Au nouveau calendrier : Mémoire de
Ste Thérèse de l'Enfant Jésus
reims
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Jeudi 1er octobre 2020
de la férieEn France : St Rémi de Reims, évêque -
Viviane Lambert sera devant l'hôpital de Reims ce dimanche 19 mai pour supplier de laisser en vie son fils
Alors que le docteur SANCHEZ a annoncé l'arrêt de l'alimentation et de l'hydratation de Vincent Lambert à partir du 20 mai, Viviane Lambert sera devant l'hôpital de Reims ce dimanche 19 mai pour supplier de laisser en vie son fils
Message reçu de Viviane Lambert :
Chers amis,
Dans ces moments dramatiques, je suis très touchée par tous vos messages de soutien pour mon fils Vincent.
Vous êtes nombreux à me demander « Qu’est-ce qu’on peut faire » ?
Ce dimanche 19 mai , je serai dès 15h devant l’hôpital de Reims, pour les supplier de continuer à hydrater et nourrir Vincent. En France, en 2019, personne ne devrait mourir de faim et de soif. Si vous le souhaitez, vous pouvez m’accompagner.CHU de Reims - Hôpital Sébastopol
48 Rue de Sébastopol
03 26 78 78 78Il faut garder espoir jusqu’au bout et expliquer à tout le monde que Vincent n’est pas en fin vie, il est handicapé ! Rien n’est perdu, le comité des personnes handicapées de l’ONU a demandé à la France de continuer à hydrater et alimenter Vincent. Il faut que la France respecte la convention qu’elle a signée, elle doit le faire pour Vincent mais aussi pour tous les autres handicapés.
Encore merci à tous, du fond de mon cœur de maman.
Viviane Lambert, maman de Vincent Lambert.
Plus que jamais, restons mobilisés pour Vincent !
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Lundi 1er octobre 2018
de la férie
En France : St Rémi, évêque de ReimsBaptême de Clovis 1er, roi des Francs, par Saint Rémi,
représenté derrière la Basilique Saint Rémi à Reims (1896)Au nouveau calendrier :
Mémoire de Ste Thérèse de l'Enfant Jésus -
Samedi 1er octobre 2016
De la Sainte Vierge (Salve sancta parens)En France : St Rémi de Reims, évêqueBaptême de Clovis 1er, roi des Francs, par Saint Rémi
représenté derrière la Basilique Saint Rémi à Reims (1896)(Au nouveau calendrier : Ste Thérèse de l'Enfant Jésus, vierge) -
Jeudi 1er octobre 2015
Mémoire de St Rémi de Reims, évêque
Au nouveau calendrier : Mémoire de Ste Thérèse de l'Enfant-Jésus, vierge
(le 3 octobre au calendrier traditionnel) -
Mardi 25 novembre 2014
Ste Catherine d'Alexandrie, vierge et martyre
Sainte Catherine avec la palme du martyre, l'épée et la roue, instruments de son supplice
Grandes heures d'Anne de Bretagne, Jean Bourdichon, XVIe -
Vendredi 21 novembre 2014
Présentation de la Bse Vierge Marie
Calendrier liturgique -
Mardi 21 octobre 2014
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Lundi 20 octobre 2014
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Mardi 14 octobre 2014
St Calixte Ier, pape et martyr
Saint Calixte instituant les jeûnes. Vies de Saints. XIVe.
Ce fut ce Pape qui établit les Quatre-Temps et qui ordonna qu'en ces jours, le jeûne reçu dans l'Église de tradition apostolique, serait obligatoire pour tous.
Martyr en 222. Culte attesté en 336. Sa tombe fut retrouvée en 1960. -
Mercredi 1er octobre 2014
Ste Thérèse de l'Enfant-Jésus, carmélite, docteur de l’Église
Au calendrier traditionnel : Mémoire de St Rémi, évêque et confesseur
(En France : Messe propre)
Calendrier liturgique -
Dimanche 07 septembre 2014
23e Dimanche du Temps ordinaire
(Calendrier traditionnel : 13ème Dimanche après la Pentecôte)
Calendrier liturgique -
Samedi 23 août 2014
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Vendredi 22 août 2014
Vierge Marie Reine
Cœur Immaculé de la Bse Vierge Marie
Calendrier liturgique -
Mardi 1er juillet 2014
Calendrier liturgique
(Au calendrier traditionnel : Fête du Très Précieux Sang de Notre Seigneur Jésus Christ)
(Tout le mois de juillet est consacré au « Précieux Sang »)
Litanies du Très Précieux Sang -
Mercredi 15 janvier 2014
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Lundi 13 janvier 2014
(Calendrier traditionnel : Commémoraison du Baptême du Seigneur) -
Lundi 06 janvier 2014
Hors de France et au calendrier traditionnel :
Épiphanie (cf. note d'hier)« Voici qu’est arrivé (advenit) le Souverain, le Seigneur, dans sa main se trouve la dignité royale, la puissance et l’empire du monde » (Introït). L’Église nous indique par là que notre fête est l’accomplissement suprême de l’Avent. L’Épiphanie est le point culminant du cycle de Noël.
