Motet à six voix pour la Fête des Saints Pierre et Paul
The Tallis Scholars
paul
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Giovanni Pierluigi da Palestrina (v.1526-1594) : "Tu es Petrus"
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Méditation - Membres vivants de l'Eglise
« L’Évangile du jour (Mt. XVI, 13-19) nous rappelle la scène de Césarée où Jésus, pour la première fois, proclama Pierre le fondement de l’Église : « Moi je te dis : Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église », parole qui eut une répercussion grandiose à travers les siècles et qui, encore aujourd'hui, témoigne du primat de Pierre et de tous ses successeurs, sur toute la chrétienté. Non pas sur un grand nombre de petites Églises... mais sur une grande, unique Église : l’Église catholique, apostolique, romaine. Une Église unique, dont l'unique fondateur et chef est le Christ, qui a voulu trouver en Pierre son représentant. « Là où est Pierre, est l’Église » (St Ambroise), ce qui revient à dire : là où est le Pape, successeur de Pierre, là est l’Église. [...] « Je suis fille de l’Église », répétait Thérèse de Jésus au moment de la mort. Après avoir tant travaillé pour Dieu et les âmes, tel était l'unique titre dont elle voulut se prévaloir pour s'assurer la miséricorde divine. [...]
Qui que tu sois, prêtre ou laïc, religieux ou père de famille, simple chrétien ou humble moniale, tu es appelé, toi aussi, à soutenir l’Église, de même que dans un édifice ce ne sont pas seulement les grands blocs de granit, mais aussi les plus petites briques, qui contribuent à étayer l'ensemble. Ce sens apostolique profond ne peut faire défaut à une âme de vie intérieure ; il doit la rendre consciente de sa part de responsabilité dans le développement de l’Église... Si tu es un véritable enfant de l’Église, tu ne resteras pas indifférent à ses nécessités, ses intérêts, ses souffrances. Aujourd'hui, plus que jamais, l’Église souffre : elle souffre dans son Vicaire... dans ses évêques, dans ses prêtres persécutés, martyrisés, réduits à l'impuissance ; elle souffre dans ses fidèles abandonnés et dispersés, comme des brebis sans pasteur ; elle souffre à cause des erreurs, mais aussi des calomnies déchaînées contre elle. Et toi, son enfant, tu resterais indifférent ? Souffre avec ta Mère, prie, travaille, dépense tes forces pour la servir, la défendre. Oublie tes petits soucis personnels et consacre aux grands intérêts de l’Église, ta vie, tes œuvres, ta prière, ton immolation silencieuse et cachée. »
P. Gabriel de Ste Marie-Madeleine O.C.D., Intimité Divine - Méditations sur la vie intérieure pour tous les jours de l'année, Tome II (Fête des Saints Pierre et Paul, Méditation), Monastère des Carmélites Déchaussées, Alost (Belgique) - Librairie du Carmel, Paris, 1962 (1ère éd. 1955). -
Vendredi 21 novembre 2014
Présentation de la Bse Vierge Marie
Calendrier liturgique -
Vendredi 03 octobre 2014
Au calendrier traditionnel : Ste Thérèse de l’Enfant Jésus, religieuse et docteur de l’Église
Calendrier liturgique -
Jeudi 25 septembre 2014
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Vendredi 29 août 2014
Martyre de St Jean-Baptiste
(Décollation de St Jean-Baptiste)Graduel de la Messe de ce jour (Commun des confesseurs)
Graduale. Ps. 91, 13 et 14
Iustus ut palma florébit : sicut cedrus Líbani multiplicábitur in domo Dómini.
Le juste fleurira comme le palmier : il se multipliera comme le cèdre du Liban dans la maison du Seigneur.
V/. Ibid., 3. Ad annuntiándum mane misericórdiam tuam, et veritátem tuam per noctem.
