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Chemin d'Amour vers le Père - Au fil des jours - Page 2

  • J.-S. Bach : Cantate BWV 140 Wachet auf, ruft uns die Stimme

    (Réveillez-vous, la voix nous appelle)
    Netherlands Bach Society - Dir. Jos van Veldhoven
    Maria Keohane, soprano ; Tim Mead, alto
    Daniel Johannsen, ténor ; Matthew Brook, basse
     
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    00:00 - Wachet auf (Choral [S, A, T, B])
    07:51 - Er kommt (Récitatif [Ténor])
    09:00 - Wenn kömmst du (Air (Duetto) [Soprano (l'âme), Basse (Jésus)])
    15:19 - Zion hört (Choral [Ténor] )
    19:43 - So geht herein (Récitatif [Basse])
    21:15 - Mein Freund (Air (Duetto) [Soprano (l'âme), Basse (Jésus)])
    26:43 - Gloria sei dir gesungen (Choral [S, A, T, B])

    Texte intégral allemand / français
  • Premier Vendredi du mois, dédié au Sacré-Coeur de Jésus

    « Dieu n’a cessé de poursuivre l’humanité de ses plus tendres avances. Il fera même plus en se faisant lui-même homme. Il apparait dans le monde plein de douceur, la grâce répandue sur ses lèvres, Il entraine une multitude qui veut faire de lui un Roi. Il est enfin aimé… mais la haine n’a pas dit son dernier mot, elle le poursuit et le fait mourir sur la Croix. Heureusement, Il nous avait institué pour toujours son Eucharistie : « Que celui qui a soif vienne à moi et qu’il boive, je suis la voie, la vérité, la vie ! Venez tous à moi ! »

    Seize siècles s’écoulent et l’égoïsme poursuit son œuvre dans les cœurs refroidis. De nouveau délaissé dans les tabernacles, Il descend de nouveau sur terre et se manifeste à l’ombre d’un cloître à Marguerite Marie, une simple visitandine. Il lui fait découvrir son Cœur brûlant comme une fournaise et soupire cette triste plainte : « voilà ce Cœur qui a tant aimé les hommes et qui en est si peu aimé… toi du moins, ma fille, supplée à ce manque d’amour… » Comme un cierge ardent, Marguerite Marie ne cessera de se consumer pour dédommager l’Amour blessé.

    Jésus sera-t-il enfin aimé après cette manifestation ? Hélas, encore une fois, pendant les siècles suivants, la haine grandira sans mesure et tentera maintes fois d’exterminer l’amour du divin Cœur de tous les hommes. Quelle ressource restera donc à ce Dieu mille fois trahi, repoussé, nié du plus grand nombre pour se faire aimer encore ? Il reste encore les fidèles gardes d’honneur qui se sont engagés pour lui offrir les consolations demandées. A la suite de Sainte Marguerite Marie, aimons, honorons son Sacré Cœur et rendons-Lui toute gloire car Il est l’amour infini à jamais blessé. »

    Sœur Marie du Sacré Cœur Bernaud (1825-1903), fondatrice de la Garde d'Honneur du Sacré-Cœur
    Garde d'Honneur du Sacré-Cœur, Paray-le-Monial
    Heure de Présence au Cœur de Jésus

    Sainte_Marguerite-Marie_8aa.jpg

  • Mois de Marie, mois du Très Saint Rosaire

    A voir sur notre site internet :

    Plusieurs 'Mois de Marie'

    Explications sur le Rosaire

    Enseignements pontificaux sur le Rosaire

  • Intention de prière du pape pour le mois d'octobre

    Être des disciples missionnaires :
    « Prions pour chaque baptisé soit impliqué dans l’évangélisation, disponible pour la mission, à travers un témoignage de vie ayant le goût de l’Évangile. »

    Source : prieraucoeurdumonde.net.

