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ste therese

  • Vendredi 1er octobre 2021

    de la férie
     
    En France : St Rémi de Reims, évêque

    Saint_Remy_bapteme-de-Clovis_2b.jpg

    Maître de Saint Gilles (v.1500), Le baptême de Clovis
    National Gallery of Art, Washington DC

    (Crédit photo)
     
    Au nouveau calendrier :
    Ste Thérèse de l'Enfant Jésus
  • Un rappel, à propos de Saint Joseph

    « Connaissant aujourd'hui par une si longue expérience l'étonnant crédit de saint Joseph auprès de Dieu, je voudrais persuader à tout le monde de l'honorer d'un culte particulier. Jusqu'ici j'ai toujours vu les personnes qui ont eu pour lui une dévotion vraie et soutenue par les œuvres, faire des progrès dans la vertu ; car ce céleste protecteur favorise d'une manière frappante l'avancement spirituel des âmes qui se recommandent à lui. Déjà depuis plusieurs années, je lui demande, le jour de sa fête, une faveur particulière, et j'ai toujours vu mes désirs accomplis. Si par quelque imperfection ma demande s'écartait tant soit peu du but de la gloire divine, il la redressait admirablement dans la vue de m'en faire retirer un plus grand bien.

    Si j'avais autorité pour écrire, je goûterais un plaisir bien pur à raconter, dans un récit détaillé, les grâces dont tant de personnes sont comme moi redevables à ce grand Saint. Je me contente donc de conjurer pour l'amour de Dieu, ceux qui ne me croiront pas, d'en faire l'épreuve : ils verront par expérience combien il est avantageux de se recommander à ce glorieux patriarche et de l'honorer d'un culte particulier. Les personnes d'oraison surtout devraient toujours l'aimer avec une filiale tendresse. Je ne comprends pas comment on peut penser à la Reine des Anges et à tout ce qu'elle essuya de tribulations durant le bas âge du divin Enfant Jésus, sans remercier saint Joseph du dévouement si parfait avec lequel il vint au secours de l'un et de l'autre. Que celui qui ne trouve personne pour lui enseigner oraison, choisisse cet admirable Saint pour maître, il n'aura pas à craindre de s'égarer sous sa conduite. »

    Ste Thérèse de Jésus (d'Avila, 1515-1582), Vie écrite par elle-même chap.VI, Trad. du P. Bouix, citée par le R.P. Huguet in "Pouvoir de Saint Joseph", Perisse Frères, Paris - Bruxelles, 1865 (15ème édition).

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    Sur notre site : les plus pages sur Saint Joseph

  • Premier Vendredi du mois, dédié au Sacré-Coeur de Jésus

    « Près de ton Cœur divin, j’oublie tout ce qui passe
    Je ne redoute plus les craintes de la nuit
    Ah ! donne-moi, Jésus, dans ce Cœur une place
    Rien que pour aujourd’hui. »

    Ste Thérèse de l'Enfant-Jésus, Poésie n°5 (1894),
    in "Œuvres complètes", Éditions du Cerf et Desclée de Brouwer, 1996.
    (Texte intégral)

    Jesus_enfant_4a.jpg

  • Méditation - ... rien qu’aujourd’hui !

    « Ma vie n’est qu’un instant, une heure passagère
    Ma vie n’est qu’un seul jour qui m’échappe et qui fuit
    Tu le sais, ô mon Dieu ! pour t’aimer sur la terre
    Je n’ai rien qu’aujourd’hui !... »

    Ste Thérèse de l'Enfant Jésus, Poésie n°5 (1894).
    (Texte intégral)

    soleil_levant_12a.jpg

  • Jeudi 1er octobre 2020

    de la férie
     
    En France : St Rémi de Reims, évêque

    Saint_Remy_bapteme-de-Clovis_1b.jpg

    Au nouveau calendrier : Mémoire de
    Ste Thérèse de l'Enfant Jésus

  • Mercredi 3 octobre 2018

    Sainte_Therese_Lisieux_3bb.jpg

    (Fête avancée au 1er octobre au nouveau calendrier)

  • Lundi 1er octobre 2018

    de la férie

    En France : St Rémi, évêque de Reims

    Saint_Remy_bapteme-de-Clovis_1b.jpg

    Baptême de Clovis 1er, roi des Francs, par Saint Rémi,
    représenté derrière la Basilique Saint Rémi à Reims (1896)

