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  • Angelus de ce dimanche 14 juillet 2019

    Ce dimanche 14 juillet, le Pape a commenté la parabole du « bon Samaritain », « paradigmatique de la vie chrétienne » ; un « trésor » qui est devenu « le modèle de la manière dont doit agir un chrétien ». Le Pape François prie la Vierge Marie afin qu'elle donne aux fidèles « la grâce d’avoir et de croître dans la compassion » ; qu’elle les aide à comprendre et, surtout, à vivre toujours plus « le lien indissoluble qui existe entre l’amour pour Dieu notre Père et l’amour concret et généreux pour nos frères ».

    Compte rendu de Marie Duhamel à lire sur Vatican News.

    Texte intégral des paroles du Pape traduites en français sur Zenit.org.

  • W.-A. Mozart : Concerto pour flûte et harpe en ut majeur, K. 299 - 2e mvt

    Anna Komarova, flûte - Alisa Sadikova, harpe
    The Symphony orchestra
    Rimsky-Korsakov St. Petersburg State Conservatory Music School
    Dir. Arkady Steinlucht

  • Méditation - paix intérieure... (suite)

    « Rejetez de votre esprit tout ce qui peut l'élever ou l'abaisser, le troubler ou l'inquiéter ; travaillez doucement à lui acquérir ou à lui conserver sa tranquillité ; car Jésus-Christ a dit : Bienheureux sont les pacifiques ; apprenez de moi que je suis doux et humble de cœur. Ne doutez pas que Dieu ne couronne ce travail, et qu'il ne fasse dans votre âme une maison de délices ; tout ce qu'il demande de vous, est qu'autant de fois que les mouvements des sens et des passions vous agiteront, vous preniez à tâche de rabaisser ces fumées, de calmer et d'apaiser ces tourbillons, et de redonner la paix à vos actions.
    Comme une maison ne se bâtit pas en un jour, aussi l'acquisition de ce trésor intérieur n'est pas une entreprise de peu de temps.
    Mais la perfection de cette œuvre désire deux choses essentielles : l'une, que ce soit Dieu même qui s'édifie sa demeure au-dedans ; l'autre, que ce bâtiment ait pour fondement l'humilité. »

    Jean de Bonilla, Traité de la Paix de l'âme, ch. III, Ed. Perisse Frères, 1860.

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  • Mort de Vincent Lambert : un obscurantisme d’état ?

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    Vincent Lambert est mort. La nouvelle est tombée ce matin. Ces derniers jours, la question s’imposait au saut du lit : est-il encore vivant ? Malgré la détermination de ses parents, de ceux qui l’entouraient, rien n’a pu sauver cet homme vivant, grand handicapé, qu’aucune machine ne maintenait en vie ; cet homme qui tournait la tête quand on l’appelait, qui vivait sous clé dans un hôpital et qu’un médecin a fini par laisser mourir de faim sous sédation, pour épargner aux vivants, le spectacle d’une trop cruelle agonie.

    Qu’avait-il fait pour mériter une mort qu’avec l’abolition de la peine capitale, on se défend d’éviter aux plus terribles de nos criminels ? La maladie, la fragilité, la vulnérabilité sont-ils devenu des délits ?

    Quels que soient les arguments des avocats, l’acharnement qui a été mis, contre toute raison, à débouter les recours, à annihiler la justice, laisse interdit. Jusqu’à ce que le gouvernement lui-même se dévoile en saisissant la Cour de cassation contre la Cour d’appel de Paris, faisant fi de ses propres engagements, de son propre droit, de ses propres lois.

    L’heure est désormais à la peine. Finalement une peine d’Etat puisque la France, dans cet acte posé contre les demandes suspensives du Comité international des droits des personnes handicapées de l’ONU, abdique des droits de l’homme. Elle sait qu’elle sera condamnée, mais n’en a cure.

    Vincent Lambert n’est qu’une étape. Emblématique certes, mais une étape. Avec sa mort, nous revenons aux heures les plus sombres de l’histoire de l’humanité avec un mélange d’insouciance et de déraison. Eugénisme, euthanasie, les mots qui fâchent, qu’on brandit désormais comme des trophées, des victoires, les enveloppant d’une liberté vidée de son sens, d’une volonté devenue folle. Si la valeur d’un homme ne se mesure plus qu’à son capital d’utilité et non plus d’humanité, la pente douce ne sera que plus violente. Qu’allons-nous devenir ?

    Source : Gènéthique.org - 11 juillet 2019.

  • J.-S.Bach : Partita n°2 en ut mineur, BWV 826

    (Sinfonia, Allemande, Courante, Sarabande, Rondeaux, Capriccio)
    Martha Argerich, piano (Verbier festival, 2008)

  • Méditation - paix intérieure...

    « Chacun doit se connaître ou apprendre à se connaître pour savoir où et comment trouver le calme. Le mieux, si cela est possible, est de retourner pour un court laps de temps devant le tabernacle pour y décharger tous ses soucis. Pour celui à qui cela est impossible, il s'agit de s'enfermer en soi-même un instant, de se réfugier auprès du Seigneur. Ainsi le reste de la journée s'écoulera, peut-être dans une grande lassitude et dans la peine, mais au moins dans la paix. Et quand la nuit vient et que d'un coup d’œil rétrospectif on s'aperçoit que tout n'a été que rapiéçage, et que de nombreux projets sont restés en plan, lorsque tant de choses éveillent honte et regret : il faut alors tout prendre tel quel, le déposer dans les mains de Dieu et s'en remettre à lui. C'est ainsi qu'on pourra se reposer en lui, et commencer la nouvelle journée comme une nouvelle vie. »

    Edith Stein (Ste Thérèse-Bénédicte de la Croix, 1891-1942), La puissance de la Croix, Textes réunis et présentés par Waltraud Herbstrith, Nouvelle Cité, 1982.

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  • Mercredi 10 juillet 2019

    Les sept frères martyrs
    et Stes Rufine et Seconde, vierges martyres

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    Au nouveau calendrier : de la Férie