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camille de lellis

  • Vendredi 18 juillet 2014

    Calendrier liturgique

  • Lundi 14 juillet 2014

    St Camille de Lellis

    (400e anniversaire du dies natalis - fête au calendrier traditionnel le 18 juillet)

    Benoît XIV béatifia (2 février 1742) et canonisa (29 juin 1746) Camille de Lellis. Un décret de la Congrégation des Rites (15 décembre 1762), signé par Clément XIII le 18 juillet, étendit sa fête à toute l’Eglise. Avec St Jean de Dieu, Léon XIII le proclama patron des malades et des hôpitaux (22 juin 1886), et Pie XI le proclama également patron du personnel des hôpitaux (28 août 1930).

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    Cf. allocution du Pape Français après l'Angélus de ce dimanche 13 juillet.

    Calendrier liturgique

    A noter également le 14 juillet :

    915ème anniversaire de la prise de Jérusalem par les croisés, sous la direction de Godefroid de Bouillon (14 juillet 1099)

    221ème anniversaire de la mort du Saint de l'Anjou, Jacques Cathelineau, Généralissime de la grande armée catholique et royale (14 juillet 1793)

  • Angélus de ce dimanche 13 juillet 2014

    « L’Évangile de ce dimanche (Mt 13, 1-23) nous montre Jésus qui prêche sur les rives du lac de Galilée, et parce qu'une grande foule l'entoure, Il monte sur un bateau, il s'éloigne un peu du rivage et il prêche à partir de là. Quand il parle au peuple, Jésus utilise de nombreuses paraboles : un langage compréhensible par tous, avec des images tirées de la nature et des situations de la vie quotidienne.

    La première qu'il raconte est une introduction à toutes les paraboles : c'est celle du semeur, qui jette sa semence sans s'épargner sur tous les types de terrain. Et le véritable protagoniste de cette parabole est la graine, qui produit plus ou moins de fruits selon la terre sur laquelle elle est tombée. Les trois premières sont des terres improductives : sur le chemin les graines sont mangées par les oiseaux ; sur le sol rocheux les épis sèchent rapidement, car ils n'ont pas de racines ; au milieu des ronces les grains sont étouffés par les épines. Le quatrième terrain est un bon terrain, et là seulement, la graine prend racine et porte des fruits.

    Dans ce cas, Jésus ne s'est pas limité à présenter la parabole, il l'a aussi expliquée à ses disciples. Le grain tombé sur le chemin indique ceux qui entendent l'annonce du Royaume de Dieu, mais ne l'accueillent pas ; ainsi le Malin vient et s'en empare. Le Malin, en effet, ne veut pas que la graine de l’Évangile pousse dans le cœur des hommes. Il s'agit de la première comparaison. La deuxième est celle de la semence qui est tombée sur les pierres : ce sont les gens qui entendent la parole de Dieu et l'accueillent tout de suite, mais superficiellement, parce qu'ils n'ont pas de racines et sont inconstants ; et lorsque les épreuves et les tribulations arrivent, ces gens sont immédiatement abattues. Le troisième cas est celui des graines qui sont tombées parmi les ronces : Jésus explique qu'il fait référence à des gens qui écoutent la parole, mais, en raison de préoccupations mondaines et de la séduction des richesses, la graine reste étouffée. Enfin, la graine tombée sur un sol fertile représente tous ceux qui écoutent la parole, l'accueillent, la gardent, la comprennent, et celle-ci porte du fruit. Le modèle parfait de cette bonne terre est la Vierge Marie.

    Cette parabole s'adresse à chacun de nous aujourd'hui, comme elle parlait aux auditeurs de Jésus il y a deux mille ans. Cela nous rappelle que nous sommes le terrain où le Seigneur jette sans relâche la semence de sa Parole et de son amour. Comment l'accueillons-nous ? Et nous pouvons nous poser cette question : comment est notre cœur ? A quelle terre ressemble-t-il : à un chemin, à une pierre, à un buisson ? Il dépend de nous de devenir un bon sol sans épines ni pierres, mais labourée et cultivée avec soin, de sorte qu'il puisse porter de bons fruits pour nous et pour nos frères.

