Messe de la veille de Noël, avec veillée pour les familles et les enfants
présidée par le Pape François
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01. BWV 40 : Dazu ist erschienen der Sohn Gottes - 00:00
02. BWV 63 : Christen, ätzet diesen Tag - 14:38 03. BWV 110 : Unser Mund sei voll Lachens - 44:39 Textes complets allemand / français : Cantate BWV 40 ("C'est pour cela que le Fils de Dieu est apparu") Cantate BWV 63 ("Chrétiens, gravez ce jour") Cantate BWV 110 ("Notre bouche s'emplit de rire") |
« Jésus est venu pour laisser un héritage à toute l'humanité. Qu'on n'imagine pas que cet héritage, pour que chacun puisse en bénéficier, serait fractionné en parts infimes et pour tout dire dérisoires. C'est une part entière que Jésus réserve à chacun. Tant il est vrai que chacun, aux yeux de Jésus, mérite d'être considéré... à part entière. Et comment Jésus accomplit-il donc le miracle de partager quelque chose en parts multiples, sans léser personne ? Mieux : en multipliant au lieu de diviser...
Ce n'est ni un mystère, ni un miracle, mais une sorte de prodige naturel à la portée de n'importe quel cœur aimant. Cet héritage, c'est une flamme d'abord unique, allumée au cœur de la divinité, et qui est transmise d'âme à âme et d'âge en âge. A la seule flamme d'une bougie, des dizaines, des centaines de milliers de cierges peuvent s'enflammer, faire danser la lumière et percer l'obscurité. Le cierge initial qui donne le feu ne divise pas celui-ci en petites flammèches ridicules, il permet une multiplication à l'infini de ce feu, afin que chacun en soit éclairé. La divine ambition de Jésus a été d'éclairer ainsi le monde entier, chaque visage de l'humanité. Et que cette flamme ensuite soit de la même manière transmise de génération en génération, afin qu'elle demeure à travers les âges.
Et cette flamme, voulez-vous en connaître le nom ? C'est l'amour. La flamme de l'amour qui s'est nourrie au feu de l'Amour infini et qui vient réchauffer, illuminer et éblouir notre âme inquiète pour l'éloigner des ténèbres et la consoler du paradis perdu. Oui : nous sommes les héritiers de l'amour que Jésus nous a légué. Sa naissance, son baptême, la célébration des Noces éternelles n'ont pas d'autre signification que celle-ci : faire que la terre des hommes brûle de l'amour inextinguible de Dieu. « Je suis venu jeter un feu sur la terre, et comme je voudrais que déjà il fût allumé ! » (Lc 12,49). Il faudrait ne jamais l'oublier : la gloire de Dieu est indissociable du salut du monde.
Mais au fait : qu'en faisons-nous, de cette flamme ? Cherchons-nous à l'entretenir, en osant la livrer aux quatre vents ? Cherchons-nous à la propager, en osant la livrer aux quatre continents ?
Cherchons-nous à la perpétuer, en osant la livrer à nos enfants ? De fait, la meilleure manière de protéger cette flamme face à l'espace, au temps et à tous les vents, n'est-ce pas de la donner au plus grand nombre, de la propager comme un courant d'étincelles ? N'est-il pas temps d'embraser le monde avec la flamme de l'amour, avec le feu de l'Esprit ? De créer un gigantesque brasier, non pas dévastateur celui-là, mais bienfaisant et comme purificateur ? A l'instar de Jésus, d’œuvrer à l'avènement d'une civilisation du cœur pour changer résolument de perspective et faire que le monde, enfin, soit mis en lumière ?
N'est-il pas temps ? »
François Garagnon, La Mise en Lumière. Mystère de l'Epiphanie & Message d'Amour de l'Enfant-Dieu (Epilogue : La mise au monde), Monte-Cristo, Annecy, 2003.
