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mystique

  • Béatification en Italie de la théologienne et mystique italienne Itala Mela (1904–1957), oblate bénédictine

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    Itala Mela (1904–1957) sera béatifiée ce samedi 10 juin 2017, à La Spezia, en Ligurie, dans le nord de l’Italie, par le Cardinal Angelo Amato, préfet de la Congrégation pour les causes des saints.

    Biographie à lire sur Zenit.org.

  • Méditation : Vers l'intimité divine

    « Ami, pour la vie d'union avec Dieu, il faut à la fois beaucoup compter sur Dieu – car tout, absolument tout, vient de lui, gratuitement – et agir avec beaucoup de ténacité – car les grâces ne sont données qu'aux généreux, aux sacrifiés, aux avides.
    Donc, toujours, à la fois, deux attitudes : premièrement, implorer avec soumission : "Sans vous, rien n'aura lieu, Seigneur !" (Saint Jean de la Croix) ; deuxièmement, déployer "cette obstination douce" en laquelle le cher abbé Bremond reconnaît une des caractéristiques des "vrais mystiques".
    Remarque très importante, très encourageante : les efforts qu'on fait en vue de l'intimité divine sont un signe que Dieu veut nous donner cette intimité ! C'est évident puisque ces efforts eux-mêmes nous sont donnés par Dieu. Chaque pas que nous faisons nous prouve que le chemin est déjà préparé par Dieu. Chaque acte de volonté par lequel nous choisissons l'union avec Dieu est un signe que nous sommes déjà désignés pour le divin privilège.
    C'est ce qu'exprime Pascal en une formule très solide : "Console-toi, tu ne me chercherais pas, si tu ne m'avais trouvé !" Ou la variante ci-après : "Tu ne me chercherais pas, si tu ne me possédais. Ne t'inquiète donc pas." »

    Père Jérôme (1907-1985), Car toujours dure longtemps, Fayard, Paris, 1986, p. 27-28.

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  • Mercredi 18 juin 2014

    Calendrier liturgique

  • Méditation - Prière de la Bse Alexandrina Maria da Costa

    « Ô mon Jésus, je m’unis spirituellement à toutes les Hosties de la terre, dans tous les lieux où vous habitez au Saint-Sacrement ; je veux y passer tous les moments de ma vie, constamment, de jour comme de nuit, joyeuse ou triste, seule ou accompagnée, à vous consoler toujours, à vous adorer, à vous aimer, à vous louer, à vous glorifier ! Ô mon Jésus, je voudrais que tant d’actes d’amour tombent sur vous, constamment, de jour comme de nuit, comme la pluie fine qui tombe du ciel pendant une journée d’hiver. Je ne voudrais pas ces actes d’amour uniquement de moi, mais de tous les cœurs, de toutes les créatures du monde entier. Oh ! Comme je voudrais aimer et vous voir aimé de tous ! Vous voyez, ô Jésus, mes désirs : acceptez-les comme si déjà je Vous aimais ! Ô Jésus, qu’il ne reste dans le monde un seul lieu où vous demeurez au Saint-Sacrement, sans qu’aujourd’hui et pour toujours, à chaque instant de ma vie, je n’y sois pour Vous dire : “Jésus, je vous aime ! Jésus, je n’appartiens qu’à vous ! Je suis votre victime, la victime de l’Eucharistie, la petite lampe de vos tabernacles !” Ô Jésus, je veux être victime pour les prêtres, les pécheurs, ma famille. victime par amour pour vous, pour votre très sainte Passion, pour les douleurs de la Maman chérie, pour votre Cœur, pour votre sainte Volonté. Victime pour le monde entier ! Victime pour la paix, victime pour la consécration du monde à la Maman du ciel ! »

    Bse Alexandrine-Marie (Alexandrina Maria) da Costa (1904-1955), fêtée ce jour.

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    (Après Notre Dame à Fatima en 1917, Jésus Lui-même, à partir de 1935 à Balasar, dans le Nord du Portugal, demanda que le monde soit consacré au Cœur Immaculé de sa Sainte Mère. La confidente de cette demande s’appelait Alexandrina Maria da Costa. Elle en parla à son Directeur spirituel, le Père jésuite Mariano Pinho qui, sous les instances de sa dirigée finit par écrire au Pape Pie XI d’abord et ensuite à Pie XII. Voir l'histoire détaillée de cette Consécration ici.)

