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  • Angelus de ce dimanche 18 mars 2018

    La croix de Jésus n’est pas « un objet ornemental », ni un « accessoire de mode », mais « un signe religieux à contempler et à comprendre » : le Pape François l’a rappelé au cours de sa catéchèse ce dimanche 18 mars 2018, peu avant de réciter la prière de l’Angélus depuis les fenêtres du Palais apostolique, devant des milliers de fidèles réunis Place Saint Pierre. Commentant l’Evangile de ce dimanche, le Pape a longuement évoqué le sens profond de la mort et de la résurrection du Christ, à la lumière de l’image utilisée par Jésus lui-même : celle du grain de blé.

    Compte rendu de Manuella Affejee sur Vatican.News.

    Texte intégral des paroles du Pape avant et après l'Angelus (Zenit.org).

  • Gueorgui Sviridov (1915-1998) : Sviatiy Bozhe (Saint Dieu)

    Credo Chamber Choir - Dir. Bogdan Plish
     
    Sviatiy Bozhe, Sviatiy Krepkiy, Sviatiy Bessmertniy, pomiluy nas. (slavon)
    Saint Dieu, Saint Fort, Saint Immortel, prends pitié de nous.
  • Méditation - Les croix

    « Plus vos croix sont douloureuses, plus il faut être fidèle à ne les augmenter en rien. On les augmente ou en les voulant repousser par de vains efforts contre la Providence au-dehors, ou par d'autres efforts, qui ne sont pas moins vains, au-dedans, contre sa propre sensibilité. ll faut être immobile sous la croix, la garder autant de temps que Dieu la donne, sans impatience pour la secouer, et la porter avec petitesse, joignant à la pesanteur de la croix la honte de la porter mal. La croix ne serait plus croix, si l'amour-propre avait le soutien flatteur de la porter avec courage.

    Rien n'est meilleur que de demeurer sans mouvement propre, pour se délaisser avec une entière souplesse au mouvement imprimé par la seule main de Dieu. Alors, comme vous le dites, on laisse tomber tout ; mais rien ne se perd dans cette chute universelle. Il suffit d'être dans un véritable acquiescement pour tout ce que Dieu nous montre par rapport à la correction de nos défauts. Il faut aussi que nous soyons toujours prêts à écouter avec petitesse et sans justification tout ce que les autres nous disent de nous-mêmes, avec la disposition sincère de le suivre autant que Dieu nous en donnera la lumière. L'état de vide de bien et de mal dont vous me parlez ne peut vous nuire. Rien ne pourrait vous arrêter, que quelque plénitude secrète. Le silence de l'âme lui fait écouter Dieu ; son vide est une plénitude, et son rien est le vrai tout : mais il faut que ce rien soit bien vrai. Quand il est vrai, on est prêt à croire qu'il ne l'est pas : celui qui ne veut rien avoir ne craint point qu'on le dépouille. »

    Fénelon (1651-1715), Lettre 249 (A la Duchesse Douairière de Mortemart), 27 juillet 1711, in "Œuvres de Fénelon" Tome Cinquième, A Paris, Chez Lefèvre, Éditeur, 1858.

    Trois_Croix_3a.jpg

  • Dimanche 18 mars 2018

    Premier Dimanche de la Passion

    Au nouveau calendrier :
    5ème Dimanche de Carême

  • Visite pastorale du Pape François à Pietrelcina et San Giovanni Rotondo

    08h00 : Visite du Pape à Pietrelcina, rencontre avec les fidèles
           Retransmission en direct sur KTO
     
    10h40 : Visite du Pape à San Giovanni Rotondo : concélébration eucharistique
           Livret de la célébration
           Retransmission en direct sur KTO
    Texte intégral de l'homélie traduite en français sur Zenit.org.
     

  • The Deer's Cry (St. Patrick's Breastplate)

    Poème anonyme du VIIIe siècle
    Shaun Davey & Rita Connolly
     
    I arise today, through the strength of heaven;
    light of sun, radiance of moon,
    splendor of fire, speed of lightning,
    swiftness of wind, depth of the sea,
    stability of earth, firmness of rock.

    I arise today, through God’s strength to pilot me;
    God’s eye to look before me, God’s wisdom to guide me,
    God’s way to lie before me, God’s shield to protect me,
    from all who shall wish me ill, afar and a-near
    alone and in a multitude.

