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solennitè

  • Dimanche 6 juin 2021

    2e Dimanche après la Pentecôte

    La où la fête n’est pas d’obligation le jeudi précédent :
    Solennité obligatoire de la Fête-Dieu

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  • Dimanche 3 janvier 2021

    Fête du Saint Nom de Jésus

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    Au nouveau calendrier :
    Solennité de l'Épiphanie du Seigneur

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    Domingos Sequeira (1768-1837), L'adoration des mages
    Museu Nacional de Arte Antiga, Lisbonne (Portugal)
    (Crédit photo)

  • 10h00, Basilique Saint-Pierre : Messe de la Solennité de Sainte Marie, mère de Dieu

    54e journée mondiale pour la Paix
     
     
    Retransmission en direct sur KTO
     
    Rappel : En raison d'une sciatique douloureuse, les célébrations d'hier et aujourd'hui à l'autel de la Chaire de la Basilique saint-Pierre ne sont pas présidées par le Saint-Père, a annoncé la Salle de presse du Saint-Siège, jeudi 31 décembre.
    La Sainte Messe de ce 1er janvier 2021 est présidée par le cardinal Pietro Parolin, Secrétaire d'État du Saint-Siège. Le pape François prononcera tout de même l'Angélus depuis la Bibliothèque du Palais Apostolique, comme prévu.
     

    En ce 1er janvier, où l’Église célèbre la Solennité de Sainte Marie, Mère de Dieu, la traditionnelle Messe pour la paix a eu lieu en la Basilique Saint-Pierre de Rome. Le pape François a délivré une homélie lue par le cardinal Pietro Parolin, centrée sur trois verbes accomplis en Marie : bénir, naître et trouver.

    Compte rendu à lire sur Vatican News.

    Texte intégral de l'homélie du pape (version française) sur le site du Vatican.

  • Dimanche 4 octobre 2020

    Solennité de Notre-Dame du Rosaire
    (célébrée le premier dimanche d'octobre)
     
    (Dix-huitième Dimanche après la Pentecôte)
     
    (27ème dimanche du Temps Ordinaire)

  • Méditation - Le Sacré-Cœur de Jésus

    « Le culte du Sacré-Cœur de Jésus, dans sa nature intime, est le culte de l'amour dont Dieu nous a aimés par Jésus, en même temps qu'il est l'exercice de l'amour que nous portons nous mêmes à Dieu et aux autres hommes ; il consiste, en d'autres termes, à honorer l'amour de Dieu pour nous et a ce Dieu pour objet, afin de l'adorer, de lui rendre grâces, de vivre à son imitation ; et il tend à amener à son absolue perfection l'amour qui nous unit à Dieu et aux autres hommes, en nous faisant mieux pratiquer de jour en jour le commandement nouveau que le Divin Maître laissa comme héritage sacré à ses disciples par ces mots : « Je vous donne un commandement nouveau, c'est que vous vous aimiez les uns les autres, comme je vous ai aimés... C'est mon commandement, que vous vous aimiez les uns les autres comme je vous ai aimés » (Jn 13,34 ; Jn 15,12). »

    Pie XII, Encyclique Haurietis Aquas, 15 mai 1956, 60 (Trad. P. Edouard Glotin, 1927-2015).

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  • Dimanche 21 juin 2020

    3ème Dimanche après la Pentecôte

    Solennité facultative de la Fête du Sacré-Cœur

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    Au nouveau calendrier :
    12e dimanche du Temps ordinaire

  • Dimanche 14 juin 2020

    Solennité du Saint Sacrement
    (Fête-Dieu - Corpus Domini)


    (là où la fête n’est pas d’obligation le jeudi précédent)

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  • Dimanche 7 juin 2020

    1er Dimanche après la Pentecôte

    Fête de la Très Sainte Trinité

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    Icône de la Trinité d'Andreï Roublev

  • Dimanche 6 octobre 2019

    17ème Dimanche après la Pentecôte

    Solennité de Notre-Dame du Saint Rosaire

    (27ème dimanche du Temps Ordinaire)

  • Dimanche 30 juin 2019

    3ème Dimanche après la Pentecôte
     
     
    (13ème dimanche du Temps Ordinaire)

  • Dimanche 7 octobre 2018

    20ème Dimanche après la Pentecôte

    Solennité de Notre-Dame du Saint Rosaire

    (27ème dimanche du Temps Ordinaire)

  • 10h00, Basilique Saint-Pierre : Messe de la Solennité de la Pentecôte célébrée par le Pape François

     
     
     
    Dans son homélie prononcée lors de la Messe de la Pentecôte célébré en la Basilique Saint-Pierre de Rome ce 20 mai, le Pape François a loué la puissante « force intérieure et extérieure » de l’Esprit Saint. Une force qui permet à l’Église et à ses fidèles de connaître une jeunesse perpétuelle.
     