  • Vendredi 1er octobre 2021

    de la férie
     
    En France : St Rémi de Reims, évêque

    Saint_Remy_bapteme-de-Clovis_2b.jpg

    Maître de Saint Gilles (v.1500), Le baptême de Clovis
    National Gallery of Art, Washington DC

    (Crédit photo)
     
    Au nouveau calendrier :
    Ste Thérèse de l'Enfant Jésus
  • Josef Rheinberger (1839-1901) : Messe en mi bémol majeur - Kyrie

    VOCES8
     
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  • Prière à Saint Michel Archange

    « Sancte Michael Archangele,
    defende nos in proelio;
    contra nequitiam et insidias diaboli esto praesidium.
    Imperet illi Deus, supplices deprecamur:
    tuque, Princeps militiae Caelestis,
    satanam aliosque spiritus malignos,
    qui ad perditionem animarum pervagantur in mundo,
    divina virtute in infernum detrude.
    Amen. »

    Léon XIII, 13 octobre 1884.

    « Saint Michel Archange,
    défendez-nous dans le combat ;
    soyez notre secours contre la malice et les embûches du démon.
    Que Dieu exerce sur lui son empire,
    nous vous le demandons en suppliant!
    Et vous, Prince de la milice céleste,
    repoussez en enfer, par la force divine,
    Satan et les autres esprit mauvais
    qui rodent dans le monde pour la perte des âmes.
    Ainsi soit-il. »

    (Cette prière fut récitée à la fin de chaque messe basse jusqu'en 1965. « Même si aujourd'hui cette prière n'est plus récitée à la fin de la célébration eucharistique, j'invite chacun à ne pas l'oublier, mais à la réciter pour obtenir de l'aide dans la lutte contre les forces des ténèbres et contre l'esprit de ce monde. » Jean-Paul II, 24 avril 1994)

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    Saint Michel dans notre dossier sur les Saints Anges

  • Mercredi 29 septembre 2021

    Dédicace de St Michel, Archange

    saint_michel_11.jpg

    Au nouveau calendrier :
    Saint Michel, Saint Gabriel et Saint Raphaël, Archanges

  • Arvo Pärt : Da pacem

    Estonian Philharmonic Chamber Choir - Dir. Paul Hillier
     
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  • Méditation - dans le silence du cœur

    « Écoute en silence, parce que si ton cœur est rempli d'autres choses, tu ne peux pas y entendre la voix de Dieu. Mais dès lors que tu te mets à l'écoute de la voix de Dieu dans un cœur pacifié, ton cœur se remplit de Dieu. Cela demandera beaucoup de sacrifices, mais si vraiment nous avons le désir de prier, si nous voulons prier, il faut accepter de faire ce pas maintenant. Il ne s'agit là que des premiers pas vers la prière, mais sans ce premier pas fait avec détermination, jamais nous n'atteindrons l'étape ultime, la présence de Dieu.

    Voilà ce qu'il faut apprendre dès le début : écouter la voix de Dieu dans notre cœur ; alors, dans le silence du cœur, Dieu se met à parler. Puis, de la plénitude de notre cœur, monte ce que notre bouche dira. Voilà le lien. Dans le silence du cœur, Dieu parle et il faut l'écouter. Puis, de la plénitude de ton cœur, parce qu'il se retrouvera rempli de Dieu, rempli d'amour, rempli de compassion, rempli de foi, ta bouche parlera.

    Souviens-toi, avant de parler, qu'il faut écouter, et alors seulement, du fond d'un cœur épanoui, tu pourras parler et Dieu écoutera. »

    Ste Teresa de Calcutta (1910-1997), Il n'y a pas de plus grand amour (No Greater Love) ch. 1, Lattès, Paris, 1997.

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    (Crédit photo)

  • Giovanni Battista Pergolesi : Stabat Mater (1736)

    London Symphony Orchestra - Dir. Claudio Abbado (1985)
    Margaret Marshall, soprano ; Lucia Valentini Terrani, contralto
     
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    00:00 "Stabat Mater Dolorosa"
    04:39 "Cujus animam gementem"
    07:47 "O quam tristis et afflicta"
    10:22 "Quae moerebat et dolebat"
    13:12 "Quis est homo"—"Pro peccatis suae gentis..."
    16:14 "Vidit suum dulcem natum"
    19:48 "Eja mater fons amoris"
    22:42 "Fac ut ardeat cor meum"
    25:23 "Sancta mater, istud agas"
    31:22 "Fac ut portem Christi mortem"
    35:06 "Inflammatus et accensus"
    37:57 "Quando corpus morietur" —"Amen..."

     

    Stabat Mater dolorósa
    Iuxta Crucem lacrimósa,
    Dum pendébat Fílius.