Gerrit van Honthorst (1590-1656), L'Adoration des bergers
Wallraf-Richartz Museum, Cologne, Allemagne
(Crédit photo)
« Sors de ton lit paré
Comme un nouveau soleil Romps les Cieux et descends, Ange du grand conseil Enfant mais homme-Dieu, Fils du Très-Haut Qui porte ta grand’pricipauté Sur ton épaule forte. » |
Charles André dit Carle Van Loo (1705-1765), Adoration des Bergers
Musée des Beaux-Arts de Chartres (France)
(Crédit photo)
« À la venue de Noël
Chacun se doit bien réjouir Car c’est un testament nouvel Que tout le monde doit tenir. Quand par son orgueil, Lucifer Dedans l’abîme trébucha Il nous tirait tous en enfer Et le Fils de Dieu l’empêcha. Après un bien petit de temps Trois rois le vinrent adorer Portant la myrrhe avec l’encens Et l’or qui est fort à priser. Là, virent le doux Jésus-Christ Et la mère qui le porta Celui qui tout le monde fit Et les pécheurs ressuscita. Bien apparut qu’il nous aima Quand à la croix pour nous fut mis Dieu le Père qui tout créa Nous donne à la fin Paradis. » |
« Le froid crépuscule d'un soir d'hiver touchait à sa fin. Tous les efforts de Marie et de Joseph pour trouver un logement avaient été vains. [...] Le village était occupé d'autres choses plus importantes selon la manière du monde d'estimer ce qui est important. Les officiers impériaux préposés au dénombrement étaient là les hommes importants. Les visiteurs riches réclamaient naturellement ce que les hôtels pouvaient offrir de meilleur. La plupart des maisons particulières avaient reçu des parents de la campagne. Chacun était occupé. Ce groupe obscur de Nazareth, ce charpentier de Galilée, cette femme Mère, ce Verbe caché, il n'y avait pas de place pour eux. [...] Un extérieur réservé est peu éloquent auprès de la généralité des hommes. Si Dieu ne produit pas du bruit dans son propre monde, il est ignoré ; s'il en produit, il est regardé comme importun et tyran. Voici que vient à Bethléem le véritable César, le roi de tous les Césars romains, et il n'y a pas de place pour lui, et on ne le connaît pas. C'est sa faute, dira le monde. Il vient d'une manière qui n'est pas digne. Il n'apporte aucune preuve authentique de ses droits. Il commence par se mettre dans une fausse position ; car il vient pour se faire enrôler comme sujet, au lieu de réclamer les hommages comme souverain. En agissant ainsi, il espère que nous le comprendrons et que nous saurons où regarder pour le trouver et à quel moment nous devons l'attendre. Il y avait, même dans la faible lumière qui environnait Bethléem cette nuit, une ombre du Calvaire. De même que personne à Jérusalem ne voudrait le recevoir pendant la semaine sainte, ni lui donner à manger, de sorte qu'il serait obligé chaque soir de se retirer à Béthanie, ainsi personne à Bethléem ne voudra le recevoir, ni lui donner un abri à l'ombre duquel il puisse naître.
[...] Pour naître, Dieu a été relégué parmi les animaux et les bêtes de somme. [...] Non, Bethléem ne pouvait pas contenir celle qui portait en elle le Créateur du monde. Il y avait dans ce refus d'hospitalité une vérité dont les hommes n'avaient pas la conscience. Jésus devait naître hors des murs de Bethléem, comme il est mort hors des murs de Jérusalem. Ainsi il n'eût véritablement pas de ville natale. D'innocents animaux l'accueillirent de bon cœur, et une antique cavité pratiquée dans la terre lui offrit un asile quelque peu moins froid que le ciel étoilé d'une nuit d'hiver. Aux yeux des hommes, c'est tout ce qu'il a pu faire pour pouvoir naître, et obtenir une place où il pourrait visiblement mettre le pied sur la terre. [...]
