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  • Un martyr slovaque du communisme bientôt béatifié

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    Recevant en audience, ce lundi 27 février, le Cardinal Angelo Amato, Préfet de la Congrégation pour la cause des Saints, le Pape François a autorisé le dicastère à promulguer les décrets reconnaissant :

    - le martyre du Serviteur de Dieu Tito Zeman, prêtre salésien slovaque, né le 4 janvier 1915, tué en haine de la foi le 8 janvier 1969. En avril 1950, lorsque le régime communiste interdit les congrégations religieuses, et commença à déporter prêtres et consacrés, Tito Zeman organisa l’exfiltration clandestine vers Turin de jeunes Salésiens, afin qu’ils puissent poursuivre leur formation. Arrêté, puis jugé comme "espion du Vatican", il fut condamné à 25 ans de prison. Relâché au bout de 12 années de détention, il mourut 5 ans après, des suites des privations et mauvais traitements infligés en prison.

    - ainsi que les vertus héroïques des Serviteurs et Servantes de Dieu :

    - Ottavio Ortiz Arrieta (1878-1958), premier salésien d’origine péruvienne, évêque de Chachapoyas, un diocèse très vaste et difficile à administrer, qu’il parcourut infatigablement. Il refusa l’archevêché de Lima pour se consacrer à son diocèse de la Cordillères des Andes.

    - Antonio Provolo (1801-1842), prêtre du diocèse de Vérone (Italie), fondateur de la Société de Marie pour l’éducation des sourds-muets et de la Congrégation de Marie pour l’éducation des sourdes-muettes.

    Antonio Repiso Martínez de Orbe (1856-1929), jésuite mexicain, fondateur de la Congrégation des sœurs du Divin Pasteur.

    - Maria della Mercede Cabezas Terrero (1911-1993), religieuse espagnole, fondatrice de l’Institut religieux des Œuvres missionnaires du Sacré Cœur de Jésus.

    - Lucia dell’Immacolata (1909-1954), religieuse italienne de la Congrégation des Ancelles de la Charité.

    - Pedro Herrero Rubio (1904-1978), laïc espagnol, médecin auprès des enfants pauvres.

    - Vittorio Trancanelli (1944-1998), laïc italien, père de famille et médecin.

    Source : Radio Vatican (MA).

  • Angelus de ce dimanche 26 février 2017

    « Nul ne peut servir deux maîtres (…) Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent ». Ce dimanche 26 février 2017, le Pape appelle les catholiques à faire un « choix clair », que l'Évangile de ce jour indique avec précision (saint Matthieu 6, 24-34). Il les invite à une attitude évangélique qui consiste à « chercher d’abord le Royaume de Dieu ».

    Sous un grand soleil, le Pape s’adresse depuis une des fenêtres de l’appartement apostolique à la foule des fidèles rassemblée sous ses yeux place Saint-Pierre. En ce huitième dimanche du Temps ordinaire, il souligne que ce passage de l’Évangile de Matthieu est un fort rappel à s’en remettre à Dieu. « Jésus nous exhorte avec insistance à ne pas nous préoccuper de l’avenir ». Le regard de Dieu, prompt et bienveillant, veille continuellement sur notre vie, assure le Pape. « Il coule sous-jacent à la hantise de tant de préoccupations qui risquent d’ôter sérénité et équilibre ; une angoisse souvent inutile, car elle ne parvient pas à changer le cours des événements ». S’en remettre à Dieu ne résout pas magiquement les problèmes, mais permet de les affronter courageusement avec une âme juste.

    Le Pape rappelle combien Dieu est proche. « C’est notre refuge, la source de notre sérénité et de notre paix. Le rocher de notre salut auquel on peut s’accrocher, certain de ne pas tomber ». A notre époque, voir un Père en Dieu est tellement important, souligne le Pape qui regrette pourtant que, parfois, on ne s’en rende pas compte, trop occupés à rechercher « de manière obsessive des biens terrestres et des richesses, leur manifestant un amour exagéré », « oubliant, et parfois refusant, le bien suprême, c’est-à-dire l’amour paternel de Dieu ». Or Jésus le dit : cette recherche de possessions est « une illusion, un motif de malheur ».

    Jésus donne à ses disciples une règle fondamentale de vie : « Cherchez d’abord le royaume de Dieu » pour réaliser le projet qu'Il a annoncé lors du Sermon sur la montagne, « en s’en remettant à Dieu qui ne déçoit pas ; en se mobilisant pour être des administrateurs fidèles des biens qu’il nous a donnés, même des biens terrestres, sans en faire trop comme si tout, et même notre salut, dépendait seulement de nous ». Un comportement évangélique de ce genre nécessite de faire « un choix clair », car « nul ne peut servir deux maîtres ». Ou l’on sert les idoles fascinantes mais illusoires, ou l’on sert Dieu. Un choix qui se doit se répercuter dans chacun de nos actes, programmes ou engagements. Un choix à faire de façon nette, et à renouveler constamment, « car les tentations de tout réduire à l’argent, le plaisir et le pouvoir sont pressantes », avertit le Pape François.