    Compte rendu de Delphine Allaire sur Vatican.News.
     
    Texte intégral de l'homélie (version française) sur le site internet du Vatican.

  • Mardi 1er mai 2018

    St Joseph artisan

    (S. Joseph, travailleur, Mémoire facultative au nouveau calendrier)

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    Rappel historique de cette fête de Saint Joseph :

    - en 1847, Pie IX étend à tout le rite romain la fête du "Patronage de Saint Joseph" (d’origine carmélitaine). Elle est fixée au 3ème dimanche après Pâques.
    - le 8 décembre 1870, Pie IX proclame Saint Joseph "Patron de l’Église universelle", et élève la fête à la 1ère classe. Il fait du 19 mars une fête solennelle.
    - En 1889, Léon XIII lui décernait officiellement le titre de "saint patron des pères de famille et des travailleurs".
    - en 1911, Pie X en change l’intitulé comme "Solennité de saint Joseph, patron de l’Église universelle" et la dote d’une Octave commune.
    - en 1913, la réforme du calendrier de saint Pie X (qui désire libérer les dimanches perpétuellement empêchés par une fête de saint) déplace la Solennité au mercredi précédent (le mercredi étant le jour spécialement consacré à saint Joseph dans la dévotion). En compensation, la fête est élevée à l’honneur de solennité de première classe suivie d’une octave.
    - en 1955, Pie XII institue la "Solennité de Saint Joseph Artisan" le 1er mai, faisant disparaître la fête mobile du Patronage de Saint Joseph et toute son Octave.

  • Dimanche 7 janvier 2018

    Fête de la Sainte Famille
    (Premier dimanche après l’Épiphanie)

     En France, comme au nouveau calendrier :
    Solennité de l’Épiphanie

    A Rome, l’Épiphanie ayant été célébrée hier 6 janvier, ce dimanche 7 marque la Fête du Baptême du Seigneur – dans d’autres pays (dont la France) elle sera célébrée demain lundi 8.

  • Dimanche 25 juin 2017

    3ème Dimanche après la Pentecôte

    En certains endroits :
    Solennité de la Fête du Sacré-Cœur

    Commentaire de l’Évangile du dimanche
    (Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux)
  • 19h00, Place Saint-Jean de Latran : Messe célébrée par le Pape François

    suivie de la procession à Sainte-Marie-Majeure et de la bénédiction eucharistique

     

     

    Texte intégral de l'homélie traduite en français sur Zenit.org.

  • Méditation - Aimons le Très Saint Sacrement avec passion !

    « Une âme qui aime ainsi, n'a qu'une puissance, qu'une vie : Notre-Seigneur au Très Saint Sacrement. - Il est là !... Elle vit sous le coup de cette pensée. - Il est là !... Il y a correspondance alors, il y a société de vie.
    Ah ! pourquoi donc ne pas en arriver là ? On retourne à plus de dix-huit siècles en arrière pour chercher des exemples de vertu dans la vie mortelle de Notre-Seigneur !
    Mais Notre-Seigneur pourrait nous dire : « Vous m'avez aimé au Calvaire, parce que j'y efface vos péchés ; vous m'avez aimé à la Crèche, parce que j'y suis doux et aimable ; pourquoi donc ne m'avez-vous pas aimé au Saint Sacrement, où je suis toujours avec vous ? Vous n'aviez qu'à venir. J'étais là, à côté de vous ! »
    Ah ! Au jugement, ce ne sont pas tant nos péchés qui nous effraieront et qui nous seront le plus reprochés ; ils sont pardonnés sans retour. Mais Notre-Seigneur nous reprochera son amour.
    Vous m'avez aimé moins que les créatures ! Vous n'avez pas fait de moi le bonheur de votre vie ! Vous m'avez aimé juste assez pour ne pas m'offenser mortellement ; pas assez pour vivre de moi !

