Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Le Père Zanotti-Sorkine intègre l'équipe pastorale du Laus à temps partiel

    zanotti-sorkine_laus.jpg

    COMMUNIQUÉ

    Après accord de Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille et président de la Conférence des évêques de France, j'ai répondu favorablement à la demande du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine, ancien curé de la paroisse Saint-Vincent-de-Paul (les Réformés) à Marseille, d’être associé à la mission pastorale de l’équipe du sanctuaire Notre-Dame du Laus.

    Le Père Michel-Marie assurera le ministère de chapelain du sanctuaire 10 jours par mois.

    Il sera accueilli au sanctuaire marial du diocèse le 1er novembre 2014, où il présidera la Messe de la Toussaint à 10h30.

    + Jean-Michel di Falco Léandri
    Évêque de Gap et d’Embrun

    Source : Sanctuaire Notre-Dame du Laus.

  • Lundi 15 septembre : Messe pour les chrétiens d’Orient à l'église Saint-André, 94410 Saint-Maurice

    Messe_Saint-Andre_1.jpg

    Le lundi 15 septembre à 20h15, une Messe sera célébrée dans la forme extraordinaire pour les chrétiens d’Orient à l’église Saint-André (rue de Verdun) à Saint-Maurice (94).
    Pour la fête de Notre-Dame des Douleurs, le Stabat Mater de Pergolèse, composé pour cette Messe, sera interprété par l'Ensemble Lux Aeterna, avec la participation du Quatuor Sequana.
    Les bénéfices de la quête iront à l’Aide à l’Eglise en Détresse pour venir en aide aux populations chrétiennes d'Irak.

    Date : Lundi 15 septembre 2014
    Lieu : Église Saint André – 22 avenue de Verdun – 94410 Saint Maurice – Métro Charenton-Ecoles (Ligne 8)
    Horaire : 20h15

  • Semaine Thérésienne 2014 à Paris

    Semaine Thérésienne,2014,Paris,OAA,Apprentis,Auteuil,Sainte Thérèse,Brottier

    Comme chaque année depuis bientôt 10 ans, une nouvelle Semaine Thérésienne est au programme du 25 septembre au 1er octobre 2014.

    Plusieurs milliers de pèlerins sont attendus pour vivre ces jours intenses autour des reliques de Thérèse et se préparer à la grande fête de la sainte le 1er octobre : liturgies, conférences, soirées de prière, spectacles, cinéma, animations enfants…

    De nombreux témoins et artistes seront présents : Mgr Santier, P. Nicolas Buttet, P. Descouvemont, Philippe de Lachapelle, les Dei Amoris Cantores… Le chanteur Grégoire qui a mis en musique les poèmes de Thérèse dans l’album Vivre d’Amour (vendu en 300 000 ex) ouvrira cette 9ème édition.

    Télécharger le programme (pdf)

    Lire la suite

  • Le Pape invite les évêques congolais à consolider la famille, première route de la paix

    Cardinal_Monsengwo_Pasinya.jpg

    Le Pape a reçu ce matin les membres de la Conférence épiscopale de la République Démocratique du Congo, à la conclusion de leur visite Ad Limina, auxquels il a remis un discours, centré sur le respect de la personne : L’Église de votre pays, écrit-il, "dont certains diocèses ont récemment célébré le premier centenaire de leur évangélisation, est une jeune Église. Mais elle est aussi une Église de jeunes. Les enfants et les adolescents, en particulier, ont besoin de la force de Dieu pour résister aux multiples tentations issues de la précarité de leur vie, de l’impossibilité de poursuivre des études ou de trouver du travail. Je suis sensible à leur situation difficile, et je sais que vous partagez leurs peines, leurs joies et leurs espoirs. Je pense particulièrement avec effroi à ces enfants et à ces jeunes, enrôlés de force dans des milices et contraints de tuer leurs propres compatriotes ! Je vous encourage donc à approfondir la pastorale des jeunes. En leur offrant toute l’aide possible, surtout à travers la création d’espaces de formation humaine, spirituelle et professionnelle, vous pouvez leur révéler leur vocation profonde qui les prédispose à rencontrer le Seigneur. Le moyen le plus efficace pour vaincre la violence, l’inégalité ainsi que les divisions ethniques, consiste à doter les jeunes d’un esprit critique et à leur proposer un parcours de maturation dans les valeurs évangéliques. Il faudrait aussi renforcer la pastorale dans les universités ainsi que dans les écoles catholiques et publiques, en conjuguant la tâche éducative avec l’annonce explicite de l’Évangile". Soyez "dans vos diocèses des apôtres de la jeunesse".