    Il souligne que si « honorer ces idoles a des résultats tangibles bien que fugaces », choisir Dieu et son règne n’a pas toujours de fruits immédiats. « C’est une décision qui se prend dans l’espérance et dont on laisse à Dieu la pleine réalisation ». On n'abandonne pas son choix au moindre obstacle car « l’espérance chrétienne est fondée sur la fidélité à Dieu qui ne déçoit jamais ».
    Le Pape prie enfin la Vierge Marie pour qu’elle aide chacun à s’en remettre à l’amour et la bonté du Père céleste, à vivre en Lui et avec Lui. « Ceci est le présupposé permettant de surmonter les tourments et les adversités de la vie, et même les persécutions ».

    Maladies rares

    A l’issue de l’Angélus, le Pape a salué les pèlerins italiens et espagnols, nombreux place Saint-Pierre. Il s’est également adressé à un groupe venu à Rome à l’avant-veille de la Journée des maladies rares. Il les a félicités pour leur action et a dit espérer que « les patients et leurs familles soient soutenus de manière adéquate dans leur parcours difficile, tant au niveau médical que législatif. »

    Source : Radio Vatican (MD).

    Texte intégral des paroles du Pape traduites en français sur Zenit.org.

  • Johannes Ockeghem (v.1420-1497) : Missa Au Travail Suis

    The Tallis Scholars - Dir. Peter Phillips

  • Préparons notre Carême - 3. Le détachement

    « Notre effort de renoncement n'a pas pour but de réaliser quelque chose par lui-même ; il est un moyen de nous prêter, et d'essayer de nous prêter avec toujours plus de souplesse à un travail de dépouillement intérieur qui est d'abord l’œuvre de la grâce.

    C'est pourquoi - de même que dans la prière il ne s'agissait pas d'accumuler des réflexions et considérations, mais de maintenir à l'aide de quelques pensées très simples présentées à l'esprit une silencieuse attention à Dieu - de même pour progresser dans le détachement il importe moins de multiplier les actes de renoncement que d'en consentir suffisamment pour entretenir une attitude de disponibilité à Dieu, de soumission à ce qu'il voudra demander, lui permettant ainsi de nous mener lui-même, par ses voies à lui, à travers les épreuves, les difficultés, les échecs, jusqu'à un vrai dépouillement intérieur. Cette œuvre de dépouillement, il est seul à en connaître les exigences, et sa grâce la réalisera au moyen des sacrifices qu'elle-même choisit et qu'elle nous aide à consentir de plus en plus, avec la très simple docilité d'une âme qui se sait entre les mains de Dieu et veut se laisser conduire par lui. »

    Dom Georges Lefebvre, moine de Ligugé, Aimer Dieu (Renoncement, docilité), Desclée de Brouwer, 1958.

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  • Introït "Esto mihi"

    Moniales bénédictines de Notre-Dame de l'Annonciation, Le Barroux
     
    Ant. ad Introitum. Ps. 30, 3-4.
    Esto mihi in Deum protectórem, et in locum refúgii, ut salvum me fácias : quóniam firmaméntum meum et refúgium meum es tu : et propter nomen tuum dux mihi eris, et enútries me.
    Soyez-moi un Dieu protecteur et une maison de refuge, afin que vous me sauviez. Car vous êtes ma force et mon refuge, et à cause de votre nom, vous serez mon guide et vous me nourrirez.

    Ps. ibid., 2.
    In te, Dómine, sperávi, non confúndar in ætérnum : in iustítia tua líbera me et éripe me.
    J’ai espéré en vous, Seigneur : que je ne sois jamais confondu, dans votre justice, délivrez-moi et sauvez-moi.

    V/. Glória Patri.

    Commentaire spirituel et musical par un moine sur le blog de L'Homme Nouveau.
  • Dimanche 26 février 2017

    Dimanche de la Quinquagésime
     
    Commentaire de l'Evangile du Dimanche
    (Abbaye Sainte-Madeleine, Le Barroux)
     
    (8ème dimanche du Temps Ordinaire)
     
    Rappel : Introduction au Temps de la Septuagésime
    (du dimanche de la Septuagésime au mercredi des Cendres)

  • Liberté Politique attaque en justice le Ministère de l'Education Nationale

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    Article rédigé par François Billot de Lochner, le 24 février 2017

    Le ministère dit de « l’Éducation nationale » s’est transformé, depuis quelques années notamment, en ministère des perversités sexuelles en tous genres. Soyons clairs : si son responsable, Vallaud-Belkacem, qui a la grande chance personnelle de bénéficier d’une double nationalité franco-marocaine, avait sévi de façon identique à Rabat, elle croupirait sans doute actuellement dans les geôles de la monarchie chérifienne, sur ordre personnel du Commandeur des croyants. Le sachant, elle préfère évidemment sévir en France, pays des droits de l’homme qui la protège, et qui protège ou encourage également tous les dévoiements pour tous. Car les cours de perversion sexuelle, dans « l’enseignement », commencent maintenant…dès la maternelle.

