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  • Audience générale du mercredi 31 mars 2021

    Lors de l’audience générale ce mercredi, le pape François est revenu sur le triduum pascal et sa signification. Dans le contexte actuel de la pandémie, qui empêche une nouvelle fois la tenue de célébrations publiques, il rappelle que la croix du Christ est un signe d’espérance qui ne déçoit pas.

    Compte rendu de Xavier Sartre à lire sur Vatican News.

    Texte intégral de la catéchèse traduite en français sur le site du Vatican.

  • Messe et Angelus du dimanche des Rameaux à la Basilique Saint-Pierre

    En ce début de Semaine Sainte, inaugurée par le dimanche des Rameaux et de la Passion, le pape François invite les fidèles à lever les yeux vers la Croix pour recevoir la grâce de l’étonnement. Sans elle, la vie chrétienne devient sourde, incapable de s’émouvoir de l’amour gratuit et inouï de Dieu.

    Compte rendu à lire sur Vatican News.

    Texte intégral de l'homélie traduite en français sur le site du Vatican.

    À la fin de la Messe, le pape a récité la prière de l’Angélus depuis la basilique Saint-Pierre, invitant les fidèles à suivre Jésus, comme Marie, en parcourant le chemin de la Passion.

    Compte rendu à lire sur Vatican News.

    Texte intégral des paroles du pape traduites en français sur Zenit.org.

  • Duxerunt Pullum ad Jesum (Liturgie du diocèse d'Auxerre)

    Dominica Palmarum - Dimanche des Rameaux
    Ensemble Organum - Dir. Marcel Pérès (1990)
    (images de la cathédrale d'Auxerre)
     
    (si la lecture vidéo est impossible, merci de cliquer ICI)
     
    Duxerunt pullum ad Jesum :
    et imponunt illi vestimenta sua,
    et sedit super eum.

    Multi autem vestimenta sua straverunt in via:
    alii autem frondes caedebant de arboribus,
    et sternebant in via.

    Et qui praeibant,
    et qui sequebantur, clamabant, dicentes:
    Hosanna:
    benedictus qui venit in nomine Domini:

    Benedictum quod venit regnum patris nostri David:
    Hosanna in excelsis.

    (extrait de l'Evangile selon Marc : 11, 7-11)

    Ils amenèrent à Jésus l'ânon,
    sur lequel ils jetèrent leurs vêtements,
    et Jésus s'assit dessus.

    Beaucoup de gens étendirent leurs vêtements sur le chemin,
    et d'autres des branches qu'ils coupèrent dans les champs.

    Ceux qui précédaient et ceux qui suivaient Jésus criaient :
    Hosanna !
    Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur !

    Béni soit le règne qui vient, le règne de David, notre père !
    Hosanna au plus haut des cieux !
  • Méditation - Dimanche des Rameaux

    « Jésus accepte d'être porté en triomphe, mais quelle douceur, quelle humilité dans ce triomphe ! Il sait que ses ennemis se cachent parmi le peuple qui chante et qu'ils réussiront à substituer le « crucifige » à l'« hosanna » ; Il le sait, et Il pourrait s'imposer à eux dans toute la puissance de sa divinité ; Il pourrait les démasquer publiquement en dévoilant leurs plans. Jésus cependant ne veut ni vaincre ni régner par la force, mais bien par l'amour, la douceur. [...] C'est avec la même mansuétude, qu'Il acceptera Lui, l'Innocent, l'unique vrai Roi et Triomphateur, d'apparaître comme un coupable, un condamné vaincu, un roi de comédie. C'est ainsi, pourtant, qu'Il attirera tout à Lui, lorsqu'Il aura été érigé sur la Croix.

    Même si nous résistons à la grâce, ô Jésus, Vous demeurez à jamais le Vainqueur ; votre victoire sur le prince des ténèbres a été complète et l'humanité a été sauvée et rachetée en Vous. Vous êtes le bon Pasteur qui connaît et aime chacune de ses brebis et veut les porter toutes en lieu sûr. Votre Cœur très aimant ne se contente pas d'avoir mérité le salut pour tout le troupeau, Il désire ardemment que chaque brebis profite de ce salut... Ô Seigneur, donnez-nous donc cette bonne volonté capable d'accueillir votre don, votre grâce ; faites que votre passion ne soit pas vaine pour nous. »

    P. Gabriel de Ste Marie-Madeleine, O.C.D., Intimité Divine, premier volume (Dimanche des Rameaux), Monastère des Carmélites Déchaussées, Alost, Belgique / Librairie du Carmel, Paris, 1963.

