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A compter du mois d’octobre 2015, le Père André Cabes, actuellement recteur de l’église de la Trinité-des-Monts, à Rome, deviendra le nouveau recteur du Sanctuaire de Lourdes. Il vient d’être nommé à cette responsabilité par Mgr Nicolas Brouwet, évêque du diocèse de Tarbes et Lourdes. Le Père André Cabes succèdera au Père Horacio Brito, recteur du Sanctuaire depuis 2008.
André Cabes est né le 14 décembre 1950 à Tarbes. Il est ordonné prêtre à la basilique Notre-Dame du Rosaire à Lourdes, le 26 juin 1977. Par la suite, il intègre la communauté des chapelains de Lourdes jusqu’en 1995. Il est notamment responsable du Service Jeunes jusqu’en 1989 et fondateur de l’école de l’Evangile de Lourdes, dont il est le responsable de 1991 à 1996. En 1995, il fonde la Communauté Notre-Dame de l’Aurore. Depuis 2012, il est recteur de l’église de la Trinité-des-Monts, à Rome.
Dans la vidéo d'archives ci-dessous, enregistrée en 2011, le Père André Cabes prend une minute pour dire avec ses mots le mystère de l'Immaculée Conception. Une vidéo de L. Jarneau pour le site officiel du Sanctuaire de Lourdes.
Le Père André Cabes explique le mystère de l'Immaculée Conception
Ce mercredi 18 mars, le Pape a reconnu le miracle attribué à l’intercession des Bienheureux Louis et Zélie Martin, les parents de Sainte Thérèse de Lisieux. Il a autorisé la promulgation d’un décret en ce sens lors d’une audience avec le cardinal Angelo Amato, le Préfet de la Congrégation pour les Causes des saints.
Louis Martin est né à Bordeaux le 22 août 1823. Membre d’une fratrie de cinq enfants, il grandit au sein de différentes garnisons avant que sa famille ne s’installe définitivement à Alençon. Louis Martin souhaitait consacrer sa vie à Dieu au monastère du Grand St Bernard, mais son niveau insuffisant de latin l’oblige à abandonner la poursuite de ce projet. Il ouvre en 1850 une horlogerie-bijouterie. Sa foi reste vive cependant. Il prend ainsi part au cercle Vital Romet qui réunit de jeunes adultes chrétiens autour de l’abbé Hurel. Grâce à l’intermédiaire de sa mère, il rencontre Zélie Guérin qu’il épouse quelques mois plus tard, en juillet 1858.
Zélie Guérin est née le 23 décembre 1831 à Saint Denis–Sarthon dans l’Orne où son père était enrôlé dans la gendarmerie. Sa sœur ainée devient religieuse. Elle a un frère de dix ans son cadet. Elle se sent elle aussi appelée à la vie religieuse et souhaite entrer à l’Hôtel-Dieu d’Alençon où sa famille s’est installée en 1844, mais la mère supérieure le lui refuse. Zélie s’initiera alors au célèbre point d’Alençon et ouvre sa fabrique de dentelle en 1853. Son entreprise, une véritable famille, est prospère lorsqu’elle rencontre Louis Martin.
Louis et Zélie, « un don » pour les parents, les époux, les veufs et les malades
De 1860 à 1873, neuf enfants, dont quatre mourront en bas âge, naîtront au foyer des Martin. La dernière sera Sainte Thérèse de Lisieux / de l’Enfant Jésus. Une foi profonde anime leur famille. Une grande affection lie les deux époux comme en témoigne les lettres de Zélie Martin à son mari.
« Modèle exemplaire de foyer missionnaire », les nouveaux bienheureux Louis et Zélie Martin sont par leur vie un « don » pour « les époux de tous âges », « les parents », « ceux qui ont perdu un conjoint » et « ceux qui affrontent la maladie et la mort », a affirmé dans son homélie le cardinal Martins, Préfet émérite de la Congrégation pour les Causes des saints, dimanche 19 octobre 2008 lors de la célébration de la béatification des parents de Sainte Thérèse de Lisieux.
