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  • Visite du Pape en Toscane : Rencontre avec le monde du travail à Prato

    Le Pape François est arrivé à Prato, ville industrielle de Toscane où vivent quelques 20.000 Chinois, travaillant parfois près de 18 heures par jour.

    Accueilli par des milliers de fidèles sur la place de la cathédrale à Prato, le Saint-Père a d’abord souligné la richesse de la ville : « Je suis venu comme un pèlerin, un pèlerin de passage, dans cette ville riche en histoire et de beauté, qui, au fil des siècles, a mérité son nom de "ville de Marie". Vous avez de la chance, a-t-il ajouté, car vous êtes entre de bonnes mains ! »

    S’adressant à un parterre composé de très nombreux Italiens, il a ensuite rappelé que le Seigneur exhortait encore « aujourd’hui plus que jamais, à ne pas rester enfermés dans l’indifférence mais à s’ouvrir », à se sentir appelés et prêts à laisser quelque chose derrière soi pour rejoindre quelqu’un, avec qui partager la joie de rencontrer le Seigneur, mais aussi la fatigue d’avoir marché sur sa route (…), à sortir pour aller à la rencontre des hommes et femmes de notre temps ». Évoquant le décès de deux travailleuses chinoises lors d’un incendie il y a deux ans à Prato, le Pape a également dénoncé la tragédie que représente l’exploitation des vies humaines. Vivre entassés dans d’étroites structures de carton et de plâtre, dormir dans des lits superposés installés dans un coin de l’atelier de couture pour économiser, « ce n’est pas ça le travail digne ».

    Le Souverain Pontife a remercié les Toscans pour les efforts constants qu’ils réalisent pour intégrer les personnes. « En ces temps d’incertitude et de peur, vos initiatives pour les plus faibles et la famille sont louables ».

    Pour le Pape, il n’est pas possible de fonder quelque chose de sain sur une base de mensonge et de manque de transparence. « Rechercher et choisir la vérité n’est pas facile, mais c’est une décision vitale qui doit marquer profondément l’existence de chacun et de la société pour qu’elle soit plus juste et honnête. »

    « La sacralité de chaque être humain exige que chacun soit respecté, accueilli et pourvu d’un travail digne ; la vie de chaque communauté exige qu’on combatte jusqu’au bout le fléau de la corruption et le poison de l’inégalité », a-t-il insisté.

    Il a encouragé les fidèles, et en particulier les jeunes, à ne pas se lasser de combattre pour la justice et pour la vérité, mais aussi à ne pas se laisser aller au pessimisme. « Si l’un de nous se sent fatigué ou oppressé par les circonstances de la vie, qu’il se fie à notre Mère, qui se fait proche et console ».

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral du discours traduit en français sur le site internet du Vatican et sur Zenit.org.

    Texte intégral original en italien sur le site internet du Vatican.

  • Visite pastorale du Pape François à Prato et Florence (Toscane)

    Vidéos KTO et interventions mises en ligne dès que disponibles

     

    08h00 : Rencontre avec le monde du travail (direct KTO)

    10h00 : Rencontre avec les participants au Congrès ecclésial national italien (direct KTO)

    12h00 : Rencontre avec les malades (direct KTO)

    15h30 : Messe au stade municipal Artemio Franchi (direct KTO)

     

     
    7h Départ en hélicoptère du Vatican  
    8h Atterrissage sur le terrain de sport à Prato  
    8h15 Visite à la cathédrale de Prato  
      Rencontre avec le monde du travail sur la place de la cathédrale
    [Discours]
     
    9h Départ en hélicoptère pour Florence  
    9h15 Atterrissage sur le stade d'athlétisme « Luigi Ridolfi » de Florence  
    9h45 Visite au Baptistère de Florence  
    10h

    Rencontre avec les représentants du Congrès national italien en la cathédrale Santa Maria del Fiore
    [Discours]

     
    12h Prière de l'Angélus et rencontre avec les malades dans la basilique de la Santissima Annunziata  
    12h30 Déjeuner avec les pauvres dans la cantine Saint-François, le petit pauvre, place de la Santissima Annunziata  
    15h15 Messe au stade municipal « Artemio Franchi »
    [Homélie]
     
    16h45 Congé des autorités au stade d'athlétisme « Luigi Ridolfi »  
    17h Départ en hélicoptère  
    18h Arrivée au Vatican
  • Visite pastorale du Pape à Prato et Florence (Toscane), le 10 novembre prochain

    A l'occasion du 5e Congrès national de l'Eglise italienne, le Pape François se rendra en Toscane le mardi 10 novembre prochain.
    Il partira du Vatican à 7h et devrait être de retour à 18h. A Prato, il rencontrera le monde du travail, et à Florence les membres du Congrès national de l’Eglise et les malades ; il déjeunera avec les pauvres et il présidera la Messe.

