Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Défense de la Vie - Page 8

  • Le Pape Paul VI béatifié cette année ?

    Ses "vertus héroïques" avaient été reconnues par Benoît XVI en 2012. Un miracle du à son intercession vient d'être approuvé à l’unanimité par la Congrégation pour les causes des saints.
    Il s'agit de la guérison inexpliquée d’un bébé à naître, dans les années 90, à qui l’on avait diagnostiqué une maladie qui lui aurait causé d’importants dommages physiques et cérébraux. Les médecins avaient conseillé à la mère d’avorter, mais celle-ci n’en avait rien fait, convaincue que sa foi pourrait sauver son bébé. Elle avait préféré s'en remettre à l’intercession de Paul VI (Jean-Baptiste Montini), auteur de l’encyclique "Humanae Vitae", plaidoyer en faveur du respect de la vie.
    Ce miracle, signalé en 2001 (le temps que le bébé grandisse et que soit assurée sa guérison complète, sans aucune séquelle), a donc été signalé au postulateur de la cause, Antonio Marrazzo.
    Après l’approbation de la part de la commission médicale du professeur Patrizio Polisca, puis des théologiens de la Congrégation pour les causes des saints le 24 février dernier, ce sont donc les évêques et cardinaux de cette Congrégation qui ont donné leur approbation le mardi 6 mai, ouvrant la voie à la béatification du vénérable Paul VI.
    Celle-ci, selon des sources proches du Vatican, pourrait avoir lieu le 19 octobre 2014, c'est-à-dire à  la fin du synode des évêques sur la famille.

    Cf. Aleteia.

  • Avortement et égalité femme/homme : un débat crucial aujourd'hui au Sénat

    Les sénateurs débattent ce jeudi 17 avril, du projet de loi pour l’égalité entre les femmes et les hommes dont certains articles relatifs à l’IVG suppriment la notion de détresse et étendent le délit d’entrave à l’information.

    La Fondation Jérôme Lejeune s’émeut de l’absence d’un réel débat démocratique pour traiter sereinement un sujet de fond. Elle dénonce la mise au silence forcé des organisations civiles et citoyennes qui informent sur l’avortement, ses conséquences et ses alternatives.

    La Fondation Jérôme Lejeune n’est ni passéiste ni isolée en la matière. Elle s’inscrit au contraire dans les mouvements de réveil des consciences, de prise en compte de la valeur et de la réalité de la vie humaine qui émergent partout dans le monde et qui doivent se faire entendre.

    Ainsi, alors que la France s’enfonce dans la chosification de l’enfant à naître, la Commission européenne recevait la semaine dernière une délégation de l’initiative citoyenne ONE OF US appelant l’Europe à ne pas soutenir les activités qui détruisent des embryons humains. Cette initiative de 1,7 million de signatures (homologuées par la commission européenne), pétition officielle la plus importante dans l’histoire des instances européennes, a reçu vendredi dernier le soutien renouvelé du Pape François.

    Celui-ci vient de rappeler que l’avortement, comme l’infanticide, sont des « crimes abominables ». Il appelle à s’opposer « le plus fermement possible à tout attentat direct à la vie, surtout celle qui est innocente et sans défense, et l’enfant à naître dans le sein maternel est l’innocent par définition ».

    La réalité de l’avortement pour l’enfant en gestation, l’autorité morale du pape au plan international, et l’ampleur du mouvement ONE OF US (« Un de nous ») pour le respect de la vie humaine, devraient être de nature à encourager les responsables politiques français à se poser les bonnes questions, à se dégager de l’idéologie, et à replacer l’enjeu du début de la vie sur le terrain du bien commun dont ils ont la charge.
     
    Pour Jean-Marie le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune : « Une société ne progresse pas lorsqu’elle fait glisser l’élimination de ses enfants à naître d’une exception tolérée à un droit revendiqué ; elle dérive socialement, juridiquement, anthropologiquement. La Fondation Jérôme Lejeune – un des porte-paroles et acteurs du succès de ONE OF US en France - en appelle à la responsabilité du législateur : nier la dignité de l’enfant à naître depuis sa conception, c’est rompre avec l’éthique, les droits fondamentaux et la réalité. Le fait que ce débat se tienne alors qu’une commission de l’Assemblée nationale vient de voter un changement de statut des animaux en dit long sur l’invraisemblable inversion des valeurs. »

    Le lien avec la prétendue affaire du lycée Gerson n'est pas difficile à faire...

    On peut imaginer la probable tournure téléguidée que prendront les choses : les associations pro-vie, telles Alliance Vita et La Fondation Lejeune, ne pourront plus être invitées afin d'expliquer leur vision de sujets de société cruciaux dans des établissements privés catholiques sous contrat. Faut-il imaginer que toute l'affaire n'a été montée et médiatisée que dans ce but ? L'avenir le dira.

    Source : Aleteia.

    A lire : Les droits de l'homme en détresse.

  • L’association pro-vie Alliance Vita cible des nouveaux laïcards

    alliance-vita.jpg

    C’est Europe 1 qui a lancé l’affaire : « Des dérives intégriste secouent un lycée catholique ». Aussitôt la formule est reprise en boucle par les médias. De quoi s’agit-il ? « Plusieurs professeurs, parents et élèves d'un lycée parisien privé dénoncent un endoctrinement sous couvert de catéchèse. »

    Première point : il s’agit de cours de catéchèse  dispensés en temps périscolaire dans un lycée catholique. On peut penser qu’on y enseigne en effet la doctrine catholique (et cela suffit aujourd’hui pour qu’on traduise : « endoctrinement »). C’est dans ce cadre que l’association Alliance Vita a été amenée à faire des interventions sur le respect de la vie et à parler à ce sujet de l’avortement.

    Deuxième point. « Des parents d'élèves et des professeurs du collège-lycée Gerson, dans le XVIe arrondissement de Paris, dénoncent entre autres des conférences d'Alliance Vita au cours desquelles  l'avortement  aurait été qualifié "d'homicide volontaire" » explique L’Express .
    Parler de l’avortement est en effet un tabou, et dire qu’il s’agit d’un « homicide »  (que le mot ait ou non été prononcé par les intervenants)  suffit à vous ranger parmi les « intégristes ». A ce compte, tous les papes  -le pape François comme ses prédécesseurs, et les pères du Concile Vatican II-, sont à ranger dans la même catégorie puisqu’ils affirment d’une seule voix que l’avortement est un homicide et même « un crime abominable », comme vient de le rappeler le pape François en citant le Concile (cf. Aleteia).  