V/. Pour annoncer le matin votre miséricorde et votre vérité durant la nuit. -
Méditation : "Supportez-vous les uns les autres" (Ga 6,2 ; Col 3,13)
« Dieu vous ordonne d'aimer le prochain tel qu'il est, et avec toutes ses faiblesses : et ce sont les faiblesses mêmes du prochain qui doivent être la matière de votre charité. Si les gens étaient sans défaut, qu'aurions-nous à en souffrir ? Et n'ayant rien à souffrir de personne, comment accomplirions-nous cette divine leçon de saint Paul : Supportez-vous les uns les autres (Ga 6,2 ; Col 3,13) ? Mais que cet homme ne se corrige-t-il pas ? De se corriger, c'est son affaire ; mais de le supporter, quoiqu'il ne se corrige pas, c'est la vôtre. Faites ce qui est pour vous du devoir de la charité, et du reste n'examinez point si les autres font ce qu'ils doivent, ou s'ils ne le font pas, puisque vous n'aurez point à en rendre compte. »
Louis Bourdaloue s.j. (1632-1704), Pensées diverses sur la charité du prochain, in "Œuvres de Bourdaloue" Tome V (Pensées - De la charité chrétienne et des amitiés humaines), Paris, Lefevre - Pourrat Frères, 1888. -
Dimanche 17 août 2014
20e Dimanche du Temps ordinaire
(Calendrier traditionnel : 10ème Dimanche après la Pentecôte)
Calendrier liturgique -
Vendredi 25 juillet 2014
St Jacques le Majeur, apôtre
NB : Nous fêtons aujourd'hui l'Apôtre St Jacques, dit le Majeur, fils de Zébédée et de Marie Salomé, frère de l'apôtre Jean, vénéré à Compostelle - à ne pas confondre avec l'Apôtre Jacques, dit le mineur, fils d'Alphée, premier évêque de Jérusalem et auteur de l'épître du N.T..
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Dimanche 20 juillet 2014
16e Dimanche du Temps ordinaire
(Calendrier traditionnel : 6ème Dimanche après la Pentecôte)
Calendrier liturgique -
Angélus de ce dimanche 29 juin 2014
C’est sous un beau et chaud soleil d’été que le Pape a récité la prière de l’Angélus, juste après avoir célébré la Messe en la basilique Saint Pierre. En cette solennité des Saints Pierre et Paul, patrons de l’Église de Rome, le Pape est revenu sur la figure de ces deux « colonnes de l’Église ».
Deux hommes « très différents sur le plan humain », a rappelé le Pape, mais qui ont tous deux répondu à l’appel du Christ, lui offrant toute leur vie. Pierre, celui qui a renié le Christ, et Paul, celui qui a persécuté les chrétiens. En eux, la grâce de Dieu « a accompli de grandes choses, elle les a transformés ». Pierre et Paul ont tous deux « accueilli l’amour de Dieu et se sont laissés transformer par sa miséricorde », devenant ainsi ses témoins, ses « amis ». C’est pour cela que l’Église célèbre leur mémoire, car ils « nous indiquent aujourd’hui encore le chemin vers le salut ».
Les Actes des Apôtres, relève encore le Pape, nous racontent plusieurs épisodes symboliques de la vie de ces deux saints. Et le Saint-Père de citer deux exemples précis : la guérison de l’infirme de la Belle-Porte par l’intercession de Pierre et Jean (Actes 3), et la conversion de Paul sur la route de Damas, racontée à trois reprises (dans les Actes des apôtres et les épîtres de Paul). Quelle conclusion peut-on en tirer ? « la rencontre avec la parole du Christ peut transformer notre vie. Il n’est pas possible d’écouter cette parole et de rester prisonniers de nos habitudes. Elle nous pousse à vaincre l’égoïsme que nous avons dans le cœur, pour suivre le Seigneur qui a donné sa vie pour ses amis », a encore déclaré le Pape.
Cette fête des Saints Pierre et Paul, a ajouté François, nous réjouit, car elle nous montre l’œuvre de la Miséricorde de Dieu dans le cœur de deux hommes, « deux pécheurs ».
Le Pape prie pour l'Irak et lance un appel à ses dirigeants
A l’issue de la prière de l’Angélus, il a fait part de son inquiétude pour la situation en Irak, appelant les autorités politiques de ce pays, en proie à une violente insurrection islamiste, à « préserver l’unité nationale », et à « éviter la guerre ». Réunis en synode à Erbil, capitale du Kurdistan irakien, ces derniers jours, les évêques de l’Église chaldéenne avaient souhaité la formation rapide d'un gouvernement d'unité nationale.