    Programme détaillé :

    PRATO

    07h00 Départ du Vatican

    08h00 Arrivée au terrain de sport de Prato

    08h15 Visite de la Cathédrale de Prato

        Rencontre avec le monde du travail
        [Discours]

    09h00 Départ pour Florence

    FLORENCE

    09h15 Arrivée au stade “Luigi Ridolfi”

    09h45 Visite du Baptistère

    10h00 Rencontre avec les représentants du Congrès national de l’Eglise italienne, Cathédrale Santa Maria del Fiore
    [Discours]

    12h00 Prière de l’Angélus et rencontre avec les malades, Basilique de la Santissima Annunziata

    12h30 Déjeuner avec les pauvres, cantine San Francesco Poverino, Piazza dell’Annunziata

    15h15 Messe au stade “Artemio Franchi”
    [Homélie]

    16h45 Congé des autorités au stade “Luigi Ridolfi”

    17h00 Départ de Florence

    18h00 Arrivée au Vatican

    Source : Salle de Presse du Saint-Siège.

  • Voyage apostolique du Pape : Visite aux détenus de la prison Curran-Fromhold

    Galerie photographique

    Temps fort de cette dernière journée du Pape aux Etats-Unis, la visite qu’il a effectuée à des détenus dans une prison de haute sécurité de la banlieue de Philadelphie, la Prison Curran-Fromhold, un centre carcéral où sont enfermés près de 3000 prisonniers, le plus important du district de Philadelphie. Le Saint-Père a rencontré une centaine de prisonniers dans le gymnase de l’établissement, leur apportant des mots de réconfort et de proximité mais a aussi dénoncé une société qui ne ferait rien pour réhabiliter ses détenus.

    « Toute société, toute famille, qui ne peut pas partager ou prendre au sérieux la peine de ses enfants, et voit cette peine comme une chose normale est une société ‘‘condamnée’’ à demeurer otage d’elle-même » a dit le Pape, qui a porté une violente charge contre une prison qui ne serait pas un lieu de rédemption, de réhabilitation : «  Cela fait mal de voir les systèmes carcéraux qui ne se préoccupent pas de soigner les blessures, de soulager la peine, d’offrir de nouvelles possibilités. Cela fait mal de voir des personnes qui pensent que ce sont seulement les autres qui ont besoin d’être nettoyés, purifiés ».

    La purification justement, le Pape est revenu sur la scène de l’Evangile où Jésus lave les pieds de ses disciples lors de la dernière Cène : « Regardons Jésus, qui lave nos pieds, Il vient nous sauver du mensonge selon lequel personne ne peut changer » a t-il dit.

    « Jésus ne nous demande pas où nous avons été, il ne nous pose pas de questions sur ce que nous avons fait, il vient nous rencontrer, pour pouvoir restaurer notre dignité d’enfants de Dieu. » Comme il l’avait évoqué dans son discours jeudi devant le Congrès américain, le Pape a plaidé pour une réhabilitation « qui bénéficie à la morale de la communauté entière ».

    Le Pape a aussi expliqué que cette privation de liberté n'était pas vaine. « Ce temps dans votre vie peut seulement avoir un objectif : vous tendre la main pour retourner sur le bon chemin, vous tendre la main pour vous aider à rejoindre la société. » 

    Il a expliqué qu’il est venu dans cette prison « en tant que pasteur, mais avant tout comme un frère , pour partager votre situation et la faire mienne. »  a-t-il souligné.

    Après son discours le Saint-Père a pris le temps de saluer un à un les détenus présents, y compris des femmes installées au premier rang. Certains se sont levés pour donner une accolade au Saint-Père, malgré les consignes de rester assis. Les trois-quarts de ces détenus à Curran-Fromhold sont en attente de leur procès, certains seront peut-être, hélas, condamnés à mort.

    Cette visite était très attendue pour ces détenus qui avaient été sélectionnés pour leur comportement irréprochable. Pour remercier le Pape, ils avaient confectionné le fauteuil en bois dans lequel le Souverain Pontife s'est assis sur la tribune installée à l'occasion. Le Pape François a toujours eu une affection particulière pour les prisonniers, on se souvient que quelques jours seulement après son élection, il avait tenu à célébrer le Jeudi Saint dans une prison pour mineurs dans la banlieue de Rome, et à laver les pieds aux jeunes détenus.

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral du discours traduit en français à venir sur le site internet du Vatican.

    Texte intégral original en espagnol sur le site internet du Vatican.