    Troisième point : « Une enseignante, interrogée par Europe 1, dénonce l'ingérence de l'Opus Dei au sein de l'établissement. "La responsable de cycle et une collègue, au moins, sont de l'Opus Dei. Nous ne sommes plus dans l'offre d'une spiritualité mais dans l'imposition d'une vision des plus obscurantistes de notre société", assure ainsi cette enseignante à la radio. » La responsable et une collègue, deux personnes donc, sont accusées d’appartenir à un mouvement catholique ! Pleinement et totalement catholique, dont la fondateur, saint Josémaria Escriva de Balaguer  a été canonisé par Jean Paul II (rappelons qu’une canonisation engage l’infaillibilité pontificale). Toute l’Eglise le fête le 26 juin.

    On le voit, il y a bien quelque chose de pas très catholique, dans tout cela. Mais c’est aux accusateurs courageusement anonymes qui «  demandent à la hiérarchie de l'Enseignement catholique d'intervenir, notamment en faisant remplacer l'encadrement » (Metronews) de se poser la question : sont-ils catholiques ?

    Voici le communiqué d’Alliance Vita :

    Alliance VITA : mise au point sur des interventions au Lycée Gerson
    Communiqué de presse – Paris, le 14 avril 2014

    Alliance VITA souhaite réagir aux mises en cause dont elle est l’objet dans le cadre d’interventions au lycée Gerson. Deux membres de l’association ont été accusés anonymement de propos outranciers qu’elles n’ont jamais tenus.
    VITA dénonce fermement le mensonge, la calomnie et le procédé lâche visant à salir son image et à jeter le discrédit sur son travail.
    Alliance VITA a accepté l’invitation du Lycée Gerson pour intervenir auprès des élèves sur des thématiques liées à son activité et son expertise : bioéthique, PMA, GPA, personnes en difficultés dont celles confrontées à l’avortement.
    Pour Henri Desoos, directeur des études d’Alliance VITA : « Alliance VITA est régulièrement invitée à prendre la parole sur ses sujets d’expertise depuis des années ; ces interventions suscitent toujours l’intérêt des jeunes et donnent lieu à des échanges ouverts et fructueux. Les personnes qui se sont exprimées à Gerson sont formées, responsables et respectueuses. Or, après l’intervention à Gerson, différents écrits, certains anonymes, ont circulé, prêtant aux deux intervenantes des propos outranciers qu’elles n’ont jamais tenus.
    D’une part, les accusations anonymes sont inquiétantes et inacceptables, et VITA souhaite que la lumière soit faite sur ces propos calomnieux.
    D’autre part, on dirait que certains souhaitent que le sujet de l’interruption volontaire de grossesse reste tabou. Pourtant, le sujet de l’avortement est un vrai sujet de société qui mérite d’être abordé auprès des jeunes. La prévention de l’IVG des mineures est une préoccupation nationale qui a donné lieu à plusieurs rapports ministériels et parlementaires ces dernières années. Alliance VITA aborde cette réalité sans stigmatiser personne, à partir de son expérience d’écoute et d’accompagnement des femmes et des couples. »

    Source : Aleteia.

  • Audience du Pape François au mouvement italien "Pro Vita"

    Le Saint-Père a reçu 470 membres du mouvement italien Pro Vita, qu'il a notamment félicité de son projet d'adoption prénatale à distance au service de femmes en difficulté. Ces vingt dernières années, a-t-il souligné, le "Progetto Gemma" a permis de sauver la vie de nombre d'enfants qui sans cette solidarité n'auraient pas vu le jour :

    "La vie humaine est sacrée et inviolable, et tout droit repose sur le droit fondamental à la vie. Ce droit n'est subordonné à aucune condition, pas plus économique qu'idéologique. Le commandement de ne point tuer détermine clairement la valeur de la vie humaine, et nous devons dire non à une économie de l'exclusion et de l'injustice qui tue en considérant la personne comme un bien de consommation, que l'on peut jeter après usage. On se trouve en présence d'une culture du rebut qui est même érigée en règle. C'est pourquoi - a-t-il dit en citant l'encyclique Evangelii Gaudium - on en vient à jeter aussi la vie.

    Notre époque est de plus en plus menacée par un divorce entre économie et morale dans un marché où la nouveauté technologique prévaut toujours plus sur les normes éthiques... Il faut donc s'opposer fermement à tout attentat à la vie, surtout lorsqu'elle est innocente et sans défense comme l'enfant dans le sein de sa mère. Le concile Vatican II a déclaré que « dès sa conception la vie doit être protégée. L'avortement et l'infanticide sont des crimes abominables » (Const. Gaudium et spes, 51)".

    Puis il a évoqué une conférence médicale à laquelle il avait pris part : Un médecin lui avait remis un paquet contenant des instruments servant aux avortements, en disant avoir trouvé la foi et lutter désormais en faveur de la vie. Il devint ainsi un juste.

    De manière évangélique, a-t-il poursuivi, "le chrétien doit protéger la vie avec courage et amour à chacun de ses stades. Agissez toujours auprès des femmes de manière à ce qu'elles se sentent perçues comme personnes accueillis, accompagnées et écoutées..."

    "Ici nous venons de parler de mineurs, mais on pourrait dire les mêmes choses des personnes âgées. Elles sont avec les jeunes l'espérance d'un pays, car détentrices de la sagesse et de la mémoire collective. Aujourd'hui, ces deux catégories de personnes sont l'objet de la culture du rebut, puisqu'on les envisage comme du matériel de décharge. Il faut le répéter, les enfants et les aînés constituent l'espérance de la société !".

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 11.4.14)

  • 10 avril 2014 : Intervention de Gregor Puppinck (« Un de nous ») au Parlement européen

    INTRODUCTION

    J’ai l’honneur de m’adresser à vous en tant que représentant du comité d’organisation de l’Initiative Citoyenne européenne « Un de nous/One of us », qui est à ce jour l’Initiative Citoyenne qui a réuni le plus grand nombre de soutiens à travers toute l’Europe.