A la mort de Zélie Martin le 28 août 1877 des suites d’une longue maladie, Louis s’installe dans la ville de sa belle-famille à Lisieux. Dix ans plus tard, après l’entrée de Thérèse au carmel, Louis sera interné au Bon Sauveur de Caen. Lui-même malade, il s’occupera dès qu’il le peut des autres patients qui l’entourent. Il meurt le 29 juillet 1894, à 71 ans.
Source : Radio Vatican, avec le site des évêques de France et du sanctuaire d'Alençon.
A la suite de l'audience accordée ce matin au Cardinal Angelo Amato, SDB, Préfet de la Congrégation pour les causes des saints, le Pape a ordonné la promulgation des décrets relatifs :
au MIRACLE attribué
aux bienheureux Louis Martin (1823-1894) et Zélie Guérin son épouse (1831-1877), laïcs français.
aux VERTUS HEROIQUES attribuées
au serviteur de Dieu Francesco Gattola (1822-1899), prêtre italien, fondateur des Filles de l'Immaculée de Lourdes.
au serviteur de Dieu Piotr Barbarić (1874-1897), novice jésuite de Bosnie-Herzégovine.
à la servante de Dieu Mary Aikenhead (1787-1858), religieuse irlandaise, fondatrice des Sœurs de la Charité en Irlande.
à la servante de Dieu Elisabetta Baldo (1862-1926), laïque italienne, fondatrice de la Pia Casa di San Giuseppe de Gavardo et cofondatrice des Humbles Servantes du Seigneur.
à la servante de Dieu Vincentine de la Passion (Edvige Jaroszewska) (1900-1937), religieuse polonaise, fondatrice des Bénédictines samaritaines de la Croix.
à la servante de Dieu Juana de la Cruz (Juana Vázquez Gutiérrez) (1481-1534), religieuse espagnole, Abbesse du couvent franciscain Ste Marie de la Croix à Cubas.
à la servante de Dieu Maria Orsola Bussone (1954-1970), laïque italienne.
Le Pape François a sévèrement critiqué ce mercredi 18 mars les sociétés contemporaines où le nombre d’enfants est au plus bas. Sans citer explicitement l’avortement et le contrôle des naissances, il a souligné que les enfants sont un grand don pour l’humanité, mais ils sont aussi les grands exclus, car on ne les laisse même pas naître. Le Saint-Père s’exprimait à l’occasion de l’audience générale, devant quelque 16 000 personnes rassemblées sur la place Saint-Pierre.
Poursuivant son cycle de catéchèses sur la famille, il s’est attardé sur la richesse que représentent les enfants. La semaine prochaine, a-t-il annoncé, il évoquera les blessures qui font beaucoup de mal aux enfants. Sortant plusieurs fois de son texte, le Pape François a évoqué les enfants qu’il a rencontrés lors de son dernier voyage en Asie, pleins de vie et d’enthousiasme. Mais certains d’entre eux, a-t-il dénoncé, vivent dans des conditions indignes. « C’est à la manière dont elle traite les enfants qu’on peut juger une société, sur le plan moral mais aussi sociologique, qu’on peut voir si cette société est libre ou si elle est esclave d’intérêts internationaux », a-t-il affirmé sous les applaudissements.
Les enfants, pas encore pollués par les incrustations de la vie, sont une source de joie
Le Souverain Pontife a reconnu que s’ils apportent de la joie et de l’espoir, les enfants sont aussi source de tracas et de soucis ; la vie est ainsi faite. Mais une société sans enfant est « triste et grise ». Le Pape François a par ailleurs fait l'éloge de la pureté franchise des enfants. Ils regardent, a-t-il dit, la réalité avec un regard confiant ; ils ont la capacité de recevoir et de donner de la tendresse. Avec leur simplicité intérieure et leur tendresse, ils peuvent débloquer les cœurs de pierre. Ils savent sourire et pleurer, spontanément, alors que le sourire des adultes semble parfois sans vie, en carton pâte, artificiel comme celui d’un clown. Les enfants ne sont pas encore pollués par les incrustations de la vie. Ils ne savent pas ce qu’est la diplomatie, la duplicité et mettent parfois leurs parents dans l’embarras. Mais ils disent des choses vraies.
Sur le ton de la plaisanterie, le Saint-Père a confié que certains enfants, le voyant entièrement vêtu de blanc, pensent que c'est le médecin qui vient leur faire un vaccin, et éclatent en larmes.
