30e semaine - Méditation du Père Nicolas Rousselot
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30e semaine - Méditation du Père Nicolas Rousselot
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Fête de la Visitation - Méditation de l'Abbé Hubert Lelièvre
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29e semaine - Méditation de Mgr d'Ornellas
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28e semaine - Méditation du Père Christian Venard
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Chère amie, cher ami,
Dans une tribune publiée hier par le quotidien Libération pour soutenir la réforme du collège de Najat Vallaud-Belkacem, critiquée par tous les intellectuels et professeurs de bon sens du pays, le premier ministre Manuel Valls fustige les "contournements insidieux de la carte scolaire qui minent notre pacte républicain". Il ne manque pas de culot !
En effet, la plupart des ministres de son gouvernement ont scolarisé ses enfants dans le privé, ou dans de grands établissements parisiens. Le chef de l’État lui-même, François Hollande, a mis ses enfants à l'école alsacienne, institution privée du 6ème arrondissement de Paris où les élèves, sélectionnés sur dossier, doivent s'acquitter de frais de scolarité se montant à plusieurs centaines d'euros par trimestre. Voilà l'école que nos gouvernants trouvent bonne pour leurs enfants !
Mais pour les autres ? Eh bien, le collège unique version Najat Vallaud-Belkacem fera l'affaire.
Un collège sans sections bilingues et sans classes européennes, car c'est "élitiste".
Un collège sans langues anciennes, car c'est "réactionnaire".
Un collège où les horaires des disciplines fondamentales sont dilués dans la salade pédagogistes des EPI ("enseignements pratiques interdisciplinaires"), pour mieux masquer l'effondrement du niveau de nos collégiens, qu'une étude publiée ce week-end vient juste de souligner à nouveau !
Ce collège-là, chers amis, va faire fuir tous les élèves des milieux favorisés vers l'enseignement privé, et mettre un dernier coup de rame sur la tête de ceux qui essayaient de s'en sortir au sein des établissements difficiles. NOUS N'EN VOULONS PAS !
Alors je vous appelle à descendre dans la rue, demain mardi 19 mai, aux côtés des milliers de professeurs et membres de SOS Éducation qui manifesteront dans toute la France.
S'il vous plaît, partagez sur les réseaux sociaux et faites suivre à l'ensemble de votre carnet d'adresse la liste ci-dessous des lieux de rassemblement
Merci de votre aide pour faire connaître ces rassemblements !
Si nous sommes des dizaines de milliers dans toute la France, nous pouvons faire reculer les idéologues du Ministère.
C'est l'avenir de nos élèves, de nos enfants et petits-enfants qui est en jeu !
Soyez assurés, chers amis, de la mobilisation générale de tous les membres de SOS Éducation au service de la mission fondamentale de notre école : apprendre à tous les élèves à lire et écrire, compter et réfléchir.
Vôtre,
Claire Polin
Présidente de SOS Éducation
27e semaine - Méditation de l'Abbé Guillaume Seguin
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Statue de Jean Paul II : « Touche pas à mon Pape ! »
Le tribunal administratif de Rennes, saisi par la fédération du Morbihan de l’association d’extrême gauche jacobine « La Libre Pensée » vient de déclarer ostentatoire la statue du Pape Jean-Paul 2 inaugurée en 2006 sur une place de Plöermel . Elle devra donc être retirée du champ public si les recours – menés notamment par le maire de Plöermel – échouent.
Il serait inadmissible qu’une association archi minoritaire – dont les idées fanatiques ne représentent qu’elle même en Bretagne – parvienne à ces fins et cela même avec l’aval d’un tribunal administratif.
Le catholicisme est un des éléments fondateurs de la Bretagne, et Jean-Paul II a été important pour les Bretonnes et les Bretons. Tous ont encore en tête sa venue à Saint-Anne d’Auray en 1996 devant une foule immense de fidèles.
Les Bretonnes et les Bretons doivent réagir pour protéger une statue qui fait partie de leur patrimoine religieux, Breton et Européen. Si aujourd’hui, l’Etat fait enlever la statue d’un Pape tant aimé des Bretons, demain , seront-ce nos calvaires que des associations voudront faire détruire ?
Par la résistance pacifique, nous appelons chacun à veiller sur la statue de Jean-Paul 2 , à former une chaine continue pour protéger notre héritage, qu’aucun groupuscule fanatique ni aucun tribunal administratif d’Etat ne pourra enlever.
C’est de notre devoir de mémoire dont il s’agit. De notre passé, mais aussi de notre avenir, à l’heure où la religion catholique est persécutée, malmenée sur de nombreux territoires de la planète.
N’ayez pas peur ! N’ayons plus peur ! Défendons notre Pape Jean-Paul II et le patrimoine Breton.