    L’Initiative Citoyenne « Un de Nous » a recueilli près de deux millions de signatures, ce qui en fait la première initiative à ce jour et la plus grosse pétition dans  l’histoire des institutions européennes.

    Notre demande relève de la compétence de l’Union, et sa compatibilité avec le droit européen et les droits fondamentaux a déjà été vérifiée et attestée par la Commission européenne lors de l’examen préalable à l’enregistrement officiel de l’Initiative.

    L’Initiative Citoyenne « Un de Nous » a donc rempli toutes les conditions nécessaires pour faire à présent l’objet d’une proposition législative qui sera discutée après les élections par le prochain Parlement et par le Conseil.

    L’objet de l’audition de ce jour n’est pas d’anticiper sur les débats qui auront lieu sur la base de notre proposition législative, mais de nous donner la possibilité, nous qui représentons près deux millions de citoyens de vous exposer dans le détail notre demande.

    Notre demande est simple et précise, elle s’appuie sur l’acquis européen, plus encore, elle est juste et bénéfique.

    Par respect pour la vie et la dignité de tout être humain, nous demandons l’intégration d’une clause éthique dans la réglementation européenne qui exclut explicitement de financement européen toute activité qui détruise ou implique la destruction de vies humaines. Cette clause éthique de portée générale s’applique en particulier au financement de pratiques biotechnologiques impliquant la destruction d’embryons humains, et au financement d’avortements dans le contexte de l’aide au développement.

    Ainsi, l’Initiative demande que soit introduit dans le droit européen le principe suivant :

    « Aucun fonds de l’Union européenne ne doit être attribué à des activités qui détruisent des embryons humains ou qui présupposent leur destruction »

    Suite et intégralité de l'intervention (texte et vidéo) sur le site internet Un de nous.

  • Académie de Nantes. La théorie du genre se met en place le 11 avril à Machecoul

    09/04/2014 – Nantes – Ceux qui pensaient que le remplacement de Vincent Peillon par Benoît Hamon à l’Éducation nationale marquerait un changement de politique seront déçus. Les deux hommes partagent les mêmes conceptions philosophiques « humanistes » et les mêmes idées concernant la « refondation » de l’éducation. Bon exemple de cette continuité, le recteur de l’académie de Nantes et le préfet des Pays-de-la-Loire signeront le 11 avril à 15 h au lycée professionnel de Machecoul (44) la convention pour l’égalité homme-femme à l’école. La signature, prévue avant le remaniement, est maintenue. Et l’académie se charge déjà de réunir une assistance nombreuse, soumise, attentive et bien sur conquise.

    Sous couvert d’assurer l’enseignement du respect de l’égalité des sexes et d’améliorer la mixité des filières, cette convention met en place l’enseignement de la théorie du genre (gender). Jusque là, cet enseignement était limité à quelques départements pilotes. Malgré l’opposition d’un nombre grandissant de parents, le gouvernement s’engage avec acharnement dans la généralisation du gender.

    En effet, cette convention s’appuie sur deux piliers : « l’éducation à l’égalité (…) dans la perspective d’une forte mobilisation contre les représentations sexistes » et « l’éducation à la sexualité pour les filles et les garçons », la convention précisant au passage que « les savoirs scientifiques issus des recherches sur le genre, les inégalités et les stéréotypes doivent nourrir les politiques publiques mises en place pour assurer l’égalité effective entre filles et garçons ». Dans les pages suivantes, sont détaillées les mesures pour détruire les stéréotypes de sexe. Au milieu de mesures plutôt pédagogiquement intéressantes, comme « encourager la pratique du sport scolaire chez les jeunes filles en particulier comme vecteur de maîtrise du corps et de confiance en soi » ou encore « encourager la parité (…) des listes étudiantes et (…) des candidatures aux instances représentatives » se trouvent des mesures qui visent à une véritable généralisation de l’éducation sexuelle et de la théorie du genre.

    Parmi elles, « inciter à la rédaction d’un volet promotion de l’égalité, dans chaque projet d’établissement ». Ce qui signifie, concrètement, que les ABCD de l’égalité  vont devenir le nouveau petit livre rouge de l’école socialiste. Et pourtant l’académie de Nantes ne fait pas partie des dix académies volontaires pour l’expérimentation de cette « méthode » d’enseignement proposée par Najat Vallaud-Belkacem et qui est basée sur la théorie du gender.

    On y trouve l’engagement plus explicite « d’engager une réflexion avec les éditeurs pour éviter les stéréotypes sexistes dans les manuels et ouvrages scolaires » ou encore « donner aux élèves les outils nécessaires pour mieux appréhender le traitement du genre dans les médias », dans le sens bien sûr de la théorie du gender. Ce n’est pas fini : la convention prévoit aussi « de rendre visible les recherches sur le genre (…) réaliser un travail de vulgarisation et de diffusion de ces recherches ». Bien sûr, « plusieurs séances annuelles d’éducation sexuelle » sont aussi prévues. Effet garanti dans les cités.

    Cette formation à la « déconstruction des stéréotypes du genre », autrement dit au gender, devra aussi être dispensée à tous ceux qui interviennent dans le secteur de l’enseignement et de la formation, à savoir, « dans le cahier des charges de la formation des enseignants du premier et du second degré, d’éducation, d’orientation (…) des formateurs, des formatrices et des personnels se destinant à travailler auprès d’adolescents, d’enfants, de jeunes adultes ». Les directeurs d’établissement, les inspecteurs n’y échapperont pas aussi et seront « incités à impulser des activités autour de la promotion de l’égalité ». Résultat : l’enseignement privé – dont les maîtres sont formés dans la même matrice que pour ceux du public – n’échappera pas au gender. Seules les écoles hors contrat, confessionnelles ou associatives, pourront éviter la « promotion de l’égalité » et cette idéologie qui mêle sexe et militantisme dans un élan inquiétant.

    La théorie du genre n’a rien de scientifique : c’est un nouveau totalitarisme

    La théorie du genre s’appuie sur les expériences tragiques de John Money  sur deux jumeaux auquel il a assigné un sexe différent de celui qu’ils avaient à leur naissance. L’idée de base ? L’individu ne naît pas homme ou femme, le sexe serait une construction sociale, donc l’individu est libre de se « choisir » homme ou femme, de se construire, voire de préférer une autre identité – le genre neutre ou asexué – voire de changer de sexe social au cours de sa vie. Pour cela, il faut dès le plus jeune âge détruire les stéréotypes du genre et éduquer les enfants de façon à ce qu’ils soient éveillés à la sexualité et libres dès le plus jeune âge de se construire selon leur désir.

