palestine - Page 5
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Lundi 13 mai 2013
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Samedi 4 mai 2013
1er samedi du mois dédié au Saint Cœur de Marie
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Jeudi 11 avril 2013
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Dimanche 7 avril : Dimanche de la Miséricorde Divine
Dimanche in Albis
"Dimanche in Albis" dans la Tradition ("dimanche en blanc", car les nouveaux baptisés venaient rendre à leur évêque leur vêtement blanc de baptisé), ce dimanche s’appelle également "Quasimodo", des premiers mots de l’Introït : "Quasi modo géniti infantes, alleluia...", ou "Pâques closes", car c’est en ce jour que s’achève l’Octave de Pâques.
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Samedi 6 avril 2013 : Octave de Pâques - Samedi in Albis
Premier samedi du mois
Calendrier liturgique -
Jeudi 4 avril 2013 : Octave de Pâques - Jeudi de Pâques
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Mardi 2 avril 2013 : Octave de Pâques - Mardi de Pâques
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Dimanche 31 mars 2013 : Pâques, dimanche de la Résurrection
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Vendredi 29 mars 2013 : Vendredi Saint
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Lundi 18 mars 2013
St Cyrille, évêque de Jérusalem, confesseur et docteur de l'Eglise
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Dimanche 17 mars : 5ème dimanche de Carême
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Jeudi 7 mars 2013
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Mardi 5 mars 2013
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Dimanche 3 mars : 3ème dimanche de Carême
Introït (Ps. 24, 15-16 & 1-2)
Oculi mei semper ad Dóminum, quia ipse evéllet de láqueo pedes meos : réspice in me, et miserére mei, quóniam únicus et pauper sum ego.
Ps. Ad te, Dómine, levávi ánimam meam : Deus meus, in te confído, non erubéscam.
V. Glória Patri.
Mes yeux sont constamment tournés vers le Seigneur ; car c’est lui qui retirera mes pieds du filet : regardez-moi et ayez pitié de moi ; car je suis délaissé et pauvre.
Ps. Vers vous, Seigneur, j’ai élevé mon âme ; mon Dieu, je mets ma confiance en vous, que je n’aie pas à rougir.
V. Gloire au Père. -
Mardi 26 février 2013
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Samedi 16 février 2013
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Samedi 2 février 2013
Présentation du Seigneur au Temple
Calendrier liturgique« Malgré les nombreuses lumières qui brillent au choeur et les chants de la procession, la note dominante de la journée est grave. Dans l'atmosphère sereine et joyeuse des fêtes du temps de Noël elle apparaît comme un trait sombre qui laisse présager la Passion du Sauveur. Si, dans la vie du Christ, la Passion correspond à l'immolation de la victime, la Chandeleur en constitue l'offrande : la victime est préparée, consacrée, et, par les mains de Marie, offerte au Père céleste. Jésus et Marie sont maintenant prêts pour le sacrifice de la Croix que le prêtre Siméon annonce solennellement, ce sacrifice qui, suivant l'expression du vieillard, va percer d'un glaive le coeur de la Mère des douleurs...
Combien la Mère de Dieu nous apparaît aujourd'hui digne de toutes les louanges ! Elle élève dans ses mains le Très Saint, l'hostie vivante Jésus, son bien, le fruit de ses entrailles ; elle Lui a préparé un corps capable de souffrir, un corps qui pourra subir d'une façon méritoire les souffrances de la Passion. Après la Présentation elle rachète l'enfant de ses propres moyens, à la seule fin de le nourrir, de l'élever jusqu'à l'âge d'homme pour en faire une victime parfaite...
Historiquement la présentation au Temple a eu lieu le quarantième jour après la naissance du Sauveur. Mais, mystiquement, elle se renouvelle aujourd'hui à la célébration de la Sainte Messe. Alors Jésus est offert au Père céleste, et en Jésus - en Jésus par Marie - toute la communauté paroissiale devient une offrande vivante faite à Dieu. L'Evangile lui-même, qui nous raconte la joie du vieillard Siméon, devient pour nous une réalité pleine de grâces lorsque, dans la sainte communion, nous avons le bonheur de posséder notre Rédempteur. Combien sont merveilleux les mystères de notre foi !
A la Chandeleur, les fidèles emportent chez eux, dans leur famille, le cierge béni pendant l'office. Il est le signe des grâces reçues en ce jour. Il représente le Christ ; il est le symbole de la foi, de cette foi qui prend sa source dans le sacrifice de Jésus, et, de là, vient baigner notre vie toute entière. On l'allume au moment de la prière familiale. A la campagne, on le fait brûler souvent pendant les orages. Le lendemain de la Purification, à la fête de saint Blaise, allons à l'Eglise recevoir la bénédiction avec les cierges consacrés la veille, pour être protégés des maladies, en particulier du torticoli et des maladies de la gorge. Enfin, dans chaque maison chrétienne, on garde précieusement le cierge qu'on allume un jour à notre lit de mort, ce cierge dont la vertu et la lumière nous préservent des ténèbres de la perdition.
Qu'une lumière éclaire et réchauffe notre vie et notre mort : Jésus-Christ ! »
Toute l'année avec le Christ, par les Bénédictins de l'Abbaye de Notre-Dame d'Einsiedeln, Traduction des Bénédictins de l'Abbaye Ste-Marie de la Pierre-Qui-Vire, Comptoir Français du Livre, Paris / Bruxelles, 1936.Fra Bartolomeo : La Présentation au Temple
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Lundi 28 janvier 2013
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Dimanche 20 janvier 2013
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Mercredi 26 décembre 2012