Hélas ! l'esprit de Bethléem n'est que l'esprit d'un monde qui a oublié Dieu. Que de fois cet esprit n'a-t-il pas été le nôtre aussi ! Ne fermons-nous pas continuellement, avec une ignorance pleine de rudesse, la porte aux bénédictions célestes ? [...] Dieu vient à nous bien des fois dans la vie, mais nous ne connaissons pas sa face. [...] Bethléem ne prétendait pas du tout faire ce qu'il faisait. Il n'est personne qui ait l'intention de faire la moitié du mal qu'il fait. Aussi une grande partie de la compassion de Dieu consiste en ce qu'il regarde plus à ce que nous voulons faire qu'à ce que nous faisons. Cependant il est bien triste pour nous d'être aussi aveugles. N'est-ce pas, après tout, la véritable misère de la vie, l'abrégé de toutes les misères d'ici-bas, de rencontrer Dieu chaque jour, et de ne pas le reconnaître lorsque nous le voyons ? »
William Faber (1814-1863), Bethléem, ou le mystère de la Sainte Enfance (ch.3, La grotte de minuit), Tome premier, Paris, Ambroise Bray, 1862.
En ce 4ème dimanche de l’Avent, 23 décembre, le Pape François s’est arrêté sur l’épisode de la Visitation de la Vierge Marie. L’occasion de prendre pour modèle «la foi et la charité» de Marie, à l’approche de la naissance du Christ.
Compte rendu à lire sur Vatican News.
Texte intégral des paroles du Pape traduite en français sur Zenit.org.
Vidéo KTO mise en ligne dès que disponible
« Noël est la victoire de l’humilité sur l’arrogance, de la simplicité sur l’abondance, du silence sur le vacarme, de la prière sur ‘mon temps’, de Dieu sur mon ego ». Ce mercredi lors de l’audience générale, le Pape a interrompu son cycle de catéchèses sur le Notre Père, pour évoquer le sens de la fête de la Nativité afin de mieux s’y préparer. Il s’agit d’ouvrir son cœur aux surprises de Dieu et non de céder au « vacarme du consumérisme ».
Compte rendu de Marie Duhamel à lire sur Vatican News.
Texte intégral de la catéchèse traduite en français sur Zenit.org.
Résumé en français :
« Frères et sœurs, A six jours de Noël, les décorations et les lumières rappellent partout que ce sera la fête. Mais quel Noël voudrait Dieu, quels cadeaux et quelles surprises ? En regardant le premier Noël de l’histoire, nous découvrons les goûts de Dieu. Qu’il s’agisse de Marie ou de Joseph, Noël a apporté dans leur vie des changements inattendus. Mais c’est dans la nuit de Noël que survient la plus grande des surprises : le Très-Haut est un petit bébé et la Parole de Dieu est un enfant, "incapable de parler", accueilli par de simples bergers et non pas par les autorités de l’époque ! Ainsi, Noël est la célébration de l’inédit de Dieu, ou mieux encore, d’un Dieu inédit qui renverse nos logiques et nos attentes. Et vivre Noël, c’est se laisser bousculer par ses surprenantes nouveautés. C’est accueillir la revanche de l’humilité sur l’arrogance, de la simplicité sur l’abondance, du silence sur le vacarme, de la prière sur mon temps, de Dieu sur mon ego! Malheureusement, on peut se tromper de fête et préférer à la nouveauté du Ciel la routine de la terre ! S’il vous plaît, ne faisons pas de Noël une fête mondaine et ne mettons pas de côté le Roi de la fête : ne nous laissons pas entraîner sur la voie des futilités, mais soyons des veilleurs en priant ! Comme Joseph, donnons de l’espace au silence ; comme Marie, ayons confiance en Dieu et disons-lui : "Me voici" ; comme Jésus, faisons-nous proches de celui qui est seul, du pauvre, pour trouver, à la suite des bergers, la lumière dans la pauvre grotte de Bethléem ! »
« Je suis heureux de saluer les pèlerins venus de France et de divers pays francophones, en particulier les jeunes de Draguignan. Je souhaite à tous un bon Noël, riche des surprises de Jésus ! Avec l’aide de Marie et de Joseph, Puissions-nous les accueillir, et ainsi faire nôtres les goûts de Dieu et nous laisser surprendre par eux. Que Dieu vous bénisse ! »
Source : site internet du Vatican.
