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Samedi 21 février 2015
Samedi après les Cendres (Férie)Au nouveau calendrier : St Pierre Damien, évêque, confesseur et docteur -
Le Père Luc Crepy nouvel évêque du Puy-en-Velay
Le Pape François, suite au décès de Mgr Henri Brincard, a nommé ce jeudi 12 février 2015 le Père Luc Crepy évêque du Puy-en-Velay (superficie 5.001, population 231.877, catholiques 181.700, prêtres 147, diacres 10, religieux 459).
L'évêque élu, né en 1958 à Lille, a émis ses vœux religieux en 1988 et a été ordonné prêtre en 1989.
Il était jusqu'ici Procurateur Général de son ordre.
Docteur en biologie et licencié en théologie, il a occupé diverses fonctions au sein de la Congrégation des Eudistes ; il a été Recteur du séminaire inter-diocésain d'Orléans, Président de la Conférence des Supérieurs majeurs de France, Commissaire pontifical pour la province de France et Suisse des Filles du Cœur de Marie.
La consécration épiscopale du Père Luc Crepy aura lieu en la Cathédrale Notre-Dame du Puy le dimanche 12 avril à 15h.
Source : Vatican Information Service - ECF.
Quelques précisions sur leveil.fr, le journal quotidien de la Haute-Loire. -
Vendredi 6 février 2015
St Tite, évêque et confesseur
St Paul Miki et ses comp., martyrs au Japon -
Mercredi 4 février 2015
St André Corsini, évêque et confesseur
Ste Jeanne de Valois, reine de France
fondatrice de l’Ordre des Annonciades (« Ordre de la Vierge Marie ») -
Mardi 3 février 2015
St Blaise, évêque et martyr
Chapelle Notre-Dame-de-Lhor (Notre-Dame-de-Pitié), ermitage à Métairies-Saint-Quirin en Moselle
Vitrail de Saint-Blaise
(Source) -
Jeudi 29 janvier 2015
St François de Sales, évêque, confesseur et docteur
(fête avancée au 24 janvier au nouveau calendrier)Benoît XVI, catéchèse sur St François de Sales (Audience générale du 2 mars 2011) -
Mardi 27 janvier 2015
St Jean Chrysostome, évêque, confesseur et docteur
Au nouveau calendrier : Ste Angèle Merici -
Lundi 26 janvier 2015
St Polycarpe, évêque et martyr
(fête reportée au 23 février au nouveau calendrier)Au nouveau calendrier : Sts Timothée et Tite -
Samedi 24 janvier 2015
St Timothée, évêque et martyr
Ordination et martyre de saint Timothée
Speculum historiale. V. de Beauvais. XVe siècleAu nouveau calendrier : St François de Sales
(fête le 29 au calendrier traditionnel) -
Mercredi 14 janvier 2015
St Hilaire, évêque, confesseur et docteur
(fête déplacée à la veille au nouveau calendrier) -
Mardi 13 janvier 2015
Commémoration du Baptême de Notre Seigneur
Au nouveau calendrier : St Hilaire, évêque et docteur de l'Eglise -
Lundi 29 décembre 2014
St Thomas Becket, évêque et martyr
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Rapport Claeys-Leonetti : Communiqué de Mgr Dominique Rey, évêque de Frejus-Toulon
L’embarras qui entoure la publication du rapport Claeys-Leonetti remis au président de la République reflète l’ambiguïté dont il se refuse à sortir. On comprend qu’il n’est pas question d’aborder de front euthanasie et suicide assisté. Dont acte. En revanche, la proposition phare du rapport jongle avec les mots lorsqu’elle parle de « sédation profonde et continue ». Quel est cet « accompagnement vers la mort» pour permettre de «mourir dans la dignité » dont parle M. Hollande ?
Un « nouveau droit à mourir » ?
Créer ou reconnaître un nouveau droit à mourir, c’est pour le moins favoriser le développement d’une mentalité euthanasique. Faire de la sédation en phase terminale, déjà pratiquée par les médecins en particulier dans le cadre de soins palliatifs, un droit du patient, c’est modifier de fait la relation entre le médecin et son patient. On a du mal à comprendre pourquoi ce protocole devrait faire l’objet d’un droit sauf à penser que les médecins ne remplissent pas leur mission ou, plus simplement, à induire des pratiques euthanasiques là où une sédation peut être légitime face à une détresse extrême. La sédation en phase terminale, acte pris collégialement, est déjà suffisamment délicate pour qu’on ne rajoute pas de pression aux médecins en les empêchant de privilégier toujours l’écoute et la qualité de la relation avec leurs malades. Pour soulager les souffrances il faut parfois prendre le risque d’accélérer la mort du malade, mais « faire mourir ne peut jamais être considéré comme un soin médical, même si l’intention était seulement de répondre à une demande du patient ».
