Saint Joseph, époux de la Bienheureuse Vierge Marie
Dessin de Fr. Weiss, in "Revue Saint-Joseph d'Allex" n°1035, Mars-Avril 2014.
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Saint Joseph, époux de la Bienheureuse Vierge Marie
Dessin de Fr. Weiss, in "Revue Saint-Joseph d'Allex" n°1035, Mars-Avril 2014.
Au nouveau calendrier :
Bienheureuse Vierge Marie, Mère de l'Église
Annonciation de la Bienheureuse Vierge Marie
(transférée du 25 mars)
Tableau de l'Annonciation, Basilique Notre-Dame des Victoires (Paris)
« Nous menons une vie triste et misérable ; mais nous pouvons la rendre heureuse en la rendant sainte ; nos jours sont couverts de nuages sombres ; mais le beau jour de l'éternité viendra les dissiper ; nous vivons éloignés de Dieu ; mais nous pouvons aller enfin nous réunir à lui pour toujours. Préparons-nous sans délai à cette réunion bienheureuse ; employons tous les instants de cette vie fragile et mortelle, à mériter une vie permanente et durable ; portons-y tous nos désirs et toutes nos espérances. Oui, tout périssables et mortels que nous sommes par notre nature, nous pourrons participer un jour au privilège de cette éternité bienheureuse, de cette immortalité glorieuse, qui appartient à Dieu par propriété et par essence, qu'il daigne nous communiquer par adoption et par grâce. Bornons là tous nos vœux, et ne vivons plus en ce monde que pour nous rendre dignes de vivre à jamais avec Dieu dans l'autre. »
(à suivre samedi 5 : Contemplation)
Père Alphonse de la Mère des Douleurs, Pratique journalière de l'oraison et de la contemplation divine d'après la méthode de Sainte Thérèse et de Saint Jean de la Croix, Tome sixième (Mardi de la dernière semaine, Oraison de la nuit - Méditation), Desclée, De Brouwer, Lille - Paris - Bruges, 1917
Annonciation de la Bienheureuse Vierge Marie
(transférée du 25 mars)
Bartolomé Esteban Murillo (1617-1682), La Vierge de l'Annonciation
Musée du Prado, Madrid (Espagne)
La canonisation de Mère Térésa par le Pape François devrait avoir lieu le 4 septembre 2016. Après des mois de rumeurs, nos confrères de Kerknet aurait eu vent de la date officielle, citant une information de l’agence de presse I.Media non vérifiée à l’heure d’écrire ces lignes.
Depuis plusieurs mois, le monde chrétien spécule sur la date de l’éventuelle canonisation de Mère Teresa. En plein « Jublié de la Misericorde » célébré du 8 décembre 2015 au 20 novembre 2016, la date du 4 septembre 2016 avait déjà été plusieurs fois évoquée, Selon nos confrères de Kerknet, citant eux-mêmes l’agence de presse spécialisée I.Media, cette date aurait, finalement, été officiellement arrêtée.
Mère Teresa, fondatrice de la congrégation des Missionnaires de la Charité est mondialement connue pour son action auprès des pauvres des bidonvilles de Calcutta. Selon Kerknet, le Vatican aurait reconnu la guérison inexpliquée, par l’intercession de Mère Teresa, d’un Brésilien alors que ce dernier combattait en phase finale une tumeur au cerveau.
Pour canoniser la religieuse d’origine albanaise, au moins deux miracles doivent être reconnus par l’Eglise catholique. Ce deuxième miracle s’ajoute à celui déjà reconnu d’une Indienne guérie d’une tumeur à l’estomac en 1998.
Mère Teresa fut béatifiée le 19 octobre 2003 par Jean-Paul II et devrait être proclamée sainte dans un peu plus de 13 mois.
S.T. (d’après Kerknet) - InfoCatho.be.