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  • Vierge pure (Agnie Parthene)

    Moines du monastère de Simonos Petra
    (Hymnes du mont Athos)
     
    (si la lecture vidéo est impossible, merci de cliquer ICI)
     
    Ô Vierge Pure, Souveraine,
    Immaculée Enfantrice de Dieu (Deipare)
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée
    Ô Vierge Mère Reine,
    Toison couverte de rosée.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.

    Plus élevée que les cieux,
    plus brillante que le soleil.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.
    Ô joie des vierges surpassant les choeurs angéliques.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.

    Plus splendide que les cieux,
    plus pure que la lumière.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.
    Plus sainte que les multitudes des armées célestes.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.

    Marie toujours Vierge,
    Souveraine de tout l'univers.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.
    Immaculée Epouse Toute Pure
    Reine Toute-Sainte.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.

    Marie Epouse Souveraine,
    Source de notre joie.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.
    Ô jeune Vierge vénérable Impératrice,
    Très Sainte Mère
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.

    Plus vénérable que les Chérubins
    et combien plus glorieuse
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée
    Que les Séraphins incorporels.
    Plus élevée que les Trônes.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.

    Réjouis-Toi, chant des Chérubins.
    Réjouis-Toi, hymne des Anges.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.
    Réjouis-Toi, Cantique des Séraphins.
    Joie des Archanges.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.

    Réjouis-Toi, Paix et Joie.
    Port du Salut.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.
    Du Verbe sainte Chambre nuptiale,
    Fleur d'incorruptibilité.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.

    Réjouis-Toi, Paradis de délices
    de l'éternelle vie.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.
    Réjouis-Toi, Arbre de vie
    et source d'immortalité.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.

    Je Te prie, ô Souveraine,
    je t'invoque maintenant.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.
    Je Te prie, ô Reine du monde,
    j'implore Ta grâce.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.

    Ô Vierge pure, vénérable,
    très sainte Souveraine.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.
    Avec ferveur je Te supplie,
    ô Temple sanctifié.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.

    Secours-moi, délivre-moi
    de celui qui me fait la guerre.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.
    Et fais de moi un héritier de la vie éternelle.
    Réjouis-Toi, Epouse inépousée.

    Source traduction : VoX TerrÆ VoX AngeloruM - Chants de l'Église Orthodoxe
  • Méditation - « Qu'il me soit fait selon Ta parole » (Lc I,38)

    « L'âme qui prend comme but la conformité de sa volonté à la Volonté de Dieu se sent immensément heureuse. Elle est dans la paix et la sérénité. Elle possède une base inébranlable : Dieu. Rien ne peut la troubler. Elle s'enfonce de plus en plus dans cette paix et ce bonheur. Elle prie beaucoup. Et nous, prions pour pouvoir comprendre de plus en plus ce que l'Immaculée a dit au moment de l'Annonciation : Je suis la servante du Seigneur, qu'il me soit fait selon Ta parole (Lc I,38). Que ce soit comme Dieu le veut. C'est là que se trouve tout le bonheur. Dieu nous a créés pour que nous soyons ses instruments, c'est pour cela que dans son amour, Il nous attire à Lui... Il désire perfectionner les âmes, les rendre semblables à Lui, et Il les comble de grâces. Mais l'âme doit collaborer avec la grâce, elle doit permettre à la grâce de la conduire.
    Demandons à la Vierge Marie de nous apprendre comment l'âme doit être la Servante du Seigneur. »

    St Maximilien Kolbe (1894-1941), in "Le Bienheureux Père M. Kolbe - Entretiens spirituels inédits" (2-4-1938 : Conf.), traduits et présentés par l'Abbé J.-F. Villepelée, P. Lethielleux - Dessain et Tolra, Paris, 1974.

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    Notre-Dame de la Garde, Marseille
    Mosaïque de l'Annonciation
    (au-dessus de la grande mosaïque de l'abside)
    (Crédit photo)

  • Jeudi 25 mars 2021

    Annonciation de la Bse Vierge Marie

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    Carl-Heinrich Bloch (1834-1890), L'Annonciation
    (Crédit photo)

  • Audience générale de ce mercredi 24 mars 2021

    Le pape François a poursuivi ce mercredi matin sa catéchèse sur la prière, en centrant sa réflexion sur la figure de Marie, dont la maternité s'étend à toute l'Église. Marie « qui est toujours présente au chevet de ses enfants qui quittent ce monde » a t-il précisé, rappelant la pandémie actuelle.