    Cuius ánimam geméntem,
    Contristátam et doléntem
    Pertransívit gládius.

    O quam tristis et afflícta
    Fuit illa benedícta
    Mater Unigéniti !

    Quæ mærébat et dolébat,
    Pia Mater, dum vidébat
    Nati poenas íncliti.

    Quis est homo, qui non fleret,
    Matrem Christi si vidéret
    In tanto supplício ?

    Quis non posset contristári,
    Christi Matrem contemplári
    Doléntem cum Fílio ?

    Pro peccátis suæ gentis
    Vidit Iesum in torméntis
    Et flagéllis súbditum.

    Vidit suum dulcem
    Natum Moriéndo desolátum,
    Dum emísit spíritum.

    Eia, Mater, fons amóris,
    Me sentíre vim dolóris
    Fac, ut tecum lúgeam.

    Fac, ut árdeat cor meum
    In amándo Christum Deum,
    Ut sibi compláceam.

    Sancta Mater, istud agas,
    Crucifixi fige plagas
    Cordi meo válida.

    Tui Nati vulneráti,
    Tam dignáti pro me pati,
    Poenas mecum dívide.

    Fac me tecum pie flere,
    Crucifíxo condolére,
    Donec ego víxero.

    Iuxta Crucem tecum stare
    Et me tibi sociáre
    In planctu desídero.

    Virgo vírginum præclára.
    Mihi iam non sis amára :
    Fac me tecum plángere.

    Fac, ut portem Christi mortem,
    Passiónis fac consórtem
    Et plagas recólere.

    Fac me plagis vulnerári,
    Fac me Cruce inebriári
    Et cruóre Fílii.

    Flammis ne urar succénsus,
    Per te, Virgo, sim defénsus
    In die iudícii.

    Christe, cum sit hinc exíre.
    Da per Matrem me veníre
    Ad palmam victóriæ.

    Quando corpus moriétur,
    Fac, ut ánimæ donétur
    Paradísi glória. Amen. Allelúia.
    Debout, la Mère des douleurs,
    Près de la croix était en larmes,
    Quand son Fils pendait au bois.

    Alors, son âme gémissante,
    Toute triste et toute dolente,
    Un glaive le transperça.

    Qu’elle était triste, anéantie,
    La femme entre toutes bénie,
    La Mère du Fils de Dieu !

    Dans le chagrin qui la poignait,
    Cette tendre Mère pleurait
    Son Fils mourant sous ses yeux.

    Quel homme sans verser de pleurs
    Verrait la Mère du Seigneur
    Endurer si grand supplice ?

    Qui pourrait dans l’indifférence
    Contempler en cette souffrance
    La Mère auprès de son Fils ?

    Pour toutes les fautes humaines,
    Elle vit Jésus dans la peine
    Et sous les fouets meurtri.

    Elle vit l’Enfant bien-aimé
    Mourir tout seul, abandonné,
    Et soudain rendre l’esprit.

    Ô Mère, source de tendresse,
    Fais-moi sentir grande tristesse
    Pour que je pleure avec toi.

    Fais que mon âme soit de feu
    Dans l’amour du Seigneur mon Dieu :
    Que je lui plaise avec toi.

    Mère sainte, daigne imprimer
    Les plaies de Jésus crucifié
    En mon cœur très fortement.

    Pour moi, ton Fils voulut mourir,
    Aussi donne-moi de souffrir
    Une part de ses tourments.

    Donne-moi de pleurer en toute vérité,
    Comme toi près du crucifié,
    Tant que je vivrai !

    Je désire auprès de la croix
    Me tenir, debout avec toi,
    Dans ta plainte et ta souffrance.

    Vierge des vierges, toute pure,
    Ne sois pas envers moi trop dure,
    Fais que je pleure avec toi.

    Du Christ fais-moi porter la mort,
    Revivre le douloureux sort
    Et les plaies, au fond de moi.

    Fais que ses propres plaies me blessent,
    Que la croix me donne l’ivresse
    Du sang versé par ton Fils.

    Je crains les flammes éternelles ;
    O Vierge, assure ma tutelle
    A l’heure de la justice.

    Ô Christ, à l’heure de partir,
    Puisse ta Mère me conduire
    À la palme des vainqueurs.