Dimanche 14 février 2015 à 11h00 dans la Basilique vaticane, le Pape François tiendra un Consistoire ordinaire public pour la création de nouveaux cardinaux, pour l'imposition de la barrette, la livraison de l'anneau et l'assignation du titre ou du diaconat.
Après la cérémonie, le Saint-Père tiendra également un Consistoire ordinaire public pour la canonisation des Bienheureuses :
- Jeanne Emilie de Villeneuve (1811-1854), religieuse , fondatrice de la Congrégation des Sœurs de Notre-Dame de l’Immaculée Conception de Castres ;
- Marie de Jésus Crucifié (née Mariam Baouardy, 1846-1878), moniale professe palestinienne de l'Ordre des Carmes Déchaux ;
- Marie-Alphonsine Danil Ghattas (Maryam Sultanah, 1843-1927), religieuse palestinienne, béatifiée le 23 novembre 2009, fondatrice de la Congrégation des Sœurs du Rosaire de Jérusalem.
Les décrets de reconnaissance des miracles avaient été rendu publics le 6 décembre 2014.
Source : Salle de Presse du Vatican.
Les traditionnelles visites aux nouveaux membres du Sacré Collège se dérouleront l'après-midi.
Salle Paul VI :
Dans le hall pour les Cardinaux Manuel José Macário do Nascimento Clemente, Berhaneyesus Demerew Souraphiel, John Atcherley Dew, Edoardo Menichelli, Pierre Nguyên Van Nhon et Alberto Suárez Inda.
Dans l'aula pour les Cardinaux Charles Maung Bo, Francis Xavier Kriengsak Kovithavanij, Francesco Montenegro, Daniel Fernando Sturla Berhouet, Ricardo Blázquez Pérez, José Luis Lacunza Maestrojuán, Arlindo Gomes Furtad et Soane Patita Paini Mafi.
Palais apostolique :
Sala Regia pour les Cardinaux Dominique Mamberti et Luigi De Magistris.
Sala Ducale pour les Cardinaux Karl-Joseph Rauber, Luis Héctor Villalba et Júlio Duarte Langa.
Le lendemain, dimanche 15 février, le Saint-Père concélébrera, à 10h00 en la Basilique vaticane, la Messe avec les nouveaux Cardinaux.
Source : Vatican Information Service.
« Tout est don gratuit de Dieu et de son amour pour nous »
En ce lundi 8 décembre, solennité de l’Immaculée Conception de la Vierge Marie, le Pape François a tenu à souligner que le message de cette fête « peut se résumer facilement : tout est grâce, tout est don gratuit de Dieu et de son amour pour nous. »
« L’attitude de Marie de Nazareth nous montre que l’être passe avant le faire, qu’il faut laisser Dieu agir pour être vraiment comment Il veut. Marie est réceptive, mais pas passive. Comme, au niveau physique, elle reçoit la puissance de l’Esprit Saint, mais ensuite donne chair et sang au Fils de Dieu qui se forme en Elle, ainsi, sur le plan spirituel, elle accueille la grâce et lui correspond avec la foi. Ce mystère de l’accueil de la grâce, qui en Marie, par un privilège unique, était sans l’obstacle du péché, est une possibilité pour nous tous. Comme Marie, nous aussi avons été bénis, c'est-à-dire aimés, et pour cela, choisis avant la création du monde pour être saints et immaculés. Marie a été préservée, alors que nous avons été sauvés grâce au Baptême et à la foi. Tous cependant, elle autant que nous, par l’intermédiaire du Christ. »
« Face à l’amour, à la miséricorde, à la grâce divine réservée à nos cœurs, la conséquence qui s’impose est une seule : la gratuité. Comme nous avons reçu gratuitement, ainsi gratuitement nous sommes appelés à donner. Comme Marie qui à peine entendue l’annonce de l’Ange, va aussi vite partager le don de la fécondité avec sa cousine Élisabeth. Parce que, si tout nous a été donné, tout doit être redonné. De quelle manière ? En permettant que l’Esprit Saint fasse de nous un don pour les autres ; qu’il nous fasse devenir des instruments d’accueil, de réconciliation et de pardon. Si notre existence se laisse transformer par la grâce du Seigneur, nous ne pourrons retenir pour nous la lumière qui vient de son visage, mais nous la laisserons transparaître pour qu’elle illumine les autres. Apprenons de Marie, qui a constamment conservé son regard fixé sur le Fils et son visage est devenu « le visage qui ressemble le plus au Christ » (Dante, Paradis, XXXII, 87). »
Source : Radio Vatican.