  • Jeudi 20 juin 2013

    Calendrier liturgique

  • Samedi 2 février 2013

    Présentation du Seigneur au Temple

    Calendrier liturgique

    « Malgré les nombreuses lumières qui brillent au choeur et les chants de la procession, la note dominante de la journée est grave. Dans l'atmosphère sereine et joyeuse des fêtes du temps de Noël elle apparaît comme un trait sombre qui laisse présager la Passion du Sauveur. Si, dans la vie du Christ, la Passion correspond à l'immolation de la victime, la Chandeleur en constitue l'offrande : la victime est préparée, consacrée, et, par les mains de Marie, offerte au Père céleste. Jésus et Marie sont maintenant prêts pour le sacrifice de la Croix que le prêtre Siméon annonce solennellement, ce sacrifice qui, suivant l'expression du vieillard, va percer d'un glaive le coeur de la Mère des douleurs...

    Combien la Mère de Dieu nous apparaît aujourd'hui digne de toutes les louanges ! Elle élève dans ses mains le Très Saint, l'hostie vivante Jésus, son bien, le fruit de ses entrailles ; elle Lui a préparé un corps capable de souffrir, un corps qui pourra subir d'une façon méritoire les souffrances de la Passion. Après la Présentation elle rachète l'enfant de ses propres moyens, à la seule fin de le nourrir, de l'élever jusqu'à l'âge d'homme pour en faire une victime parfaite...

    Historiquement la présentation au Temple a eu lieu le quarantième jour après la naissance du Sauveur. Mais, mystiquement, elle se renouvelle aujourd'hui à la célébration de la Sainte Messe. Alors Jésus est offert au Père céleste, et en Jésus - en Jésus par Marie - toute la communauté paroissiale devient une offrande vivante faite à Dieu. L'Evangile lui-même, qui nous raconte la joie du vieillard Siméon, devient pour nous une réalité pleine de grâces lorsque, dans la sainte communion, nous avons le bonheur de posséder notre Rédempteur. Combien sont merveilleux les mystères de notre foi !

    A la Chandeleur, les fidèles emportent chez eux, dans leur famille, le cierge béni pendant l'office. Il est le signe des grâces reçues en ce jour. Il représente le Christ ; il est le symbole de la foi, de cette foi qui prend sa source dans le sacrifice de Jésus, et, de là, vient baigner notre vie toute entière. On l'allume au moment de la prière familiale. A la campagne, on le fait brûler souvent pendant les orages. Le lendemain de la Purification, à la fête de saint Blaise, allons à l'Eglise recevoir la bénédiction avec les cierges consacrés la veille, pour être protégés des maladies, en particulier du torticoli et des maladies de la gorge. Enfin, dans chaque maison chrétienne, on garde précieusement le cierge qu'on allume un jour à notre lit de mort, ce cierge dont la vertu et la lumière nous préservent des ténèbres de la perdition.

    Qu'une lumière éclaire et réchauffe notre vie et notre mort : Jésus-Christ ! »

    Toute l'année avec le Christ, par les Bénédictins de l'Abbaye de Notre-Dame d'Einsiedeln, Traduction des Bénédictins de l'Abbaye Ste-Marie de la Pierre-Qui-Vire, Comptoir Français du Livre, Paris / Bruxelles, 1936.

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    Fra Bartolomeo : La Présentation au Temple

  • 19 novembre : Sanctoral

    Ste Mathilde (ou Mechtilde) de Hackeborn
    moniale et mystique allemande († 1299)

    Au calendrier traditionnel :

    Ste Elisabeth de Hongrie, veuve

    Mémoire de St Pontien, pape et martyr

  • Célébration Eucharistique place Saint-Pierre pour la canonisation des 7 bienheureux

    Célébration Eucharistique place Saint-Pierre pour la canonisation des 7 bienheureux

    Benoît XVI a proclamé ce dimanche sept nouveaux saints (voir infos plus bas) :
    le jésuite Jacques Berthieu, Kateri Tekakwitha, la franciscaine d'origine allemande Maria Anna Cope, Pedro Calungsod, le père Giovanni Battista Piamarta, la sœur espagnole Maria del Carmen, et la Bavaroise, Maria Schäffer.

    En ce début de "l'Année de la foi" que le pape a inaugurée le 11 octobre, ce sont des modèles du courage héroïque de ces évangélisateurs d'autrefois que propose l’Eglise à ses fidèles. Sous un beau soleil automnal, près de 100 000 fidèles étaient présent. Dans son Homélie, Benoît XVI a insisté sur le rôle éminemment social joué par ces nouveaux saints et leur indéfectible service de l’Homme et de l’Evangile. Ils l’ont fait dans en se conformant à Jésus-Christ et en suivant le même chemin pour témoigner et annoncer le message chrétien.

    "Le Fils de l’homme est venu pour servir et donner sa vie en rançon pour une multitude" (cf. Mc 10,45)

    Citant ces paroles, le Pape a rappelé qu’elles constituent le programme de vie des sept Bienheureux, que l’Église inscrit au rang des Saints. Il a ensuite présente une courte biographie de chacun d’eux.