    Against every cruel merciless power
    that may oppose my body and soul,

    Christ with me, Christ before me,
    Christ behind me, Christ in me,
    Christ beneath me, Christ above me,
    Christ on my right, Christ on my left,
    Christ when I lie down, Christ when I sit down,
    Christ when I arise, Christ to shield me.

    Christ in the heart of every one who thinks of me,
    Christ in the mouth of every one who speaks of me,

    I arise today.

    Traduction française intégrale
  • Samedi 17 mars 2018

    Samedi de la 4ème semaine de Carême
     
    Mémoire de St Patrick (St Patrice), Évêque et Confesseur

    Saint_Patrick_6.JPG

  • Audience générale du mercredi 14 mars 2018

    Lors de l’audience générale de ce mercredi matin sur la Place Saint-Pierre, le Pape François a poursuivi sa série de catéchèses sur les rites de la Messe, en s’arrêtant cette fois sur la prière du Notre Père, « la prière des enfants de Dieu », qui nous a été enseignée par Jésus en personne.

    Le compte rendu de Cyprien Viet sur Vatican.News.

    Texte intégral de la catéchèse traduite en français sur Zenit.org.

    Résumé en français :

    « Frères et sœurs, les rites de la Communion, lors de la Messe, commencent par la récitation communautaire du Notre Père, qui est la prière des enfants de Dieu. Il n’y a pas de meilleure prière que celle que Jésus nous a enseignée pour nous préparer à la communion sacramentelle avec lui. Dans cette prière, nous demandons « le pain quotidien » dans lequel nous voyons une référence particulière à l’Eucharistie et dont nous avons besoin pour vivre en enfants de Dieu. Alors que nous implorons le pardon de Dieu et que nous nous engageons à pardonner à ceux qui nous ont offensés, le Notre Père nous dispose à l’amour fraternel. Et enfin, nous demandons à Dieu de nous libérer du mal qui nous sépare de lui et de nos frères. Ce sont là des demandes très adaptées pour nous préparer à la communion. Le geste de paix qui suit est une sorte de sceau qui exprime la communion ecclésiale et l’amour réciproque avant de communier. Puis vient la fraction du pain eucharistique accompagnée de l’invocation « Agneau de Dieu ». Dans ce pain rompu pour la vie du monde, l’assemblée reconnaît le véritable Agneau de Dieu, le Christ Rédempteur, et le supplie : Prends pitié de nous… Donne-nous la paix ! »

    « Je suis heureux d’accueillir les pèlerins francophones, venant en particulier de France et de Suisse. Je salue les membres de la Communauté de Taizé, les jeunes des collèges et lycées de France et les diocésains d’Angers et du Puy. En ce temps de préparation à la célébration de Pâques, je vous invite à enraciner la paix du Christ dans vos cœurs, afin de vivre la fraternité et de la guérir lorsqu’elle a été blessée. Que Dieu vous bénisse ! »

    Source : site internet du Vatican.

  • Michel-Richard Delalande (1657-1726) : Motet "Super flumina Babylonis" S.13

    Psaume 137 (136) : Au bord des fleuves de Babylone
    (Vêpres du mercredi, ainsi que pour la Pentecôte)
    Les Arts Florissants - Dir. William Christie
     
    Super flumina Babylonis, 00:00
    In salicibus in medio ejus, 03:36
    Quia illic interrogaverunt nos, 05:55
    Hymnum cantate nobis, 06:32
    Si oblitus fuero tui, 08:56
    Adhaereat lingua mea, 10:21
    Memor esto Domine filiorum Edom, 12:44
    Filia Babylonis misera, 13:51
    Beatus qui retribuet tibi, 14:10
    Beatus qui tenebit, 15:20

    Paroles en français du Psaume 136
  • Méditation - des distractions et sécheresses dans l'oraison

    « Mais je ne suis pas, direz-vous, le maître de mon imagination, qui s'égare, qui s'échauffe, qui me trouble ; mon esprit même se distrait, et m'entraîne malgré moi vers je ne sais combien d'objets dangereux, ou du moins inutiles. Je suis accoutumé à raisonner ; la curiosité de mon esprit me domine : je tombe dans l'ennui, dès que je me gêne pour la combattre : l'ennui n'est pas moins une distraction, que les curiosités qui me désennuient. Pendant ces distractions, mon oraison s'évanouit, et je la passe tout entière à apercevoir que je ne la fais pas.

