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  • Samedi 2 février 2013

    Présentation du Seigneur au Temple

    Calendrier liturgique

    « Malgré les nombreuses lumières qui brillent au choeur et les chants de la procession, la note dominante de la journée est grave. Dans l'atmosphère sereine et joyeuse des fêtes du temps de Noël elle apparaît comme un trait sombre qui laisse présager la Passion du Sauveur. Si, dans la vie du Christ, la Passion correspond à l'immolation de la victime, la Chandeleur en constitue l'offrande : la victime est préparée, consacrée, et, par les mains de Marie, offerte au Père céleste. Jésus et Marie sont maintenant prêts pour le sacrifice de la Croix que le prêtre Siméon annonce solennellement, ce sacrifice qui, suivant l'expression du vieillard, va percer d'un glaive le coeur de la Mère des douleurs...

    Combien la Mère de Dieu nous apparaît aujourd'hui digne de toutes les louanges ! Elle élève dans ses mains le Très Saint, l'hostie vivante Jésus, son bien, le fruit de ses entrailles ; elle Lui a préparé un corps capable de souffrir, un corps qui pourra subir d'une façon méritoire les souffrances de la Passion. Après la Présentation elle rachète l'enfant de ses propres moyens, à la seule fin de le nourrir, de l'élever jusqu'à l'âge d'homme pour en faire une victime parfaite...

    Historiquement la présentation au Temple a eu lieu le quarantième jour après la naissance du Sauveur. Mais, mystiquement, elle se renouvelle aujourd'hui à la célébration de la Sainte Messe. Alors Jésus est offert au Père céleste, et en Jésus - en Jésus par Marie - toute la communauté paroissiale devient une offrande vivante faite à Dieu. L'Evangile lui-même, qui nous raconte la joie du vieillard Siméon, devient pour nous une réalité pleine de grâces lorsque, dans la sainte communion, nous avons le bonheur de posséder notre Rédempteur. Combien sont merveilleux les mystères de notre foi !

    A la Chandeleur, les fidèles emportent chez eux, dans leur famille, le cierge béni pendant l'office. Il est le signe des grâces reçues en ce jour. Il représente le Christ ; il est le symbole de la foi, de cette foi qui prend sa source dans le sacrifice de Jésus, et, de là, vient baigner notre vie toute entière. On l'allume au moment de la prière familiale. A la campagne, on le fait brûler souvent pendant les orages. Le lendemain de la Purification, à la fête de saint Blaise, allons à l'Eglise recevoir la bénédiction avec les cierges consacrés la veille, pour être protégés des maladies, en particulier du torticoli et des maladies de la gorge. Enfin, dans chaque maison chrétienne, on garde précieusement le cierge qu'on allume un jour à notre lit de mort, ce cierge dont la vertu et la lumière nous préservent des ténèbres de la perdition.

    Qu'une lumière éclaire et réchauffe notre vie et notre mort : Jésus-Christ ! »

    Toute l'année avec le Christ, par les Bénédictins de l'Abbaye de Notre-Dame d'Einsiedeln, Traduction des Bénédictins de l'Abbaye Ste-Marie de la Pierre-Qui-Vire, Comptoir Français du Livre, Paris / Bruxelles, 1936.

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    Fra Bartolomeo : La Présentation au Temple

  • Neuvaine à Notre Dame de Lourdes

    Chaque jour une dizaine de Chapelet et trois fois les invocations :
    "Notre Dame de Lourdes, priez pour nous."
    "Sainte Bernadette, priez pour nous."
    Ensuite, la prière ci-dessous.

    Messe et communion, de préférence, le 11 février.

    Images-Prières à commander à :
    Association Notre-Dame du Salut
    63 av. Denfert-Rochereau - 75014 PARIS


    Prière retenue en 2013 :

    Ô Marie, à la visite de l’ange, Vous avez répondu avec ce cri de foi :
    « Que tout se passe pour moi selon ta parole ».
    Votre oui a ouvert pour l’humanité,
    les temps qui allaient donner naissance à l’Eglise par l’incarnation,
    la mort et la résurrection de votre Fils.
    Notre Dame de Lourdes,
    vous qui accueillez au creux de la grotte les joies et les peines,
    les angoisses et l’espérance des hommes et des femmes de ce temps,
    vous savez la foi qui nous anime et combien nous avons besoin
    de la force de l’Esprit, pour renouveler le oui de la confiance
    et du don total qui était le vôtre à Nazareth
    mais aussi à Jérusalem au pied de la croix.
    Vous qui tournez nos regards vers votre Fils, Jésus le Christ,
    soyez pour nous le modèle de celle qui a cru en la Parole
    qui lui a été donnée.
    Que le même Esprit qui vous poussait à prendre la route
    à la rencontre de votre cousine Elisabeth, augmente en nous
    la foi, l’espérance et la charité.
    Par Jésus le Christ notre Seigneur.
    Amen !