Le nouveau droit n’introduit-il pas de la confusion là où l’on attend clarté et apaisement ? Ne nous leurrons pas : l’utilisation d’un vocabulaire très technique pourrait servir à détourner le principe du respect de la vie en permettant certaines dérogations.
Lorsqu’une loi prétend introduire et défendre un nouveau droit, il est inévitable de voir les demandes d’en bénéficier affluer, en l’espèce demandes d’ « endormissement » jusqu’à la mort. Le nouveau droit n’introduit-il pas de la confusion là où l’on attend clarté et apaisement ? Ne nous leurrons pas : l’utilisation d’un vocabulaire très technique pourrait servir à détourner le principe du respect de la vie en permettant certaines dérogations. Il est tout à fait adapté de parler ici de « droit fondamental » à la vie, principe inviolable qui est à la base de toute vie en société, principe qui ne doit pas conduire non plus à l’acharnement thérapeutique. Il ne souffre aucune exception : un régime de « dérogation encadrée » mène souvent aux pires excès.
Il est à craindre également que les directives anticipées, si elles devaient s’imposer au médecin, ne favorisent pas la confiance et le dialogue entre patients et soignants. Elles pourraient même inciter les plus fragiles à des demandes radicales, qui disparaissent lorsque les personnes en fin de vie sont prises en charge dans de bonnes conditions.
Prendre soin de la fragilité
Si l’on doit saluer la volonté de développer les soins palliatifs et d’améliorer la formation des médecins sur les questions de fin de vie, il est urgent de ne pas céder à des dérives qui pourront conduire à l’euthanasie. Comment ne pas rappeler à ceux qui préparent et votent les lois les paroles fortes du Pape François, lors de sa visite à Strasbourg, sur la vocation de parlementaires : « Vous êtes appelés à prendre soin de la fragilité », c’est-à-dire à lutter contre la « culture du déchet » qui a tendance à ne considérer la vie humaine qu’en fonction de son utilité. Lorsqu’elle ne l’est plus, « elle est éliminée sans trop de scrupule, comme dans le cas des malades, des malades en phase terminale, des personnes âgées abandonnées et sans soin. »
L’Église, qui encourage l’argumentation rationnelle sur ces questions, se souvient aussi que l’euthanasie est une grave violation de la loi de Dieu. « Affirmer la dignité de la personne, c’est reconnaître le caractère précieux de la vie humaine, qui nous est donnée gratuitement. » Pas plus que de sa vie, qu’il reçoit de Dieu, l’homme n’est le maître de sa mort. Aimer la personne mourante, c’est aussi accepter de se laisser désarmer par sa fragilité extrême : la vulnérabilité ne fait jamais perdre la dignité. Rien ne justifie de provoquer la mort d’une personne pour laquelle « on ne peut plus rien ».
Enfin, il n’est pas inutile de se souvenir que la mort n’est pas irrémédiablement fermée à toute perspective de sens et à toute espérance. Pouvoir ne pas la vivre seul est aussi un droit de la personne qu’il faudrait être capable d’honorer de même que la possibilité de la préparer à la rencontre avec Dieu.
Source : Observatoire socio-politique de Fréjus-Toulon. -
Samedi 28 novembre 2014
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Vendredi 28 novembre 2014
En certains endroits : Ste Catherine Labouré, religieuse -
Jeudi 27 novembre 2014
Diocèse de Paris et en certains endroits :
L’Immaculée Vierge Marie de la Médaille Miraculeuse
(Fête de la médaille miraculeuse) -
Mercredi 26 novembre 2014
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Mardi 25 novembre 2014
Ste Catherine d'Alexandrie, vierge et martyre
Sainte Catherine avec la palme du martyre, l'épée et la roue, instruments de son supplice
Grandes heures d'Anne de Bretagne, Jean Bourdichon, XVIe -
Lundi 24 novembre 2014
St André Dung-Lac, prêtre, et comp., martyrs
Au calendrier traditionnel : St Jean de la Croix, religieux, confesseur et docteur -
Dimanche 23 novembre 2014
Notre Seigneur Jésus Christ Roi de l'Univers
Au calendrier traditionnel : 24ème et dernier Dimanche après la PentecôteCommentaire de l'Evangile du Dimanche (Abbaye du Barroux)Alleluia
Allelúia, allelúia. V/.Ps, 129, 1-2.
De profúndis clamávi ad te, Dómine : Dómine, exáudi oratiónem meam. Allelúia.
Du fond des abîmes je crie vers vous, ô Seigneur ; Seigneur, exaucez ma prière. Alléluia