    À l’heure où mon corps va mourir,
    À mon âme, fais obtenir
    La gloire du paradis. Amen. Alléluia.
  • Méditation - Notre-Dame des Douleurs

    « La première chose qui nous frappe dans les douleurs de la sainte Vierge, c'est leur immensité, non dans le sens littéral, mais dans le sens que nous donnons ordinairement à ce mot, en l'appliquant à des choses créées. [...]

    Elle voit sa nature humaine, et elle est la Mère, la Mère au-dessus de toutes les autres mères, aimant comme jamais mère n'aima, comme toutes les mères ensemble ne pourraient aimer si elles pouvaient unir leurs myriades d'amours dans le plus énergique et le plus indicible des actes. Il est son Fils, et quel Fils ! et de quelle merveilleuse manière ! Il est son trésor et son tout. Quelle source de misères aiguës, vives, mortelles, incomparables il y avait dans cette contemplation ! Et cependant il y avait encore bien plus que cela : il y avait la nature divine du Sauveur. [...]

    Il est inutile de songer à donner un nom à une misère telle qui submergeait l'âme de Marie... Nul martyre ne fut jamais égal à celui-là, et l'on ne saurait lui comparer aucun nombre donné de martyres. C'est une somme de douleurs, que des unités matérielles, indéfiniment ajoutées ensemble et multipliées les unes par les autres, ne pourraient jamais former ; c'est une question de genre aussi bien que de degré, et les douleurs de Marie étaient d'un genre qui a seulement certaines affinités avec d'autres genres de douleurs, mais qui est simplement sans nom, si ce n'est celui que lui donnent les fidèles enfants de l’Église : les douleurs de Marie. »

    R.P. F.W. Faber (1814-1863), Le pied de la Croix ou les douleurs de Marie, Quatrième édition, Paris, Ambroise Bray, 1862.

    Mater_dolorosa_2b.jpg

    José de Ribera (1591-1652), Mater Dolorosa
    Museumslandschaft Hessen Kassel, Cassel, Allemagne

    (Crédit photo)

  • Le Pape à Budapest et en Slovaquie : programme détaillé du voyage

    Du 12 au 15 septembre, le pape François visitera cinq villes, commençant par la capitale hongroise pour la messe de clôture du 52ème Congrès eucharistique international, poursuivant avec la capitale slovaque Bratislava, et faisant escale par les trois villes slovaques de Košice, Prešov et Šaštin. 

    Programme détaillé sur le site internet du Vatican.

  • VOCES8 : Find Our Way

    Arr. Jim Clements
    Kelly Lee Owens & Sebastian Plano
     
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    Let it go
    In love we find our way
    With trust, hope remains
    I’ll be here
    Stay right here
    Don’t you see
    (Oh don’t fear)
    In love we find our way
    Through the night
    In love we find the way
    Your love leads the way
  • Prière

    « Mon Dieu, source sans fond de la douceur humaine,
    Je laisse en m’endormant couler mon cœur en Vous
    Comme un vase tombé dans l’eau de la fontaine
    Et que Vous remplissez de Vous-même sans nous.

    En Vous demain matin je reviendrai le prendre
    Plein de l’amour qu’il faut pour la journée. Ô Dieu,
    Il n’en tient guère, hélas ! Vous avez beau répandre
    Vos flots en lui, jamais il n’en garde qu’un peu.

    Mais renouvelez-moi sans fin ce peu d’eau vive,
    Donnez-le moi dès l’aube, au pied du jour ardu
    Et redonnez-le moi lorsque le soir arrive,
    Avant le soir, Seigneur, car je l’aurai perdu.

    Ô Vous de qui le jour reçoit le jour sans trêve,
    Par qui l’herbe qui pousse est poussée en la nuit,
    Qui sans cesse ajoutez à l’arbre qui s’élève
    L’invisible hauteur qui dans l’air le conduit,

    Donnez à mon cœur faible et de pauvres limites,
    Mon cœur à si grand'peine aimant et fraternel,
    Dieu patient des œuvres lentes et petites,
    Donnez à chaque instant mon amour éternel. »

    Marie Noël (1883-1967), Les Chants de la Merci
    (Prélude et Exercices, III. Prière)
    Les Éditions G. Crès et Cie, Paris, 1930.

    fontaine-3a.jpg

    (Crédit photo)