Signez la pétition pour le maintien de la statue. Participez à la résistance bretonne !
Pétition pour le maintien de la statue de Jean-Paul II à Plöermel (56)
26e semaine - Méditation de l'Abbé Pierre Téqui
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25e semaine - Méditation du Père Brice de Malherbe
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24e semaine - Méditation du Père Patrick Faur
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23e semaine - Méditation du Père Vincent Sauer
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22e semaine - Méditation du Père Jean-Charles Nault
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Plus qu’une mention sur une affiche, ce sont les chrétiens d’Orient eux-mêmes qui ne doivent pas être occultés.
La Conférence des Évêques de France (CEF) s’élève, elle aussi, contre cette mesure prise par la régie publicitaire de la RATP visant à faire supprimer le bandeau « au profit des chrétiens d’Orient » qui était prévu sur l’affiche du concert des « Prêtres ».
Elle constate l’unanimité de cette indignation, par-delà les appartenances religieuses, politiques et sociales. Elle voit dans cette indignation le signe de la solidarité de la France et des français envers des populations persécutées.
En ce temps de Pâques où les chrétiens fêtent la Résurrection du Christ, la Conférence des Évêques de France tient à rappeler que par-delà cette légitime indignation face à une mesure absurde, c’est la situation des chrétiens d’Orient qui suscite notre profonde inquiétude.
Plus qu’une mention sur une affiche, ce sont les chrétiens d’orient eux-mêmes qui ne doivent pas être occultés.
La CEF soutient ces initiatives visant à apporter de l’aide concrète aux chrétiens d’Orient.
Elle se félicite que la France ait porté au plus niveau international la préoccupation de ces peuples martyrisés. Elle espère vivement que des mesures seront prises pour venir en aide à ces chrétiens ainsi qu’à toutes les minorités persécutées, en Orient et partout dans le monde.
L’odieux massacre au Kenya appelle à une dénonciation unanime et a une action résolue pour la protection de toutes ces minorités déplacées, martyrisées et assassinées.
Source : Eglise Catholique en France - Crédit photo : Emilie BUZYN/CIRIC.
Dimanche de Pâques - Méditation de Mgr Rey
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Vendredi Saint - Méditation de Mgr Aillet
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Jeudi Saint - Méditation d'un moine du Barroux
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Depuis hier 31 mars les députés débattent du projet de loi de modernisation du système de santé. La Conférence des Evêques de France attire l’attention du législateur sur plusieurs mesures proposées qui représentent une menace pour la juste compréhension de la personne humaine.
La suppression du délai de réflexion avant une IVG
« Aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement (…). C’est toujours un drame et cela restera toujours un drame » affirmait Simone Weil en 1974.
Adopté en commission des affaires sociales, cet amendement renforce la banalisation de l’avortement : cet acte qui conduit à éliminer la vie. Avorter ne sera jamais banal, quelles qu’en soient les raisons.
Pour bien des actes de la vie courante, des délais de réflexion sont préservés pour garantir une réelle liberté de choix. Supprimer le délai de réflexion pour les femmes voulant avorter revient à empêcher une réelle liberté de prise de conscience et de choix face à la vie qu’elles portent.
La suppression du délai de réflexion avant une IVG renforce une conception réduite de la dignité humaine faisant de l’enfant à naître un simple objet dont on doit disposer librement et retirant à la femme enceinte les moyens d’exercice de sa réelle liberté de conscience.
L’Église continuera à accompagner les couples et les femmes confrontées à cette douloureuse question.
L’autorisation de prélèvement d’organes
L’amendement adopté en commission des affaires sociales constitue un retour en arrière, considérant que seule l’inscription sur le registre national qui recense les refus de don d’organe peut empêcher le prélèvement. En l’absence d’inscription sur ce registre, depuis 1994, la famille de la personne décédée doit être interrogée par les médecins afin d’exercer le discernement nécessaire pour décider d’éventuels prélèvements.
L’amendement, qui propose de retirer cette consultation de la famille afin de permettre plus de prélèvements, est une pure négation de cette ultime liberté qu’il faut laisser au défunt et à sa famille. « En réalité, n’est-ce pas plutôt considérer le corps humain après la mort comme une réserve d’organes exploitable en fonction des besoins de la société… N’est-ce donc pas une forme d’appropriation collective des corps ? » s’interroge le Père Patrick VERSPIEREN (http://ethique-soin.blogs.la-croix.com/don-dorganes-un-amendement-deplorable/2015/03/31/)
L’amendement en question risque de provoquer une méfiance encore plus grande vis-à-vis du don d’organes et atteindre un but inverse de celui recherché.
