le renouvellement spirituel les journées de retraite et d'exercices spirituels. Grâce à ces dons du Seigneur, nous pouvons nous conformer non au monde, mais au Christ, et Le suivre dans sa vie, perdant sa propre vie, dans le sens de l'offrir pour amour et dans l'amour. Et cela comporte le sacrifice, la croix, pour la recevoir nouvellement purifiée, libérée de l'égoïsme et de l'hypothèque de la mort, pleine d'éternité. »
Source : Radio Vatican.
Après la prière mariale, le Pape a salué les nombreux pèlerins réunis sur la place et a rappelé que demain, lundi 1er septembre, on célébrera en Italie la Journée annuelle pour la protection de la création, organisée par la Conférence épiscopale italienne (Eduquer pour la protection de la création, pour la santé de notre pays et de nos villes). Le Pape François a souligné l'importance de ce sujet et a lancé un appel pour que "se renforce l'engagement de tous, institutions, associations et citoyens, afin que soit sauvegardées la vie et la santé des personnes en respectant également l'environnement et la nature". Enfin, il a adressé un salut particulier aux parlementaires catholiques réunis pour leur cinquième rencontre internationale en les encourageant à "vivre le rôle délicat de représentants du peuple en conformité aux valeurs évangéliques".
Source : Vatican Information Service.
Texte intégral en italien sur le site internet du Vatican.
Traduction française (texte intégral) sur Zenit.org.