    Pourtant, la réalité a démenti tragiquement les expériences de John Money, et ses jumeaux sont revenus dès la puberté à leur sexe d’origine, sans pouvoir surmonter la profonde incertitude psychologique sur leur être. Les deux se suicident. Le « savoir » sur la théorie du genre n’a d’ailleurs rien de scientifique. C’est une construction sociologique militante. En Norvège, un documentaire paru en 2010 a mis en lumière  la portée non scientifique de ces théories sur le genre et l’égalité des sexes, en montrant leur profonde inefficacité. Ce film a suscité un débat national et l’arrêt total du financement par l’état norvégien de l’institut public de la théorie du genre.

    Mais dans le reste de l’Europe le lobby du gender, partisan d’une politique étatique de la sexualité et de l’égalité, d’une sorte de totalitarisme (anti)sexuel donc, avance toujours. « Au risque de détruire les jeunes enfants, les perdre dès leurs premiers repères sociaux et d’en faire des êtres fragiles, seuls face à la toute-puissance de l’État et de ses dirigeants. Qui mettent – pas fous ! – leurs enfants dans des écoles réservées ou à l’étranger. Loin du gender et de l’idiocratie. » fait observer un pédopsychiatre, pour qui « « le fait que des élèves arrivent en troisième sans savoir lire ne semble pas troubler le ministre de l’Éducation nationale… mieux vaut des gens qui ne savent pas lire, mais qui haïssent les stéréotypes sexuels. Comme ils ne savent pas penser, ils ne s’opposeront pas au gouvernement. Et de toute façon ils n’auront pas les mots pour le dire. »

    Pour protester contre la signature de la convention,  La Manif Pour Tous annonce qu’elle organise une « action sentinelle », face au monument aux morts, cours des 50 otages, à Nantes vendredi 11 avril, de 12h30 à 13h30.

    Texte de la convention

    Source : Breizh-info.com

  • Elizabeth Montfort : "Comment le gouvernement manipule la jeunesse avec le gender"

    L'équipe de La Manif pour tous 92 demande à Elizabeth Montfort, présidente du Nouveau Féminisme européen, pourquoi et comment le gouvernement infuse la théorie du genre auprès de la jeunesse.

    Source : LMPT 92 "Opération Tandem".

    A lire : Le "gender" à l'école ou la pédophilie fantasmatique.

  • Pérou: la Marche pour la vie a réuni 150.000 à 300.000 participants

    Lima, la capitale du Pérou, a accueilli ce 22 mars 2014 la plus grande manifestation pro-vie de l’histoire de l’Amérique latine. Des chanteurs catholiques et d’anciens participants à la formule péruvienne de « The Voice » se sont joint à la cause et ont créé l’événement avec leur chanson « Unete ».

    Pour sa troisième édition, la grande a rencontré une mobilisation sans précédent. 150.000 à 300.000 personnes on défilé dans les rues de Lima pour défendre la vie depuis sa conception jusqu’à la mort naturelle. L’archevêque de Lima, le Cardinal Juan Luis Cipriani, s’est adressé à la foule pour encourager à respecter la vie : « Le Pérou dit oui à la vie et non à l’avortement  » a-t-il déclaré.

    L’avortement est illégal au Pérou, mais le ministre péruvien de la santé a annoncé que le gouvernement approuverait d’ici juin un guide technique qui régulera l’avortement thérapeutique, ce que les « pro-vie » considèrent comme une porte ouverte à la pratique de l’avortement. Les lobbies pro-avortement prétendent qu’il y aurait au Pérou 370.000 avortements illégaux par an, rapporte le site medias-presse.info qui estime que ces chiffres sont tronqués et qu’on ne devrait certainement pas excéder les 20.000 avortements dans le pays.

    Un soutien du monde artistique
    Quelques semaines avant le rassemblement, des chanteurs catholiques péruviens et d’anciens participants à la version péruvienne de l’émission « The Voice » ont créé l’événement en produisant le titre ‘Unete’ , un hymne au respect de la vie (voir vidéo ci-dessous). Des  chanteurs comme Daniel Armas, Luis Enrique Ascoy, Pepe Enciso, Mallcom Roberts ainsi que des musiciens comme César Mancilla et Jeremy Gómez se sont engagés publiquement en collaborant à ce titre. Ils ont expliqué qu’en tant que catholiques ils se sentent liés par « un amour désintéressé pour tous ces millions d’enfants qui n’ont pu naître et pour ceux que l’on vendra ou qui sont en danger ».

    Le 25 mars, fête de l’Annonciation, des marches ont également été organisées dans à Piura, Trujillo, Iquitos, Huancayo et Arequipa.

    MVL, d’après medias-presse.info.

    Únete – marcha por la vida 2014

    Source : InfoCatho.be

  • Campagne « Chère future maman » à l'occasion de la Journée mondiale de la trisomie 21

    Pour le 21 mars 2014, Journée mondiale de la trisomie 21, une campagne « Chère future maman » est lancée sur internet et les réseaux sociaux.
    Cette campagne, dont le volet principal est une vidéo, adresse un message réconfortant et fort aux femmes enceintes qui attendent un enfant atteint de trisomie 21 et s’interrogent sur son bonheur possible.

     
    Ces informations sont essentielles en raison de la course à l’hyper diagnostic prénatal dans beaucoup de pays, qui laisse à penser que cette pathologie est insupportable à vivre, et qui conduit à l’élimination de masse des enfants trisomiques avant leur naissance.

    La campagne « Chère future maman » a été réalisée à Milan par l’agence Saatchi Saatchi Italie.

    Elle rassemble des acteurs italiens, espagnols, anglais et français, tous porteurs d’une trisomie 21.