    Dans le même esprit, lit-on ensuite, "face à la désagrégation familiale, provoquée, en particulier, par la guerre et la pauvreté, il est indispensable de valoriser et d’encourager toutes les initiatives destinées à consolider la famille, source de toute fraternité, fondement et première route de la paix. La fidélité à l’Evangile implique aussi que l’Eglise participe à la construction de la cité. L’une des contributions les plus précieuses que l’Église locale peut apporter à votre pays, consiste à aider les personnes à redécouvrir la pertinence de la foi dans la vie quotidienne et la nécessité de promouvoir le bien commun. De même, les responsables de la nation, en étant éclairés par les pasteurs, et dans le respect des compétences, peuvent aussi être soutenus pour intégrer l’enseignement chrétien dans leur vie personnelle et dans l’exercice de leur fonction au service de l’état et de la société. En ce sens, le magistère de l’Église, en particulier l’encyclique Caritas in Veritate, l’exhortation apostolique post-synodale Africae Munus ainsi que la récente exhortation Evangelii Gaudium, constituent une aide précieuse". Je vous invite donc, conclut le Saint-Père à l'attention de ses hôtes, "à œuvrer sans relâche à l’instauration d’une paix durable et juste, par une pastorale du dialogue et de la réconciliation entre les divers secteurs de la société, en soutenant le processus de désarmement, et en promouvant une efficace collaboration avec les autres confessions religieuses. Alors que votre pays va connaître des rendez-vous politiques importants pour son avenir, il est nécessaire que l’Église apporte sa contribution, tout en évitant de se substituer aux institutions politiques et aux réalités temporelles qui conservent leur autonomie. En particulier, les pasteurs doivent se garder de prendre la place qui revient de plein droit aux fidèles laïcs, qui ont justement pour mission de témoigner du Christ et de l’Évangile en politique et dans tous les autres domaines de leurs activités... Beaucoup attendent de vous vigilance et sollicitude dans la défense des valeurs spirituelles et sociales". C'est pourquoi "vous êtes appelés à proposer des orientations et des solutions pour la promotion d’une société fondée sur le respect de la dignité de la personne humaine. A ce sujet, l’attention aux pauvres et aux nécessiteux tels que les personnes âgées, les malades ou les personnes souffrant de handicap, devrait constituer l’objet d’une pastorale adéquate, sans cesse réexaminée. En effet, l’Église est appelée à se préoccuper du bien de ces personnes et à attirer l’attention de la société et des autorités publiques sur leur situation. Je salue et j’encourage l’œuvre de tous les missionnaires, des prêtres, des religieux et religieuses, et des autres agents pastoraux qui se dévouent au service des blessés de la vie, des victimes de la violence, surtout dans les régions les plus isolées et reculées du pays. En évoquant ce thème, j’ai une pensée spéciale pour les réfugiés internes et ceux, nombreux, qui proviennent des pays voisins... Soyez des hommes d’espérance pour votre peuple !".

    Le Message du Pape se conclut sur l’invitation à la persévérance à la suite de la « bienheureuse Marie-Clémentine Anuarite Nengapeta et du bienheureux Isidore Bakanuja ! »

    Sources : Radio Vatican et Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 12.9.14).


    Discours du Pape François aux évêques de la Conférence épiscopale de la République Démocratique du Congo en visite ad Limina apostolorum.

    Texte intégral sur le site internet du Vatican.

  • 1er Congrès "Etudes de Genre" en France

    L'Institut du Genre (fondé en 2012) vient d'organiser à l’École Normale Supérieure de Lyon le 1er Congrès "Études de Genre" en France. Il s'est déroulé du 3 au 5 septembre derniers.

    Peut-être faudrait-il en avertir Mme Najat Vallaud-Belkacem, ainsi que tous les medias qui ne cessent de seriner aujourd'hui encore que la "théorie du genre" n'existe pas...

    Nous attendons avec impatience les comptes rendus de ce Congrès, qui seront certainement du plus haut intérêt pour ce qui concerne les orientations nouvelles permettant le passage de la théorie à la pratique...

    http://www.mshparisnord.fr/gis-institut-genre/
    http://genrelyon2014.sciencesconf.org/

     

    CANDIDE AU PAYS DU "GENDER"

    mercredi 10 septembre 2014, par oleg

    Du 3 au 5 septembre 2014, à l’École Normale Supérieure de Lyon, se tenait le premier congrès des Études de Genre en France. Réunissant 300 intervenants répartis en 54 ateliers, l’événement voulait apporter la « démonstration de l’importance scientifique, de la vitalité et de la diversité des études de genre en France et dans le monde francophone, en dressant le tableau le plus complet possible des recherches menées actuellement dans ce domaine. » [1] Un sympathisant du collectif « Stop Gender », jeune étudiant que nous appellerons Louis, a réussi à assister à une demi journée. Les lignes qui suivent sont la stricte reproduction des propos de ce dernier.