Les enfants nous rappellent aussi qu’au début de notre vie, nous avons tous été totalement dépendants des autres. Et le Fils de Dieu lui-même a voulu passer par là ! Dans l’Évangile, nous trouvons des paroles fortes de Jésus sur ces « petits », qui désignent toutes les personnes qui dépendent des autres, et en particulier les enfants. Ils sont une richesse pour l’humanité et pour l’Église, parce qu’ils sont un rappel constant à ne pas nous considérer autosuffisants, mais comme ayant besoin d’aide, d’amour, de pardon, condition nécessaire pour entrer dans le Royaume de Dieu. Nous ne sommes pas les maîtres de notre existence. Nous sommes radicalement dépendants. Le temps du Carême est un temps favorable pour « devenir comme des enfants », parce que « le royaume de Dieu est à ceux qui leur ressemblent ».
« Chers frères et sœurs, je parlerai aujourd’hui des enfants. Ils nous rappellent qu’au début de notre vie, nous avons tous été totalement dépendants des autres. Et le Fils de Dieu lui-même a voulu passer par là ! Dans l’Évangile, nous trouvons des paroles fortes de Jésus sur ces « petits », qui désignent toutes les personnes qui dépendent des autres, et en particulier les enfants. Ils sont une richesse pour l’humanité et pour l’Église, parce qu’ils sont un rappel constant à ne pas nous considérer autosuffisants, mais comme ayant besoin d’aide, d’amour, de pardon, condition nécessaire pour entrer dans le Royaume de Dieu. Nous ne sommes pas les maîtres de notre existence. Nous sommes radicalement dépendants. Les enfants regardent la réalité avec un regard confiant et pur ; ils ont la capacité de recevoir et de donner de la tendresse. Ils savent sourire et pleurer, ce que les adultes ont besoin d’apprendre à nouveau. Ils apportent la vie, la joie, l’espérance, mais aussi des préoccupations ; cependant il vaut mieux une société qui connait ces préoccupations, qu’une société triste qui reste sans enfants. »
« J’accueille avec plaisir les pèlerins francophones, en particulier les jeunes venus nombreux, et le groupe du Secours catholique de Marseille. Le temps du Carême est un temps favorable pour « devenir comme des enfants », parce que « le royaume de Dieu est à ceux qui leur ressemblent ». Que Dieu vous y aide et vous bénisse ! »
Longtemps pour annoncer l’Évangile aux musulmans, les missionnaires devaient traverser les mers et entreprendre de longs périples, comme saint François d’Assise allant à la rencontre du Sultan pour lui annoncer la Bonne Nouvelle.
Aujourd’hui les chrétiens qui souhaitent partager la Bonne Nouvelle du Salut en Jésus Christ n’ont souvent qu’à traverser la rue : la présence de musulmans nombreux en France et en Europe rend possible une évangélisation de proximité. En outre nombreux sont les musulmans dont le cœur, secrètement préparé par Dieu en songes, ont soif du Christ et attendent que les chrétiens les jugent dignes de recevoir une annonce explicite.
« Sera-t-il donné à des générations qui nous suivront de voir ces âmes du nord de l’Afrique dire ensemble : «Notre Père…» s’adressant à Dieu comme au Père commun de tous les humains frères en Lui ? Je ne sais, c’est le secret de Dieu, mais c’est un devoir d’y travailler de toutes ses forces : c’est la pratique du 2ème commandement, l’amour du prochain comme soi-même, si semblable au premier, l’amour de Dieu par-dessus tout. Si les catholiques veulent pour eux-même conserver et féconder leur foi, qu’ils se fassent tous apôtres pour la donner à tous les peuples. »
Bx. Charles de Foucauld
FORUM 2015 - ND de Grâce de Passy, Salle Rossini, 8 bis rue de l’Annonciation, 75016 PARIS
Les objectifs du Forum furent énoncés dès juin 2010, dans un courrier adressé à un certain nombre de prêtres (dont Mgr Rey) :
- Informer et montrer aux catholiques, pasteurs compris, qu’ils ont une responsabilité dans l’accueil ou le non-accueil, dans le soutien ou l’absence de soutien aux convertis à cause de l’interdiction islamique de se convertir au christianisme.