Cher Monsieur le Tribunal,
J'ai pris connaissance, il y a quelques jours, de votre décision d'interdire la crèche de Noël traditionnellement installée dans le hall du Conseil Général de votre région.
Quelle mouche vous a donc piqué ?
Vous avez fait des études, je suppose... Peut-être savez vous donc que Noël vient du latin "Natalis" qui veut dire Naissance. Alors je vais vous livrer un secret que vous voudrez bien transmettre à vos confrères qui peut-être nagent avec complaisance dans la même ignorance que vous. La naissance dont il est question est celle d'un certain Jésus de Nazareth, né il y a un peu plus de 2000 ans. Je dis ça parce qu'étant donné que vous n'avez pas interdit les illuminations de Noël, je suppose que vous ignoriez ce détail. Voyez-vous, Noel n'est pas l'anniversaire de la naissance du Père Noël (je suis désolé si je casse ici une croyance ancrée en vous) mais bien celle de ce Jésus. Interdire une crèche sans interdire toute manifestation publique de cette fête est aussi stupide que si vous autorisiez la fête de l'andouillette tout en interdisant la consommation d'andouillette le jour de la fête de l'andouillette.
La crèche c'est ce qu'on appelle une tradition. Et ne me faites pas croire, Monsieur le Tribunal, que le principe de la tradition vous est étranger. Sinon comment expliquer que les magistrats exercent leur métier dans un costume aussi ridicule si ce n'est parce qu'il est le fruit d'une tradition ?
Vous êtes un briseur de rêves, Monsieur, vous êtes un étouffeur de sens. La crèche c'est Noël et Noël c'est la crèche. La crèche c'est aussi l'histoire d'une famille qui faute de droit opposable au logement est venue se réfugier dans une étable. C'est un signe d'espoir pour tous les sans logement. La crèche c'est aussi un roi arabe et un autre africain qui viennent visiter un juif. C'est un signe d'espérance et de paix en ces temps de choc de civilisations et de conflit au Moyen Orient. La crèche c'est aussi des éleveurs criant de joie et chantant dans une nuit de décembre. Connaissez vous beaucoup d'agriculteurs qui rigolent en cette période de crise ? La crèche c'est un boeuf, symbole de la condition laborieuse de l'homme. Enfin, la crèche, c'est un âne, même si une rumeur court disant que cet âne a quitté la crèche en ce début d'année pour rejoindre votre Tribunal administratif et qu'il ne semble pas en être revenu.
Malgré le fait que vous allez sans doute, par souci de cohérence, vous rendre à votre travail le 25 décembre, je vous prie de croire, Monsieur le Tribunal, à l'expression de mes souhaits de bon et joyeux Noël.
Jean Santon
(Lettre écrite en 2014, adressée au Tribunal administratif de Nantes qui avait ordonné de retirer la crèche du Conseil général de Vendée.)
Avant de réciter la prière de l’Angélus place Saint-Pierre ce dimanche 16 décembre, le Pape François a médité sur le sens de la joie suscité par l’arrivée du Christ.
Compte rendu à lire sur Vatican News.
Texte intégral des paroles du Pape traduites en français sur Zenit.org.
6ème jour dans l’Octave de la Nativité
Lors de l’audience générale de ce mercredi 27 décembre 2017, tenue en salle Paul VI, le Pape François est revenu sur le sens de Noël, la fête de la Nativité du Seigneur. Le Pape a regretté une dénaturation de cette fête, notamment en Europe, où au nom d’un « faux respect de qui n’est pas chrétien », on élimine toute référence explicite à la naissance de Jésus, dans une volonté de « marginaliser la foi ».
Le commentaire de Cyprien Viet est à lire / écouter sur Vatican.News.