    Evoquant la figure du missionnaire Jacques Berthieu tué à Madagascar en 1896, il a demandé « Que son exemple aide les nombreux chrétiens persécutés aujourd’hui à cause de leur foi ! Puisse en cette Année de la foi, son intercession porter des fruits pour Madagascar et le continent africain ! Que Dieu bénisse le peuple malgache ! »

    Il s’est également attardé sur Kateri Tekakwitha, Sainte Kateri, protectrice du Canada et première sainte amérindienne. Le Pape a salué un exemple qui nous aide à vivre là où nous sommes, sans renier qui nous sommes, en aimant Jésus. Il lui a confié le renouveau de la foi chez les Amérindiens et dans toute l’Amérique du Nord.

    Ces nouveaux Saints a rappelé le Pape, au-delà de leurs origines diverses, de leurs cultures et de leurs langues différentes, de l’époque et des conditions sociales dans lesquelles ils ont vécu sont unis par ce service sans bornes aux autres den suivant l’exemple présenté dans les Evangiles. Un don de soi qui va jusqu’au don de sa vie. Ces témoignages, ces vies généreusement offertes par amour du Christ doit être une impulsion, un encouragement pour annoncer la Bonne Nouvelle au monde entier. Ils prouvent que rien n’est impossible même si aujourd’hui comme à l’époque, le christianisme et les chrétiens peuvent parfois évoluer et vivre dans un environnement qui leur est hostile.

    Source : Radio Vatican.


    Homélie de Benoît XVI :

    « "Le Fils de l’homme est venu pour servir et donner sa vie en rançon pour une multitude" (cf. Mc 10,45)

    Ces paroles ont constitué le programme de vie des sept Bienheureux, que l’Église inscrit solennellement aujourd’hui au rang glorieux des Saints. Avec un courage héroïque, ceux-ci ont dépensé leur existence dans une totale consécration à Dieu et dans un généreux service à leurs frères. Ce sont des fils et des filles de l’Église, qui ont choisi la vie du service en suivant le Seigneur. La sainteté dans l’Église a toujours sa source dans le mystère de la Rédemption, qui est préfiguré par le prophète Isaïe dans la première lecture : le Serviteur du Seigneur est le Juste qui « justifiera les multitudes en s’accablant lui-même de leurs fautes » (Is 53, 11). Ce Serviteur est Jésus-Christ, crucifié, ressuscité et vivant dans la gloire. La canonisation d’aujourd’hui représente une confirmation éloquente de cette mystérieuse réalité salvifique. La tenace profession de foi de ces sept généreux disciples du Christ, leur conformation au Fils de l’Homme resplendit aujourd’hui dans toute l’Église.

    [...]

    Chers frères et sœurs ! Ces nouveaux Saints, divers par leur origine, leur langue, leur nation et leur condition sociale, sont unis les uns aux autres et avec l’ensemble du Peuple de Dieu dans le mystère de salut du Christ, le Rédempteur. Avec eux, nous aussi réunis ici avec les Pères synodaux venus de toutes les parties du monde, avec les paroles du Psalmiste, proclamons au Seigneur que « notre secours et bouclier, c’est lui », et invoquons-le : « Sur nous soit ton amour, Seigneur, comme notre espoir est en toi » (Ps 32, 20 ; 22). Que le témoignage des nouveaux Saints, de leur vie généreusement offerte par amour du Christ, parle aujourd’hui à toute l’Église, et que leur intercession la consolide et la soutienne dans sa mission d’annoncer l’Évangile au monde entier. »

    Source, texte intégral et vidéo : Site internet du Vatican.


    Prière de l'Angélus - Le Pape a une pensée pour Lourdes inondé

    Priant Marie en cette Journée Missionnaire Mondiale, Benoît XVI, lors de l’Angélus ce midi Place Saint-Pierre, a eu une pensée pour "Lourdes, où l'eau a inondé la Grotte des Apparitions, victime d'une grave crue du Gave". De fortes pluies se sont abattues sans discontinuer depuis le 18 octobre dans les Hautes-Pyrénées. La rivière qui traverse Lourdes est sortie de son lit par endroits. Le Gave de Pau, habituellement paisible, est devenu un torrent de boue. Dans l’avenue du paradis, entre la rivière et les Sanctuaires, l’eau a atteint les vitres des voitures. L’accès aux Sanctuaires de Lourdes a été fermé. Seule la Basilique, située en hauteur, était accessible. Aucun blessé n’a été signalé, mais des personnes ont été secourues par les pompiers, selon la préfecture. Des pèlerins ont été évacués en canots. La décrue a commencé.

    Source : Radio Vatican.

  • 21 octobre : 7 canonisations ont lieu à Rome ce dimanche

    - Jacques Berthieu, prêtre français, jésuite, mort à Madagascar (1838-1896) ; il était né à Polminhac et il a été tué à Ambiatibe : il est considéré comme un martyr de la foi et de la chasteté ; il a été béatifié par Paul VI le 17 octobre 1965, pendant le concile Vatican II.