    Si l’on analyse en détail ce qui est enseigné à nos enfants, de la maternelle à la terminale, force est de constater que la dictature pornographique frappe à grande échelle les populations les plus jeunes et les plus sensibles, celles qui doivent bénéficier de l’attention la plus grande et de la protection la plus efficace sur les sujets, fondamentaux : de la sexualité et de la transmission de la vie ; des évidentes différences entre les sexes ; de ce qui ressort de la sexualité naturelle et de la sexualité anormale ; du danger patent de refuser les notions de bien et de mal concernant les parties du corps les plus intimes, et qui sont « cachées » car hautement sensibles. Au lieu de cela, le ministère s’est attribué la mission de décrire, avec complaisance et à grande échelle, les  possibilités infinies offertes par une sexualité chosifiée, en présentant les choses de telle façon que les enfants sont puissamment incités à « tout essayer », même et souvent le pire. Ce qui les amène souvent, effectivement, à tout essayer,  même et souvent le pire…

    De cela résulte une imposition abjecte du vice devenu vertu, de l’horreur devenue merveille, du mensonge devenu vérité banale, du sexe devenu organe d’intérêt unique. Le cœur, l’âme, l’intelligence ? Connais pas. Existe pas. Le sexe et autres parties proches du sexe ? Y a que ça qui compte, allons-y à fond, là est l’épanouissement. Les fonctionnaires du ministère en charge du dossier ont-ils un sexe à la place ou à côté du cerveau ? La question mérite d’être posée, et pourrait justifier d’ailleurs une intéressante analyse scientifique de la chose.

    Les livres ou supports, soit disant « conseillés » mais en fait imposés par le ministère, sont une incitation pure et simple à la débauche la plus glauque dès le plus jeune âge, avec son florilège de textes et photos immondes détaillant de façon infecte, systématiquement infecte, toujours plus infecte les parties du corps concernées. Pour être précis, consulter pour étude de tels supports donne tout simplement envie de vomir. Si des personnes du monde des adultes réagissent ainsi, comment de jeunes enfants ne seraient-ils pas définitivement souillés par cette déferlante d’ignominies ?

    Je viens de publier un livre sur ce sujet (Les parfums du château – Terra Mare) et nous menons actuellement une action forte auprès des candidats à la présidentielle (Le Manifeste de la dernière chance – Terra Mare). En complément de ces actions, France Audace et Liberté politique ont pris la décision d’attaquer en justice le ministère de l’Éducation nationale, qui, de façon évidente, conçoit, diffuse et promeut la perversité à grande échelle, sans laisser la moindre possibilité aux enfants d’échapper à sa tyrannie pornographique : sa responsabilité est évidente, et il doit donc être poursuivi pour cela. La responsabilité personnelle de Najat Vallaud-Belkacem sera bien sûr recherchée, et, espérons-le, sanctionnée. Nous sommes bien décidés à tout mettre en oeuvre pour stopper cette déferlante pornographique notamment organisée par le ministère.

    François Billot de Lochner,
    président de la Fondation de Service politique,
    de Liberté politique et de France Audace.

    Source : Liberté politique.com.

  • Du 23 au 27 mars 2017 : 9ème édition de la Nuit des Témoins

    Depuis 2009, l’AED organise la Nuit des Témoins. Une tournée de veillées où prières et témoignages rendent hommage aux prêtres, religieux et laïcs tués à cause de leur foi au cours de l’année écoulée. Découvrez les grands témoins de 2017.

    • Quoi ?

    AED_NUIT-DES-TÉMOINS-2017.jpgCes veillées de prière et de témoignages rendent hommage à ceux qui ont été tués parce qu’ils étaient des disciples du Christ.

    Elles permettent aussi de porter dans la prière ceux qui souffrent toujours et d’écouter leur témoignage.

    • Où et quand ont-elles lieu ?

    REIMS: jeudi 23 mars, 20h-22h: église Saint-Jacques avec Mgr Bruno Feillet

    PARIS: vendredi 24 mars, 18h15 messe, 20h-22h veillée: cathédrale Notre-Dame de Paris avec Mgr Jérôme Beau

    SAINTE-ANNE D’AURAY: samedi 25 mars, 20h30-22h30: basilique Sainte-Anne avec Mgr Raymond Centène

    MONACO: dimanche 26 mars, 20h30-22h30: église Saint-Charles avec Mgr Bernard Barsi

    PERPIGNAN: lundi 27 mars, 20h-22h: chapelle Saint-Jean-Paul II – Parc Ducup avec Mgr Norbert Turini

    • Qui sont les grands témoins ?