    En plus de la vidéo, elle se décline aussi en visuels pour la presse où les acteurs affirment « On a tous le droit au bonheur ».

    campagne,chère future maman,journée mondiale,trisomie 21

    Elle est financée et soutenue par une dizaine d’associations. Pour la France le Collectif des Amis d'Eléonore et la Fondation Jérôme Lejeune ; pour l’Italie l’association CoorDown ; pour l’Espagne Fundacion Sindrome de Down ; pour l’Angleterre Down Syndrome Education International & Down Syndrome Development Trust ; pour l’Allemagne Arbeitskreis Down-Syndrom ; pour la Croatie DSC Pula ; pour l’Irlande Down Syndrome. Cette vidéo est aussi reprise aux Etats-Unis par la Jérôme Lejeune Fundation et Down Syndrome International ; en Nouvelle Zélande Saving Downs ; en Russie Down Side Up.

    Stéphanie Tabard / Olivier Roubaud
    Responsable des réseaux / responsable réseau

    01 44 49 74 50 - 06 61 10 69 66 / 01 44 49 73 42 - 06 14 46 01 53

    Site http://www.fondationlejeune.org
    Facebook http://www.facebook.com/fondationjeromelejeune / https://www.facebook.com/kilometreT21
    Twitter http://twitter.com/FondationJLejeune
  • L'initiative européenne "Un de nous" validée : 1.721.626 soutiens

    Communiqué de la Commission européenne

    La Commission européenne a officiellement agréé la seconde Initiative Citoyenne Européenne, avec des formulaires validés d’au moins un million de citoyens européens dans au moins 7 États membres.

    Les formulaires de l’Initiative Citoyenne Un de nous dont les organisateurs demandent à l’Union Européenne d’établir une interdiction du financement des actions qui conduisent à la destruction d’embryons humains, spécialement dans le domaine de la recherche, de l’aide au développement et la santé publique, ont été contrôlés et validés par les autorités nationales des états membres.

    Le nombre de citoyens soutenant cette initiative a dépassé la première Initiative validée le mois dernier  “Right2water”. 18 états membres ont dépassé le seuil minimal : Autriche, Croatie, Chypre, France, Allemagne, Grèce, Hongrie, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Slovaquie et Espagne. Globalement, les déclarations de 1 721 626 citoyens ont été validées.

    La balle est maintenant dans le camp de la Commission.
    Dans un délai de trois mois, les organisateurs doivent être invités à intervenir à Bruxelles pour expliquer plus profondément leur position et une audition publique doit être organisée au Parlement. Ensuite la Commission doit décider si elle adopte une nouvelle législation en la matière, ou si elle prend en compte d’une manière ou d’une autre cette demande ou encore si elle ne fait rien en ce sens.

    Quelle que soit l’issue, la Commission devra expliquer les raisons de sa position en associant l’ensemble du collège des commissaires.

    Source : Un de nous.

    Texte original anglais - Commission Européenne - 28/02/2014 :

    Second – even more successful - European Citizens' Initiative received by Commission

    "The Commission has officially received the second successful European Citizens' Initiative, with properly validated support from at least one million European citizens in at least seven Member States. Support for the One of Us ECI, whose organisers call on the EU to 'establish a ban and end the financing of activities which presuppose the destruction of human embryos, in particular in the areas of research, development aid and public health', has been checked and validated by the national authorities of the Member States. Support for the initiative outstrips support for the first successful ECI, Right2Water, both in the number of Member States where a minimum threshold of support was reached, and in the total statements of support. Support crossed the minimum threshold in 18 Member States (Austria, Croatia, Cyprus, France, Germany, Greece, Hungary, Italy, Latvia, Lithuania, Luxemburg, Malta, Netherlands, Poland, Portugal, Romania, Slovakia and Spain). Overall, the ECI received 1,721,626 validated statements of support. The ball is now in the Commission's court. Within the next three months, it must invite the organisers to Brussels to explain their ideas in more depth, and a public hearing will be arranged in the European Parliament. Then the Commission must decide whether it will act by adopting legislation, act in some other way to achieve the goals of the ECI, or not act at all. Whichever route is taken, the Commission must explain its reasoning through a Communication adopted by the whole College of Commissioners."

  • Réunion plénière de l'Académie pontificale pour la Vie - Message du Saint-Père

    A l'occasion de sa réunion plénière, le Pape a fait parvenir un message à l'Académie pontificale pour la vie, qui fête ses vingt ans et se penche sur la vieillesse et la déchéance. Son but est d'étudier et informer sur les questions de droit et de bio-médecine en matière de défense de la vie selon la morale chrétienne et les directives du magistère.

    Dans notre société, écrit le Saint-Père, "domine la tyrannie du profit qui exclut et tue même. Beaucoup de gens en sont les victimes, les personnes âgées surtout". Revenant sur la culture du rebut, il a rappelé que "les exclus de la société ne sont pas exploités mais rejetés comme des ordures". "Que vaut un homme dans ce contexte ? La santé revêt une grande importance même si elle ne saurait déterminer la valeur d'une vie humaine. Elle n'est pas non plus garantie de bonheur, qui peut se manifester en présence d'une santé défaillante... La mauvaise santé et le handicap ne peuvent être de justes raisons pour exclure quelqu'un, pire pour l'éliminer. La plus grave privation subie par les anciens n'est pas l'affaiblissement de l'organisme ou le handicap qui s'en suit mais l'abandon, l'exclusion et la privation d'amour. Maîtresse de solidarité, par l'éducation qu'elle offre, la famille permet d'apprendre la solidarité, apprendre que la perte de la santé ne justifie aucune discrimination, apprendre à ne pas s'enfermer dans l'individualisme. Le moi doit se conjuguer avec le nous de manière à ce que le soin d'autrui devienne un fondement de la vie humaine et de la morale... Chaque fois que l'on cherche à lire les signes des temps il convient d'entendre les personnes âgées comme les jeunes... Une société est vraiment accueillante à la vie lorsque elle reconnaît la valeur de la vie dans la vieillesse et la déchéance, la maladie et même la fin de vie, lorsqu'elle enseigne que la réalisation de la personne n'exclut pas la souffrance mais qu'il faut voir dans celui qui souffre un don fait à la communauté, une présence qui en appelle à la solidarité et à la responsabilité". Votre travail, a conclu le Pape, "est délicat parce qu'il implique souvent d'aller à contre-courant".

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 20.2.14)
    Texte intégral en italien sur le site internet du Vatican.