  • Voyage apostolique du Pape : Visite à l'école « Notre-Dame, Reine des Anges » et rencontre avec des enfants et des familles d'immigrés

    Galerie photographique

    Avant d'aller célébrer la messe au Madison Square Garden, le Pape François s'est arrêté dans le quartier multiculturel de Harlem, au nord de Manhattan, où il a visité l'école « Notre-Dame, Reine des Anges », où sont scolarisés des enfants d'immigrés, majoritairement noirs et hispaniques. Le Saint-Père a pris le temps de les bénir, de les écouter chanter et de leur présenter leur établissement. Venus d'Amérique Latine, mais aussi d'Afrique ou du Moyen-Orient, la plupart des enfants sont scolarisés grâce à des bourses d'études.

    Citant, comme lors de son discours devant le Congrès Martin Luther King, le Pape a expliqué que le rêve du célèbre pasteur noir était que "beaucoup d'enfants aient les mêmes chances". « Aujourd'hui nous voulons continuer à rêver, ne pas perdre l'espoir d'un monde meilleur avec de meilleures opportunités » leur a lancé le Saint-Père, très souriant et visiblement heureux de partager ce moment avec eux. « Chers enfants, vous avez le droit de rêver et je suis très heureux que vous puissiez trouver dans cette école ».

    "Petits devoirs" à faire à la maison

    Le Pape a ensuite rencontré dans une pièce voisine des familles de migrants vivant dans le quartier. « Ce qui est bon, c’est que nous rencontrons aussi de nouveaux amis, nous rencontrons des personnes qui nous ouvrent les portes et nous manifestent leur tendresse, leur amitié, leur compréhension et cherchent à nous aider pour que nous ne soyons pas dépaysés » a dit le Souverain Pontife. Plusieurs personnes ont entonné des chants traditionnels pour remercier le Saint-Père de sa visite.

    Le Pape a reçu de nombreux cadeaux parmi lesquels une statue en bois d'une Vierge à l'Enfant, un maillot de foot ou encore un casque et des outils de chantier. Avant de prendre congés de ses hôtes, le Pape a donné un "petit devoir" aux élèves : « N’oubliez pas de prier pour moi pour que je puisse partager avec beaucoup la joie de Jésus. Et priez aussi afin que beaucoup puissent connaître cette joie que vous avez. »

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral du discours traduit en français ci-dessous.

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  • Voyage apostolique du Pape : Visite au Siège de l'Organisation des Nations-Unies

    Galerie photographique

    C'était l'autre discours très attendu de ce voyage du Pape François aux Etats-Unis. Pendant 45 minutes, le Souverain Pontife s'est adressé à la communauté internationale à la tribune des Nations-Unies à New York, dans la salle de l'Assemblée Générale, invitant avec des mots forts chaque nation et chaque responsable politique à prendre leurs responsabilités pour la "sauvegarde de la maison commune". Le Pape a livré une leçon de géopolitique telle que le conçoit le Saint-Siège, en donnant les clés pour une coopération internationale au service de la justice et de la dignité humaine.

    Pour le Pape François il existe un droit de l’environnement. Or, la crise écologique, avec la destruction d’une bonne partie de la biodiversité, peut mettre en péril l’existence même de l’espèce humaine. De plus, l’abus et la destruction de l’environnement sont accompagnés d’un processus implacable d’exclusion. Dans son discours, le Saint-Père a dénoncé la gestion irresponsable de l’économie mondiale, guidée seulement par l’ambition du profit et du pouvoir. La défense et de l’environnement et la lutte contre l’exclusion exigent, a-t-il dit, la reconnaissance d’une loi morale inscrite dans la nature humaine elle-même. Celle-ci, a-t-il martelé, comprend la distinction naturelle entre l’homme et la femme et le respect absolu de la vie à toutes ses étapes et dans toutes ses dimensions.

    Un appel à la responsabilité des décideurs

    Avec des mots forts, le Souverain Pontife a rappelé l'urgence des communautés et des citoyens de la planètes, face aux grands déséquilibres et lancé un véritable appel à la responsabilité : « Le monde réclame de tous les gouvernants une volonté effective, pratique, constante, des pas concrets et des mesures immédiates, pour préserver et améliorer l’environnement naturel et vaincre le plus tôt possible le phénomène de l’exclusion sociale et économique, avec ses tristes conséquences de traites d’êtres humains, de commerce d’organes et de tissus humains, d’exploitation sexuelle d’enfants, de travail esclave - y compris la prostitution -, de trafic de drogues et d’armes, de terrorisme et de crime international organisé.» a t-il lancé.