    Au nouveau calendrier :
    Mémoire de Ste Thérèse de l'Enfant Jésus

  • 1er vendredi du mois, dédié au Sacré-Coeur de Jésus

    « Vous aimez saint Augustin, sainte Madeleine, ces âmes auxquelles « Beaucoup de péchés ont été remis parce qu'elles ont beaucoup aimé ». Moi aussi je les aime, j'aime leur repentir, et surtout… leur amoureuse audace ! Lorsque je vois Madeleine s'avancer devant les nombreux convives, arroser de ses larmes les pieds de son Maître adoré, qu'elle touche pour la première fois, je sens que son cœur a compris les abîmes d'amour et de miséricorde du Cœur de Jésus, et que toute pécheresse qu'elle est, ce Cœur d'amour est non seulement disposé à lui pardonner, mais encore à lui prodiguer les bienfaits de son intimité divine, à l'élever jusqu'aux plus hauts sommets de la contemplation.
    Ah ! mon cher petit Frère, depuis qu'il m'a été donné de comprendre aussi l'amour du Cœur de Jésus, je vous avoue qu'il a chassé de mon cœur toute crainte. Le souvenir de mes fautes m'humilie, me porte à ne jamais m'appuyer sur ma force qui n'est que faiblesse, mais plus encore ce souvenir me parle de miséricorde et d'amour.
    Comment lorsqu'on jette ses fautes avec une confiance toute filiale dans le brasier dévorant de l'Amour, comment ne seraient-elles pas consumées sans retour ? »

    Ste Thérèse de l'Enfant-Jésus, extrait d'une Lettre à l'Abbé Bellière, 21 juin 1897 (LT 247), in "Œuvres complètes", Cerf - DDB, Paris, 1992.
    Citation extraite du recueil "Le Sacré-Coeur de Jésus, 2000 ans de miséricorde", Éditions Téqui, 2008.

    Jesus_misericordieux_enfant_3a.jpg

  • "Moi si j'avais commis"

    Textes de Ste Thérèse de l'Enfant-Jésus
    Mise en musique d'Ephraïm (Béatitudes)
    Chorale de Grenoble (CD n°3 : Totus Tuus, piste n°20)
     
    Ce chant a été composé à partir de deux textes de Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus :

    - une parole de Ste Thérèse à sa soeur Pauline (Mère Agnès de Jésus, Derniers entretiens), le 11 juillet 1897 (6) :

    « Dites bien, ma Mère, que si j'avais commis tous les crimes possibles, j'aurais toujours la même confiance, je sens que toute cette multitude d'offenses serait comme une goutte d'eau jetée dans un brasier ardent. »

    - et 2 strophes extraites de la poésie "Au Sacré Cœur de Jésus" (PN 23) :

    4. « J’ai besoin d’un cœur brûlant de tendresse,
    Restant mon appui sans aucun retour ;
    Aimant tout en moi, même ma faiblesse...
    Ne me quittant pas, la nuit et le jour. »
    Je n’ai pu trouver nulle créature
    Qui m’aimât toujours, sans jamais mourir
    Il me faut un Dieu prenant ma nature,
    Devenant mon frère et pouvant souffrir !

    7. Ah ! je le sais bien, toutes nos justices
    N’ont devant tes yeux aucune valeur
    Pour donner du prix à mes sacrifices
    Je veux les jeter en ton Divin Cœur
    Tu n’as pas trouvé tes Anges sans tache
    Au sein des éclairs tu donnas ta loi !...
    En ton Cœur Sacré, Jésus, je me cache
    Je ne tremble pas, ma vertu, c’est Toi !...

    --- "Moi si j'avais commis" ---

    1. Moi si j'avais commis tous les crimes possibles,
    Je garderais toujours la même confiance,
    Car je sais bien que cette multitude d'offenses
    N'est qu'une goutte d'eau dans un brasier ardent.

    2. Oui, j'ai besoin d'un Cœur, tout brûlant de tendresse
    Qui reste mon appui, et sans aucun retour,
    Qui aime tout en moi, et même ma faiblesse,
    Et ne me quitte pas, ni la nuit ni le jour.

    3. Non, je n'ai pu trouver, nulle autre créature
    Qui m'aimât à ce point, et sans jamais mourir,
    Car il me faut un Dieu qui prenne ma nature,
    Qui devienne mon frère, et qui puisse souffrir.

