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Tradition - Page 11

  • Les Grandes Antiennes "Ô" - Ô Oriens

    Cantarte Regensburg

    O Oriens, splendor lucis æternæ, et sol iustitiæ : veni, et illumina sedentes in tenebris et umbra mortis.
    O Orient, splendeur de la Lumière éternelle, Soleil de justice, venez, illuminez ceux qui sont assis dans les ténèbres et la nuit de la mort.

    - Commentaires sur les Grandes Antiennes « Ô » par Dom Guéranger dans « l’Année Liturgique »

  • Rorate Caeli

    L'hymne du « Rorate Cæli desuper » est par excellence le chant grégorien du Temps de l'Avent. Son refrain est tiré du Livre d'Isaïe (45, 8) : « Cieux, épanchez-vous là-haut, et que les nuages déversent la justice, que la terre s’ouvre et produise le salut ».

    R. Roráte caeli désuper, et nubes pluant iustum.
    R. Cieux, répandez d'en haut votre rosée et que les nuées fassent descendre le Juste.

    1. Ne irascáris, Dómine, ne ultra memíneris iniquitátis:
         Ne te mets pas en colère, Seigneur, ne garde plus souvenir de l’injustice.
    ecce cívitas Sancti tui facta est desérta:
         Voici, la cité sainte est devenue déserte,
    Sion desérta facta est : Ierúsalem desoláta est:
         Sion a été désertée, Jérusalem est en désolation,
    domus sanctificatiónis tuae et glóriae tuae, ubi laudáverunt te patres nostri
         la maison de ta sanctification et de ta gloire, où nos pères avaient dit tes louanges.

    2. Peccávimus, et facti sumus tamquam immúndus omnes nos,
         Nous avons péché et sommes devenus impurs.
    et cecídimus quasi fólium univérsi
         Nous sommes tombés comme des feuilles mortes
    et iniquitátes nostrae quasi ventus abstúlerunt nos :
         et nos iniquités nous ont balayés comme le vent.
    abscondísti fáciem tuam a nobis, et allilísti nos in manu iniquitátis nostrae.
         Tu as détourné de nous ta face, et nous as brisés sous le poids de nos fautes.

    3. Vide Dómine, afflictiónem pópuli tui
         Vois, Seigneur, l’affliction de ton peuple,
    et mitte quem missúrus es :
         et envoie celui que tu dois envoyer :
    emítte agnum dominatórem terrae, de petra desérti, ad montem fíliae Sion :
         envoie l’Agneau, le maître de la terre, de Pétra dans le désert jusqu’à la montagne de ta fille Sion,
    ut áuferat ipse jugum captivitátis nostrae
         afin qu’il ôte le joug de notre captivité.

    4. Consolámini, consolámini, pópulevmeus, cito véniet salus tua.
         Consolez-vous, consolez-vous, mon peuple : vite viendra ton salut,
    Quare mærore consúmeris, quare innovávit te dolor ?
         Pourquoi es-tu consumé dans l’affliction, pourquoi la douleur se renouvelle-t-elle en toi ?
    Salvábo te, noli timore; Ego enim sum Dóminus Deus tuus,
         Je te sauverai, n’aie pas peur, moi, je suis le Seigneur Dieu,
    Sanctus Israël Redémptor tuus.
         Le Saint d’Israël, ton Rédempteur.

    Source : Notre-Dame des Neiges

  • Les Grandes Antiennes "Ô" - Ô Clavis David

    Cantarte Regensburg

    O Clavis David, et sceptrum domus Israel ; qui aperis, et nemo claudit ; claudis, et nemo aperit : veni, et educ vinctum de domo carceris, sedentem in tenebris et umbra mortis.
    O Clef de la cité de David, sceptre du royaume d'Israël, vous ouvrez, et personne alors ne peut fermer ; vous fermez, et personne ne peut ouvrir ; venez, faites sortir du cachot le prisonnier établi dans les ténèbres et la nuit de la mort.