    Le Pape François s’en est pris sans détours, à ceux qui sous prétexte de progrès social et de liberté promeuvent une colonisation idéologique à travers l’imposition de modèles et de styles de vie anormaux, étrangers à l’identité des peuples et en dernier ressort irresponsables. Sur le plan économique, il a pointé du doigt les systèmes de crédit qui loin de promouvoir le progrès assujettissent les populations à des mécanismes de plus grande pauvreté, d’exclusion et de dépendance. Une fois encore, le Souverain Pontife a plaidé en faveur d’un monde sans armes nucléaires et de l’application du Traité de non-prolifération. Devant un auditoire conquis, le Pape a rendu hommage à la capacité d'arbitrage de l'ONU, en se référant à sa Charte « Si l’on respecte et applique la Charte des Nations Unies dans la transparence et en toute sincérité, sans arrière-pensées, comme point de référence obligatoire de justice et non comme instrument pour masquer des intentions inavouées, on obtient des résultats de paix. »

    Réquisitoire contre le trafic de drogue

    Dans la foulée, il a salué dans une allusion à peine voilée, le récent accord sur le programme nucléaire iranien qui divise la classe politique aux Etats Unis. En revanche il a fustigé les interventions politiques et militaires qui n’ont pas été coordonnées entres les membres de la communauté internationale et qui ont des conséquences néfastes : au Moyen-Orient, en Afrique du Nord et dans d’autres pays africains, les chrétiens et d’autres groupes culturels ou ethniques, ont perdu leurs lieux de culte, leur patrimoine culturel et religieux, leurs propriétés. Ces réalités, a-t-il affirmé avec force, doivent constituer un sérieux appel à un examen de conscience de la part de ceux qui sont en charge de la conduite des affaires internationales.

    Parmi les dossiers qui l’inquiètent particulièrement, le Pape François a cité le narcotrafic, « un autre genre de conflit pas toujours clairement déclaré, a t-il expliqué, mais qui, en silence, provoque la mort de millions de personnes ». Le trafic de drogue est accompagné par la traite des personnes, le blanchiment des actifs, le trafic des armes, l’exploitation des enfants et par d’autres formes de corruption.

    L’avenir exige des décisions critiques et globales. L’organisation des Nations Unies, perfectible mais nécessaire peut être le gage d’un avenir sûr et heureux, à condition que les représentants des Etats sachent laisser de côté les intérêts sectoriels et idéologiques et cherchent sincèrement le service du bien commun.

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral du discours traduit en français ci-dessous.

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  • Voyage du Pape François - Programme du vendredi 25 septembre

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    Statistiques
    Rappel du programme

    Vendredi 25 septembre 2015
    08h30 : Visite au Siège de l'Organisation des Nations-Unies (14h30 sur KTO)
    [Discours]
    11h30 : Rencontre interreligieuse au Memorial de Ground Zero à New York (17h30 sur KTO)
    [Discours]
    16h00 : Visite à l'école « Notre-Dame, Reine des Anges » et rencontre avec des enfants et des familles d'immigrés à New York (Harlem) (22h20 sur KTO)
    18h00 : Messe au Madison Square Garden de New York
    [Homélie]

    Vidéos KTO et textes mis en ligne dès que possible

    Fuseau horaire :
    Washington / New York : -4h UTC
  • Voyage apostolique du Pape : Visite au Centre caritatif de la paroisse St Patrick et rencontre avec les sans-abri

    Galerie photographique

    A peine sorti du Congrès où était réunie toute l’élite politique des Etats-Unis, le Pape François, fidèle à ses principes, a rencontré quelque 200 sans-abri au Centre caritatif de Saint-Patrick, lié à la paroisse catholique du même nom, la plus ancienne de la capitale fédérale américaine. « Je veux être avec vous, leur a-t-il dit, j'ai besoin de votre soutien, de votre proximité. Parlant lentement, le Saint-Père a affirmé qu’il n’y avait aucune justification au manque de logement. « Vous me rappelez Saint-Joseph », a-t-il insisté, en soulignant que Joseph n'avait pas de toit à offrir à sa femme, Marie, quand Jésus est né à Bethléem.

    Le Souverain Pontife a cherché à réconforter ces personnes sans domicile : «Jésus continue de frapper à nos portes à travers les visages de ceux qui sont à côté de nous » a t-il expliqué. Certains membres du Congrès avait espéré que le Saint-Père partage avec eux le déjeuner après son discours, mais le Pape, comme à son habitude, a préféré aller voir aux "périphéries" de la capitale, en alternant les rencontres très officielles avec celles avec les catégories défavorisées de la société.

    Le Saint-Père avait prévu de partager le déjeuner avec les sans-abri, mais la foule trop importante a modifié l'organisation. Il s'est contenté de bénir le repas et de souhaiter "bon appétit !" aux personnes accueillies par le Centre. Le nombre de sans-abri a explosé cette année à Washington avec près de 4000 personnes dormant dans la rue, un triste record.

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral du discours traduit en français ci-dessous.