Cérémonie Place d'Espagne
« Cet après-midi je vais aller à Sainte Marie Majeure pour saluer la Salus Populi Romani, puis à la Place d'Espagne pour renouveler le traditionnel acte d'hommage et de prière au pied du monument à l'Immaculée. Ce sera toute une après-midi consacrée à la Vierge. Je vous demande de vous unir spirituellement à moi dans ce pèlerinage, qui exprime la dévotion filiale à notre Mère céleste. Et n'oubliez pas : la grâce est gratuite. Nous avons reçu cette grâce gratuitement, cette grâce de Dieu, et nous devons la redonner ; nous avons reçu le don et nous devons le redonner aux autres. Ne l'oubliez pas ! »
Texte intégral en français sur Zenit.org
Texte intégral en italien sur le site internet du Vatican.
Les Bienheureuses Jeanne Emilie de Villeneuve (1811-1854)
et Marie de Jésus Crucifié (née Mariam Baouardy, 1846-1878)
bientôt canonisées
Le 6 Décembre 2014, le Pape François a reçu en audience privée le Cardinal Angelo Amato, SDB, Préfet de la Congrégation pour la Cause des Saints. Lors de l'audience, le Saint-Père a autorisé la Congrégation à promulguer les décrets concernant :
le miracle attribué à l'intercession :
- de la Bienheureuse Jeanne Emilie de Villeneuve (1811-1854), originaire de Toulouse, fondatrice de la Congrégation des Sœurs de Notre-Dame de l'Immaculée Conception de Castres ;
- de la Bienheureuse Marie Alphonsine Danil Ghattas (1843-1927), née en Galilée, fondatrice de la Congrégation des Sœurs du Très Saint Rosaire de Jérusalem ;
- de la Bienheureuse Marie de Jésus Crucifié (née Mariam Baouardy, 1846-1878), née à Jérusalem, moniale professe de l'Ordre des Carmes Déchaux ;
les vertus héroïques :
- de la Servante de Dieu Carmela de Jésus (née Francesca Prestigiacomo, 1858-1948), italienne, fondatrice de l'Institut des Sœurs du Sacré-Cœur du Verbe incarné ;
- de la Servante de Dieu Maria Seiquer Gayá (1891-1975), espagnole, fondatrice des Sœurs apostoliques du Christ Crucifié ;
- de la Servante de Dieu Adalberta (Vojtěcha) Hasmandová (1914-1988), tchèque, Supérieure Générale de la Congrégation des Sœurs de la Miséricorde de Saint Charles Borromée ;
- de la Servante de Dieu Práxedes (Praxède) Fernández García (1886-1936), espagnole, laïque et mère de famille, du Tiers-Ordre de Saint-Dominique ;
- de la Servante de Dieu Elisabetta (Elisabeth) Tasca (1899-1978), italienne, laïque et mère de la famille.
Source : Bulletin du Bureau de Presse du Vatican.
Le diocèse d’Isiro-Niangara, dans la province Orientale, accueillera bientôt le pèlerinage national sur la tombe de la Bienheureuse Marie-Clémentine Anuarite Nengapeta, vierge et martyre. La bienheureuse est fêtée le 1er décembre, date de son assassinat par des rebelles en 1964, il y a cinquante ans.