    « La mission progresse, bien que les fruits ne soient encore qu’en espérance en bien des endroits et peu visibles en d’autres. Mais que nous importe, pourvu que nous soyons de bons semeurs : Dieu fera pousser en son temps. »

    - Kateri Tekakwitha (1656-1680), laïque, indienne d’Amérique du Nord (Etats-Unis et Canada), appelée aussi « lys des Agniers », morte trois ans après son baptême ; elle est spécialement honorée au sanctuaire de Kahnawake et Jean-Paul II l’a béatifiée le 22 juin 1980.

    « Qui est-ce qui m'apprendra ce qu'il y a de plus agréable à Dieu afin que je le fasse ? »

    - Pedro Calungsod (1654-1672), catéchiste, laïc, martyr aux Philippines, béatifié en l’an 2000 par Jean-Paul II : il était originaire de Cebu et il a été tué à Guam dans l’archipel des Îles Marianne.

    - Maria Anna Cope (1838-1918), religieuse allemande des Sœurs du Tiers-Ordre franciscain de Syracuse (New York), au siècle : Barbara Cope ; elle est connue comme « Mother Marianne of Molokai » : née en Allemagne, elle est en effet morte à Molokaï (Hawaï, Etats-Unis) ; elle avait émigré aux Etats-Unis à l’âge de 3 ans et avait ensuite pris la nationalité américaine ; elle a évangélisé les lépreux à Molokaï ; elle a été béatifiée le 15 mai 2005 par Benoît XVI.

    - Giovanni Battista Piamarta (1841-1913), prêtre italien, fondateur des congrégations de la Sainte-Famille de Nazareth et des humbles servantes du Seigneur ; il a été béatifié par Jean-Paul II en 1997.

    - Maria del Carmen (1848-1911), religieuse espagnole, au siècle, Maria Salles y Barangueras, fondatrice de la congrégation des Soeurs conceptionnistes missionnaires de l’enseignement, pour la formation des femmes ; elle a été béatifiée par Jean-Paul II en 1998.

    - Anna Schäffer (1882-1925), laïque allemande, plus précisément, mystique bavaroise ; elle a été béatifiée par Jean-Paul II en 1999.

  • 12 août : Méditation

    « La Communion des saints est l'un des caractères les plus frappants de la divinité de la religion catholique ; en vertu de cette sublime association, toute richesse spirituelle appartient en commun à tous les fidèles, et nul n'a le droit d'en réclamer une part à lui seul. Les mérites et les satisfactions de Notre-Seigneur, les joies et les douleurs de Marie, la patience des martyrs, la persévérance des confesseurs et la pureté des vierges, tous ces trésors appartiennent à chacun de nous. De même que le sang, dans sa circulation, part du coeur et y revient en parcourant le corps tout entier, ainsi en est-il de l'Église. Le ciel, le purgatoire et la terre ne forment qu'un seul Corps (*). Nous échangeons nos mérites, nous faisons circuler nos prières, nous nous communiquons nos joies, nous partageons nos douleurs ; enfin, nous usons des satisfactions les uns des autres, selon qu'elles s'offrent à nos besoins.
    [...]
    Orlandini rapporte du Père Lefèvre qu'il embrassait dans le sein de sa charité le genre humain tout entier, sans exception, et qu'il était sans cesse occupé à plaider auprès de Dieu la cause de chacun. Plus un homme était enfoncé dans le vice et souillé de crimes, plus il s'enflammait de compassion pour lui. Et afin de mettre plus de ferveur dans ses prières, il excitait et élevait ses pensées par les réflexions les plus profondes. Quand il priait pour quelqu'un, il se le représentait comme racheté par le précieux Sang de Jésus-Christ, comme l'héritier de Jésus-Christ, de sorte qu'il réveillait sa charité et son zèle par l'image vivante de sa dignité, et en même temps il offrait à Dieu les mérites de Jésus-Christ et des saints avec les sentiments les plus vifs de foi et de charité. Enfin, cette simple pratique, suivie avec persévérance, l'avait amené à concevoir de tout le monde une haute opinion. Sainte Catherine de Sienne rapporte que Dieu lui dit dans une révélation : "Vous devez avec la plus grande sollicitude m'offrir des prières pour toutes les créatures douées de raison, et pour le Corps mystique de votre sainte mère l'Église, et pour toutes les âmes que je vous ai confiées, afin que vous les aimiez avec une affection toute spéciale." »

    (*) : L’Église triomphante, l’Église souffrante et l’Église militante.

    R.P. Frédéric-William Faber (1814-1863), Tout pour Jésus ou Voies faciles de l'Amour divin (ch. IV, V), Nouvelle édition revue et augmentée, Paris, Ambroise Bray, 1855.

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