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  • Voyage apostolique du Pape : Visite au Congrès des États-Unis d'Amérique

    Galerie photographique

    C'était un discours annoncé comme historique : jamais un pape n'avait jusqu'ici été invité à s'exprimer devant le Congrès américain, cœur du pouvoir législatif des Etats-Unis. Le Pape François s'est donc rendu au capitole ce jeudi matin à Washington pour s'adresser aux 435 membres de la Chambres des Représentants et aux 100 élus du Sénat. Le Saint-Père a été accueilli par John Boehner, le président républicain de la Chambre des représentants, ainsi que par Joe Biden, président démocrate du Sénat et vice-président des États-Unis. puis a rejoint l'hémicycle, où se trouvaient également les neuf membres de la Cour Suprême ainsi que les membres du cabinet présidentiel.

    Dans un discours habile, tout en finesse, le Pape jésuite a évoqué les défis actuels qui lui tiennent à cœur, faisant appel aux richesses de l’héritage culturel et de l’esprit du peuple américain. Pour trouver des solutions aux problèmes du présent, fondamentalisme, capitalisme, immigration, commerce des armes, ou encore peine capitale,  il a invité ses auditeurs à honorer la mémoire, à s’inspirer de quatre illustres Américains : Abraham Lincoln, le gardien de la liberté ; Martin Luther King, avec ses batailles contre l’exclusion ; Dorothy Day, fondatrice du Mouvement des Travailleurs catholiques, connue pour sa passion pour la justice et pour la cause des opprimés, et le moine cistercien Thomas Merton, qui, au début de la Grande Guerre, défiant les certitudes de son temps, fut un promoteur de paix entre les peuples et les religions. Sans éluder les questions sensibles, le Pape François n’a pas voulu passer à l’offensive. Il a préféré exhorter les Américains à puiser dans leurs réserves culturelles les plus profondes.

    Mise en garde contre le réductionnisme

    Le Saint-Père est préoccupé par la situation sociale et politique du monde, par les conflits et les atrocités brutales. Mais il met en garde contre le réductionnisme simpliste qui divise le monde en deux camps : les justes et les pécheurs. Pour combattre la violence perpétrée au nom d’une religion, d’une idéologie ou d’un système économique, il faut faire preuve d’équilibre en veillant aussi à sauvegarder aussi la liberté religieuse, intellectuelle et individuelle. En nous efforçant de nous libérer de l’ennemi extérieur, a-t-il averti, nous pouvons être tentés de nourrir l’ennemi intérieur. Tout en fustigeant la violence commise au nom de de Dieu, le Pape François n’a pas ménagé le monde développé où des structures et des actions injustes engendrent de nouvelles formes d’esclavage. Autre question sensible : l’asservissement de la politique à l’économie et aux finances.

    Le Souverain Pontife demande un inversion de tendance, même s’il ne sous-estime pas la difficulté que cela implique. Il faut éviter, dit-il, une tentation fréquente de nos jours : écarter tout ce qui s’avère difficile. Le Pape François a reconnu que la lutte contre la pauvreté dans le monde passait aussi par la création et la distribution des richesses. Mais pour qu’une économie soit moderne, inclusive et durable, il faut une juste utilisation des ressources naturelles, une application convenable de la technologie et l’exploitation de l’esprit d’entreprise. C’est en termes particulièrement sévères que le Pontife argentin a condamné le commerce des armes. Pour de l’argent, s’est-il indigné, on vend des armes meurtrières à ceux qui planifient d’infliger des souffrances inqualifiables à des individus et à des sociétés.

    Un réquisitoire contre les armes à feu

    Le Pape François a dénoncé le silence coupable et honteux, demandant que soit mis fin au commerce des armes. Le Pape ne pouvait certes pas passer sous silence le dossier écologique ; et c’est avec force qu’il a réclamé des actions et des stratégies courageuses pour inverser les effets les plus graves de la détérioration environnementale causée par l’activité humaine. Rappelant que l’Amérique est une terre d’immigration, il a bien sûr évoqué la crise migratoire actuelle, la plus grave depuis la deuxième guerre mondiale. L’occasion pour lui de lancer un appel à l’accueil et à la solidarité mais aussi de reconnaître le mal infligé aux premières nations. Du cœur de la démocratie américaine, a-t-il dit, je souhaite réaffirmer mon estime et mon appréciation à ces peuples.