    L’AED invite des grands témoins pour honorer les martyrs de la foi, prêtres, religieuses, religieux et laïcs engagés ayant perdu la vie ces derniers mois par fidélité au Christ. Au cours de la Nuit des témoins, ils donneront leur témoignage sur la réalité de la situation des chrétiens dans trois pays phares:

    Frère Jacques Mourad
    Moine de la Communauté de Mar Moussa, en SYRIE, otage de l’État islamique pendant 5 mois

    Père Philippe Blot
    Missionnaire des MEP engagé dans le secours des réfugiés de CORÉE DU NORD

    Mère Marie-Catherine Kingbo
    Fondatrice de la congrégation des Servantes du Christ au NIGER

    Cliquez ici pour en savoir plus sur les Témoins 2017

    Source : AED (Aide à l'Eglise en Détresse)

  • IVG.net dénonce les 8 mensonges de Laurence Rossignol

    Article rédigé par Michel Janva, le 23 février 2017

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    [Source : Le Salon Beige]

     Sur leur site :

    "Pour monter combien la désinformation est en fait du coté du gouvernement, nous avons relevés Les 8 mensonges sur l'IVG dans le site « officiel »  www.ivg.gouv.fr :

    1/ Il n'y a pas de conséquences psychologiques après une IVG. 

    Réponse du gynécologue Philippe Faucher sur le site du gouvernement : « La majorité des études scientifiques sérieuses qui ont été publiées sur le sujet montrent qu’il n’y a pas de séquelle à long terme psychologique de l’avortement. Il n’y a pas de syndrome post-traumatique qui persisterait à distance, plusieurs années après un avortement. » 

    Faux !  Des centaines de d’études scientifiques qui ont été publiées dans les revues internationales depuis plus de 30 ans attestent l'existence de ces souffrances à court et long terme. Le Professeur René Ecochard du CHU de Lyon vient de compiler une partie de ces études dont la méta-analyse réalisée par Priscilla K. Coleman publiée en 2011 dans le British Journal of Psychiatry  qui de son coté fait une synthèse  portant sur 22 études, 36 critères et 877.181 femmes (dont 163.831 ayant fait une IVG). Des études controversées existent certes bien dans un sens ou un autre mais ne peuvent pas changer sérieusement  le large consensus sur cette question.

    2/ Nos témoignages seraient « trompeurs », « faux » « culpabilisants », etc... 

    Faux :   Notre site dispose de plus de 1.000 témoignages authentiques de souffrance. Notre page facebook (ivg, vous hesitez ?) regorge de posts anonymes ou signés. Cela est attesté par 48.000 likes alors que la page facebook du site prônée par le gouvernement « IVG : J'ai avorté et je vais bien ! merci » n’accueille que 73 membres … !

    3/ Une IVG ne peut pas rendre stérile : 

    Une sage-femme (Mme Aunis ) répond péremptoirement: "Que ce soit par la méthode médicamenteuse ou chirurgicale, il n’y a pas de risque de stérilité . Bien au contraire, la fertilité revient assez rapidement. Il faudra donc anticiper pour que vous ayez un moyen de contraception dès le jour de l’intervention. »

    Faux :  Les études internationales montrent par exemple que les femmes ayant des antécédents d'un avortement sont face à un risque 2,3 fois plus élevé d'avoir un cancer du col utérin, par rapport aux femmes sans antécédents d’avortement. Les femmes avec deux IVG et plus sont confrontés à un risque relatif de 4,92 (M-G, Le, et al., “Oral Contraceptive Use and Breast or Cervical Cancer: Preliminary Results of a French Case- Control Study, Hormones and Sexual Factors in Human Cancer Etiology, ed. JP Wolff, et al., Excerpta Medica: New York (1984) pp.139-147; F. Parazzini, et al., “Reproductive Factors and the Risk of Invasive and Intraepithelial Cervical Neoplasia,” British Journal of Cancer, 59:805-809 (1989); H.L. Stewart, et al., “Epidemiology of Cancers of the Uterine Cervix and Corpus, Breast and Ovary in Israel and New York City,” Journal of the National Cancer Institute 37(1):1-96; I. Fujimoto, et al., “Epidemiologic Study of Carcinoma in Situ of the Cervix,” Journal of Reproductive Medicine 30(7):535 (July 1985); N. Weiss, “Events of Reproductive Life and the Incidence of Epithelial Ovarian Cancer,” Am. J. of Epidemiology, 117(2):128-139 (1983); V. Beral, et al., “Does Pregnancy Protect Against Ovarian Cancer,” The Lancet, May 20, 1978, pp. 1083-1087; C. LaVecchia, et al., “Reproductive Factors and the Risk of Hepatocellular Carcinoma in Women,” International Journal of Cancer, 52:351, 1992.)