    Et nous ferons bien de ne pas oublier que nous aussi nous sommes des semeurs. Dieu sème la bonne semence, et ici nous pouvons nous poser la question : quel sorte de graine sort de notre cœur et de notre bouche ? Nos paroles peuvent faire beaucoup de bien et aussi tant de mal ; elles peuvent guérir et peuvent blesser ; elles peuvent encourager et peuvent déprimer. Rappelez-vous, ce qui importe n'est pas ce qui entre, mais ce qui sort de la bouche et du cœur.

    Que Notre-Dame nous apprenne, par son exemple, à accueillir la Parole, à la garder, et à la faire fructifier en nous et chez les autres. »

    Israël-Palestine : Prière pour la paix

    « J'adresse à tous un appel pressant à continuer à prier avec ferveur pour la paix en Terre Sainte, à la lumière des événements tragiques de ces derniers jours. J'ai encore en mémoire la rencontre du 8 Juin dernier avec le patriarche Bartholomée, le président Peres et le Président Abbas, avec qui nous avons invoqué le don de la paix et entendu l'appel à briser le cycle de la haine et de la violence. Certains pourraient penser que cette réunion a eu lieu en vain. Mais non ! La prière nous aide à ne pas nous laisser vaincre par le mal, ni à nous résigner et à accepter que la violence et la haine prennent le dessus sur le dialogue et la réconciliation. J'exhorte les parties concernées et tous ceux qui ont des responsabilités politiques au niveau local et international à ne pas économiser leurs prières, et à n'épargner aucun effort pour mettre fin à toutes les hostilités et parvenir à la paix souhaitée pour le bien de tous. Et je vous invite, vous tous, à vous joindre à cette prière. Dans le silence, tous, prions.
    (Prière silencieuse)
    Maintenant, Seigneur, aide-nous ! Donne-nous la paix, apprends-nous la paix, guide-nous vers la paix. Ouvre nos yeux et nos cœurs et donne-nous le courage de dire "Jamais plus la guerre !", "Avec la guerre tout est détruit !". Donne-nous le courage de réaliser des gestes concrets pour construire la paix... Rends-nous disponibles à écouter le cri de nos concitoyens qui nous demandent de transformer nos armes en instruments de paix, nos peurs en confiance et nos tensions en pardon. Amen. »

    Apostolat de la Mer (Cf. ci-dessous)

    Comme chaque deuxième week-end de juillet est célébré le Dimanche de la Mer, occasion d’attirer l’attention sur les marins du monde entier : ils sont estimés à 1,2 million à travers le monde.

    « Aujourd'hui c'est le "Dimanche de la Mer". Je tourne mes pensées vers les gens de la mer, les pêcheurs et leurs familles. J'invite les communautés chrétiennes, en particulier celles du littoral, à être attentives et sensibles à leur égard. J'invite les aumôniers et les bénévoles de l'Apostolat de la mer à poursuivre leur engagement dans la pastorale de ces frères et sœurs. Je vous confie tous, en particulier ceux qui sont en difficulté et loin de leur maison, à la protection maternelle de Marie, Étoile de la mer. »

    Je me joins à la prière des pasteurs et des fidèles qui participent au pèlerinage de la famille de Radio Maria à Jasna Gora, à Czestochowa. Merci pour vos prières et je vous bénis de tout cœur.

    14 juillet 2014 : 400e anniversaire du dies natalis de St Camille de Lellis

    « Je salue maintenant avec grande affection tous les fils spirituels et filles de saint Camille de Lellis, dont on rappelle demain le 400e anniversaire de sa mort. J'invite la famille camilienne, au sommet de cette année jubilaire, à être un signe du Seigneur Jésus qui, comme le Bon Samaritain, se penche sur les blessures du corps et de l'esprit de l'humanité souffrante, en versant l'huile de la consolation et le vin de l'espérance. Pour vous qui êtes réunis ici, place Saint-Pierre, ainsi que les professionnels de la santé affectés dans vos hôpitaux et maisons de soins infirmiers, je souhaite de grandir de plus en plus dans le charisme de la charité, alimentée par le contact quotidien avec les malades. Et, s'il vous plaît, n'oubliez pas, n'oubliez pas de prier pour moi. »

    Texte intégral italien sur le site internet du Vatican.