« Les nouvelles qui nous parviennent d’Irak sont malheureusement très douloureuses. Je m’unis aux évêques de ce pays dans leur appel aux gouvernants, pour que, par le dialogue, l’unité nationale puisse être préservée, et qu’on puisse éviter la guerre.
Je suis proche des milliers de familles, surtout chrétiennes, qui ont dû abandonner leurs maisons, et qui sont en grave danger. La violence engendre la violence. Le dialogue est l’unique chemin vers la paix. »
En conclusion, le Pape a confié le peuple irakien éprouvé à la Vierge Marie, et a invité la foule à prier un Ave Maria.
Après avoir salué les nombreuses personnes présentes venues du monde entier, le Pape a demandé aux fidèles de prier pour lui : « S’il vous plait, n’oubliez pas de prier pour moi ! »
Source : Radio Vatican. -
Célébration à la basilique Saint-Pierre : Messe et imposition du Pallium aux nouveaux Métropolites
Le Pape François présidera la Messe de la Solennité des saints Apôtres Pierre et Paul, patrons de l’Église de Rome, ce dimanche 29 juin à 9h30 en la basilique Saint-Pierre.
Le Saint-Père imposera le pallium aux 24 nouveaux archevêques métropolitains nommés au cours de l'année.
Une délégation du patriarcat œcuménique de Constantinople sera également présente pour la célébration, dans le cadre de l’échange fraternel de délégations pour les fêtes des saints patrons : le 29 juin à Rome pour la célébration des saints Pierre et Paul, et le 30 novembre à Istanbul pour la célébration de la fête de l’apôtre saint André.Homélie (texte intégral) :
« En cette solennité des saints Apôtres Pierre et Paul, patrons principaux de Rome, nous accueillons avec joie et reconnaissance la Délégation envoyée par le Patriarche œcuménique, le vénéré et aimé frère Bartolomeo, conduite par le Métropolite Ioannis. Nous prions le Seigneur pour que cette visite puisse aussi renforcer nos liens fraternels sur le chemin vers la pleine communion entre les deux Églises sœurs, que nous désirons tant.
« Le Seigneur a envoyé son ange et il m’a arraché aux mains d’Hérode » (Ac 12, 11). Aux débuts du service de Pierre dans la communauté chrétienne de Jérusalem, il y avait encore une grande peur à cause des persécutions d’Hérode contre certains membres de l’Église. Il y avait eu le meurtre de Jacques, et maintenant la captivité de Pierre lui-même pour faire plaisir au peuple. Tandis qu’il était en prison et enchaîné, il entend la voix de l’Ange qui lui dit : « Lève-toi vite !… Mets ta ceinture et tes sandales … Mets ton manteau et suis-moi » (Ac 12, 7-8). Les chaînes tombent et la porte de la prison s’ouvre toute seule. Pierre s’aperçoit que le Seigneur l’« a arraché aux mains d’Hérode » ; il se rend compte que Dieu l’a libéré de la peur et des chaînes. Oui, le Seigneur nous libère de toute peur et de toute chaîne, afin que nous puissions être vraiment libres. La célébration liturgique d’aujourd’hui exprime bien cette réalité, avec les paroles du refrain du psaume responsorial : « Le Seigneur m’a libéré de toute peur ».
Tel est le problème, pour nous, de la peur et des refuges pastoraux. Je me demande, chers frères Évêques : avons-nous peur ? De quoi avons-nous peur ? Et si nous avons peur, quels refuges cherchons-nous, dans notre vie pastorale, pour être en sécurité ? Nous cherchons peut-être l’appui de ceux qui ont le pouvoir en ce monde ? Ou bien nous laissons-nous tromper par l’orgueil qui cherche des gratifications et des reconnaissances, qui semblent nous mettre en sécurité ? Chers frères Évêques, où plaçons-nous notre sécurité ?
Le témoignage de l’Apôtre Pierre nous rappelle que notre véritable refuge est la confiance en Dieu : elle éloigne toute peur et nous rend libres de tout esclavage et de toute tentation mondaine. Aujourd’hui, l’Évêque de Rome et les autres Évêques, spécialement les Métropolites qui ont reçu le Pallium, nous nous sentons interpellés par l’exemple de saint Pierre à vérifier notre confiance dans le Seigneur.