    - Commentaires sur les Grandes Antiennes « Ô » par Dom Guéranger dans « l’Année Liturgique »

  • Dimanche 20 décembre 2015

    Quatrième Dimanche de l'Avent

     Commentaire de l'Evangile du dimanche

    Graduel: Prope est Dominus

    Graduale. Ps. 144, 18 et 21.
    Prope est Dóminus ómnibus invocántibus eum : ómnibus, qui ínvocant eum in veritáte.
    Le Seigneur est proche de ceux qui le prient, de tous ceux qui le prient en vérité.

    V/. Laudem Dómini loquétur os meum : et benedícat omnis caro nomen sanctum eius.
    V/. Que ma voix proclame les louange du Seigneur, que tout ce qui vit chante son nom très saint !

    Allelúia, allelúia. V/. Veni, Dómine, et noli tardáre : reláxa facínora plebis tuæ Israël. Allelúia.
    Allelúia, allelúia. V/. Venez, Seigneur, ne tardez plus ! Délivrez de ses péchés Israël votre peuple. Alléluia.
  • Samedi 19 décembre 2015

    Samedi des Quatre-Temps de l'Avent

    Les Grandes Antiennes "Ô" - Ô Radix Iesse

    Cantarte Regensburg

    O Radix Iesse, qui stas in signum populorum, super quem continebunt reges os suum, quem gentes deprecabuntur : veni ad liberandum nos, iam noli tardare.
    O Fils de la race de Jessé, signe dressé devant les peuples, vous devant qui les souverains resteront silencieux, vous que les peuples appelleront au secours, délivrez-nous, venez, ne tardez plus !

    - Commentaires sur les Grandes Antiennes « Ô » par Dom Guéranger dans « l’Année Liturgique »

  • Vendredi 18 décembre 2015 - Les Grandes Antiennes "Ô"

    Vendredi des Quatre-Temps de l'Avent

    Les Grandes Antiennes "Ô" - Ô Adonaï

    Cantarte Regensburg

    O Adonai, et Dux domus Israel, qui Moysi in igne flammæ rubi apparuisti, et ei in Sina legem dedisti : veni ad redimendum nos in bracchio extento.
    O Adonaï, guide du peuple d'Israël, qui êtes apparu à Moïse dans le feu du buisson ardent, et lui avez donné vos commandements sur le mont Sinaï, armez votre bras, et venez nous sauver.

    - Commentaires sur les Grandes Antiennes « Ô » par Dom Guéranger dans « l’Année Liturgique »

    NB : Sur la Fête de l'Expectation de l'Enfantement de la Sainte Vierge, voir notre note publiée le 18 décembre 2014.

  • Jeudi 17 décembre 2015 - Les Grandes Antiennes "Ô"

    de la ferie

     Les Grandes Antiennes "Ô" - Ô Sapientia

    Moines de l'Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux (17.12.2013)
     
    O Sapientia, quæ ex ore Altissimi prodisti, attingens a fine usque ad finem, fortiter suaviter disponensque omnia: veni ad docendum nos viam prudentiæ.
    O Sagesse, sortie de la bouche du Très-Haut, qui enveloppez toutes choses d'un pôle à l'autre et les disposez avec force et douceur, venez nous enseignez le chemin de la prudence.

    - Commentaires sur les Grandes Antiennes « Ô » par Dom Guéranger dans « l’Année Liturgique »
     
  • Dimanche 13 décembre 2015

    Troisième Dimanche de l'Avent

     Commentaire de l'Evangile du dimanche

     Dominica III Adventus. Introït : Gaudete

     
    Ant. ad Introitum. Phil. 4, 4-6
    Gaudéte in Dómino semper : íterum dico, gaudéte. Modéstia vestra nota sit ómnibus homínibus : Dóminus enim prope est. Nihil sollíciti sitis : sed in omni oratióne petitiónes vestræ innotéscant apud Deum.
    Réjouissez-vous sans cesse dans le Seigneur, je le dis encore, réjouissez-vous. Que votre modération soit connue de tous les hommes, car le Seigneur est proche. Ne vous inquiétez de rien, mais dans toutes vos prières exposez à Dieu vos besoins.