    Autre exemple : L’Endométrite est un risque post-avortement surtout pour les adolescentes, qui sont 2,5 fois plus susceptibles d'avoir une endométrite après une IVG que les femmes de 20-29 ans (Burkman, et al., “Morbidity Risk Among Young Adolescents Undergoing Elective Abortion” Contraception, 30:99-105 (1984); “Post-Abortal Endometritis and Isolation of Chlamydia Trachomatis,” Obstetrics and Gynecology 68(5):668- 690, (1986)

    Quelques études controversées existent bien dans le sens du deni mais ne peuvent pas changer sérieusement un large consensus sur cette question.

    4/ « L’IVG, c’est votre droit » dit le site du gouvernement ! 

    Incomplet donc trompeur : L’ivg n’est pas seulement un « droit» mais c’est aussi "l’obligation" pour les médecins et bien sûr pour le Gouvernement de respecter la loi en informant la femme "des risques et des effets secondaires potentiels de l'IVG" (art L 2212-3 du code de la Santé

    5/ L’IVG médicamenteuse évacue un "oeuf" :  

    Le site du gouv. affirme « Ce médicament interrompt la grossesse. Il bloque l’action de l’hormone nécessaire au maintien de la grossesse (la progestérone), favorise les contractions de l’utérus et l’ouverture du col utérin. À l’issue de cette première étape, il peut survenir des saignements plus ou moins importants. Exceptionnellement, l’oeuf peut déjà être évacué à ce stade. »

    Faux !  Quand la femme fait une ivg, elle n’évacue pas un « Œuf » mais un « embryon » . Scientifiquement la phase embryonnaire débute au 25 eme jour qui suit la conception. Le site est volontairement et grossièrement trompeur ! 

    6/ L’IVG chirurgicale consiste en une aspiration de l’œuf : 

    Faux :  La femme enceinte n’évacue pas un « Œuf » mais au moins un « embryon » ou plus souvent encore un « fœtus » car scientifiquement la phase fœtale débute à la 8 eme semaine de grossesse ! Le site gouvernemental parle de « contenu de l’utérus » au lieu d’exprimer la réalité de l’acte. Quant aux conséquences, elles sont absentes comme « évacuées » en quelques lignes fallacieusement rassurantes. 

    7/ Le site du gouvernement s'affiche "neutre"

    Faux : Le numéro vert anonyme et gratuit du gouvernement 0800 08 11 11 est tenu par des opératrices qui sont des militantes du Mouvement du Planning familial ou bien formées par le Planning. (cf; communiqué de presse du Planning Familial en date 28 septembre 2015). Elles encouragent de fait l’ivg par leurs conseils. Lorsque les délais sont dépassés, elles conseillent des cliniques à l’étranger (preuves disponibles). Les liens qui sont donnés sur le site du gouv ne sont pas neutres :

    • ivglesadresses.org (site du revho qui se définit comme féministe et à « la gauche de la gauche »)
    • planning-familial.org ( cf plus haut)
    • avortementancic.net (site créé par l’Association nationale des centres d’IVG et de contraception)

    8/ Les informations trouvées sur certains sites Internet sont erronées :

    « Certains sites Internet que vous trouverez via/par les moteurs de recherche vous indiqueront qu’ils proposent une information neutre et médicale mais sont en réalité édités par des militants contre l’avortement. Il en va de même pour les forums où certains témoignages sont montés de toutes pièces par des opposants au droit à l’interruption volontaire de grossesse. Ils sont parfois difficiles à reconnaître mais méfiez-vous systématiquement des sites et numéros verts consacrant par exemple une grande part de leur contenu à la maternité et aux soi-disant complications et traumatismes liés à une IVG ». 

    Faux :  Le 8eme des mensonges sur l'IVG ! On peut voir plus haut la véracité de tous nos témoignages. Le site du gouvernement est en réalité tenu par des militants pro-ivg. Il est ouvertement partisan et n’hésite pas à nous dénigrer et nous diffamer sans aucune autre argumentation que le persiflage, le sarcasme et le mensonge grossier."

    Source : Liberté politique.com

  • L'utilisation de l'image du Pape placée sous surveillance...

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    L’image du Souverain Pontife ne saurait être instrumentalisée, c’est le sens d’une mise au point ce mercredi 22 février de la Secrétairerie d’état du Saint-Siège. Dans un communiqué, elle précise que l’une de ses attributions est de veiller à protéger l’image du Souverain Pontife, « afin que son message puisse rejoindre les fidèles intègres ».

    La Secrétairerie d’état précise en particulier qu’elle est responsable des blasons officiels du Saint-Siège. Pour mettre un terme « aux situations d’illégalités  éventuellement rencontrées », elle « effectuera une surveillance systématique des modalités selon lesquelles sont utilisées l’image du Saint-Père et les blasons du Saint-Siège, en prenant si besoin les mesures appropriées » précise encore le communiqué.