Pierre retrouve la confiance quand Jésus lui dit par trois fois: « Pais mes brebis » (Jn 21.15.16.17). Et en même temps, Simon confesse par trois fois son amour pour Jésus, réparant ainsi le triple reniement de la passion. Pierre sent encore brûler en lui la blessure de cette désillusion causée au Seigneur, la nuit de la trahison. Maintenant qu’il lui demande : « M’aimes-tu ? », Pierre ne compte pas sur lui-même ni sur ses propres forces, mais sur Jésus et sur sa miséricorde : « Seigneur tu sais tout ; tu sais que je t’aime » (Jn 21, 17). Et ainsi disparaît la peur, l’insécurité, la pusillanimité.
Pierre a expérimenté que la fidélité de Dieu est plus grande que nos infidélités et plus forte que nos reniements. Il se rend compte que la fidélité du Seigneur éloigne nos peurs et dépasse toute imagination humaine. À nous aussi, aujourd’hui, Jésus pose la question : « M’aimes-tu ? ». Il le fait justement parce qu’il connaît nos peurs et nos efforts. Pierre nous montre la route : se confier à Lui, qui « connaît tout » de nous, nous fiant non pas tant à notre capacité d’être fidèles, qu’à sa fidélité inébranlable. Jésus ne nous abandonne jamais, parce qu’il ne peut se renier lui-même (cf. Tm 2, 13). Il est fidèle. La fidélité que Dieu nous assure inlassablement, à nous aussi, Pasteurs, au-delà de nos mérites, est la source de notre confiance et de notre paix. La fidélité du Seigneur à notre égard tient toujours éveillé en nous le désir de le servir et de servir les frères dans la charité.
L’amour de Jésus doit suffire à Pierre. Il ne doit pas céder à la tentation de la curiosité, de l’envie, comme lorsque, voyant Jean proche de lui, il demande à Jésus : « Seigneur, et lui ? » (Jn 21, 21). Mais Jésus, devant ces tentations, lui répond : « Que t’importe ? Toi, suis-moi » (Jn 21, 22). Cette expérience de Pierre constitue un message important aussi pour nous, chers frères Archevêques. Le Seigneur aujourd’hui me répète à moi, ainsi qu’à vous, et à tous les Pasteurs : Suis-moi ! Ne perds pas de temps en questions ou en bavardages inutiles ; ne t’arrête pas sur les choses secondaires, mais regarde l’essentiel et suis-moi. Suis-moi malgré les difficultés. Suis-moi dans la prédication de l’Évangile. Suis-moi dans le témoignage d’une vie qui correspond au don de la grâce du Baptême et de l’Ordination. Suis-moi en parlant de moi à ceux avec lesquels tu vis, jour après jour, dans l’effort du travail, du dialogue et de l’amitié. Suis-moi dans l’annonce de l’Évangile à tous, spécialement aux derniers, afin qu’à personne ne manque la Parole de vie, qui libère de toute peur et donne confiance dans la fidélité de Dieu. Toi, suis-moi ! »
Source : Radio Vatican - site internet du Vatican.
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Dimanche 29 juin 2014
Saint Pierre et Saint Paul / Sol.
Graduel de la Messe de ce jourInstitut du Christ Roi Souverain PrêtreGraduale. Ps. 44, 17-18.
Constítues eos príncipes super omnem terram : mémores erunt nóminis tui. Dómine.
Vous les établirez princes sur toute la terre : ils se souviendront de votre nom, de génération en génération, Seigneur.
V/. Pro pátribus tuis nati sunt tibi fílii : proptérea pópuli confítebúntur tibi.
V/. A la place de vos pères, des fils vous sont nés : c’est pourquoi les peuples vous loueront. -
Vendredi 20 juin 2014
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Samedi 07 juin 2014
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Mardi 03 juin 2014
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Dimanche 1er juin 2014
7ème Dimanche de Pâques
(Calendrier traditionnel : Dimanche après l’Ascension)
Calendrier liturgique -
Mercredi 28 mai 2014
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Samedi 17 mai 2014
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Jeudi 15 mai 2014