    Tout d’abord, dites-nous qui vous êtes et pourquoi vous avez voulu vous rendre au colloque sur le Genre à L’ENS de Lyon.
    Je m’appelle Louis, j’ai 21 ans et je suis étudiant en sciences politiques à Lyon. Au travers de mes études qui accordent une place importante à la sociologie et de mes engagements personnels, la notion de genre ne m’est pas inconnue et la tenue de ce Congrès m’intriguait. Si le genre fait l’objet d’études scientifiques depuis une cinquantaine d’années, ce sujet complexe ne s’est fait connaître du grand public qu’il y a peu, suscitant à la fois espoir chez certains et craintes chez d’autres. C’est donc la curiosité qui m’a poussé au premier Congrès des études de Genre en France à Lyon, auquel je me suis rendu avec une amie, dans l’espoir d’assister à des interventions constructives.

    L’accès au colloque était-il facile ? Comment avez-vous été accueillis tous les deux ?
    Les inscriptions au congrès étant closes depuis plusieurs mois, je craignais de ne pouvoir assister à aucune des conférences programmées. A l’accueil, on m’a simplement demandé en quoi mes études pouvaient justifier ma présence. Puis, on m’a fait patienter jusqu’au début de l’atelier auquel je souhaitais participer, pour s’assurer que ma venue n’empêche aucun auditeur inscrit d’avoir un siège. Puisqu’un tiers des places environ n’était pas occupé, j’ai pu m’installer.

    Quels sont les propos entendus qui vous ont le plus frappé ?
    Je n’ai pu assister qu’à un atelier, qui avait pour thème "Introduire le genre en éducation". Des professeurs et chercheurs y témoignaient de leurs efforts pour faire prendre conscience aux élèves ou aux futurs enseignants des inégalités véhiculées par l’école. J’ai tout d’abord entendu un professeur d’histoire-géographie expliquer que les manuels scolaires sont vecteurs d’inégalités au travers de leurs illustrations. Pour ce faire, il a pris pour exemple une page décrivant une société d’informatique. Sur les trois photos illustrant la page en question, on pouvait voir une dizaine de personnes devant des machines : des hommes uniquement. Quand on sait que les femmes représentent aujourd’hui 11% des techniciens de l’informatique, n’est-il pas maladroit de qualifier de "sexiste" l’éditeur de cet ouvrage ? Ce même professeur fustigeait les manuels d’histoire qui mettent en avant les hommes. Mais si notre société a longtemps accordé des rôles importants aux hommes plus qu’aux femmes, est-il sexiste de retranscrire cette histoire en mettant l’accent sur les personnes qui en furent les acteurs ?

    Une autre intervention m’a troublé. Une femme, professeur d’histoire-géographie, expliquait comment elle avait lancé dans le cadre de son master un "projet égalité filles/garçons" dans trois classes "pilotes" d’un collège lyonnais. Au programme de ce projet, deux activités particulières : la participation au "Printemps de la jupe et du respect" et une sortie au Musée des Beaux Arts de Lyon. L’intervenante a ensuite présenté la copie d’une lettre qu’elle avait reçue de parents d’élèves annonçant que leur enfant ne participerait pas à ces événements, car ils considéraient que l’instruction était le rôle de l’école et l’éducation le leur. Intervenants et assistance semblaient s’accorder sur l’aspect scandaleux de cette lettre. L’intervenante a précisé que les élèves "ne savaient pas qu’ils faisaient partie d’un projet, ce qui nous a laissé de la liberté par rapport aux parents". À la question de ma camarade sur la limite du rôle de l’école, personne ne semblait en mesure de répondre : "C’est une question très intéressante mais très complexe, nous n’avons malheureusement pas le temps d’y répondre". À la fin de l’intervention, une adjointe au Recteur chargée de l’égalité a demandé la parole. Oubliant l’aspect douteux d’un projet dont les parents d’élèves n’étaient pas informés, elle en a fait les louanges et a promis d’appuyer les résultats de ce projet universitaire.