  • Message de Benoît XVI pour le Carême 2013 : "Croire dans la charité suscite la charité"

    « Nous avons reconnu et nous avons cru que l'amour de Dieu est parmi nous » (1 Jn 4, 16)

    Site internet du Vatican (texte intégral)

  • 1er février: Toute l'année avec les Pères...

    Paraboles du Règne de Dieu (Mc 4, 26-34)

    « Frères, vous avez appris comment le Royaume des cieux, dans toute sa grandeur, est comparé à une graine de moutarde... Est-ce là tout ce que les croyants espèrent ? Est-ce là tout ce que les fidèles attendent ?... Est-ce là « ce que l'œil n'a pas vu, ce que l'oreille n'a pas entendu, ce qui n'est pas monté au cœur de l'homme » ? Est-ce là ce que promet l'apôtre Paul et qui est tenu en réserve dans le mystère inexprimable du salut, pour ceux qui aiment ? (1Co 2,9) Ne nous laissons pas déconcerter par les paroles du Seigneur. Si, en effet, « la faiblesse de Dieu est plus forte que l'homme, et si la folie de Dieu est plus sage que l'homme » (1Co 1,25), cette toute petite chose, qui est le bien de Dieu, est plus splendide que toute l'immensité du monde.
    Puissions-nous seulement semer dans notre cœur cette graine de moutarde, de sorte qu'elle devienne le grand arbre de la connaissance (Gn 2,9), s'élevant de toute sa hauteur pour élever notre pensée jusqu'au ciel, et déployant toutes les branches de l'intelligence...
    Le Christ est le Royaume. A la manière d'une graine de moutarde, il a été jeté dans un jardin, le corps de la Vierge. Il a grandi et est devenu l'arbre de la croix qui couvre la terre entière. Après qu'il eut été broyé par la Passion, son fruit a produit assez de saveur pour donner son bon goût et son arôme à tous les êtres vivants qui le touchent. Car, tant que la graine de moutarde demeure intacte, ses vertus restent cachées, mais elles déploient toute leur puissance quand la graine est broyée. De même le Christ a-t-il voulu que son corps soit broyé pour que sa force ne reste pas cachée... Le Christ est roi, car il est le principe de toute autorité. Le Christ est le Royaume, car en lui réside toute la gloire de son royaume. »

    Saint Pierre Chrysologue (v.406-450), Sermon 98, 1-2 ; CCL 24A, 602 (Trad. Delhougne, Les Pères commentent, Brepols, 1991 rev.).

  • Francis Poulenc (1899-1963) : Dialogues des carmélites - Final (Salve Regina)

    (basé sur un scénario posthume de Georges Bernanos inspiré de "La Dernière à l'échafaud" (Die letzte am Schafott) de Gertrud von Le Fort, et de son adaptation théâtrale réalisée en 1952 par Jacques Hébertot)

    Cf. sur Wikipedia.

  • Méditation : 1er vendredi du mois

    « Jésus-Christ, mon Seigneur et mon Dieu, que je crois véritablement et réellement présent au Très Saint Sacrement de l'autel, recevez cet acte d'une adoration très profonde pour suppléer au désir que j'aurais de vous y adorer sans cesse, et en action de grâces des sentiments d'amour que votre sacré Coeur y a pour moi. Je ne saurais mieux les reconnaître qu'en vous offrant tous les actes d'adoration, de résignation, de patience et d'amour que ce même Coeur a faits pendant sa vie mortelle, et qu'il fait encore et fera éternellement dans le ciel, afin de vous aimer, vous louer et adorer dignement par lui-même autant qu'il me sera possible. Je m'unis à cette offrande divine que vous faites à votre divin Père ; et je vous consacre tout mon être, vous priant de détruire en moi le péché et de ne pas permettre que je sois séparée de vous éternellement. Ainsi soit-il. »

    Saint Marguerite-Marie, in Vie et Oeuvres, Tome II, Prières composées par la Bienheureuse (XXIII), Mgr Gauthey, Paris, Poussielgue, 1915 (3ème éd. - réf. XXIV in 4ème éd. 1920).

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  • Vendredi 1er février 2013

    Calendrier liturgique