  • La Belgique a voté ce jeudi 13 février l'euthanasie pour les mineurs...

    belgique,vote,loi,13 février,élargissement,euthanasie,mineursRéaction des évêques de Belgique sur l’approbation de cette loi sur l’élargissement de l’euthanasie :

    Les évêques de Belgique sont très déçus de l’approbation par la Chambre des représentants de la loi relative à l’élargissement de l’euthanasie pour les mineurs. Ils déplorent l’adoption d’une loi que de nombreux experts considèrent comme inutile et qui comporte de nombreux défauts.
    Les évêques partagent l’avis de tous ceux qui, dans le débat sur l’euthanasie, se sont prononcés sans ambiguïté contre cette loi en fonction de leur expérience ou de leur expertise.
    Ils soutiennent totalement les droits de l’enfant, dont le droit à l’amour et au respect est le plus fondamental. Mais le droit de l’enfant à demander sa propre mort est un pas de trop. Il s’agit de la transgression de l’interdit de tuer, qui constitue la base de notre société humaine.
    Les évêques craignent que cette nouvelle loi ouvre grande la porte à une prochaine extension aux personnes handicapées, aux personnes démentes, aux malades mentaux, voire à celles qui sont fatiguées de vivre. Ils insistent pour que tout soit mis en œuvre pour combattre au maximum la douleur et la souffrance et pour que tous ceux qui – professionnels et volontaires – accompagnent des personnes malades et souffrantes, soient soutenus d’une façon optimale.

    SIPI – Bruxelles, jeudi 13 février 2014 (Source : InfoCatho.be)

    Persévérons dans la prière...!

  • Jean Vanier s’engage contre l’euthanasie au Québec

    Le fondateur des Communautés de l’Arche a pris position contre l’euthanasie au Québec

    L’assemblée provinciale du Québec discute actuellement de l’instauration de l’euthanasie sous le nom de « aide médicale à mourir ». Le projet de loi 52 pourrait être voté cette semaine. Comme en Belgique, le projet prévoir la création d’une commission de « contrôle » qui serait destinée à éviter les abus. On connait les échecs d’une telle procédure en Belgique.

    Initiateurs des Communautés de l’Arche, qui accueillent des personnes handicapées mentales comme dans une famille, Jean Vanier connait bien le monde de la maladie. « ce sont des personnes qui nous apprennent ce que c’est qu’aimer » dit-il dans cette vidéo destinée à éveiller les consciences des élus québécois.

    Jean Vanier, fondateur de l'Arche - avec ses 150 communautés qui, dans 40 pays, accueillent les personnes vivant avec un handicap - dénonce clairement l'euthanasie comme un crime. Il fait appel à notre humanité pour refuser toute légalisation de l'euthanasie ; il faut, soutient-il, réapprendre à accompagner les personnes vulnérables pour que notre société soit vraiment humaine.

    Le docteur Balfour Mount, fondateur des soins palliatifs en Amérique du Nord et expert mondial dans l'accompagnement des personnes mourantes, qualifie de grave erreur une éventuelle légalisation de l'euthanasie. Il insiste : les soins palliatifs peuvent prendre en charge toutes les douleurs et souffrances du patient, tandis que la légalisation de l'euthanasie mettrait réellement en danger toutes les personnes affaiblies et vulnérables. La sécurité et la protection de tous les citoyens est primordiale, elle a toujours eu préséance sur le droit individuel en santé publique.

    Transcription disponible sur : Vivre dans la dignité.

    Vidéo intégrale : Jean Vanier et Balfour Mount dénoncent le Projet de loi 52 (9'48)

    Source : InfoCatho.be

  • Peillon veut passer en force. Mobilisons-nous !

    logo-OTG-cartouchewebpt.jpg

    Chers amis,

    Merci. Vous êtes déjà plus de 130 000 à avoir signé notre pétition pour demander à Vincent Peillon de mettre fin à l'expérimentation "ABCD égalité" à l'école.

    Cette expérimentation, sous couvert de lutte pour l'égalité entre filles et garçons, est un cheval de Troie pour les militants de la "théorie du genre".

     En fin de semaine dernière, Vincent Peillon a laissé entendre qu'il était prêt à généraliser ce dispositif, après un simulacre d'évaluation. En effet, il vient de décider de confier l'évaluation de ce programme à ses propres services, en excluant de fait les parents d'élèves.

    Nous ne pouvons accepter cela ! Nous devons amplifier la mobilisation. En mars 2013, avec 300 000 signataires à notre pétition contre l'amendement de Julie Sommaruga, nous avons obtenu son retrait.

    Ensemble, si nous rassemblons 500 000 signataires, nous pouvons contraindre le ministère à renoncer à la généralisation du dispositif "ABCD". D'autant plus que, les "ABCD" de l'égalité risquent de créer de la confusion dans l'esprit des enfants les plus jeunes, sans améliorer l'égalité entre les garçons et les filles pour autant (Voir plus bas).

    Mobilisez autour de vous

    Pour cela, nous avons besoin de votre aide. Diffusez notre pétition à vos amis par internet ou en la téléchargeant sur notre site.

    Par ailleurs, si vous le pouvez, merci également de nous adresser un don, même modeste, pour nous aider à financer l'impression des pétitions, des affiches, ainsi que l'organisation de conférences d'information.

    arton124.gif

    Objectif : 500 000 signataires pour dire non au programme "ABCD égalité"

    Lire et signer la pétition sur notre site

    Télécharger la pétition

    arton133.jpg

    Alors que les ministres et les responsables de la majorité socialiste continuent à prétendre que la "théorie du genre" ne serait qu'une rumeur, voici 11 documents officiels qui prouvent le contraire.

    A lire ICI

  • Le Parlement européen a adopté le rapport "Lunacek" - Communiqué de la FAFCE

    Individualisme vs. le bien commun ? Le rapport Lunacek divise l’UE
    Communiqué de la FAFCE
    Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe

    Bruxelles, le 4 février 2014
     
    Aujourd'hui le Parlement européen a adopté un rapport sur « une feuille de route de l’UE contre l’homophobie et les discriminations fondées sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre » présenté par l’eurodéputé autrichien Ulrike Lunacek. Ce rapport adopté par deux tiers du Parlement européen est fondé sur une étude préparée entre autres par le lobby LGBT ILGA Europe, à la demande de la Commission LIBE du Parlement européen.   