Le don d’organe est un acte d’une grande dignité car il reste un don : expression d’une liberté individuelle pleinement consentie. Il est un signe de solidarité de la part du donneur qu’il faut encourager.
Si le don d’organe est bien une « priorité nationale », il est urgent de le promouvoir en tant que tel, de mettre en place de véritables campagnes d’information basées sur la responsabilité et la solidarité de chacun. La loi doit proposer à chacun une telle place dans la société et non pas réduire le citoyen à un simple réservoir d’organes.
Expérimentation des salles de consommation à moindre risque
La loi Santé propose aussi l’expérimentation pendant six ans des salles de consommation à moindre risque, les « salles de shoot ».
La CEF considère cette expérimentation comme une prise de risque inconsidérée. Là encore, elle serait une forme de banalisation par la loi de la consommation de drogue. La loi doit poser des limites et non pas proposer des transgressions. Le risque d’émettre un mauvais signal, notamment, à destination des jeunes ne peut pas être couru ainsi. Une telle décision mérite sûrement plus de réflexion et de consultations.
Les efforts de l’Etat doivent plutôt porter sur deux volets : la prévention et l’accompagnement des personnes dépendantes. Les SCMR apparaitraient comme un échec de ces deux volets.
Contraception d’urgence pour les mineurs
La loi Santé en débat propose aussi la banalisation de la contraception pour les mineurs en faisant sauter les dernières barrières que la loi précédente prévoyait : « les mots : « à titre exceptionnel et » et les mots : « et de détresse caractérisés » sont supprimés », indique l’article 3.
Cette loi indique une conception erronée de la dignité de la personne humaine, ôtant toute responsabilité de la part des adultes vis-à-vis des jeunes mineurs confrontés aux questions affectives et sexuelles. Il est inconcevable que la loi laisse ainsi les adolescents seuls dans l’exercice de ces premiers discernements qu’ils doivent faire sur leur corps, sur leur engagement, sur leur rapport même à la vie. Cet amendement vise encore à déconstruire un peu plus cette responsabilité que la société adulte doit exercer sur les jeunes générations, faisant miroiter à ces dernières une fausse image de la liberté faite, non pas de choix, mais d’absence de choix.
Communiqué de l'Eglise catholique en France.
Les travaux de l’assemblée plénière de printemps de la Conférence des évêques de France se sont achevés à Lourdes ce vendredi 27 mars, après avoir été ouverts le mardi 24 mars par un discours du président de la conférence épiscopale, Mgr Georges Pontier, qui avait dressé un état des lieux des principaux points d'actualité traversés par le pays, les élections départementales, les attentats de janvier à Paris, les débats sur la laïcité, les persécutions anti-chrétiennes dans le monde ou encore la montée des nationalismes en Europe.
Cette assemblée de printemps, d'une durée plus réduite que celle de novembre, a permis aux évêques d'aborder plusieurs thématiques.
En début de semaine, les évêques de France ont vécu un temps de discernement évangélique sur le ministère épiscopal, avec des enseignements du père jésuite François-Xavier Dumortier, recteur de l’université pontificale Grégorienne.
Mercredi, ils ont travaillé sur le dossier de la pédophilie, en reprenant ce dossier sur ses différents aspects, juridique, législatif et sociétal. Ils poursuivront leur réflexion sur ce sujet lors de l’Assemblée plénière de novembre.
Jeudi, dans la perspective du Synode sur la famille qui se tiendra en octobre au Vatican, ils ont effectué un temps de travail et d’échange en forums, puis en séance plénière. de façon à partager les réflexions vécues dans leurs diocèses. Ils ont notamment écouté deux théologiens et un couple délégué à la pastorale de la famille.
Autre sujet abordé durant cette assemblée de printemps : la présence des prêtres venus de pays étrangers, de plus en plus nombreux dans la plupart des diocèses français. Ce sujet sera approfondi en novembre, de façon à mieux définir leur ministère et leur rôle au sein des communautés diocésaines.
Sur un plan plus technique, l'Église se préoccupe aussi du statut des "laïcs en mission ecclésiale", en terme de droit du travail. En parallèle de la réunion des évêques s’est tenue l’assemblée générale de l’Union des Associations Diocésaines de France (UADF), qui a voté en faveur de la constitution d’une branche professionnelle spécifique pour les 12 000 salariés des organismes d’Église, notamment ceux des associations diocésaines et des paroisses.
En marge de l’assemblée, le père Emmanuel Coquet, prêtre du diocèse de Paris, a été nommé secrétaire général adjoint de la CEF à partir du 1er septembre, et Corinne Boilley a été renouvelée pour un deuxième mandat de secrétaire général adjointe.
Source : Radio Vatican.
20e semaine - Méditation de Mgr Pascal Ide
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