    Au fil de son discours, le Saint-Père a demandé que la vie humaine soit protégée à chaque étape de son développement. Mais surtout, il s’est résolument prononcé en faveur de l’abolition totale de la peine de mort. La société, a-t-il dit, ne peut que bénéficier de la réhabilitation de ceux qui sont reconnus coupables de crimes. Le Pape François a exprimé sa préoccupation pour la famille, menacée de l’intérieur comme de l’extérieur, pour les jeunes désorientés et sans but. Enfin, sans le citer explicitement, il s’est félicité du rapprochement entre les États-Unis et Cuba. De nouvelles opportunités s’offrent pour tous, a-t-il dit. Et de conclure : une nation peut être considérée comme grande quand elle défend la liberté comme Lincoln l’a fait, quand elle promeut une culture qui permet aux personnes de rêver de droits pléniers pour tous, comme Martin Luther King a cherché à le faire ; quand elle consent des efforts pour la justice et la cause des opprimés, comme Dorothée Day l’a fait par son travail inlassable, fruit d’une foi devenue dialogue et semence de paix dans le style contemplatif de Thomas Merton.

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral du discours traduit en français ci-dessous.

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  • Voyage du Pape François - Programme du jeudi 24 septembre

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    Statistiques
    Rappel du programme

    Jeudi 24 septembre 2015
    09h20 : Visite au Congrès des États-Unis d'Amérique (15h15 sur KTO)
    [Discours]
    11h15 : Visite au Centre caritatif de la paroisse de St Patrick et rencontre avec les sans-abri à Washington, D.C. (17h15 sur KTO)
    [Discours]
    16h00 : Départ en avion pour New York
    17h00 : Arrivée à l’Aéroport JFK de New York
    18h45 : Vêpres avec le clergé, les religieux et les religieuses en la cathédrale Saint-Patrick de New York (vendredi 00h45 sur KTO)
    [Homélie]

    Vidéos KTO et textes mis en ligne dès que possible

    Fuseau horaire :
    Washington / New York : -4h UTC
  • Voyage du Pape François - Programme du mercredi 23 septembre

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    Statistiques
    Rappel du programme

    Mercredi 23 septembre 2015
    09h15 : Cérémonie de bienvenue au South Lawn de la Maison Blanche (15h15 sur KTO ?)
    [Discours]
           Visite de courtoisie au Président des États-Unis d'Amérique
    11h30 : Rencontre avec les évêques des États-Unis d'Amérique en la cathédrale Saint-Matthieu de Washington, D.C. (17h30 sur KTO)
    [Discours]
    16h15 : Messe et canonisation du bienheureux P. Junipero Serra au Sanctuaire national de l'Immaculée Conception à Washington, D.C.
    [Homélie]

    Vidéos KTO et textes mis en ligne dès que possible

    Fuseau horaire :
    Washington : -4h UTC
  • Voyage apostolique du Pape : Visite au Président cubain Raoul Castro au palais de la Révolution

  • Voyage apostolique du Pape : Rencontre privée avec Fidel Castro

    Le Pape François a rencontré l’ancien président Fidel Castro, ce dimanche à La Havane. Le Vatican avait laissé entendre que cette rencontre était plus que probable. L’entretien, qui a duré de trente à quarante minutes, s’est déroulé au domicile de l’ancien leader de la révolution cubaine, en présence d’une quinzaine de membres de sa famille, dont son épouse Dalia Soto del Valle.

    Le Saint-Père, qui a effectué cette visite juste après la messe célébrée sur place de la Révolution,  était notamment accompagné du nonce apostolique à Cuba, Mgr Giorgio Lingua. Selon le directeur du Bureau de presse du Saint-Siège la conversation s’est déroulée dans une ambiance très familière et informelle. Il a notamment été question des atteintes contre l’environnement dont parle l’encyclique Laudato sì'. Le Pape François a offert à Fidel Castro un ouvrage écrit par un jésuite qui avait été son professeur à l’école primaire. Fidel Castro a offert au Pape François le recueil de ses entretiens sur la religion avec le dominicain brésilien Frei Betto, théologien de la libération.

    Dès son arrivée samedi soir à Cuba, dans son premier discours sur le tarmac de l’aéroport, le Pontife argentin avait demandé à Raul Castro de « transmettre ses sentiments de spéciale considération et de respect à son frère Fidel ». Âgé de 89 ans, Fidel Castro a dirigé Cuba de 1959 à 2008 lorsqu’il a définitivement cédé sa place à son frère Raul. Reçu au Vatican par Jean-Paul II en 1996, il avait également rencontré Jean-Paul II et Benoît XVI lors de leurs visites respectives à Cuba, en 1998 et en 2012.

    Source : Radio Vatican.