    Dans une lettre ouverte aux députés européens en vue du vote Antoine Renard, Président de la FAFCE, a interrogé les eurodéputés: « La vie sexuelle privée devrait-elle être un critère pour les politiques de l’UE ? »

    La FAFCE a suggéré que « La vie sexuelle privée ne devrait pas être un critère pour les politiques publiques. L’UE doit assurer la pleine jouissance des droits fondamentaux pour tous les citoyens. Les États membres mettent en œuvre les droits fondamentaux et garantissent l’équilibre entre le droit à l’égalité des chances les autres droits fondamentaux. Quelque soient les choix privés dans le domaine de la sexualité, les droits fondamentaux sont les mêmes pour tous. Il ne devrait pas y avoir une catégorisation des droits fondamentaux en fonction des penchants sexuels. »  

    La FAFCE a sonné l’alerte dès la présentation du projet du rapport en octobre 2013. Elle a souhaité attirer l’attention sur le fait que ce sujet risquait de créer des réactions très fortes. En effet, le rapport intervient dans des domaines qui relèvent exclusivement de la compétence des États membres et non de l’UE, à l’instar du droit de la famille.

    La FAFCE a rappelé que « l’Union européenne fait actuellement face à beaucoup de défis. Sa popularité auprès des citoyens européens n’est pas à son apogée. Faire la promotion d’un agenda basé sur des choix de style de vie individuels et qui divise clairement les États membres ne peut être la meilleure solution pour accroître la cohésion sociale au sein de l’UE. Tous les citoyens de l’Union ont le droit de vivre en paix, et la dignité de chaque personne doit être respectée. Toutefois, la tendance à catégoriser les droits de l’Homme n’est pas la voie à emprunter : chaque personne, chaque homme et chaque femme, sont bénéficiaires des droits de l’Homme et égaux en dignité. Néanmoins nous ne devons pas oublier que ces droits ne sont pas conditionnés par un type de désir sexuel individuel mais par le bien commun. »

    Plus de 200 000 citoyens ont écrit aux députés européens leur demandant de rejeter le rapport, un signe que ce dernier divise l’UE, portant ainsi atteinte à la paix sociale sur notre continent.

    Source : FAFCE.

  • Si certains ont encore des doutes... : Documents syndicaux et gouvernementaux : la théorie du genre n’est pas une rumeur !

    Dans un communiqué de presse, Jean-Frédéric Poisson revient sur les débats qui ont actuellement lieu autour de la théorie du genre et de son introduction dans les écoles primaires.

    « J’entends que la théorie du genre serait une rumeur… Tout d’abord, je m’étonne dans ce cas que le Ministre de l’Éducation nationale prenne officiellement position contre une théorie dont il affirme qu’elle n’existe pas !

    Ensuite, le programme d’actions intergouvernemental contre les violences et les discriminations commises à raison de l’identité de genre, publié sur le site du Ministère des Droits des Femmes, est-il une rumeur ?

    Ses préconisations, qui s’adressent à chaque ministère, et qui demandent par exemple qu’un module sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre soit intégré à la formation des infirmiers, des policiers, des magistrats, des acteurs éducatifs, sont-elles des rumeurs ?

    Le site « Ligne Azur » dont le Ministre de l’Éducation nationale fait la promotion, qui appelle les jeunes à se questionner sur leur identité sexuelle, à définir non pas « qui » ils sont mais « où » ils sont, et qui leur rappelle, dans cette période de trouble et de construction de soi qu’est l’adolescence, que « pour certains, le sexe biologique coïncide avec le sentiment d’être un homme ou une femme, et pour d’autres, sexe génital et identité de genre ne correspondront pas », est-il une rumeur ?

    Le document du syndicat d’enseignants SNUipp-FSU qui recommande un questionnement des stéréotypes de genre dès l’école primaire, qui propose que les enfants des écoles primaires lisent des livres tels que « Zazie a un zizi » ou « Papa porte une robe » ou entrent dans des questionnements sur leur genre et leur identité en visionnant des films tels que Fucking Amal ou C.R.A.Z.Y, qui leur montrent des scènes de sexe entre personnes homosexuelles, est-il une rumeur ?

    L’ABCD de l’égalité, actuellement mis en œuvre dans plus de 600 classes pour agir sur les représentations des élèves et les pratiques des acteurs de l’éducation, sans aucune information préalable des parents, est-il une rumeur ?

    Demandez aux parents, aux élèves, aux académies qui sont actuellement des objets d’expérimentation pour le gouvernement si tous ces éléments ne sont que des rumeurs !

    J’appelle le gouvernement à la clarté, à l’honnêteté vis-à-vis de parents, par respect pour leur liberté éducative, par respect pour la liberté de conscience de chacun, par souci de faire régner la paix et la sérénité dans notre pays. »

    Pour votre parfaite information, retrouvez ici :

    - le document intergouvernemental du 16 mai 2013 contre les violences et les discriminations commises à raison de l’identité de genre : Programme GVT bilan mai2013

    - le rapport du syndicat SNUipp-FSU de juin 2013 « Eduquer contre l’homophobie dès l’école primaire : Eduquer contre l’homophobie école primaire

    - l’ABCD de l’égalité, qui fournit des éléments pour la mise en place de « l’éducation à l’égalité » dans dix académies et plus de 600 classes : ABCD-Egalite-dossier_272986

  • Non, l'idéologie du genre n'est pas une rumeur !

    Pétition adressée à Vincent Peillon,
    Ministre de l’Éducation Nationale

    Le Ministère de l’Éducation Nationale communique actuellement pour dénoncer une rumeur concernant l’enseignement de la « théorie du genre » à l’école. Si certains messages circulant entre parents d'élèves contiennent effectivement des informations erronées, excessives ou déformées, il n'en reste pas moins que le gouvernement agit actuellement pour installer doucement mais durablement l'idéologie du genre dans l'éducation des plus jeunes sous des prétextes comme « l'égalité entre garçons et filles » ou la « la lutte contre les stéréotypes ».

    L'idéologie du genre existe. Le gouvernement la met en place.
    Et nous n'en voulons pas.
    Les enseignants instruisent, les parents éduquent.
    Soyons complémentaires pour le bien de nos enfants.
     
     
    ABCD de l’Égalité
    Expérimenté dans 10 académies, l'ABCD de l’Égalité vise à « déconstruire les stéréotypes de genre » dès le plus jeune âge. Ce programme amène à nier toute différence entre garçons et filles et détruit tout repère élémentaire des enfants. Cette expérimentation dure depuis novembre dernier et jamais les parents n'ont été informés.