    Ps. 84, 2
    Benedixísti, Dómine, terram tuam : avertísti captivitátem Iacob.
    Seigneur, vous avez béni votre domaine, vous avez délivré Jacob de la captivité.

    V/. Glória Patri.

    Commentaire textuel et musical rédigé par un moine de Triors.
  • In Conceptione Immaculata B.M.V. - Graduel "Benedícta es tu"

    Moines bénédictins de Saint Dominique de Silos

    Graduale. Iudith 13, 23.
    Benedícta es tu. Virgo María, a Dómino, Deo excélso, præ ómnibus muliéribus super terram.
    Bénie êtes-vous, ô Vierge Marie, par le Seigneur Dieu très-Haut, plus que toutes les femmes sur la terre.

    Ibid. 15, 10.
    V/. Tu glória Ierúsalem, tu lætítia Israël, tu honorificéntia pópuli nostri.
    V/. Vous, gloire de Jérusalem ; vous, joie d’Israël ; vous, honneur de notre peuple.

    Cant. 4, 7.
    Allelúia, allelúia. V/. Tota pulchra es, María : et mácula originális non est in te. Allelúia.
    Allelúia, allelúia. V/. Vous êtes toute belle, ô Marie, et la tache originelle n’est pas en vous. Alléluia.

  • In Conceptione Immaculata B.M.V. - Introït "Gaudens gaudebo"

    Ant. ad Introitum. Is. 61, 10.
    Gaudens gaudébo in Dómino, et exsultábit ánima mea in Deo meo : quia índuit me vestiméntis salútis : et induménto iustítiæ circúmdedit me, quasi sponsam ornátam monílibus suis.
    Je me réjouirai avec effusion dans le Seigneur, et mon âme sera ravie d’allégresse en mon Dieu : car il m’a revêtu des vêtements du salut : et il m’a entouré des ornements de la justice, comme une épouse parée de ses bijoux.

    Ps. 29, 2.
    Exaltábo te, Dómine, quóniam suscepísti me : nec delectásti inimícos meos super me.
    Je vous exalterai, Seigneur, parce que vous m’avez relevé, et que vous n’avez pas réjoui mes ennemis à mon sujet.

    V/. Glória Patri.

  • Dominica II Adventus - Graduel

    Graduale. Ps. 49, 2-3 e.t 5.
    Ex Sion species decóris eius : Deus maniféste véniet
    De Sion où brille sa beauté, Dieu va paraître au grand jour.

    V/. Congregáta illi sanctos eius, qui ordinavérunt testaméntum eius super sacrifícia.
    V/. Rassemblez-lui ses fidèles, qui ont scellé par des sacrifices leur alliance avec lui.

    Allelúia, allelúia. V/. Ps. 121, 1. Lætátus sum in his, quæ dicta sunt mihi : in domum Dómini íbimus. Allelúia.
    Allelúia, allelúia. V/. J’étais tout heureux quand on m’a dit : Nous irons dans la maison du Seigneur. Alléluia.
  • Dominica II Adventus - Introït

    Ant. ad Introitum. Is. 30, 30.
    Pópulus Sion, ecce, Dóminus véniet ad salvándas gentes : et audítam fáciet Dóminus glóriam vocis suæ in lætítia cordis vestri.
    Peuple de Sion, voici que le Seigneur vient pour sauver les nations. Il va faire retentir sa voix majestueuse, et vous aurez le cœur en joie.

    Ps. 79, 2
    Qui regis Israël, inténde : qui dedúcis, velut ovem, Ioseph.
    Ecoutez-moi, Pasteur d’Israël, vous qui menez le peuple de Joseph comme un berger son troupeau.

    V/.Glória Patri.