  • Voyage apostolique du Pape François en Amérique méridionale - Visite à l'hôpital général pédiatrique

    Vendredi 10 juillet 2015 - Paraguay

    08h30 - Visite à l'hôpital général pédiatrique « Niños de Acosta Nu » (14h30 heure française)

    C’est aux plus petits que le Pape François a réservé son premier rendez-vous ce samedi matin, quelques heures après son arrivée au Paraguay. Le Saint-Père s’est rendu à l’hôpital pédiatrique d’Asunción « Niños de Acosta Nú », qui dispose notamment d’un service de réanimation et d’une unité d’oncologie. A sa demande, la rencontre a été entourée de la plus grande discrétion. Les caméras des télévisions n’ont pas été autorisées à filmer ses échanges avec les enfants hospitalisés et leurs familles. Visiblement très ému à sa sortie de l'établissement, entouré d’un groupe d’enfants, le Pape François a préféré ne pas lire le discours prévu et improviser quelques mots de réconfort et d’encouragement. Il a même plaisanté, faisant rire l’assemblée, qui l’acclamait avec un enthousiasme débordant.

    Dans le texte prévu pour cette occasion et remis aux participants de la rencontre, le Souverain Pontife rappelle une célèbre et rare colère de Jésus, lorsque ses disciples voulurent empêcher des enfants de s’approcher de lui. Jésus fut indigné et leur dit : « Laissez venir à moi les petits enfants ; car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent ». Les enfants sont parmi les privilégiés de Jésus, explique le Pape François. Ce n’est pas qu’il n’aime pas les grands, mais il se sentait heureux quand il pouvait être avec eux. Il appréciait beaucoup leur amitié et leur compagnie. Il les citait en exemple. Aujourd’hui il nous dirait la même chose.

    Le Souverain Pontife invite donc les adultes à imiter la confiance, la joie, la tendresse des enfants, leur capacité de lutte, leur courage, leur incomparable capacité de résistance. « Je sais qu’il n’est pas du tout facile d’être ici, écrit-il. Il y a des moments de grande douleur, d’incertitude. Il y a des moments de forte angoisse qui accablent le cœur et il y a des moments de grande joie. Les deux sentiments cohabitent, ils sont en nous. Mais il n’y a pas de meilleur remède que la tendresse et la proximité ». Les familles des petits malades doivent s’entraider, se soutenir mutuellement.

    Au Paraguay, les enfants travailleurs sont nombreux, certains vivent dans la rue et sont exposés à de multiples dangers. Les plus défavorisés ne sont pas scolarisés et n’ont pas accès aux soins de santé nécessaires à leur bon développement. La pauvreté extrême, principalement dans les zones urbaines, la violence domestique, l’éclatement des familles atteignent des niveaux alarmants. Seulement trois enfants sur dix sont reconnus par leur père et les mères sont souvent contraintes d’élever seules leurs enfants.

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral du "discours écrit" traduit en français sur le site internet du Vatican.

  • Voyage apostolique du Pape François en Amérique méridionale - Visite à la prison de Santa Cruz

    Vendredi 10 juillet 2015 - Bolivie

    09h30 - Visite à la prison de Santa Cruz – Palmasola (15h30 heure française)

    « Benvenido Papa Francisco ! » C’est avec des cris de joie, des chants et des acclamations que le Pape a été accueilli par les détenus de Palmasola, cette prison géante, la plus violente et surpeuplée de Bolivie. 4800 détenus, hommes et femmes, 120 enfants de détenus qui y cohabitent avec leurs parents. Un univers carcéral fait de violences, de corruption, d’injustices, et de déshumanisation. C’est cette réalité que le Pape a tenu à voir, à toucher.

    A lire et/ou écouter : Le compte-rendu de Manuella Affejee sur Radio Vatican.

    Texte intégral du discours traduit en français à venir sur le site internet du Vatican.

    Texte intégral original en espagnol sur le site internet du Vatican.

  • Voyage apostolique du Pape François en Amérique méridionale - Visite de courtoisie au Président de l'État

    Mercredi 8 juillet 2015 - Bolivie

    18h00 - Visite de courtoisie au Président de l'État plurinational de Bolivie au Palais du gouvernement (00h00 heure française)

  • Voyage apostolique du Pape François en Amérique méridionale - Visite à la Maison de retraite des Missionnaires de la Charité

    Mercredi 8 juillet 2015 - Équateur

    09h30 - Visite à la Maison de retraite des Missionnaires de la Charité (16h30 heure française)

  • Voyage apostolique du Pape François en Amérique méridionale - Visite à la Cathédrale de Quito

    Lundi 6 juillet 2015 - Équateur

    20h10 - Visite à la Cathédrale de Quito (03h10 heure française)

    Discours préparé par le Pape François

    « Chers frères,

    Je viens à Quito comme pèlerin, pour partager avec vous la joie d'évangéliser. Je suis parti du Vatican en saluant la statue de sainte Marie-Anne de Jésus, qui depuis l'abside de la Basilique Saint-Pierre veille sur le chemin que le Pape parcourt tant de fois. A elle, j'ai recommandé aussi le fruit de ce voyage, en lui demandant que tous nous puissions suivre son exemple. Son sacrifice et son héroïque vertu sont représentés par un lys. Cependant, selon la statue à Saint-Pierre, elle porte tout un bouquet de fleurs, parce qu’avec la sienne elle présente au Seigneur, dans le cœur de l'Église, les fleurs de vous tous, celles de tout l’Équateur.