    Compte rendu d'Olivier Bonnel à lire sur Vatican News.

    Texte intégral de la catéchèse traduite en français sur le site du Vatican.

  • Dmitry Bortnyansky (1751-1825) : Concerto 33 "Why art thou cast down, O my soul"

    Psaume 42 (41) - Pourquoi te désoler, ô mon âme ?
    Russian State academic symphonic capella - Dir. Valery Polyansky
     
    (si la lecture vidéo est impossible, merci de cliquer ICI)
  • Méditation - Quelle est mon aspiration la plus profonde ?

    « Lors des complies du mercredi, les moines chantent le Psaume 62,2 : "En Dieu seul le repos pour mon âme, de lui mon salut". Nous n'arrivons au repos que lorsque notre cœur se tourne complètement vers Dieu et que Dieu lui-même apaise notre faim d'amour et de présence, de paix et de plénitude. Nous n'arrivons pas, en mangeant, à être rassasiés pour toujours. Le Psaume 131 évoque un homme pieux en prière : "Je tiens mon âme en paix et silence, comme un petit enfant contre sa mère" (Ps 131,2). Cet orant a sans doute fait l'expérience que Dieu pouvait le calmer à la manière de la mère qui apaise son enfant en l'allaitant. L'amour de Dieu peut apaiser la faim la plus grande et nous amener au véritable repos. Lorsque nous considérons notre faim dans toute son ampleur, lorsque nous cessons de l'apaiser provisoirement, de la "colmater" pour ne plus la ressentir, alors nous découvrons en nous un lieu de paix, un lieu où règne le calme absolu parce que Dieu lui-même apaise cette immense nostalgie. Pour atteindre ce lieu, il faut se poser sans cesse cette question : "Quelle est mon aspiration la plus profonde ?" Dans le jeûne, nous laissons remonter à la surface nos désirs et nous nous demandons à quoi nous aspirons. Mais il faut encore passer au crible nos réponses pour vérifier laquelle correspond vraiment à notre désir le plus profond. Alors nous nous apercevons que ce désir, seul Dieu peut le combler. Tournant notre cœur vers Dieu, nous trouvons alors la paix dans laquelle notre faim est apaisée. »

    Anselm Grün, Invitation à la sérénité du cœur (7), Albin Michel, Paris, 2002.

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  • Mercredi 24 mars 2021

    Mercredi de la Passion
     

    st gabriel,archange

    Vladimir Borovikovsky (1757-1825), L'Archange Gabriel de l'Annonciation
    (Crédit photo)

  • Angelus de ce dimanche 21 mars 2021

    Le signe de la croix doit être cohérent avec l'Évangile, affirme le pape François qui appelle les fidèles à témoigner d’une vie qui se donne dans le service, auprès de ceux qui demandent à rencontrer Jésus. Il assure que c'est à ce moment-là, dans l'épreuve et la solitude alors que la graine meurt, que la vie germe pour produire des fruits mûrs en son temps.

    Compte rendu à lire sur Vatican News.

    Texte intégral des paroles du pape traduites en français sur Zenit.org.

  • Dmitry Bortnyansky (1751-1825) : Concerto 32 "Lord, make me to know my end"

    Psaume 38 (39) - Seigneur, fais-moi connaître ma fin
    Russian State academic symphonic capella - Dir. Valery Polyansky
     
    (si la lecture vidéo est impossible, merci de cliquer ICI)
     
    Seigneur, fais-moi connaître ma fin, quel est le nombre de mes jours : je connaîtrai combien je suis fragile.
    Vois le peu de jours que tu m'accordes : ma durée n'est rien devant toi. L'homme ici-bas n'est qu'un souffle ;
    il va, il vient, il n'est qu'une image. Rien qu'un souffle, tous ses tracas ; il amasse, mais qui recueillera ?
    [...]
    Éloigne de moi tes coups : je succombe sous ta main qui me frappe.
    [...]
    Entends ma prière, Seigneur, écoute mon cri ; ne reste pas sourd à mes pleurs. Je ne suis qu'un hôte chez toi, un passant, comme tous mes pères.
    Détourne de moi tes yeux, que je respire avant que je m'en aille et ne sois plus.
    Psaume 38 (trad. aelf)
  • Sanctuaire intérieur