    Mais nous pourrions dire : Sommes-nous donc obligés d'aimer ainsi ?
    Je sais bien que le précepte d'aimer ainsi n'est pas écrit ; il n'y en a pas besoin ! Rien ne le dit, tout le crie : la loi en est dans notre cœur.
    Oui, ce qui m'effraie, c'est que les chrétiens penseront volontiers et sérieusement à tous les mystères, se dévoueront au culte de quelque saint : et à Notre-Seigneur au Très Saint Sacrement, non !
    Mais pourquoi, pourquoi ? Ah ! c'est qu'on ne peut regarder attentivement le Très Saint Sacrement sans dire : Il faut que je l'aime, que j'aille le visiter ; je ne puis le laisser seul ; il m'aime trop !
    Pour le reste, c'est loin, c'est de l'histoire : ça ne prend pas ainsi le cœur ; on admire surtout ; mais ici, il faut se donner, il faut demeurer, il faut vivre en Notre-Seigneur !
    L'Eucharistie est la plus noble aspiration de notre cœur : aimons-la donc avec passion !

    On dit : Mais c'est de l'exagération, tout cela.
    Mais l'amour n'est que de l'exagération ! Exagérer, c'est dépasser la loi ; eh bien ! l'amour doit exagérer !
    L'amour que nous témoigne Notre-Seigneur en demeurant avec nous sans honneurs, sans serviteurs, n'est-il pas exagéré aussi ?
    Celui qui ne veut s'en tenir qu'à ce qu'il doit absolument, n'aime pas. - On n'aime que lorsqu'on sent en soi la passion de l'amour.
    Et vous aurez la passion de l'Eucharistie quand Notre-Seigneur au Très Saint Sacrement sera votre pensée habituelle ; quand votre bonheur sera de venir à ses pieds ; votre désir constant, de lui faire plaisir.

    Allons ! entrons en Notre-Seigneur ! Aimons-le un peu pour lui ; sachons nous oublier et nous donner à ce bon Sauveur ! Immolons-nous donc un peu ! Voyez ces cierges, cette lampe, qui se consument sans rien laisser, sans rien se réserver.
    Pourquoi ne serions-nous pas, pour Notre-Seigneur, un holocauste dont il ne resterait rien ?
    Non, ne vivons plus : que Jésus-Hostie vive seul en nous ! Il nous aime tant ! »

    St Pierre-Julien Eymard (1811-1868), Écrits et Sermons du Bienheureux Pierre-Julien Eymard, Première Série, La Présence réelle (Aimons le Très Saint Sacrement, V), Société Saint-Augustin, Desclée de Brouwer & Cie, Bruges - Lille - Paris - Lyon, 1928 (seizième édition).

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    (Crédit photo)

  • Dimanche 18 juin 2017

    Deuxième Dimanche après la Pentecôte
     
    En France :

     

    Séquence "Lauda Sion"

     
    Abbaye bénédictine de Clervaux, Luxembourg
     
    Lauda, Sion, Salvatórem, lauda ducem et pastórem in hymnis et cánticis.
    Loue, Sion, ton Sauveur, loue ton chef et ton pasteur, par des hymnes et des cantiques.

    Quantum potes, tantum aude : quia maior omni laude, nec laudáre súffícis.
    Autant que tu le peux, ose le chanter, car il dépasse toute louange, et tu ne suffis pas à le louer.

    Laudis thema speciális, panis vivus et vitális hódie propónitur.
    Le sujet spécial de louange, c’est le pain vivant et vivifiant, qui nous est proposé aujourd’hui.

    Quem in sacræ mensa cenæ turbæ fratrum duodénæ datum non ambígitur.
    Le pain qu’au repas de la sainte Cène, aux douze, ses frères, Jésus donna réellement.

    Sit laus plena, sit sonóra, sit iucúnda, sit decóra mentis iubilátio.
    Que la louange soit pleine et vivante ; qu’elle soit joyeuse et magnifique, la jubilation de l’âme.