    Les saints nous appellent à les imiter, à nous mettre à leur école, comme l’ont fait sainte Narcisse de Jésus et la bienheureuse Mercedes de Jésus Molina, interpellées par l'exemple de sainte Marie-Anne… Combien de ceux qui sont aujourd'hui ici souffrent ou ont souffert du fait d’être orphelin, combien ont dû, bien qu’étant jeunes, prendre en charge des frères, combien s'efforcent chaque jour de prendre soin de malades ou de personnes âgées ; ainsi l’a fait Marie-Anne, ainsi l'ont imitée Narcisse et Mercedes. Ce n'est pas difficile si Dieu est avec nous. Elles n'ont pas réalisé de grandes prouesses aux yeux du monde. Elles ont beaucoup aimé seulement, et elles l'ont démontré dans le quotidien jusqu'à arriver à toucher la chair souffrante du Christ dans le peuple (cf. Evangelii gaudium, n. 24).

    Elles ne l'ont pas fait seules, elles l'ont fait « avec » d’autres ; le transport des matériaux, les travaux  et la maçonnerie de cette cathédrale ont été réalisés à notre manière, à la manière des peuples autochtones, la minga ; ce travail de tous en faveur de la communauté, anonyme, sans publicités et ni applaudissements : plaise à Dieu que comme les pierres de cette cathédrale nous chargions sur nos épaules les besoins des autres, et qu’ainsi nous aidions à édifier ou à réparer la vie de tant de frères qui n'ont pas de forces pour la construire ou chez lesquels elle s’est écroulée.

    Aujourd'hui je suis ici avec vous, qui m'offrez la joie de vos  cœurs : “Comme ils sont beaux sur les montagnes, les pas du messager, celui qui annonce la paix, qui porte la bonne nouvelle” (Is 52, 7). C'est la beauté que nous sommes appelés à répandre, comme le bon parfum du Christ : notre prière, nos bonnes œuvres, notre sacrifice en faveur de ceux qui sont le plus dans le besoin. C'est la joie d'évangéliser et “sachant cela, heureux êtes-vous si vous le faites” (Jn 13,17).

    Que Dieu vous bénisse. »

    Source : site internet du Vatican.
    Texte original en espagnol sur le site internet du Vatican.

  • Voyage apostolique du Pape François en Amérique méridionale - Visite de courtoisie au Président Rafael Correa

    Lundi 6 juillet 2015 - Équateur

    19h00 - Visite de courtoisie au Président de la République au Palais présidentiel « Carondelet » (02h00 heure française)

  • Voyage apostolique du Pape François en Amérique méridionale - Visite au Sanctuaire de la Divine Miséricorde

    Lundi 6 juillet 2015 - Équateur

    10h30 - Visite au Sanctuaire de la Divine Miséricorde (17h30 heure française)

    La Messe de ce jour devait être célébrée à l'origine au Sanctuaire de la Divine Miséricorde de Guayaquil, le plus important sanctuaire de l’Equateur. Par manque de place et pour des raisons de sécurité, elle a du être déplacée au Parc Samanes. L'emploi du temps du Pape a été modifié en conséquence, afin qu'il puisse se rendre au Sanctuaire avant la célébration. Il s'y est recueilli quelques instants, avant de saluer la centaine de fidèles présents, parmi lesquels se trouvaient de nombreux malades, ainsi que des personnes âgées.

    Salut du Pape François

    « Bonjour, je vous invite tous ensemble à prier la Vierge.

    Je vous salue Marie…

    Je vais maintenant célébrer la messe et je vous porte tous dans mon cœur. Je vais prier pour chacun de vous, je vais dire au Seigneur : 'Vous connaissez le nom de ceux qui sont ici'. Je vais demander à Jésus pour chacun de vous beaucoup de miséricorde, qu’il vous couvre de sa miséricorde, qu’il prenne soin de vous. Et à la Vierge qui est toujours à vos côtés.

    Et maintenant avant d'y aller - parce que je suis ici en passant - pour la messe où Monseigneur l’évêque me dit que le temps presse, je vous donne la bénédiction, mais... non, je ne vais rien vous demander en échange... mais je vous demande s’il vous plaît de prier pour moi. Vous me le promettez ?

    Que Dieu tout-puissant vous bénisse, le Père, le Fils et le Saint-Esprit. Merci pour le témoignage chrétien. »

    Texte intégral original en espagnol sur le site internet du Vatican.