    La salle de presse du Saint-Siège précise que cette mise au point de la Secrétairerie d’état n’a rien à voir avec des faits récents qui ont été médiatisés (*). Début février, des affiches représentant le Pape et l’accusant de manque de miséricorde avaient été placardées dans le centre-ville de Rome. Un faux numéro de l’Osservatore Romano avait par ailleurs été envoyé par mail à plusieurs membres de la Curie quelques jours plus tard.

    Source : Radio Vatican (OB)

    (*) : Cette précision de la salle de presse ne pourra que faire sourire - et sans doute réagir - les observateurs réguliers de la récente actualité vaticane...

  • Audience générale de ce mercredi 22 février 2017

    Texte intégral de la catéchèse traduite en français sur Zenit.org.

    Résumé en français :

    « Frères et sœurs, la création est un don merveilleux que Dieu a placé entre nos mains. Mais, quand il se laisse prendre par l’égoïsme, l’être humain ruine les plus belles choses qui lui ont été confiées. Alors le Seigneur nous offre une nouvelle perspective de libération, de salut universel. Ainsi, saint Paul nous invite à nous mettre à l’écoute des gémissements de la création, des êtres humains et ceux de l’Esprit dans notre cœur. Ces gémissements ne sont pas stériles. En effet, si le chrétien sait reconnaître en lui et autour de lui les signes du mal, en même temps il a appris à lire tout cela avec les yeux du Christ Ressuscité. Dans l’espérance, nous savons que, par sa miséricorde, le Seigneur veut guérir définitivement les cœurs blessés et humiliés, tout ce que l’homme a défiguré. Trop souvent nous sommes tentés par la déception ou le pessimisme. Que l’Esprit-Saint nous vienne en aide, lui qui voit au-delà des apparences négatives du présent et nous révèle déjà les cieux nouveaux et la terre nouvelle que le Seigneur prépare pour l’humanité. »

    « Je suis heureux d’accueillir les pèlerins de langue française, en particulier les laïcs du Mans avec l’évêque, Mgr Yves Le Saux, les servants d’autel de Metz, avec l’évêque Mgr Jean-Christophe Lagleize, ainsi que les paroisses et les jeunes venant de France et du Canada.
    Que l’Esprit-Saint soit pour chacun de vous un guide sur les chemins de votre vie et vous affermisse dans l’espérance ! Que Dieu vous bénisse ! »

    Source : site internet du Vatican.

  • Pierre de la Rue (v.1460–1518) : Laudate Dominum, omnes gentes

    Capella Sancti Michaelis
     
    Laudate Dominum, omnes gentes
    Laudate Eum, omnes populi;
    Quoniam confirmata est super nos misericordia Eius
    Et veritas Domini manet in aeternum.

    Louez le Seigneur, tous les peuples ;
    fêtez-le, tous les pays !
    Son amour envers nous s'est montré le plus fort ;
    éternelle est la fidélité du Seigneur !


    Psaume 117 (116)
  • Méditation sur la Chaire de Saint Pierre

    « Le Bienheureux Pierre, premier entre les Apôtres, et qui aima le Christ véhémentement, eut le bonheur de s'entendre dire : « Et moi je te dis : Tu es Pierre. Car l'apôtre avait déclaré : Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. » Et le Christ répond : « Et moi, je te dis que tu es Pierre, et que sur cette pierre j'édifierai mon Église » (1) : sur cette pierre, j'édifierai la foi que tu confesses. Sur cette parole que tu as dite, « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant », j'édifierai mon Église. Car toi, tu es Pierre.

    Pierre tient son nom de la pierre, et ce n'est pas de Pierre que la pierre tire son nom. Pierre vient de la pierre, se réfère à la pierre, comme le chrétien vient du Christ et se réfère au Christ. Écoute Paul : « Car, frères, je ne veux pas que vous l'ignoriez : nos pères furent tous sous la nuée, tous ils traversèrent la mer, et tous, au temps de Moïse, ils furent baptisés dans la nuée et dans la mer ; et tous ils mangèrent la même nourriture spirituelle, et tous ils burent le même breuvage spirituel : car ils buvaient de la pierre spirituelle qui les accompagnait, et la pierre était le Christ. » (2) Voilà d'où est Pierre.