  • Introitus Dominica Prima Adventus

    Ant. ad Introitum. Ps. 24, 1–3.
    Ad te levávi ánimam meam : Deus meus, in te confíde, non erubéscam : neque irrídeant me inimíci mei : étenim univérsi, qui te exspéctant, non confundéntur.
    Vers vous j'élève mon âme, ô mon Dieu ! En vous ma confiance : que je n’aie pas à en rougir et que mes ennemis ne puissent pas se moquer de moi car ceux qui comptent sur votre venue ne seront pas déçus.

    Ps. ibid., 4
    Vias tuas, Dómine, demónstra mihi : et sémitas tuas édoce me.
    Montrez-moi votre chemin, Seigneur, et apprennez-moi à le suivre.

    V/.Glória Patri.

  • Vendredi 18 décembre 2015 - Les Grandes Antiennes "Ô"

    de la ferie

    Les Grandes Antiennes "Ô" - Ô Adonaï

    Cantarte Regensburg

    O Adonai, et Dux domus Israel, qui Moysi in igne flammæ rubi apparuisti, et ei in Sina legem dedisti : veni ad redimendum nos in bracchio extento.
    O Adonaï, guide du peuple d'Israël, qui êtes apparu à Moïse dans le feu du buisson ardent, et lui avez donné vos commandements sur le mont Sinaï, armez votre bras, et venez nous sauver.

    - Commentaires sur les Grandes Antiennes « Ô » par Dom Guéranger dans « l’Année Liturgique »

  • Ô Marie Ô mère chérie - Chez nous soyez Reine

    Maitrise de Saint Pierre de Montreuil

  • Chants grégoriens

    Moines des Abbayes de Ligugé, Timadeuc, Saint-Wandrille, Kergonan, et moniales de l'Abbaye d'Argentan

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  • Jeudi 17 septembre 2015

    Mémoire des Stigmates de Saint François

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    Fresque de Giotto, Eglise Santa Croce à Florence, Cappella Bardi

    « Un matin, c'était vers la fête de l'Exaltation de la sainte Croix, pendant qu'il priait sur le versant de la montagne, il vit descendre des hauteurs célestes un séraphin ayant six ailes de feu toutes resplendissantes. Conduit bientôt par la rapidité de son vol vers l'homme de Dieu, il demeura proche de lui sans toucher la terre. Alors entre les ailes du séraphin apparut un homme crucifié ; ses mains et ses pieds étaient étendus et attachés à une croix. Deux de ses ailes étaient élevées au-dessus de sa tête, deux autres étaient étendues pour voler, et les deux dernières couvraient son corps. A cette vue, le saint demeura dans un étonnement indéfinissable, et son cœur éprouva un sentiment de joie mêlée de tristesse. Il se réjouissait d'un spectacle aussi admirable, où le Seigneur, sous la forme d'un séraphin, contemplait son serviteur, et son âme était transpercée d'un glaive de compassion douloureuse en le voyant ainsi attaché à la croix. Une vision si insondable le jetait aussi dans une anxiété profonde, car il savait que l'infirmité de la Passion n'était en aucune façon compatible avec l'immortalité d'un esprit séraphique. Enfin il comprit, par une lumière du Ciel, que la divine Providence l'avait fait jouir d'une telle faveur pour lui apprendre à lui, l'ami de Jésus-Christ, que c'était non par le martyre de son corps, mais par un embrasement sans réserve de son âme, qu'il devait se transformer en la ressemblance du Sauveur crucifié. La vision disparaissant le laissa donc tout rempli en son cœur d'une ardeur ineffable, et imprima en son corps des traces admirables. Car aussitôt commencèrent à paraître dans ses mains et dans ses pieds les marques des clous, telles qu'il les avait vues tout-à-l'heure dans l'homme crucifié offert à ses regards. Ses mains et ses pieds semblaient transpercés de ces clous ; leurs têtes apparaissaient à l'intérieur des mains et sur les pieds, et l'on voyait sortir leurs pointes à la partie opposée. Ces têtes étaient noires et rondes, et les pointes longues et comme recourbées avec effort ; après avoir traversé la chair elles demeuraient tout-à-fait distinctes. Son côté droit portait aussi l'empreinte d'une cicatrice rouge, comme s'il eût été traversé d'un coup de lance, et souvent le sang s'échappait de cette plaie avec une abondance telle que tous les vêtements du saint en étaient pénétrés.