  • Jeudi 18 juillet 2013

    Calendrier liturgique

  • Dimanche 14 juillet 2013

    Calendrier liturgique

     

    14 juillet : Jour de réparation et d'expiation

    Offrons à Dieu des prières et des sacrifices pour réparer les innombrables sacrilèges perpétrés par la révolution contre le Très Saint-Sacrement, contre le Saint Nom de Dieu, contre le dimanche, contre Notre-Dame, contre les Saints et leurs vénérables reliques, contre les lieux saints, contre les personnes consacrées... etc.

    PRIÈRE POUR DEMANDER À DIEU SON DIVIN SECOURS

    DANS LES MAUX QUI DÉSOLENT LA FRANCE

    « Je ne suis qu’un être faible et fragile, et cependant j’ose élever ma voix vers le Dieu de gloire, de grandeur, de puissance et de majesté. S’il n’avait que ces seuls attributs, sans doute le respect et la crainte m’ôteraient la faculté d’oser lui adresser mes voeux. Mais sa clémence, sa bonté, sa miséricorde rassurent mon âme timide et alarmée ; oui, mon Dieu, je vous implore, et en vous demandant votre secours, je sens renaître l’espérance au fond de mon coeur. Ce n’est pas que je ne sache combien je me suis rendue indigne de vos grâces ; aussi n’est-ce pas sur mes propres mérites que je fonde mon espoir, mais sur ceux de Jésus-Christ votre Fils, qui s’est incarné, et qui a souffert la mort pour le salut de tous les hommes.

    C’est en son nom, ô mon Dieu ! que je vous demande avec confiance la fin de tous les maux qui désolent la France, le rétablissement de notre sainte religion et celui de l’autorité royale, la tranquillité de mes parents, celle de mes amis, et la possibilité de nous réunir dans notre malheureuse patrie.

    Mon Dieu, éclairez les esprits, créez des coeurs nouveaux, et donnez-leur un rayon de votre grâce pour qu’ils observent votre sainte loi. Faites cesser, Dieu de bonté, ces scènes d’horreur et de barbarie qui déshonorent les Français et offensent votre divine majesté. Rendez à chacun son état, ses biens, son existence, et faites que l’ordre se rétablisse et se maintienne. Cela parait impossible aux faibles mortels dont la sagesse n’est qu’illusion et vanité ; mais un seul acte de votre volonté, oh mon Dieu ! opérera ce miraculeux changement.

    Seigneur, ne repoussez pas le cri de mon coeur. Mon Père, écoutez-moi ; mon Dieu, secourez-moi. J’embrasse la croix de mon divin Sauveur ; son sang coule encore sur moi. Ah ! ne voyez que lui, n’entendez que lui. C’est Jésus-Christ qui tous les jours s’immole pour nous ; c’est Jésus-Christ qui ne veut point la mort du pécheur, mais qu’il se convertisse et qu’il vive ; c’est ce fils adorable qui vous demande grâce pour nous. Puis-je donc être sans espérance ? Oh ! non, ma foi et ma confiance sont entières, mon Dieu, j’attends tout de votre clémence et de votre bonté. Ah! que je ne sois point trompée dans mon espoir. Je vous en supplie, Père des miséricordes, toujours au nom et par les mérites de Jésus-Christ Notre Seigneur. Amen. »

    Mère Marie-Joseph de la Miséricorde (Louise-Adélaïde de Bourbon-Condé, 1757-1824)
    Extrait de "Prières de la Famille de France", Association Clarté Saint-Jean, 2 mai 1994.

    Source : CRIL 17 INFO.
  • 18 juillet : Sanctoral

    Saint Frédéric, Evêque et martyr († 838)

    Au calendrier traditionnel :

    Saint Camille de Lellis, confesseur († 1614)

    Mémoire de Sainte Symphorose et ses fils, martyrs († v.120)

  • 14 juillet : Sanctoral

    Saint Camille de Lellis, prêtre et fondateur (1550-1614)
    (fêté le 18 juillet au calendrier traditionnel)

    Au calendrier traditionnel :

    Saint Bonaventure, Evêque, confesseur et docteur († 1274)