    « Il faut s'habituer à prier en tout lieu comme en tout temps. Le lieu de la prière, c'est l'âme et Dieu qui l'habite. Quand vous prierez, suivant le conseil de Jésus, entrez dans la chambre intime et retirée de votre âme, enfermez-vous là, et parlez à votre Père dont le regard aimant cherche votre regard. Voilà le vrai temple, le sanctuaire réservé. On le porte avec soi ; on peut sans cesse ou s'y tenir ou y rentrer bien vite après quelque sortie. Il faut en faire un lieu bien propre ; il faut l'orner : le grand ornement, c'est Dieu même. Il doit y retrouver ses traits. Ses traits, ce sont ses perfections. Participées par notre âme elles prennent le nom de vertus. L'âme qui les porte est belle de la beauté divine. Les vertus nous refont à l'image de Dieu, à l'image du divin Fils qui est venu les pratiquer ici-bas pour nous montrer les traits divins.

    Dans ce sanctuaire réservé, nouveau ciel et royaume de Dieu, la solitude et le silence doivent régner. Dieu est seul avec lui-même. Les Personnes divines ne portent pas atteinte à cette solitude ; elles la constituent. L'amour qui les anime les ferme à tout ce qui n'est pas lui : la cité est immense mais close, et Dieu seul l'occupe qui est "tout en tous" (1Co 15, 28). L'âme qui prie doit reproduire cette solitude, s'emplir de lui, rejeter tout autre.

    Le colloque qui s'engage alors est silence...

    C'est vers cette unité que nous tendons quand nous sommes enfermés en Dieu. il est devenu tout, nous le lui disons et nous ne savons plus dire autre chose. C'est le silence de l'âme rentrée en elle-même et occupée de Celui qu'elle y trouve... »

    Dom Augustin Guillerand (1877-1945), Face à Dieu, Parole et Silence, 1999.

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  • Dimanche 21 mars 2021

    1er Dimanche de la Passion
     
    (5ème Dimanche de Carême)

  • Sept nouveaux vénérables reconnus par l'Église

    Le pape François a autorisé la congrégation pour la Cause des Saints à publier les décrets reconnaissant les vertus héroïques d’un archevêque, de trois prêtres dont un Suisse, et de trois religieuses décédées du virus Ebola en République démocratique du Congo. 

    C’est à l’issue d’un entretien ce mercredi 17 mars avec le préfet de la congrégation pour la Cause des Saints, le cardinal Marcello Semeraro, que le pape François a autorisé la publication de ces décrets. Sont donc reconnues les vertus héroïques de Mercurio Maria Teresi, archevêque de Monreale, en Sicile, né le 10 octobre 1742 et décédé le 18 avril 1805.

    Trois prêtres diocésains sont également reconnus vénérables :
    Cosma Muñoz Pérez, fondateur de la congrégation des Filles du Patronage de Sainte Marie, né en 1573 à Villar del Rio en Espagne, et décédé à Cordoue le 3 décembre 1636 ;
    Salvador Valera Parra, lui aussi espagnol, né le 27 février 1816 à Huércal-Overa et mort dans cette même ville le 15 mars 1889
    Léon Veuthey, au siècle Clovis, prêtre suisse de l’ordre des Frères mineurs conventuels, né le 3 mars 1896 à Dorénaz et mort à Rome le 7 juin 1974.

    Les derniers décrets de la congrégation reconnaissent enfin les vertus héroïques de trois religieuses italiennes mortes du virus Ebola à Kikwit, en République démocratique du Congo au mois de mai 1995. Appartenant à la congrégation des Sœurs des pauvres de Bergame, elles opéraient dans la ville de Kikwit, dans la province de Kwilu, à l’est de Kinshasa, la capitale congolaise. Il s’agit donc d’Annelvira Ossoli, au siècle Celeste Maria, née le 26 août 1936 à Orzivecchi, en Italie, de Vitarosa Zorza, au siècle Maria Rosa, née le 9 octobre 1943 à Palosco, en Italie, et de Danielangela Sorta, au siècle Anna Mariam née le 15 juin 1947 à Bergame, en Italie. Trois de leurs consœurs avaient fait l'objet d'autres décrets le 20 février dernier.

    Ces sept serviteurs et servantes de Dieu deviennent donc vénérables, dernière étape avant de devenir bienheureux. Il faut pour cela qu’un miracle soit maintenant reconnu.

    Source : Vatican News.

  • Te, Ioseph, celebrant

    Te, Ioseph, celebrant
     
    (si la lecture vidéo est impossible, merci de cliquer ICI)
     
    Te, Ioseph, célebrent ágmina cælitum,
    Te cuncti résonent christíadum chori,
    Qui clarus méritis, iunctus est ínclytæ
    Casto fœdere Vírgini.