    Dies enim sollémnis agitur, in qua mensæ prima recólitur huius institútio.
    Car c’est aujourd’hui la solennité, qui rappelle la première institution de la Cène.

    In hac mensa novi Regis, novum Pascha novæ legis Phase vetus términat.
    A cette table du nouveau Roi, la nouvelle Pâque de la nouvelle loi met fin à la Pâque antique.

    Vetustátem nóvitas, umbram fugat véritas, noctem lux elíminat.
    Au rite ancien succède le nouveau, la vérité chasse l’ombre, la lumière dissipe la nuit.

    Quod in cœna Christus gessit, faciéndum hoc expréssit in sui memóriam.
    Ce que le Christ accomplit à la Cène, il a ordonné de le faire en mémoire de lui.

    Docti sacris institútis, panem, vinum in salútis consecrámus hóstiam.
    Instruits par ses ordres saints, nous consacrons le pain et le vin en l’hostie du salut.

    Dogma datur Christiánis, quod in carnem transit panis et vinum in sánguinem.
    C’est une vérité proposée aux chrétiens, que le pain devient la chair et le vin le sang du Christ.

    Quod non capis, quod non vides, animosa fírmat fides, præter rerum órdinem.
    Sans comprendre et sans voir, la foi vive l’atteste contre l’ordre habituel des choses.

    Sub divérsis speciébus, signis tantum, et non rebus, latent res exímiæ.
    Sous des espèces diverses, simples apparences et non réalités, se cachent des réalités sublimes.

    Caro cibus, sanguis potus : manet tamen Christus totus sub utráque spécie.
    La chair est nourriture, le sang breuvage : cependant le Christ demeure tout entier, sous l’une et l’autre espèce.

    A suménte non concísus, non confráctus, non divísus : ínteger accípitur.
    On le reçoit sans le diviser, ni le briser, ni le rompre : il est reçu tout entier.

    Sumit unus, sumunt mille : quantum isti, tantum ille : nec sumptus consúmitur.
    Un seul le reçoit, mille le reçoivent : celui-là autant que ceux-ci : on s’en nourrit sans le consumer.

    Sumunt boni, sumunt mali sorte tamen inæquáli, vitæ vel intéritus.
    Les bons le reçoivent, les méchants aussi : mais que leur sort est différent, c’est la vie ou c’est la mort !

    Mors est malis, vita bonis : vide, paris sumptiónis quam sit dispar éxitus.
    Mort pour les méchants, vie pour les bons ; voyez combien du même festin, différente est l’issue.

    Fracto demum sacraménto, ne vacílles, sed meménto, tantum esse sub fragménto, quantum toto tégitur.
    Si l’on divise la sainte Hostie, n’hésitez pas, mais souvenez-vous qu’il est autant sous chaque parcelle que dans le tout.

    Nulla rei fit scissúra : signi tantum fit fractúra : qua nec status nec statúra signáti minúitur.
    Du Corps divin nulle brisure : seul, le signe est rompu ; ni l’état, ni la grandeur de la réalité signifiée n’est diminuée.

    Ecce panis Angelórum, factus cibus viatórum : vere panis filiórum, non mitténdus cánibus.
    Voici le Pain des Anges devenu l’aliment des hommes voyageurs : c’est vraiment le pain des enfants, qui ne doit pas être jeté aux chiens.

    In figúris præsignátur, cum Isaac immolátur : agnus paschæ deputátur : datur manna pátribus.
    D’avance il est désigné par des figures, l’immolation d’Isaac, l’Agneau pascal, la manne donnée à nos pères.

    Bone pastor, panis vere, Iesu, nostri miserére : tu nos pasce, nos tuére : tu nos bona fac vidére in terra vivéntium.
    Bon pasteur, pain véritable, Jésus, ayez pitié de nous : Nourrissez-nous, gardez-nous, faites-nous jouir des vrais biens, dans la terre des vivants.

    Tu, qui cuncta scis et vales : qui nos pascis hic mortáles : tuos ibi commensáles, coherédes et sodáles fac sanctórum cívium. Amen. Allelúia.
    Vous qui savez et pouvez tout, qui nous nourrissez en cette vie mortelle : faites de nous là-haut les commensaux, les cohéritiers et les compagnons des saints du ciel, ainsi soit-il. Alléluia.