Les Quatre Saints Couronnés
En certains endroits : Bse Elisabeth de la Trinité, religieuse
(dies natalis demain)
St Janvier, évêque et martyr
« Bienheureuse Vierge Marie, Mère de Jésus, fille Immaculée du Père, Mère bienheureuse du Fils, Épouse toute sainte du Saint Esprit, Auguste sanctuaire de la divine Trinité, notre Reine, notre Mère, notre Vie, notre Douceur, notre Espérance, Cause de notre joie, Notre-Dame de Liesse,
dont la langue qui prononça le Fiat du salut est « comme la plume de l’écrivain rapide », dont les entrailles sont bienheureuses, dont le Cœur est transpercé du glaive, dont la tête est couronnée de douze étoiles, écartez de nous tous les maux, demandez pour nous tous les biens, montrez-vous notre Mère, et que par Vous reçoive nos prières Jésus, le fruit béni de Votre sein, qui, étant Dieu, vit et règne avec le Père, en l’unité du Saint Esprit, dans les siècles des siècles. Amen. Alleluia. »
Edmond Joly (1861-1932), prière indulgenciée par le cardinal Baudrillart, in "Notre-Dame de Bonheur", Casterman, Paris, 1938 (éd. posthume).
N.B. : Cet écrit en 2 parties (la journée de Marie, l’année liturgique de Marie) était destiné dans la pensée de l'auteur à rester anonyme, mais il fut publié, à titre posthume, en 1938. Il attira l’attention du Cardinal Mercier, qui apprécia la valeur théologique et poétique de l’ouvrage, et du Cardinal Baudrillart, qui écrivit en liminaire du livre :
« Le livre d’Edmond Joly se lève comme une étoile à suivre ; il nous enseigne à aimer Marie comme il convient, à incorporer son culte, comme une eau mêlée à une autre eau, dans l’immense courant de la création, de la rédemption, des mystères, des sacrements. »
A visiter : Notre-Dame de Bonheur (à Ollioules, dans le Var).
Ste Brigitte / Fête en Europe
« Les jours les plus proches de la grande fête de Marie se trouvent relevés par la solennité qui célèbre la Bienheureuse Vierge dans les symboles prophétiques et dans les prodiges rassemblés autour du Mont-Carmel. Déjà le début de la messe nous fait entendre l'appel heureux de celle de l'Assomption : « Réjouissons-nous tous dans le Seigneur ». Les oraisons nous redisent les privilèges de l'Ordre fondé sur la terre même de Jésus et de Marie et auquel nous associe le plus ancien des scapulaires. Renouvelons-nous dans la tendre douceur de ce vêtement qui nous enveloppe en quelque sorte de la protection de notre Mère. Ce symbole maternel n'est-il pas magnifiquement célébré dans les promesses que l’Église prête à Marie elle-même et que nous trouvons dans l'épître de la messe de saint Jean ? « Comme une mère honorée... elle le revêtira de l'esprit de sagesse et d'intelligence et le couvrira d'une robe de gloire. Elle accumulera sur lui la joie et l'allégresse et lui donnera pour héritage un nom éternel. » Méditez avec une tendresse extasiée les promesses de votre Mère à ceux qui se revêtent de son amour comme de la robe nuptiale ordonnée par son Fils divin. Rappelez-vous tant d'autres prodiges illustrant le maternel symbole, sous la forme de vêtements célestes apportés par Marie à ses serviteurs. L'un d'eux demeure toujours le grand souvenir de Tolède et de sa splendide cathédrale. Chaque année donc, en la fête de Notre-Dame du Mont-Carmel, ayez à cœur de renouveler votre dévotion au scapulaire, ravissant témoignage de la protection de Marie. »
Edmond Joly (1861-1932), Notre-Dame de Bonheur, Casterman, Paris, 1938 (éd. posthume).
(NB : "Notre Dame de Bonheur" sera présentée le 9 août prochain.)