    Almo cum túmidam gérmine cóniugem
    Admírans, dúbio tángeris ánxius,
    Afflátu súperi Fláminis Angelus
    Concéptum Púerum docet.

    Tu natum Dóminum stringis, ad éxteras
    Ægypti prófugum tu séqueris plagas ;
    Amíssum Sólymis quæris, et ínvenis,
    Miscens gáudia flétibus.

    Post mortem réliquos sors pia cónsecrat,
    Palmámque eméritos glória súscipit :
    Tu vivens, Súperis par, frúeris Deo,
    Mira sorte beátior.

    Nobis, summa Trias, parce precántibus,
    Da Ioseph méritis sídera scándere :
    Ut tandem líceat nos tibi pérpetim
    Gratum prómere cánticum. Amen.

    Que les chœurs célestes célèbrent ta gloire, ô Joseph !
    Que les chants de tous les Chrétiens fassent résonner tes louanges !
    Glorieux déjà par tes mérites, tu es uni
    par une chaste alliance à l’auguste Vierge.

    Lorsque, en proie au doute et à l’anxiété,
    tu t’étonnes de l’état où se trouve ton épouse,
    un Ange vient t’apprendre que l’enfant qu’elle a conçu,
    l’a été par l’opération de l’Esprit-Saint.

    Le Seigneur est né, tu le presses dans tes bras ;
    tu fuis avec lui vers les plages lointaines d’Égypte ;
    tu le cherches à Jérusalem où tu l’as perdu, et tu le retrouves :
    ainsi tes joies sont mêlées de larmes.

    D’autres sont glorifiés après une sainte mort,
    eux qui ont mérité là palme sont reçus au sein de la gloire ;
    mais toi, par une admirable destinée, égal aux Saints, plus heureux même,
    tu jouis dès cette vie de la présence de Dieu.

    Trinité souveraine, exaucez nos prières, donnez-nous le pardon ;
    que les mérites de Joseph nous aident à monter dans les cieux,
    pour qu’il nous soit enfin donné de chanter à jamais
    le cantique de la reconnaissance et de la félicité. Amen.
  • Un rappel, à propos de Saint Joseph

    « Connaissant aujourd'hui par une si longue expérience l'étonnant crédit de saint Joseph auprès de Dieu, je voudrais persuader à tout le monde de l'honorer d'un culte particulier. Jusqu'ici j'ai toujours vu les personnes qui ont eu pour lui une dévotion vraie et soutenue par les œuvres, faire des progrès dans la vertu ; car ce céleste protecteur favorise d'une manière frappante l'avancement spirituel des âmes qui se recommandent à lui. Déjà depuis plusieurs années, je lui demande, le jour de sa fête, une faveur particulière, et j'ai toujours vu mes désirs accomplis. Si par quelque imperfection ma demande s'écartait tant soit peu du but de la gloire divine, il la redressait admirablement dans la vue de m'en faire retirer un plus grand bien.

    Si j'avais autorité pour écrire, je goûterais un plaisir bien pur à raconter, dans un récit détaillé, les grâces dont tant de personnes sont comme moi redevables à ce grand Saint. Je me contente donc de conjurer pour l'amour de Dieu, ceux qui ne me croiront pas, d'en faire l'épreuve : ils verront par expérience combien il est avantageux de se recommander à ce glorieux patriarche et de l'honorer d'un culte particulier. Les personnes d'oraison surtout devraient toujours l'aimer avec une filiale tendresse. Je ne comprends pas comment on peut penser à la Reine des Anges et à tout ce qu'elle essuya de tribulations durant le bas âge du divin Enfant Jésus, sans remercier saint Joseph du dévouement si parfait avec lequel il vint au secours de l'un et de l'autre. Que celui qui ne trouve personne pour lui enseigner oraison, choisisse cet admirable Saint pour maître, il n'aura pas à craindre de s'égarer sous sa conduite. »

    Ste Thérèse de Jésus (d'Avila, 1515-1582), Vie écrite par elle-même chap.VI, Trad. du P. Bouix, citée par le R.P. Huguet in "Pouvoir de Saint Joseph", Perisse Frères, Paris - Bruxelles, 1865 (15ème édition).

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  • Vendredi 19 mars 2021

    Saint Joseph, époux de la Bienheureuse Vierge Marie

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    Dessin de Fr. Weiss, in "Revue Saint-Joseph d'Allex" n°1035, Mars-Avril 2014.