    Avant sa Passion, le Seigneur Jésus, comme vous le savez, choisit et appela ses disciples, ses Apôtres. Parmi eux, presque partout, Pierre reçoit cette grâce de représenter à lui seul la personne de toute l’Église. A cause de cette personne de toute l’Église, qu'il représentait à lui seul, il eut ce bonheur d'entendre : « A toi je donnerai les clés du royaume des cieux. » (3) Car ces clés, ce n'est pas un seul homme, mais c'est l'unité de l’Église, qui les a reçues. Et nous célébrons la Primauté de Pierre précisément parce qu'il représentait toute l'universalité et l'unité de l’Église quand le Seigneur lui dit : « A toi, je donnerai » ce pouvoir que, de fait, il donna à tous. Et écoutez ce que le Seigneur dit à tous les Apôtres dans un autre passage de l’Évangile : « Recevez l'Esprit-Saint. Si vous remettez les péchés à quelqu'un, ils lui seront remis ; si vous les retenez, ils seront retenus. » (4) Ceci relève du pouvoir des clés, dont il a été dit : « Ce que vous délierez sur la terre sera délié aussi dans le ciel, et ce que vous lierez sur la terre sera lié aussi dans le ciel. » (5) Mais pour que tous sachent que Pierre représentait la personne de toute l’Église, comparons ce qui est dit à lui seul et ce qui est dit à tous les fidèles : « Si ton frère a péché contre toi, corrige-le entre toi et lui seul ; s'il t'écoute, tu as gagné ton frère, S'il ne t'écoute pas, prends encore avec toi un ou deux autres, pour que toute l'affaire soit établie sur la parole de deux ou trois témoins. S'il ne les écoute pas non plus, dis-le à l’Église ; et s'il n'écoute pas même l’Église, qu'il te soit comme un païen et un publicain. Amen je vous le dis : ce que vous lierez sur la terre sera lié dans le ciel, et ce que vous délierez sur la terre sera délié dans le ciel. » (6) C'est « la colombe » (= l’Église) qui lie, et c'est la colombe qui délie : l’Édifice fondé sur la pierre lie et délie. [...]

    C'est d'abord la force de l’Église qui est célébrée en Pierre, parce qu'il suivit le Seigneur allant à sa Passion ; mais une certaine infirmité de l’Église est aussi mentionnée, car, interrogé par une servante, il renia le Seigneur. Cet Apôtre qui aimait tant le Seigneur, le renia soudain : il se retrouva lui-même, parce qu'il avait trop présumé de lui-même. Il avait déclaré, en effet : « Seigneur, j'irai avec toi jusqu'à la mort ; et s'il faut que je meure, je donne ma vie pour toi. » et le Seigneur répondit à ce présomptueux : « Tu donneras ta vie pour moi ? En vérité je te le dis : avant le chant du coq, tu m'auras renié trois fois. » (7) Ce que le médecin avait prédit, arriva ; ce que le malade avait présumé, ne pouvait arriver. Mais ensuite ? Voici ce qui est écrit, voici ce que dit l’Évangile : « Le Seigneur le regarda ; et Pierre sortit dehors, et pleura amèrement. » (8) Sortir dehors, cela veut dire ici : confesser sa faute publiquement. Il pleura amèrement, parce qu'il savait aimer. La douceur de l'amour suivit, parce que l'amertume de la douleur avait précédé.

    C'est pour la même et bonne raison qu'après sa Résurrection, le Seigneur a confié ses brebis à Pierre nommément ; car Pierre ne fut pas le seul à paître les brebis du Seigneur : mais quand le Christ parle à un seul, c'est l'unité qui est recommandée, et confiée d'abord à Pierre parce que Pierre a la primauté parmi les Apôtres. « Simon, fils de Jean, m'aimes-tu ? » Il répond : « J'aime. » Interrogé une seconde fois, il répond la même chose. Interrogé une troisième fois, il s'attriste : n'a-t-on pas confiance en lui ? Mais comment n'aurait-il pas eu confiance en lui, celui qui voyait son cœur ! Après cet instant de tristesse, Pierre répond : « Seigneur, tu sais tout, tu sais que je t'aime. » Sachant tout, tu ne peux pas ignorer cela.

    [...] Ne sois pas triste, ô Apôtre ! Réponds une fois, réponds deux fois, réponds trois fois. Que ta confession soit trois fois victorieuse dans l'amour puisque te présomption a été trois fois vaincue dans la peur. Ce que tu avais lié trois fois doit être délié trois fois. Délie par amour ce que tu avais lié par peur. Et le Seigneur confie ses brebis à Pierre une fois, deux fois, trois fois. »

    1. Mt XVI, 16-18. - 2. I Co X, 1-4. - 3. Mt XVI, 19. - 4. Jn XX, 32, 23. - 5. Mt XVIII, 18. - 6. Mt XVIII, 18. - 7. Mt XXVI, 33-35 et Jn XIII, 37-38. - 8. Lc XXII, 61-62.

    Saint Augustin, Sermon CCXCV, 1-4 (PL 38, 1348 s).
    (Texte intégral)

    St Augustin,sermon,Chaire de Saint Pierre

    (Crédit photo)

  • Gregorio Allegri : Missa Vidi Turbam Magnam - Introitus "Statuit ei Dominus"

    Dir. Bernard Fabre-Garrus
     
    Ant. ad Introitum. Eccli. 45, 30.
    Státuit ei Dóminus testaméntum pacis, et príncipem fecit eum : ut sit illi sacerdótii dígnitas in ætérnum.
    Le Seigneur fit avec lui une alliance de paix et l’établit prince de son Eglise, en sorte qu’il possède à jamais la dignité du sacerdoce.