    Le serviteur de Jésus-Christ, voyant imprimés d'une manière si parfaite en son corps les stigmates du Sauveur, comprit de suite combien il lui serait difficile de les cacher à ceux au milieu desquels il vivait, et d'un autre côté il craignait de révéler les secrets de son Seigneur. Il pensait donc avec une vive inquiétude et un tourment profond s'il ferait connaître ou s'il tairait ce qu'il avait vu. Ayant appelé quelques-uns de ses frères et leur parlant en termes généraux, il leur proposa son doute et leur demanda conseil. Un d'entre eux, éclairé de la grâce et comprenant par son langage qu'il avait été témoin de choses merveilleuses et que c'était la cause de l'état extraordinaire où il paraissait être maintenant, lui dit : « Ce n'est pas seulement pour vous, mon frère, mais encore pour les autres, sachez-le bien, que les secrets du Ciel vous ont été manifestés. Vous devez craindre justement d'être accusé, au jour du jugement, d'avoir enfoui le talent confié à vos soins, si vous cachez ce qui vous a été donné pour l'utilité de plusieurs. »

    Le saint touché de ces paroles, bien que d'ailleurs il eût coutume de dire : « Mon secret est pour moi », rapporta alors avec beaucoup de crainte toute la suite de la vision dont il avait été favorisé, et il ajouta que celui qui lui était apparu lui avait dit certaines choses qu'il ne confierait jamais durant sa vie à aucun homme. Sans doute, ces secrets du Séraphin crucifié sont de ces paroles qu'il n'est point permis à l'homme de redire.
    Lors donc que le véritable amour de Jésus-Christ eut transformé ainsi en sa ressemblance celui qui en était pénétré, les quarante jours consacrés à la solitude étant passés, et la solennité de l'archange saint Michel arrivée, l'homme angélique, François, descendit de la montagne portant avec lui l'image de son Seigneur crucifié, image non gravée sur la pierre ou le bois par la main de l'ouvrier, mais imprimée en sa chair par le doigt du Dieu vivant. Cependant, comme il est bon de cacher le secret du Roi, l'homme qui en avait été rendu participant, s'efforçait de dérober aux yeux de tous, autant qu'il le pouvait, ces signes sacrés. Mais aussi, comme il appartient à Dieu de révéler pour sa gloire les merveilles de sa puissance, après avoir imprimé secrètement en François les stigmates, il fit par eux plusieurs miracles connus de tout le monde, afin de montrer par l'éclat de ces prodiges combien était admirable la force cachée dans ces traces de son amour. »

    St Bonaventure, Légende de Saint François, Chap. XIII : Des stigmates sacrés.
    Texte intégral à l'Abbaye Saint-Benoît de Port-en-Valais.

    En certains endroits : Ste Hildegarde de Bingen, religieuse, docteur de l'Eglise

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    En certains endroits : St Lambert de Maastricht, évêque martyr

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    Calendrier liturgique et sanctoral

  • Graduel : Benedícta et venerábilis es

    CantArte Regensburg, Hubert Velten & Marcus Weigl

    Graduale.
    Benedícta et venerábilis es, Virgo María : quæ sine tactu pudóris invénia es Mater Salvatóris.
    Vous êtes bénie et digne de vénération, Vierge Marie, qui avez été mère du Sauveur, sans que votre pureté ait subi d’atteinte.

    V/. Virgo, Dei Génetrix, quem totus non capit orbis, in tua se clausit víscera factus homo.
    V/. Vierge, Mère de Dieu, Celui que tout l’univers ne peut contenir, s’est enfermé dans votre sein en se faisant homme.
  • Messe de l'Assomption à l'Abbaye Notre-Dame de Fontgombault

    Introit, Alleluia, Sainte Communion : partitions