« Réjouissez-vous dans le Seigneur, mes très chers, je vous le dis encore, réjouissez-vous, car peu de temps après la solennité de la naissance du Christ, brille à nos yeux la fête de sa Manifestation. Celui qui, à Noël, est né de la Vierge, le monde l’a reconnu aujourd’hui. » (Mat. Homélie de saint Léon I)
Dom Pius Parsch, Le Guide dans l’année liturgique, Salvator - Casterman, 1936.
Épiphanie : Introït & GraduelAnt. ad Introitum. Malach. 3, 1 ; 1 Par. 29, 12.
Ecce, advénit dominátor Dóminus : et regnum in manu eius et potéstas et impérium.
Voici que vient le Seigneur Maître ; le pouvoir est dans sa main, la puissance et l’empire.
Ps. 71, 1.
Deus, iudícium tuum Regi da : et iustítiam tuam Fílio Regis.
O Dieu, donnez au roi votre jugement et au fils du roi votre justice.
V/.Glória Patri.
Graduale. Ibid., 6 et 1.
Omnes de Saba vénient, aurum et thus deferéntes, et laudem Dómino annuntiántes.
Tous ceux de Saba viendront, ils apporteront de l’or et de l’encens, et publieront les louanges du Seigneur.
V/. Surge et illumináre, Ierúsalem : quia glória Dómini super te orta est.
V/. Lève-toi, et resplendis, Jérusalem ! Car la gloire du Seigneur s’est levée sur toi. -
Samedi 04 janvier 2014
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Mercredi 25 décembre 2013
Nativité de Notre Seigneur
Calendrier liturgique« La date historique de la nativité temporelle du Sauveur étant inconnue dans les premiers temps, une antique tradition, inaugurée peut-être au début du IIe siècle, célébrait les diverses théophanies du Christ dans sa nature mortelle, c’est-à-dire sa naissance, sa manifestation aux Mages et son baptême dans le Jourdain, peu après le solstice d’hiver, dans les dix premiers jours de janvier. Cette date conventionnelle avait déjà trouvé crédit dans toutes les Églises, quand, on ne sait comment, Rome dédoubla pour son compte la fête des Théophanies, anticipant au 25 décembre l’anniversaire de la naissance temporelle du Sauveur.
Quand et comment l’Église-mère arriva-t-elle à établir cette date ? Nous l’ignorons, puisque, sauf un texte très douteux du commentaire d’Hippolyte sur Daniel, le plus ancien document qui fixe Noël au 25 décembre est le calendrier philocalien de 336, qui porte cette indication : VIII Kal. ian. natus Christus in Betleem Iudee. Évidemment, le chronographe n’annonce rien de nouveau, mais il se fait l’écho de la tradition romaine antérieure, qui, dans le Liber Pontificalis prétend remonter jusqu’au pape Télesphore. Dans le discours fait à Saint-Pierre par le pape Libère donnant, le jour de Noël, le voile des vierges à Marcelline, sœur de saint Ambroise, on ne relève aucune allusion à la nouveauté de la fête, mais, au contraire, tout le contexte donne l’impression qu’il s’agit d’une solennité de vieille date, à laquelle le peuple a coutume d’accourir en foule, en vertu d’une ancienne habitude. La fête de Noël fut, au début, propre au siège apostolique. Saint Jean Chrysostome qui l’introduisit à Antioche vers 375, en appelle précisément à l’autorité de la capitale du monde latin, où, à son avis, seraient encore conservés les actes du recensement de Quirinus, avec la date précise de la naissance du Christ à Bethléem le 25 décembre. D’Antioche, la fête passa à Constantinople. Sous l’évêque Juvénal, entre 424 et 458, elle fut introduite à Jérusalem, puis, vers 430, fut admise à Alexandrie, et, de ces célèbres sièges patriarcaux, elle se répandit aussi peu à peu dans les diocèses qui en dépendaient. Actuellement, seuls les Arméniens monophysites célèbrent encore la naissance du Christ à sa date primitive, le 6 janvier.
Il ne faut pourtant pas négliger une coïncidence. Le calendrier civil du recueil philocalien note au 25 décembre le Natalis invicti, la naissance du soleil, et cette naissance coïncide justement avec le solstice d’hiver. A l’époque où, grâce aux mystères de Mithra, le culte de l’astre du jour avait pris un tel développement que, au dire de saint Léon, même les fidèles qui fréquentaient la basilique Vaticane, se permettaient d’y pratiquer le rite superstitieux de saluer d’abord, de l’atrium de l’Apôtre, le disque solaire, il n’est pas improbable que le siège apostolique, en anticipant au 25 décembre la naissance du Christ, ait voulu opposer au Sol invictus, Mithra, le vrai Soleil de justice, cherchant ainsi à détourner les fidèles du péril idolâtre des fêtes païennes. Dans une autre occasion, tout à fait semblable, c’est-à-dire pour la fête des Robigalia le 25 avril, Rome adopta une identique mesure de prudence, et, au cortège païen du pont Milvius, elle substitua la procession chrétienne qui parcourait le même trajet. »
Bx Cardinal Schuster (1880-1954), Liber Sacramentorum - Notes historiques et liturgiques sur le Missel Romain, Tome I, Vromant, Bruxelles, 1933.