Résumé en français :
« Frères et sœurs, je m’arrêterai aujourd’hui à la signification de la fête de la Nativité du Seigneur. A une époque où nous assistons à une sorte de dénaturation de Noël, il faut dire que c’est la naissance de Jésus qui est le vrai Noël, sans Jésus ce n’est pas Noël ! A travers l’annonce de l’Eglise, comme les bergers de l’Evangile, nous sommes guidés pour trouver la vraie lumière, celle de Jésus qui se révèle de façon surprenante : il naît d’une pauvre jeune fille inconnue, qui le met au monde dans une étable, avec la seule aide de son mari. C’est ainsi que le Fils de Dieu se présente encore à nous aujourd’hui : comme le don de Dieu pour l’humanité qui surgit dans la nuit et dans la torpeur du sommeil, alors que souvent l’humanité préfère demeurer dans l’obscurité et ne pas changer ses habitudes erronées. Par l’incarnation de son Fils, Dieu nous a ouvert le chemin d’une vie nouvelle, fondée sur l’amour et non sur l’égoïsme. A Noël, l’histoire humaine a été visitée par l’histoire de Dieu. Avec les petits, les méprisés, Jésus établit une amitié qui continue dans le temps et nourrit l’espérance d’un avenir meilleur. Avec eux, Dieu veut construire un monde nouveau où il n’y aura plus de personnes rejetées, maltraitées, indigentes. En ces jours de fête, ouvrons notre esprit et notre cœur pour accueillir cette grâce. »
« Je suis heureux d’accueillir les pèlerins de langue française, en particulier les fidèles du diocèse de Séez, avec l’évêque, Mgr Jacques Habert, ainsi que les familles du diocèse de Cambrai. Chers amis, en ce temps de Noël, que Jésus naisse aussi dans vos vies et qu’à travers vous, il devienne un don de salut pour les petits et les exclus ! Bon Noël et que Dieu vous bénisse ! »
Source : site internet du Vatican.
10h00, Messe à Notre-Dame de Paris
Messe de la Nativité
Retransmission en direct sur KTO
12h00, Bénédiction Urbi et Orbi
Retransmission en direct sur KTO
Texte intégral (version française) sur le site internet du Vatican.
Gabrieli Consort, Roskilde Cathedral Boys' Choir - Dir. Paul McCreesh
« Un silence profond enveloppait toute la terre, et la nuit était au milieu de sa course, quand ton Verbe tout-puissant, Seigneur, quitta son trône royal et descendit des cieux. » (Sg. 18, 14-15)
Atelier de Rembrandt, L'Adoration des Bergers (1646)
Et dixit illis angelus: “Nolite timere; ecce enim evangelizo vobis gaudium magnum, quod erit omni populo, quia natus est vobis hodie Salvator, qui est Christus Dominus, in civitate David."
Et l’ange leur dit : « Ne craignez pas, car voici que je vous annonce une grande joie, qui sera pour tout le peuple : Aujourd’hui, dans la ville de David, vous est né un Sauveur qui est le Christ, le Seigneur. »
(Lc 2,10-11)
"Gloria in altissimis Deo et in terra pax in hominibus bonae voluntatis !"
« Gloire à Dieu au plus haut des cieux, et paix sur la terre aux hommes de bonne volonté ! »
(Lc 2,14)
IN VIGILIA NATIVITATIS DOMINI
Ant. ad Introitum. Exodi 16, 6 et 7.
Hódie sciétis, quia véniet Dóminus et salvábit nos : et mane vidébitis glóriam eius.
Aujourd’hui, vous saurez que le Seigneur va venir et qu’il nous sauvera. Et demain matin, vous le verrez dans sa gloire.
Ps. 23, 1.
Dómini est terra, et plenitúdo eius : orbis terrárum, et univérsi, qui hábitant in eo.
Au Seigneur appartient la terre et tout ce qui la remplit, l’univers et tous ceux qui l’habitent.
V/. Glória Patri.