« Il n'est rien qui, tout à la fois, me charme et m'effraie davantage que de parler des gloires de la Vierge Mère. Car, pour passer sous silence l'impossibilité où l'on se trouve d'exprimer le privilège de ses mérites et sa prérogative unique, tous, comme il convient, ont pour Marie une dévotion si ardente, un tel culte, une telle estime, qu'en dépit des efforts de tous, il n'est rien qu'on dise de son indicible gloire qui, par le fait même qu'on a pu le dire, satisfasse pleinement les auditeurs et réponde à leur attente...
Qu'on ne parle plus de votre miséricorde, ô bienheureuse Vierge, s'il est un seul homme qui se rappelle vous avoir invoqué en vain dans ses besoins. Nous, vos petits serviteurs, nous vous félicitons de vos autres vertus, mais nous nous félicitons nous-mêmes de votre miséricorde. Nous louons votre virginité, nous admirons votre humilité, mais, pour les malheureux que nous sommes, votre miséricorde a plus douce saveur, plus précieuse valeur, elle revient plus souvent à notre mémoire, plus fréquemment dans nos invocations. C'est elle qui obtint la régénération du monde, le salut de tous. II est, en effet, évident que la sollicitude de Marie s'étendait au genre humain tout entier, lorsque l'ange lui dit : « Ne craignez pas, Marie, vous avez trouvé grâce (Luc, 1, 30), la grâce que vous attendiez. » Qui donc, ô Vierge bénie, pourra mesurer la longueur et la largeur, la hauteur et la profondeur de votre miséricorde ? Car, par sa longueur, votre miséricorde atteint jusqu'au dernier jour tous ceux qui l'invoquent ; par sa largeur, elle recouvre toute la surface du globe et remplit la terre ; par sa hauteur, elle contribue à la restauration de la cité céleste ; par sa profondeur, elle obtient la rédemption de ceux qui sont assis dans les ténèbres et dans l'ombre de la mort (Luc, I, 79). Par vous, en effet, le ciel est peuplé, l'enfer vidé, la céleste Jérusalem relevée de ses ruines, la vie rendue aux malheureux qui l'avaient perdus.
C'est ainsi que votre toute-puissante et très miséricordieuse charité se montre aussi magnifique dans sa compassion que dans son pouvoir secourable. »
St Bernard, Sermon pour l'Assomption, in R.P. Pierre Aubron s.j., "L’œuvre mariale de saint Bernard", Les Cahiers de la Vierge n°13-14 mars 1936, Éditions du Cerf, Juvisy, 1936.
Notre-Dame des Victoires, Refuge des pécheurs
(Source et crédit photo)
1898 : Mère Marie du Divin Cœur, Supérieure de la Congrégation du Bon Pasteur de Porto - fondée par Jean Eudes - reçoit du Seigneur la mission d’obtenir du pape "la consécration du monde entier à son Divin Cœur, pour placer les nations sous la protection de Jésus-Christ". Elle écrit une première fois le 10 juin à Léon XIII en ce sens.
1899 : Le 6 janvier, n'ayant pas obtenu de réponse à son premier envoi, Mère Marie du Divin Cœur écrit de nouveau à Léon XIII, "sur l'ordre de Notre-Seigneur [du 7 décembre] et avec le consentement de son confesseur". Celui-ci, touché par ce courrier qui lui parvient le 15 janvier, fait examiner la question par le cardinal Camille Mazzella, théologien Jésuite, préfet de la Sacrée Congrégation des Rites, qui rend bientôt un avis favorable.
Le 25 mai, dans l'Encyclique Annum Sacrum, Léon XIII ordonne la consécration du genre humain au Sacré-Cœur pour le 11 juin suivant.
Le jeudi 8 juin, aux premières vêpres de la fête du Sacré-Cœur, sa tâche accomplie, Mère Marie du Divn Cœur meurt dans son monastère à Porto.
Le dimanche 11 juin, au cours de la consécration solennelle du Monde au Cœur de Jésus, Léon XIII proclame que la dévotion au Sacré-Cœur sera le "Labarum" des temps modernes.
Bse Marie du Divn Cœur (Droste zu Vischering, 1863-1899)