    4. Je ne sais que trop bien que toutes nos justices
    N'ont devant ton regard, pas la moindre valeur,
    Et pour donner du prix à tous nos sacrifices
    Oui, je veux les jeter jusqu'en ton divin Coeur.

    5. Non, tu n'as pas trouvé créature sans tache,
    Au milieu des éclairs, Tu nous donnas ta loi,
    Et dans ton Cœur sacré, Ô Jésus je me cache
    Non, je ne tremble pas, car ma vertu c'est Toi.
  • Méditation - Exclamation de Ste Thérèse d'Avila

    « Ô Dieu de mon âme, comme nous sommes prompts à vous offenser ! Mais comme vous l'êtes davantage à nous pardonner ! D'où nous vient donc, ô Seigneur, une si folle audace, si ce n'est de ce que, voyant l'étendue de votre grande miséricorde, nous oublions l'équité de votre justice ? "Les douleurs de la mort m'ont environné", dites-vous. Oh ! que le péché est un grand mal, puisqu'il a pu donner la mort à un Dieu au milieu des plus poignantes douleurs ! Et comme ces douleurs vous environnent encore aujourd'hui, ô mon Dieu ! Où pouvez-vous aller, que vous ne soyez tourmenté ? De toutes parts les mortels vous font des blessures.

    Ô chrétiens, il est temps de défendre votre Roi et de lui tenir compagnie dans l'isolement profond où il se trouve. Ils sont rares les vassaux qui lui restent fidèles ! c'est le grand nombre qui marche à la suite de Lucifer. Le pire, c'est qu'il y en a qui en public se montrent ses amis, et qui en secret le vendent. Il ne trouve presque plus personne à qui il puisse se fier. O ami véritable, qu'il vous paye mal celui qui vous trahit ! O véritables chrétiens, venez donc pleurer en compagnie de votre Dieu ! ce n'est pas seulement sur Lazare qu'il a répandu des larmes pleines de compassion, mais sur ceux qui, malgré les cris répétés de sa Majesté, devaient ne pas vouloir ressusciter.

    Ô mon Bien, comme vous aviez présentes les fautes que j'ai commises contre vous ! Qu'elles ne se renouvellent jamais, ô Seigneur, qu'elles ne se renouvellent jamais, ni celles de tous les pécheurs ! [...] Malgré ma misère, je vous le demande pour les âmes qui ne veulent pas vous le demander. Vous voyez bien, ô mon Roi, quel tourment j'endure quand je vois les pécheurs songer si peu aux supplices affreux qu'ils endureront toute une éternité, s'ils ne reviennent à vous.

    [...] Ô dureté des cœurs humains ! Que votre immense miséricorde, ô mon Dieu, les attendrisse ! »

    Ste Thérèse de Jésus (d'Avila), Exclamation X, in "Œuvres complètes" (Trad. du R.P. Grégoire de Saint Joseph), Éditions du Seuil, Paris, 1948.

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    Pierre Paul Rubens, La vision du Saint-Esprit par Sainte Thérèse d'Avila
    Musée Boijmans Van Beuningen, Rotterdam (Pays-Bas)

    (Crédit photo)

  • Méditation - Poésie : A mon Ange Gardien

    Hier 2 octobre, nous fêtions nos saints Anges gardiens. Cette fête ayant été éclipsée par la solennité du dimanche, pensons particulièrement à eux aujourd'hui avec Ste Thérèse de l'Enfant-Jésus, qui leur dédia l'une de ses poésies.

    « Glorieux Gardien de mon âme,
    Toi qui brilles dans le beau Ciel
    Comme une douce et pure flamme
    Près du trône de l’Éternel
    Tu descends pour moi sur la terre
    Et m'éclairant de ta splendeur
    Bel Ange, tu deviens mon Frère,
    Mon Ami, mon Consolateur !...

    Connaissant ma grande faiblesse
    Tu me diriges par la main
    Et je te vois avec tendresse
    Ôter la pierre du chemin
    Toujours ta douce voix m'invite
    A ne regarder que les Cieux
    Plus tu me vois humble et petite
    Et plus ton front est radieux.

    Ô toi ! qui traverses l'espace
    Plus promptement que les éclairs
    Je t'en supplie, vole à ma place
    Auprès de ceux qui me sont chers
    De ton aile sèche leurs larmes
    Chante combien Jésus est bon.
    Chante que souffrir a des charmes
    Et tout bas, murmure mon nom...