    Recommandations du SNUipp-FSU
    Le SNUipp-FSU, syndicat d'enseignants, publie un dossier « Éduquer contre l’homophobie dès le primaire » préconisant de questionner les enfants sur les « stéréotypes de genre ». Ce document propose un grand nombre de livres et activités pratiques visant à casser les stéréotypes en place pour en instituer de nouveaux. Il prescrit de ne pas demander l’autorisation des parents.

    Des livres dès la petite section
    Des livres comme « Papa porte une robe », « Tango a deux papas », « L’histoire du petit garçon qui était une petite fille », « Le petit garçon qui aimait le rose », « La nouvelle robe de Bill » sont édités à destination des plus petits et leur lecture est recommandée par le SNUipp-FSU.

    Tomboy, film militant
    Dans le cadre du programme École et Cinéma, le film TomBoy est diffusé dans certaines classes du CE2 au CM2. Ce film militant raconte l’histoire de Laure, une petite fille qui se fait passer pour un garçon auprès de ses nouveaux voisins.

    La ligne Azur
    L'association "Ligne Azur" promue par le ministère prétend que l’identité sexuelle n’est qu’un simple sentiment d’appartenance à un sexe. Aucune référence à l’anatomie ou à la biologie n’est faite pour fonder l’identité sexuelle d’une personne. Des brochures "Tomber la culotte" ou des cartes postales parfois très explicites sont distribuées aux adolescents.
     
    Informations : VIGI GENDER
  • Théorie du genre : le débat interdit

    La théorie du genre existe-t-elle ?

    François-Xavier Bellamy, maire adjoint à Versailles, répond sur son blog "Pensées pour le jour qui vient".

    Analyse remarquable, précise, qui démonte point par point le déni et les mensonges du gouvernement à ce sujet.

    A lire, et diffuser sans modération !

  • Théorie du genre à l’école : Un livret décrypte des éléments introduits en cours de SVT

    FONDATION JÉRÔME LEJEUNE - COMMUNIQUE

    A l’heure où la théorie du genre fait polémique à l’école, la Fondation Jérôme Lejeune informe les parents et jeunes des lycées qu’elle met à leur disposition un livret gratuit « Théorie du genre et SVT : décryptage des manuels de 1ère ». Ce document a été édité en 2012 pour faire face à l’introduction d’éléments non scientifiques dans les manuels de SVT en classe de Première.

    LivretGenre-BAT-150513-BD_6.jpgAvec ce livret, dans la lignée de son Manuel de bioéthique édité depuis 2006, la Fondation Jérôme Lejeune propose aux jeunes une enquête argumentée et étayée sur le contenu et le sens du chapitre « Devenir femme ou homme » introduit dans certains manuels de SVT. L’éclairage est apporté par une analyse visant à faire la part des choses entre ce qui relève de la « science de la vie » légitime dans un manuel de SVT, et ce qui n’en relève pas. Le livret de la Fondation étudie les faits scientifiques et non-scientifiques évoqués dans les manuels, les met en parallèle avec les exercices et commentaires et s’intéresse aux illustrations et à leurs légendes.

    À qui s’adresse ce livret ?

    Il s’adresse d’abord aux lycéens dont les manuels de SVT justifient un éclairage. Ceux qui l’ont lu ont apprécié le ton "ni trop ni pas assez technique", l'organisation simple des chapitres et la présentation pédagogique. De façon plus large, il s'adresse à toutes les personnes désirant promouvoir les valeurs de la vie et pouvant servir de relais de transmission, et donc tout spécialement aux parents et éducateurs.

    Pour rappel, la Fondation Jérôme Lejeune est vigilante aux questions de bioéthique. Dans un contexte où l’accélération des progrès techniques pose à la société des interrogations fondamentales, la Fondation apporte son expertise scientifique au service de valeurs éthiques. Dans cette perspective elle se mobilise contre le détournement de la science à des fins idéologiques, particulièrement lors de la transmission des savoirs à l’école.

    La Fondation Jérôme Lejeune souhaite avec des outils pédagogiques apporter aux jeunes les clés de compréhension scientifique et de discernement éthique sur des questions fondamentales auxquels ils seront confrontés au cours de leur vie et peut-être de leur métier

    Le livret « Théorie du genre : décryptage des manuels de 1ère » est téléchargeable ici (ou sur l'image) :

    fjl-manuel-theorie-du-genre.png

    La version imprimée peut être commandée sur lesgratuits@fondationlejeune.org

    Télécharger le communiqué en format PDF

  • La Manif pour tous du 2 février - Rappel

    2-fev-2014.jpg

    Tous à Paris ou à Lyon dimanche 2 février !
    Pour défendre la famille et l'enfant !

    Après les manifestations nationales 2013 (13 janvier, 24 mars et 26 mai), La Manif Pour Tous invite tous les citoyens à revenir à Paris ou à Lyon, dimanche 2 février pour défendre les familles qui sont aujourd’hui attaquées dans de multiples domaines :

    Projet de loi Famille, fabrication d’enfant sans père (PMA pour couple de femmes), mères porteuses, diffusion de l’idéologie du genre à l’école, réduction du congé parental, etc.

    Alliance VITA, membre du collectif de La Manif Pour tous, soutient cette initiative et invite ses sympathisants à répondre présent à cet appel.

    Tugdual Derville, délégué général d’Alliance VITA et porte parole de La Manif Pour Tous, insiste dans son message sur la défense des plus fragiles, des enfants, des sans-voix : « Ils sont notre avenir. C’est pour eux que nous devons tenir et durer. C’est en leur nom que nous descendrons à nouveau dans la rue le 2 février, pour deux manifestations capitales à Paris et à Lyon ! »

    Cette nouvelle journée de mobilisation ne sera pas seulement nationale, puisque d’autres citoyens européens manifesteront dans leur capitale en même temps : Bruxelles, Budapest, Luxembourg, Madrid, Riga, Rome, Varsovie (et même Buenos Aires, Taïwan…).

    Aucune voix ne doit manquer pour défendre les familles !

    Des cars et des trains spéciaux sont organisés depuis tous les départements.
    Si vous n'avez pas déjà réservé votre place, rendez-vous sur www.lamanifpourtous.fr