- Toucher les autorités civiles et politiques pour qu’elles réalisent que la liberté de choix, de croire ou de ne pas croire, doit aussi être garantie par l’État français aux citoyens nés musulmans.
- Faire intervenir des musulmans de renom pour qu’ils se positionnent sur la question de la liberté de quitter l’islam.
Programme du Forum : 9 & 10 mai 2015
SAMEDI 9 mai 2015
8H30 : Café - Accueil
9H00 : Allocution introductive
9H15-10H15 : Table Ronde : La liberté de conscience, P. Samir Khalil SAMIR, Xavier LEMOINE
10H15 -11H15 - Pause et découverte des stands
11H15 -12H15 : MESSE
12H30-14H00 - Repas tiré du sac
14H00-15H00 : Atelier : comment évangéliser les musulmans ? J.Y. NERIEC, P. Guy PAGES
15H-16H30 - Pause et découverte des stands
16H30– 17H30 : Table ronde : Les enjeux du dialogue avec l'islam, P. Philippe de KERGORLAY (SRI),P. Edouard Marie GALLEZ
17H30-19H00 - Pause et découverte des stands
19H00-20H00 - Repas libre
20H00-22H00 : Veillée prière, témoignages et miséricorde
DIMANCHE 10 mai 2015
9H15-9H45 : Recherche historique et évangélisation, Odon LAFONTAINE, “Le Grand secret de l'islam”
9H45-10H45 - Pause et découverte des stands
10H45-11H45 : Table ronde au sujet du film de Cheyenne Carron : l'Apôtre, ND de Kabylie
12H00– 13H15 : MESSE
13H15-14H15 - Repas tiré du sac
14H15-15H00 - Pause et découverte des stands
15H00-16H00 : Table ronde : Le baptême des convertis de l'islam, Abbés Guy PAGES et Guillaume de TANOUARN - Animée par le pdt de l'association ND de l'Accueil
16H00-17H00 - Pause et découverte des stands
17H00 : Conclusion et envoi
Pour des raisons de sécurité , il faut impérativement s'inscrire pour pouvoir entrer au forum. Votre nom sera vérifié à l'accueil sur la liste des inscrits.
Il y a de plus en plus de demandes de baptême de musulmans et nous en rendons grâce à Dieu.
Merci de votre prière pour ce Forum, merci de prier pour tous les catéchumènes et pour ceux qui viennent de l'islam ( Ali, Gassen, Amal, Oussem, Marie, Monia,...)
Tous renseignements (stands, intervenants, compte-rendus...) et inscriptions sur Jésus-Messie.org.
« Et voilà ce qui empêche à jamais le sensualisme de faire du progrès : c'est que le sensualisme est la suppression de l'effort. La sensation, par sa nature, exclut tout effort ; s'il faut à l'homme de l'énergie, ce n'est pas pour la faire naître ; c'est pour la faire mourir. L'imagination, elle aussi, est impuissante à l'effort ; elle ne sait pas se gouverner. Si l'effort est nécessaire, ce n'est pas pour l'exalter, c'est pour la contenir. Le sentiment lui-même ne demande pas l'effort ; il jaillit des profondeurs de notre amour, sans avoir besoin des ordres de notre volonté (*). Le progrès moral, c'est la marche dans le bien ; la marche dans le bien, c'est la vertu ; et la vertu, c'est l'effort déployé pour accomplir le devoir. Or ce qui accomplit le devoir, ce qui fonde en nous la base du progrès moral, ce n'est ni une sensation suscitée par un attrait, ni un sentiment provoqué par un charme, ni une imagination exaltée par un rêve ; c'est une volonté gouvernée par une règle. »
(*) : « Je le sais, le sentiment est une grande force ; et quand il se fait l'instrument docile d'une volonté sainte, il donne à l'homme, vers le bien qu'il poursuit, des élans généreux... Mais je le répète, le sentiment, pas plus que l'image et la sensation, n'est le fruit d'un effort. »
R.P. C.J. Félix s.j. (1810-1891), Le Progrès par le christianisme - Conférences de Notre-Dame de Paris, Année 1857 (Troisième conférence : le sensualisme obstacle au progrès), 4e édition, Paris, Librairie d'Adrien Le Clere et Cie, s.d.