    Je veux pendant ma courte vie
    Sauver mes frères les pécheurs
    Ô Bel Ange de la Patrie
    Donne-moi tes saintes ardeurs
    Je n'ai rien que mes sacrifices
    Et mon austère pauvreté
    Avec tes célestes délices
    Offre-les à la Trinité.

    A toi, le Royaume et la Gloire,
    Les Richesses du Roi des rois.
    A moi l'humble Hostie du ciboire,
    A moi le trésor de la Croix.
    Avec la Croix, avec l'Hostie
    Avec ton céleste secours
    J'attends en paix de l'autre vie
    Les joies qui dureront toujours. »

    Ste Thérèse de l'Enfant-Jésus, Poésie PN 46,
    in "Œuvres complètes", Éditions du Cerf et Desclée de Brouwer, 1996.

    Les poésies de Ste Thérèse peuvent être téléchargées sur le site internet du Carmel de Lisieux (format .doc).

    ange-gardien_3.jpg

    Association - Confrérie de L'Ange Gardien, Lyon (France)

  • Lundi 3 octobre 2016

    Ste Thérèse de l'Enfant-Jésus
    religieuse (carmélite) et docteur de l’Église,
    patronne secondaire de la France et des missions

    (fête avancée au 1er octobre au nouveau calendrier)

    Sainte_Therese_Lisieux_3bb.jpg

  • Méditation avec Ste Thérèse de Jésus

    « Ô Seigneur, ô mon Dieu ! qu'il est bien vrai que vous possédez les paroles de vie, où tous les mortels trouveraient, s'ils voulaient l'y chercher, le bonheur auquel ils aspirent ! Mais quoi d'étonnant, ô mon Dieu, que par suite de la folie et de l'infirmité que nous causent nos œuvres coupables, nous venions à oublier vos paroles ? Ô mon Dieu, mon Dieu ! ô Dieu Créateur de tout l'univers ! qu'est-ce donc que tout le créé, si vous vouliez, ô Seigneur, créer encore ? Vous êtes le Tout-Puissant et vos œuvres sont incompréhensibles. Faites donc, Seigneur, que ma pensée ne s'éloigne jamais de vos paroles.

    Vous dites : Venez à moi, vous tous qui souffrez et pliez sous le fardeau, et je vous consolerai. Que désirons-nous de plus, Seigneur ? Que demandons-nous ? Que cherchons-nous ? Pourquoi les esclaves du monde se perdent-ils, si ce n'est parce qu'ils sont à la recherche du repos ? Ô grand Dieu, ô grand Dieu, qu'est-ce que cela signifie, Seigneur ? Quelle pitié ! quel profond aveuglement que de chercher le bonheur là où il est impossible de le trouver ! Ô Créateur, ayez compassion de vos créatures ! Considérez que nous ne comprenons pas nous-mêmes ; nous ne savons pas ce que nous désirons et nous n'arrivons pas à trouver ce que nous demandons. Donnez-nous, ô Seigneur, votre lumière. Considérez qu'elle nous est plus nécessaire encore qu'à l'aveugle-né. Celui-ci désirait voir la lumière et il ne le pouvait pas ; et maintenant, Seigneur, on ne veut pas voir. Est-il mal plus incurable que celui-là ! C'est ici, mon Dieu, que doit se montrer votre pouvoir, ici que vous devez manifester votre miséricorde. Oh ! quelle grâce élevée je vous demande, ô vrai Dieu, ô mon Dieu, quand je vous conjure d'aimer ceux qui ne vous aime pas, d'ouvrir à ceux qui ne vous appellent pas, de rendre la santé à ceux qui prennent plaisir à être malades et à rechercher la maladie ! Vous dites, ô mon Seigneur, que vous êtes venu chercher les pécheurs. Eh bien, les voilà, ô Seigneur, les véritables pécheurs ! Ne considérez pas, mon Dieu, notre aveuglement, mais plutôt le sang que votre Fils a répandu abondamment pour nous. Faites resplendir votre miséricorde au milieu d'une si indigne malice. N'oubliez point, Seigneur, que nous sommes votre ouvrage. Répandez sur nous vos bontés et vos miséricordes. »

    Ste Thérèse, Exclamations (VIII), in "Œuvres complètes", Trad. R.P. Grégoire de Saint Joseph, Éditions du Seuil, Paris, 1948.