    Je vous réponds, monsieur, que c'est par le coeur que nous faisons oraison, et qu'une volonté sincère et persévérante de la faire est une oraison véritable. Les distractions qui sont entièrement involontaires n'interrompent point la tendance de la volonté vers Dieu. ll reste toujours alors un certain fonds d'oraison, que l'école nomme intention virtuelle. A chaque fois qu'on aperçoit sa distraction, on la laisse tomber, et on revient à Dieu en reprenant son sujet. Ainsi, outre qu'il demeure, dans les temps mêmes de distraction, une oraison du fond, qui est comme un feu caché sous la cendre, et une occupation confuse de Dieu, on réveille encore en soi, dès qu'on remarque la distraction, des affections vives et distinctes sur les vérités que l'on se rappelle dans ces moments-là. Ce n'est donc point un temps perdu. Si vous voulez en faire patiemment l'expérience, vous verrez que certains temps d'oraison, passés dans la distraction et dans l'ennui avec une bonne volonté, nourriront votre cœur, et vous fortifieront contre toutes les tentations.

    Une oraison sèche, pourvu qu’elle soit soutenue avec une fidélité persévérante, accoutume une âme à la croix ; elle l'endurcit contre elle-même ; elle l'humilie ; elle l'exerce dans la voie obscure de la foi. Si nous avions toujours une oraison de lumière, d'onction, de sentiment et de ferveur, nous passerions notre vie à nous nourrir de lait, au lieu de manger le pain sec et dur ; nous ne chercherions que le plaisir et la douceur sensible, au lieu de chercher l'abnégation et la mort ; nous serions comme ces peuples à qui Jésus-Christ reprochait qu'ils l'avaient suivi, non pour sa doctrine, mais pour les pains qu‘il leur avait multipliés. Ne vous rebutez donc point de l'oraison, quoiqu'elle vous paraisse sèche, vide, et interrompue par des distractions. Ennuyez-vous-y patiemment pour l'amour de Dieu, et allez toujours sans vous arrêter ; vous ne laisserez pas d'y faire beaucoup de chemin. Mais n'attaquez point de front les distractions : c'est se distraire que de contester contre la distraction même. Le plus court est de la laisser tomber, et de se remettre doucement devant Dieu. Plus vous vous agiterez, plus vous exciterez votre imagination, qui vous importunera sans relâche. Au contraire, plus vous demeurerez en paix en vous retournant par un simple regard vers le sujet de votre oraison, plus vous vous approcherez de l'occupation intérieure des choses de Dieu. Vous passeriez tout votre temps à combattre contre les mouches qui font du bruit autour de vous : laissez-les bourdonner à vos oreilles, et accoutumez-vous à continuer votre ouvrage, comme si elles étaient loin de vous. »

    Fénelon (1651-1715), Lettre 167 (Au Vidame d'Amiens, fils puiné du Duc de Chevreuse), 31 mai 1707, in "Œuvres de Fénelon" Tome Cinquième, A Paris, Chez Lefèvre, Éditeur, 1858.

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  • Médecins du monde : bon à savoir...

    Médecins du monde affirme son soutien à la généralisation de l’avortement

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    Dans un message diffusé sur twitter , « médecins du monde » revendique son combat pour un « Accès gratuit à la contraception et à l’avortement pour toutes les femmes, partout dans le monde ! ».

    Reprenant les slogans habituels tel que « Pour mon corps, ce que je veux d’abord c’est le droit d’en disposer librement, en toute indépendance, à tous les moments de ma vie. », ou encore que « quand les femmes ont le contrôle de leur sexualité et fécondité, elles sont en meilleure santé », ce qui est pourtant plus que discutable au regard des faits.

    Ils coïncidèrent donc que « L’accès aux services et droits de santé sexuelle et reproductive est une de nos priorités d’actions. ».

    En affirmant « Aujourd’hui dans le monde, 214 millions de femmes souhaiteraient éviter ou différer une grossesse », on peut se demander s’ils ont vraiment compris ce que l’avortement était, en effet, il a lieu quand la grossesse a débutée, il ne l’évite donc pas, et il ne la diffère pas non plus, car bien que le terme utilisé soit « interruption », c’est une fin définitive à la dite grossesse, et il n’est plus possible de la reprendre par la suite.

    Quoi qu’il en soit, de nombreux donateurs de « médecins du monde » sont catholiques, et ceux-ci ne pouvant pas cautionner le financement d’organisation faisant la promotion de l’avortement, j’invite les donateurs à éviter « Médecins du monde » et à réorienter leur dons vers d’autres associations.

    Benjamin Leduc

    Source : InfoCatho.fr.