    Puis, une enseignante en "Genre et éducation" de l’Université de Strasbourg présentait la formation qu’elle dispensait à ses étudiants. En introduction de son propos, elle attaquait "certains extrémistes [qui] refusent explicitement l’avancée des droits pour toutes et tous", résumant les oppositions au gender à des illusions d’égalité et de libre choix, et qualifiait la complémentarité sexuelle vantée par ceux-ci de "croyance", qu’elle associait à la croyance religieuse. Les arguments contre le genre seraient "émotionnels et non intellectuels" et n’auraient pour but que la préservation d’un équilibre personnel. Dénonçant les différences sociales entre hommes (auxquels revenait le pouvoir grâce à leur travail) et femmes (cantonnées à la sphère privée à cause des enfants et de la tenue du foyer), l’intervenante affirmait que les couples homosexuels s’en trouvaient d’autant plus discriminés car ils ne pouvaient s’inscrire dans ce schéma traditionnel.

    Enfin, au cours de tous ces débats, j’ai compris que les promoteurs du gender s’apprêtaient, pour parvenir à leurs fins, à changer de vocabulaire. Dans l’éducation nationale, a assuré l’un d’eux, jusque là "on parlait de genre, mais avec ces histoires on a décidé de parler d’égalité".

    Que diriez-vous des membres de ce colloque, quelle impression vous ont-ils laissé ?
    Je souhaitais m’instruire sur le genre et comprendre la démarche des chercheurs sur le sujet. Malheureusement, les réflexions menées lors de l’atelier auquel j’ai pu participer étaient intellectuellement biaisées car des aspects importants étaient éludés. J’avais plus l’impression d’assister à une réunion des Femen qu’à un congrès scientifique. Je ne pense cependant pas que tous les ateliers étaient orientés de la même façon, beaucoup d’intitulés reflétant un travail scientifique sérieux. Je n’ai pas eu le loisir de vérifier cette hypothèse. Interdit par les propos tenus, j’ai publié des « tweets » exprimant mon avis contradictoire et lorsque je me suis présenté à l’atelier suivant, les organisateurs (qui surveillaient les réseaux sociaux) m’attendaient pour m’indiquer que je n’étais plus le bienvenu. Si mes « tweets » ont pu déplaire, je regrette la réaction des organisateurs du congrès. Ils étaient, en permettant à des auditeurs non inscrits de participer à l’événement, l’occasion de montrer que les études de genre peuvent être constructives. Enfin, j’avais eu l’intention d’enregistrer la conférence. Mais pendant les questions en fin d’atelier, l’organisatrice a vu mon dictaphone et m’a précisé qu’il était interdit d’enregistrer. À la sortie de la salle, un organisateur m’attendait, flanqué de deux vigiles, pour vérifier que j’avais bien supprimé mon enregistrement. Ces procédés m’ont choqué, parce que je les trouve déplacés dans le cadre d’un colloque universitaire. Je m’étais rendu sans appréciation a priori au premier Congrès des Etudes de Genre en France, j’en garde finalement une opinion négative.

    Note :

    [1] http://triangle.ens-lyon.fr/spip.php?article4201

    Source : Enseignants pour l’enfance

  • "O Marijo budi zdravo"

    Ensemble Vocal Angelus
    (chant bosniaque à la Vierge Marie)

  • Méditation : Marie, vie cachée en Dieu

    « Marie est votre Mère. Faites toutes vos actions par sa grâce, dans son aimable compagnie et sous sa douce influence. Pensez-y au commencement et renoncez à vos manières de voir et de vouloir pour adopter les siennes. Essayez. Persévérez. Priez Marie de vous donner Jésus et de vous donner à Jésus.
    [...]
    Il y a tout à gagner à développer sa dévotion envers Marie. Quel beau modèle et quelle bonne Mère ! Elle ne tient à rien en ce monde. Elle est toute transformé en Jésus et par Jésus qui lui communique ses vertus et sa vie.
    Et cette vie est une vie toute cachée en Dieu. Elle ne voit que Lui, ne veut que Lui. Son âme l'aspire et le respire à chaque instant. Elle ne fait au fond qu'un avec Lui. Qui adhaeret Domino, unus spiritus est (Celui qui est uni au Seigneur ne fait qu'un esprit avec Lui. 1Cor VI, 17). Dieu vit en elle. Elle vit en Lui. Tout cela est vrai. Tout cela est caché. »

    Robert de Langeac [Abbé Augustin Delage p.s.s. (1877-1947)], La vie cachée en Dieu, Coll. "La vigne du Carmel", Ed. du Seuil, 1947.

    Doux_Coeur_de_Marie_a.jpg

  • Vendredi 12 septembre 2014

    Fête instituée par le Bx Innocent XI en action de grâce pour la victoire des armées chrétiennes sur les Turcs à Vienne en 1683. Elle fut fixée au dimanche qui suivait la Nativité de la Ste Vierge. Elle fut placée au 12 septembre par St Pie X lors de la grande réforme du Bréviaire romain (constitution apostolique "Divino afflatu" du 1er novembre 1911).

     Calendrier liturgique