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  • Semaine thérésienne : "Histoire d'une âme" en audiolivre

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    A l'occasion de la semaine thérésienne
    nous vous invitons à découvrir, écrite par elle-même
    le « grand-petit trésor du 33e docteur de l'Église » (Benoît XVI)
    Histoire d'une âme
    dans la version intégrale du texte original
    lu par Valérie de la Rochefoucauld.

    A votre rythme (indexations courtes pour une souplesse d'utilisation)
    découvrez la spiritualité de la petite voie de confiance et d’amour,
    d'une experte en scientia amoris (Jean-Paul II)

    Saint-Léger Productions - 22.00 €

  • Mon Père je m'abandonne à toi

    Paroles d'après le Bx Charles de Foucauld et Ste Thérèse de l'Enfant-Jésus
    Musique : Chants de l'Emmanuel (J.-F. Léost)

    Il est vivant vol. 39
    Chorale Music & Mission, et participation de l'Orchestre Philharmonique de Prague

    La prière du Bx Charles de Foucauld :

    Mon Père
    je me remets entre Vos mains ;
    je m'abandonne à Vous, je me confie à Vous.
    Faites de moi tout ce qu'il Vous plaira ;
    quoi que Vous fassiez de moi,
    Je Vous remercie.

    Je suis prêt à tout, j'accepte tout.
    Pourvu que Votre volonté se fasse en moi,
    pourvu que Votre volonté se fasse en toutes vos créatures,
    je ne désire rien d'autre, mon Dieu.

    Je remets mon âme entre Vos mains ;
    je Vous la donne, mon Dieu,
    avec tout l'amour de mon coeur,
    parce que je Vous aime,
    et que ce m'est un besoin d'amour de me donner.
    Je me remets entre Vos mains avec une infinie confiance, car Vous êtes mon Père.

  • Paris, du 5 au 13 mai : les reliques de Ste Thérèse à la basilique Notre-Dame des Victoires

    Programme complet sur le site internet de la basilique

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  • "Moi si j'avais commis" - Ste Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte-Face

    Chorale de Grenoble

    Moi si j'avais commis tous les crimes possibles,
    Je garderais toujours la même confiance,
    Car je sais bien que cette multitude d'offenses
    N'est qu'une goutte d'eau dans un brasier ardent.

    Oui, j'ai besoin d'un cœur, tout brûlant de tendresse
    Qui reste mon appui, et sans aucun retour,
    Qui aime tout en moi, et même ma faiblesse,
    Et ne me quitte pas, ni la nuit ni le jour.

    Non, je n'ai pu trouver, nulle autre créature
    Qui m'aimât à ce point, et sans jamais mourir,
    Car il me faut un Dieu qui prenne ma nature,
    Qui devienne mon frère, et qui puisse souffrir.

    Je ne sais que trop bien que toutes nos justices
    N'ont devant ton regard, pas la moindre valeur,
    Et pour donner du prix à tous nos sacrifices
    Oui, je veux les jeter jusqu'en ton divin Cœur.

    Non, tu n'as pas trouvé créature sans tache,
    Au milieu des éclairs, tu nous donnas ta loi,
    Et dans ton Cœur sacré, Ô Jésus je me cache
    Non, je ne tremble pas, car ma vertu c'est Toi.

    Ste Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte-Face

  • Taizé - Nada te turbe (Ste Thérèse d'Avila)

    Photos from taize.fr

    Nada te turbe,
    Nada te espante,
    Todo se pasa,
    Dios no se muda,
    La paciencia
    Todo lo alcanza
    Quien a Dios tiene
    Nada le falta:
    Sólo Dios basta
    Que rien ne te trouble
    Que rien ne t’effraie
    Tout passe,
    Dieu ne change pas,
    La patience
    Obtient tout ;
    Celui qui a Dieu
    ne manque de rien
    Dieu seul suffit
    Versets solo :

    Todo se pasa, Dios no se muda,
    La paciencia todo lo alcanza.

    En Cristo mi confianza,
    y de Él solo mi asimiento;
    en sus cansancios mi aliento,
    y en su imitación mi holganza.

    Aquí estriba mi firmeza,
    aquí mi seguridad,
    la prueba de mi verdad,
    la muestra de mi firmeza.

    Ya no durmáis, no durmáis,
    pues que no hay paz en la tierra.

    No haya ningún cobarde,
    aventuremos la vida.
    No hay que temer, no durmáis,
    aventuremos la vida.