    Ps. 131, 1.
    Meménto, Dómine, David : et omnis mansuetúdinis eius.
    Souvenez-vous, Seigneur, de David et de toute sa douceur.

    V/ .Glória Patri.
  • Mercredi 22 février 2017

    Chaire de Saint Pierre
    (Fête le 18 janvier à Rome)

    chaire de saint pierre,catechese,benoit xvi,2006

    A (re)lire : la Catéchèse de Benoît XVI
    donnée lors de l'Audience générale du mercredi 22 février 2006

  • Angelus de ce dimanche 19 février 2017

    C’est une lecture de l’Évangile selon Saint Mathieu qui inspire le Pape François ce dimanche 19 février pour évoquer la « révolution chrétienne », c’est-à-dire la voie de l’Amour indiquée par le Christ contre la loi du Talion, cette règle antique qui imposait d’infliger au transgresseur la même peine qu’il avait fait subir à sa victime, « œil pour œil, dent pour dent ». Jésus ne demande cependant pas à ses disciples de subir le mal. Il leur demande de réagir ; mais de réagir avec le bien, « seule façon de rompre l’enchainement du mal ». « La vengeance ne conduit jamais à la résolution des conflits », affirme le Saint-Père.

    Pour le Christ, le refus de la violence peut impliquer aussi de renoncer à un droit légitime. Et il nous donne quelques exemples : tendre l’autre joue, céder son propre vêtement ou son argent, accepter d’autres sacrifices. Mais ce renoncement ne veut pas dire que le chrétien doit renoncer à l’exigence de justice. Au contraire, l’amour chrétien, qui se manifeste dans la miséricorde, représente une forme supérieure de justice. « Il est de notre devoir de pratiquer la justice », dit le Pape François, qui ajoute : « Il nous est interdit en revanche de nous venger ou de fomenter toute forme de vengeance, qui serait l’expression de la haine et de la violence. »

    Le commandement de Jésus inclut l’amour de son ennemi. Ce qui n’est en rien une approbation du mal perpétré par l’ennemi. Il s’agit d’une invitation à une perspective supérieure, semblable à celle du Père Céleste qui fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et fait tomber la pluie sur les justes et sur les injustes. Car l’ennemi est lui aussi un être humain créé à l’image de Dieu, même si cette image peut se trouver offusquée par une conduite indigne.

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral des paroles du Pape traduites en français sur Zenit.org.

  • Giovanni Pierluigi da Palestrina (v.1525-1594) : Missa Papae Marcelli - Kyrie

    The Choir of Westminster Abbey

  • Préparons notre Carême - 2. L'effort

    (Rappel : 1. Ne perdons pas notre temps !)

    « Il est clair que nous écrivons, parlons et agissons beaucoup mieux quand l'être tout entier goûte la paix. Il est certain que l'activité, quand nous sommes fatigués ou secoués, est beaucoup plus pénible ; elle exige un effort énorme et souvent douloureux.

    Mais la force d'âme consiste précisément à dominer cette difficulté, à accomplir cet effort pénible, à agir en un mot « comme si on était bien ». Rien ne développe le moral comme cet effort dans lequel on ne tient compte ni de sa souffrance, ni de l'infériorité pénible des résultats.

    Et si les résultats immédiats sont inférieurs, le résultat éloigné est merveilleux. En se commandant l'action malgré la difficulté des dispositions pénibles, on acquiert l'habitude d'agir à peu près toujours et on supprime une perte de temps énorme. Nous devons nous rendre compte que si pour agir nous devions attendre d'être très bien, nous passerions la moitié de notre vie dans cette attente.

    Non ! N'attendons plus ce qui pour certains ne vient jamais. Avec les forces que nous avons au jour le jour, faisons ce que réclame le devoir de chaque moment, sans nous occuper du résultat. Le résultat dépend de Dieu : ce qui dépend de nous c'est l'effort. Cet effort nous fera peu à peu une volonté forte, une vie concentrée et féconde. »

    Dom Augustin Guillerand (1877-1945), Écrits spirituels Tome II (Extraits de Lettres, Effort), Roma, Benedettine di Pricilla, 1967.

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    (Crédit photo : Stairs in the forest by RbknArnK)

  • Dimanche 19 février 2017

    Dimanche de la Sexagésime
     
    Commentaire de l'Evangile du Dimanche
    (Abbaye Sainte-Madeleine, Le Barroux)
     
    (7ème dimanche du Temps Ordinaire)
     
    Rappel : Introduction au Temps de la Septuagésime
    (du dimanche de la Septuagésime au mercredi des Cendres)

  • Franz Liszt (1811-1886) : Dante Symphonie S.109 - Magnificat

    Ladies of the Hungarian Radio & Television Chorus
    Budapest Symphony Orchestra - Dir. György Lehel